Le moment de vérité sera lors du black friday ... soit cela tient et Oracle est mort, soit ça craque et Bezos a l' air fin . C 'est quitte ou double.
Discussion :
Le moment de vérité sera lors du black friday ... soit cela tient et Oracle est mort, soit ça craque et Bezos a l' air fin . C 'est quitte ou double.
étant donné qu'on n'est jamais mieux servi que par soi-même ça évite à Amazon de dépenser des milliions dans des licences OracleAmazon a décidé de basculer vers ses propres infrastructures maintenant qu’il est un acteur majeur du cloud computing et de laisser tomber les services d’Oracle.
Remarquez certains "gros machins" comme par exemple l'administration française ou des grosses entreprises devraient prendre l'exemple
Il est difficile de dire cela. Chaque SGBDR a des spécificités et fait plus ou moins biens les choses. Par exemple Oracle sait très mal gérer les collations (les fameux... fumeux ??? ... NLS) et tente enfin de respecter la norme SQL avec une solution embryonnaire à base de collation depuis peu, mais manquant singulièrement des principales "features" sur le sujet, tandis que MS SQL Server fait cela depuis la version 7 datant de plus de 20 ans et implémentant près de 4 000 collations différentes.
À contrario, MS SQL Server est incapable de concevoir des contraintes UNIQUE multi NULLs alors que l'unicité ne peut porter que sur les valeurs !Les index filtrés existent dans certains SGBDR depuis près de 20 ans. Le NoSQL depuis moins de 10 ans....
Reste que vous présentez ça comme une évidence depuis toujours alors que NoSql s'est développé à une époque où les indexes filtrés étaient impossibles en sql.Il n'y a aucune activation pour exploiter un serveur MS SQL Server. En effet, par sécurité et en cas d'urgence, vous devez pouvoir récupérer vos données et être opérationnel sur un SGBDR sans être contraint ni par une clef de licence, ni par un processus de validation par Internet. Mais il faudra penser à régulariser cela après coup, car de mémoire, vous pouvez rester dans cet état pendant 180 jours, mais pas au dela;..Le reste des features est un peu encombrant dans cette conversation.
A eux seuls les indexes filtrés justifient les problèmes d'Oracle (sujet de l'article).
300 milliards de lignes est effectivement un volume auquel j'ai affaire sous Oracle.
EDIT
Avec le NoSQL il faut plusieurs moteurs et plusieurs bases pour gérer tout cela à la fois...
On ne développe pas en NoSQL pour cloner les features d'un SGBD concurrent ! Il ne s'agit pas de participer à la grande bataille des SGBD mais de faire tourner un SI qui a ses propres besoins. Ces tâches sont conçues spécifiquement avec une certaine créativité... Si vous me permettez, je n’achèterai sans doute jamais de SGBDR parce que je contourne les limites de ceux qui existent. Bien sûr, je peux me tromper et "tomber" pour SQL server mais je crains un peu de ne plus pouvoir travailler sans ensuite et d'être obligé de demander à mes clients d'ouvrir un compte hotmail pour activer leur SI ...De toute façon, avec 300 milliards de ligne, que vous soyez dans du "soit-disant" libre (et en matière de SGBD il n'y en as pas de vraiment libre à ma connaissance), ou pas, vous aurez du mal à en sortir en claquant dans les doigts.... Un peu comme si vous vouliez déménager le Louvre ou la BNI du jour au lendemain!
EDIT
Finalement, les deux grands éditeurs de SGBD se ressemblent. Au début, ils sont sympas et souriants. Ensuite ils vous demandent de payer des choses, puis d'afficher leur logo sur votre porte. Enfin , ils vous expliquent que vous ne seriez rien sans eux et qu'à ce titre, votre boite leur appartient un peu. N'est-ce pas exactement ce qu'on reproche à l'un d'eux ici ?
A +
Frédéric Brouard - SQLpro - ARCHITECTE DE DONNÉES - expert SGBDR et langage SQL
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C ' est un vrai désaveux pour Oracle , non seulement Amazon à réussi à le faire , mais de surcroit , cela prouve que le SGBD est solide au possible
L'important, ce n'est pas les fonctionalités implémentées, mais les solutions à des problèmes. Oracle n'a pas d'index couvrant, mais n'en a probablement pas besoin car d'autres fonctionnalités répondent au mêmes besoins (compression prefixe dans les branches, Index Only access path,...)
D’ici fin 2019, Amazon aura complètement abandonné les bases de données d’Oracle
Selon le PDG d’Amazon Web Services
Commencée il y a 4 à 5 ans, la migration d’Amazon vers ses propres infrastructures continue et serait en voie de se terminer. Selon CNBC, la transition serait complètement achevée d’ici fin 2019 en ce qui concerne les bases de données, d’après les déclarations du PDG d’Amazon Web Services, Andy Jassy. En août dernier, Amazon a annoncé qu’il envisageait d'abandonner complètement les SGBD et services d'Oracle d'ici 2020. En effet, l’émergence d'Amazon en tant que fournisseur majeur de technologie de centre de données a transformé un grand nombre de ses fournisseurs de longue date, y compris Oracle, en rivaux redoutables.
Certaines raisons ont emmené Amazon à vouloir abandonner les produits Oracles et à migrer vers ses propres produits concurrents. En effet, selon le géant du commerce de détail en ligne, la technologie de base de données de son fournisseur n’est plus capable d’évoluer pour suivre l’élargissement des produits et services qu’Amazon offre à sa clientèle.
Amazon doit cette performance à l'expansion d'Amazon Web Services qui lui a, par ailleurs, permis de surclasser Alphabet en début d’année pour devenir la deuxième entreprise cotée en bourse la plus importante au monde. Au second trimestre de cette année, AWS a enregistré une croissance de 49 % et en septembre dernier, Amazon a franchi le cap des 1000 milliards de dollars en capitalisation boursière, un mois après que le géant Apple ait réalisé cet exploit, alors que les résultats d’Oracle stagnent et les actions continuent de chuter.
Aussi, Amazon abandonne les produits Oracle, comme d’autres entreprises l’ont fait, à cause des frais de licence exorbitants qu’impose Oracle à ses clients et la technique de vente agressive adoptée par le fournisseur.
Amazon a décidé de basculer vers ses propres infrastructures maintenant qu’il est un acteur majeur du cloud computing et de laisser tomber les services d’Oracle. Il a développé également des produits concurrents, notamment Redshift, Aurora et DynamoDB. En début novembre, le secteur de consommation d’Amazon a désactivé son entrepôt de données Oracle après avoir migré les données du secteur vers son infrastructure en nuage, notamment vers Redshift.
Amazon a réitéré sa volonté d’abandonner les produits Oracle, selon un article de CNBC du mercredi dernier. Selon le PDG d’Amazon Web Services, la migration se passe plutôt bien du côté des bases de données. D’ici la fin de cette année, la quasi-totalité des bases de données d'Amazon qui fonctionnaient sur Oracle seront plutôt sur une base de données Amazon, selon Jassy. « Nous avons pratiquement terminé d'abandonner Oracle du côté de la base de données », a déclaré Jassy mercredi à Jon Fortt de CNBC, lors d'une interview. « Et je pense que fin 2019 ou mi-2019, nous aurons terminé. », a-t-il ajouté.
Cette migration est à la base d’une certaine hostilité entre le géant mondial du commerce électronique de détail et le leader des bases de données sur site. La guerre des mots a commencé avec le lancement d’Aurora, le service de base de données relationnelle d’Amazon ainsi qu’un outil permettant aux entreprises de déplacer des bases de données vers le cloud qui visent le marché d’Oracle et qui attitreraient déjà certains de ses clients.
Mais cela n’empêche pas Amazon de continuer à réduire sa dépendance d’Oracle pour ses besoins en données et d’utiliser plutôt ses propres services. 88 % des bases de données Amazon qui fonctionnaient sur Oracle le seront sur Amazon DynamoDB ou Amazon Aurora d’ici janvier, a déclaré Jassy. 97 % des « bases de données stratégiques » fonctionneraient sur DynamoDB ou Aurora d'ici la fin de l'année, a-t-il ajouté.
Le mouvement d’abandon des produits et services d’Oracle s’étend à plusieurs autres entreprises. Le fournisseur de bases de données et d’applications, SAP SE, est en train de faire migrer progressivement ses données vers ses propres infrastructures.
La société d'exploration pétrolière et gazière Halliburton, le fabricant de jouets Mattel et le fournisseur d'électricité Edison Southern California, ont également rejeté, en mai dernier, les offres de services cloud proposées par Oracle.
Source : CNBC
Et vous ?
Qu’en pensez-vous ?
Pensez-vous qu’Amazon pourra tenir ce calendrier de migration ?
Voir aussi
Un problème technique affecte un entrepôt d'Amazon, suite à la migration de bases de données Oracle, vers sa propre technologie de base de données
MariaDB rachète la technologie de base de données distribuée Clustrix, pour concurrencer Oracle RAC
Oracle Autonomous Transaction Processing : Oracle renforce sa base de données cloud autonome, avec un nouveau service de traitement transactionnel
Revenus cloud : les actionnaires d'Oracle lui reprochent d'avoir livré des communiqués trompeurs, un recours collectif se prépare contre la société
Amazon publie une préversion de Corretto, une distribution gratuite d'OpenJDK, qui devrait devenir la distribution par défaut sur Amazon Linux 2
Nous on s'est fait attaqué pour une histoire de licence qu'ils ont voulus arrangés a leur sauce et depuis ce jour la, les produits Oracles c'est fini !
Migration achevée : Amazon’s Consumer Business a déconnecté sa dernière base de données Oracle,
conformément à son calendrier
Amazon, qui au départ était spécialisé dans la distribution des produits divers en ligne, est aujourd’hui l’un des leaders du marché du cloud computing. Depuis quelques années, la société a travaillé pour préparer sa séparation des produits Oracle avec dans un premier temps une migration de ses bases de données Oracle vers sa propre technologie de bases de données. Il faut préciser qu'Amazon a développé des produits concurrents à l'instar de Redshift, Aurora et DynamoDB. En début novembre, le secteur de consommation d’Amazon a désactivé son entrepôt de données Oracle après avoir migré les données du secteur vers son infrastructure en nuage, notamment vers Redshift.
Les raisons d’abandon des produits d’Oracle par Amazon qui s’était toujours satisfait dans l’utilisation des produits Oracle sont de deux ordres. La première raison, Amazon considère que la technologie de base de données de son fournisseur n’est plus capable d’évoluer pour suivre l’élargissement des produits et services que la société offre à sa clientèle. La seconde raison s’explique par les frais de licence exorbitants qu’impose Oracle à ses clients et la technique de vente agressive adoptée par le spécialiste en base de données sur site.
Oracle a enregistré déjà des départs de clients à cause de ses tactiques de vente agressives, menaçant les clients de ses logiciels sur site avec des audits d'utilisation potentiellement coûteux et proposant fortement la migration vers sa solution cloud comme une panacée à leurs problèmes. Par ailleurs, d’après les résultats d’une étude réalisée en avril par Jefferies & Company, Oracle s’est fait surclasser sur le marché des infrastructures et plateformes en tant que services (IaaS / PaaS) par Amazon, le leader du marché du cloud, Microsoft et autres.
En réponse à la moquerie du PDG d’Oracle Corporation, Larry Ellison, qui visait ces efforts d'Amazon, Andy Jassy, directeur général d'Amazon Web Services, a déclaré en novembre : « Dans le dernier épisode de "oh oh, cause toujours Larry", le secteur de consommation d'Amazon a désactivé son entrepôt de données Oracle le 1er novembre et est passé à Redshift. D'ici fin 2018, Amazon cessera d'utiliser 88 % de ses bases de données Oracle (y compris 97 % de ses bases de données systèmes critiques) pour se tourner vers Aurora et DynamoDB ».
Calendrier respecté
Dans un entretien avec Jon Fortt de CNBC, Jassy a indiqué en novembre que « Nous avons pratiquement terminé d'abandonner Oracle du côté de la base de données ». Il a précisé qu'il pense que « fin 2019 ou mi-2019, nous aurons terminé ». Il a fallu attendre le mois d'octobre 2019 pour que Jeff Barr, Chief Evangelist for AWS, déclare : « Je suis heureux d'annoncer que cet effort de migration de base de données est maintenant terminé. L’activité grand public d’Amazon vient de désactiver sa dernière base de données Oracle (certaines applications tierces sont étroitement liées à Oracle et n’ont pas été migrées) ».
Plus de 100 équipes Amazon’s Consumer business ont participé à la migration. Cela inclut des marques et des sites réputés destinés aux clients, tels que Alexa, Amazon Prime, Amazon Prime Video, Amazon Fresh, Kindle, Amazon Music, Audible, Shopbop, Twitch et Zappos, ainsi que des équipes internes telles qu'AdTech, Amazon Fulfillment Technology, Consumer Payments, Customer Returns, Catalog Systems, Deliver Experience, Digital Devices, External Payments, Finance, InfoSec, Marketplace, Ordering, et Retail Systems.
Barr note que « Nous avons migré 75 pétaoctets de données internes stockées dans près de 7 500 bases de données Oracle vers plusieurs services de base de données AWS, notamment Amazon DynamoDB, Amazon Aurora, RDS (Amazon Relational Database Service) et Amazon Redshift. Les migrations ont été effectuées avec peu ou pas de temps d'arrêt et ont couvert 100 % de nos systèmes propriétaires. Cela inclut les charges de travail complexe d'achat, de gestion de catalogue, de traitement des commandes, de comptabilité et de diffusion vidéo en continu ».
Amazon a suivi les coûts et les performances et assure avoir obtenu les résultats suivants :
- Réduction des coûts : Amazon a réduit les coûts de ses bases de données de plus de 60 % en plus du taux fortement réduit que l'entreprise a négocié en fonction de sa taille. Les clients signalent régulièrement des économies de coûts de 90 % en passant d'Oracle à AWS.
- Amélioration des performances : la latence de ses applications destinées aux consommateurs a été réduite de 40 %.
- Frais généraux d'administration : le passage aux services gérés a réduit les frais généraux d'administration de la base de données de 70 %.
« La migration a donné à chaque équipe interne la liberté de choisir le service de base de données AWS sur mesure, qui répond le mieux à ses besoins, et de mieux contrôler son budget et son modèle de coûts. Les services à faible temps de latence ont été migrés vers DynamoDB et d'autres bases de données non relationnelles hautement évolutives telles que Amazon ElastiCache. Les charges de travail relationnelles transactionnelles avec des exigences élevées en matière de cohérence des données ont été transférées vers Aurora et RDS; les charges de travail analytiques ont été migrées vers Redshift, notre entrepôt de données dans le cloud ».
Amazon a même fait une petite vidéo pour enregistrer la fermeture de la dernière base de données Oracle et a célébré le moment :
Voici quelques exemples des migrations effectuées dans les équipes Amazon :
- Advertising : après la migration, cette équipe a été en mesure de doubler la taille de son parc de bases de données (et son débit) en quelques minutes afin de s'adapter au trafic de pointe, grâce à Amazon Relational Database Service (Amazon RDS), un effort d'intensification qui lui aurait pris des mois autrement. Amazon RDS vous permet d'installer, de gérer et de mettre à l'échelle facilement une base de données relationnelle dans le cloud. Ce service offre une capacité économique et ajustable ainsi qu'une automatisation des tâches administratives chronophages, telles que l'allocation de matériel, le paramétrage de bases de données, l'application de correctifs et les sauvegardes. Vous pouvez ainsi vous concentrer librement sur vos applications, afin de leur donner les performances rapides, la haute disponibilité, la sécurité et la compatibilité dont elles ont besoin.
- Buyer Fraud : cette équipe a déplacé 40 To de données en une heure d'indisponibilité et a obtenu des performances identiques, voire meilleures, à un coût deux fois moindre, générées par Amazon Aurora. Amazon Aurora est une base de données relationnelle compatible avec MySQL et PostgreSQL créée pour le cloud, qui associe les performances et la disponibilité des bases de données d’entreprises traditionnelles à la simplicité et à la rentabilité des bases de données open source.
- Financial Ledger : cette équipe a déplacé 120 To de données, réduit le temps de latence de 40 %, réduit les coûts de 70 % et réduit les frais généraux de 70 %, le tout alimenté par DynamoDB. Amazon DynamoDB est une base de données de clés-valeurs et de documents, offrant des performances de latence de l'ordre de quelques millisecondes, quelle que soit l'échelle. Il s'agit d'une base de données multirégion et multimaître et durable entièrement gérée avec un système intégré de sécurité, de sauvegarde, de restauration et de mise en cache en mémoire pour les applications à l'échelle d'Internet. DynamoDB peut traiter plus de 10 mille milliards de demandes par jour et prend en charge des pics de 20 millions de demandes par seconde.
- Wallet : cette équipe a migré plus de 10 milliards d'enregistrements vers DynamoDB, ce qui a permis de réduire le temps de latence de 50 % et les coûts opérationnels de 90 %.
Source : Amazon
Et vous ?
Que pensez-vous de cette décision d'Amazon ?
Que pensez-vous des choix techniques sur mesure pour les différents services ?
Voir aussi :
Amazon France répercute la « taxe Gafa » sur ses tarifs aux entreprises françaises comme il l'avait annoncé il y a quelques mois
Amazon présente Sidewalk, un nouveau protocole sans fil à longue portée pour vos appareils connectés, dans un contexte où l'entreprise a reconnu avoir collecté des données de dispositifs IdO
Jeff Bezos : Amazon est en train de rédiger ses propres lois sur la reconnaissance faciale pour les soumettre aux législateurs fédéraux, espérant qu'ils adopteront une grande partie de son projet
Amazon annonce sa nouvelle gamme d'appareils Echo disponible en précommande et prête la voix de l'acteur américain Samuel L. Jackson et d'autres célébrités à Alexa
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Ce qui m'ennuie c'est qui sont entrain d'entrainer Java dans leur chute.
Consultez mes articles sur l'accessibilité numérique :
Comment rendre son application SWING accessible aux non voyants
Créer des applications web accessibles à tous
YES WE CAN BLANCHE !!!
Rappelez-vous que Google est le plus grand aveugle d'Internet...
Plus c'est accessible pour nous, plus c'est accessible pour lui,
et meilleur sera votre score de référencement !
De toute façons, cela faisait un moment que Java était relativement obsolète face à .net qui a évité tous les travers et impasses de Java... Et comme MS, met de plus en plus de chose dans le libre et que Oracle fait exactement l'inverse, ceci va précipiter la chute de Java.....
A +
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"Tous les travers de Java", c'est déjà le troll du vendredi.
En même temps Java et .Net sont proches.
Et depuis Java 8 il n'est plus à la remorque de .Net, le pire était la version 5 qui copiait collait de nombreux éléments de .Net
Ce n'est pas un peu subjectif comme avis ?
A part ça c'est facile de passer de Java à .Net ?
Je me rensigne au cas où.
J'en ai fais très peu.
J'ai trouvé la syntaxe un peu plus concise.
Mais bon la force d'un langage ce sont ses frameworks, et j'en ai pas utilisé.
Je vais peut être retourner à PHP, si Java coule.
J'avais bien aimé faire du Synfony 2, et en plus depuis PHP 7 le modèle objet est plus rigoureux.
Mais j'ai du temps avant que le ciel me tombe sur la tête
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La question fondamentale étant :
.Net est-il aussi portable et multi-OS que Java ?
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Aide-toi et le forum t'aidera : Un problème exposé sans mentionner les tentatives de résolution infructueuses peut laisser supposer que le posteur attend qu'on fasse son travail à sa place... et ne donne pas envie d'y répondre.
En tout cas pour SqlServer sur Linux (pour avoir essayé), c'est bill murray qui en parle le mieux
Dommage, on se rabattra sur d'autres BDD Linux.
https://dotnet.microsoft.com/download
En d'autres termes il fonctionne sous Windows, Macos et Linux...
Il est aussi officiellement supporté sous Windows par Microsoft et sous Linux par Red hat, pour les entreprises qui veulent avoir du service.
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