IdentifiantMot de passe
Loading...
Mot de passe oublié ?Je m'inscris ! (gratuit)
Navigation

Inscrivez-vous gratuitement
pour pouvoir participer, suivre les réponses en temps réel, voter pour les messages, poser vos propres questions et recevoir la newsletter

Intelligence artificielle Discussion :

GitLab affirme que l'utilisation de l'IA pour le codage informatique est "inéluctable" et que cela va perdurer


Sujet :

Intelligence artificielle

  1. #1
    Chroniqueur Actualités
    Avatar de Bruno
    Homme Profil pro
    Rédacteur technique
    Inscrit en
    Mai 2019
    Messages
    1 856
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Cameroun

    Informations professionnelles :
    Activité : Rédacteur technique
    Secteur : High Tech - Produits et services télécom et Internet

    Informations forums :
    Inscription : Mai 2019
    Messages : 1 856
    Points : 36 470
    Points
    36 470
    Par défaut GitLab affirme que l'utilisation de l'IA pour le codage informatique est "inéluctable" et que cela va perdurer
    L'IA ne devrait pas détruire la plupart des emplois, mais les employés de bureau sont menacés,
    selon l'OIT

    L’Organisation internationale du Travail (OIT) montre que l’IA générative ne devrait pas éliminer la plupart des emplois, mais plutôt les rendre plus efficaces en prenant en charge certaines tâches répétitives ou fastidieuses. Cela pourrait libérer du temps et des ressources pour les travailleurs humains, qui pourraient se concentrer sur d’autres aspects de leur métier. Toutefois, l’étude met en garde contre les effets négatifs potentiels de l’IA sur certains secteurs et groupes de population. En particulier, les employés de bureau, qui effectuent souvent des tâches routinières ou basées sur des données, sont plus susceptibles d’être remplacés par l’IA que d’autres. Ce risque est plus élevé pour les femmes, qui occupent une grande partie de ces emplois, surtout dans les pays à revenu élevé.

    Chaque nouvelle vague de progrès technologique intensifie les débats sur l'automatisation et l'emploi. Les débats actuels sur l'intelligence artificielle (IA) et l'emploi rappellent ceux du début des années 1900, avec l'introduction de la chaîne de montage mobile, ou même ceux des années 1950 et 1960, qui ont suivi l'introduction des premiers ordinateurs centraux. S'il y a eu quelques clins d'œil à désaffection que la technologie peut apporter en standardisant et en contrôlant les processus de travail, dans la plupart des cas, les débats se sont centrés sur deux points de vue opposés : les optimistes, qui voient dans les nouvelles technologies le moyen de soulager les travailleurs des tâches les plus pénibles, et les pessimistes, qui s'alarment de la menace imminente qui pèse sur les emplois et du risque de chômage de masse.

    Selon l’OIT, seule la profession générale du travail de bureau est fortement exposée à la technologie, 24 % des tâches de bureau étant considérées comme très exposées et 58 % supplémentaires comme moyennement exposées. Pour les autres groupes professionnels, la part la plus importante des tâches réellement exposées oscille entre 1 et 4 %, et les tâches moyennement exposées ne dépassent pas 25 %. Par conséquent, l'impact le plus important de la technologie est probablement l'augmentation du travail - l'automatisation de certaines tâches au sein d'une profession tout en laissant du temps pour d'autres tâches - par opposition à l'automatisation complète des professions.

    Nom : Tgg2.jpg
Affichages : 1459
Taille : 40,4 Ko
    % de tâches à exposition élevée et moyenne dans toutes les tâches (CITP)


    L’étude suggère également que les secteurs liés à la création d’images, de textes, de sons, d’animations ou de modèles 3D sont plus exposés à l’automatisation que d’autres, car l’IA générative peut produire des contenus de qualité comparable ou supérieure à celle des humains. L’étude recommande donc de renforcer les compétences et la formation des travailleurs, ainsi que de mettre en place des politiques sociales et économiques adaptées pour atténuer les impacts négatifs de l’IA sur l’emploi et le bien-être.

    L'explosion de l'intérêt pour l'IA générative et ses applications de chatbot a suscité des craintes de destruction d'emplois, semblables à celles qui sont apparues lors de l'introduction de la chaîne de montage mobile au début des années 1900 et après les ordinateurs centraux dans les années 1950. Les conséquences potentielles de l’IA sur l'emploi, qu'il s'agisse d'augmentation ou d'automatisation, varient considérablement d'un pays à l'autre, en raison de structures professionnelles différentes. Dans les pays à faible revenu, seulement 0,4 % de l'emploi total est potentiellement exposé aux effets de l'automatisation, alors que dans les pays à revenu élevé, cette proportion s'élève à 5,5 %.

    Les conséquences sont très différenciées selon le sexe, la proportion de femmes potentiellement touchées par l'automatisation étant plus de deux fois supérieure à celle des hommes. L'impact le plus important est celui de l'augmentation, qui pourrait affecter 10,4 % de l'emploi dans les pays à faible revenu et 13,4 % de l'emploi dans les pays à revenu élevé. Toutefois, ces effets ne prennent pas en compte les contraintes d'infrastructure, qui entraveront la possibilité d'utilisation dans les pays à faible revenu et creuseront probablement l'écart de productivité.

    L’IA, entre opportunités et craintes pour les employeurs et les salariés français

    Plus de la moitié des employeurs français ont déclaré qu'ils n'utilisaient pas l'intelligence artificielle (IA) et qu'ils n'envisageaient pas de le faire à l'avenir, selon un sondage publié par l'agence française de recherche d'emploi Pôle Emploi. Parmi ceux qui n'utilisent pas l'IA, 78 % déclarent que leur activité est incompatible avec cette technologie.

    Un tiers des employeurs qui ne l'utilisent pas déclarent ne pas avoir les compétences nécessaires pour le faire, et près d'un sur trois n'en a pas les moyens financiers. Quelque 15 % des employeurs qui n'utilisent pas l'IA ont déclaré avoir peur de cette technologie. Par ailleurs, environ 35 % des employeurs ont déclaré qu'ils utilisaient déjà l'intelligence artificielle ou qu'ils étaient en train de la déployer sur le lieu de travail, selon un sondage réalisé par l'institut BVA pour le compte de l'agence gouvernementale.

    L'intelligence artificielle sera sans doute appelée à réaliser des tâches compliquées mais répétitives ou effectuées régulièrement, ce qui affectera évidemment les métiers qui comportent de telles tâches. Mais cette transformation n'est pas radicalement différente de la numérisation de l'économie, déjà ancienne, à laquelle les secteurs de la banque, des transports et de la santé se sont adaptés avec plus ou moins de bonheur en modifiant le contenu des emplois, en formant les travailleurs et en développant de nouvelles activités.

    Les salariés ont également développé depuis longtemps leurs compétences en réponse à la robotisation, en particulier dans les secteurs industriels, ce qui peut garantir leur maintien dans l'emploi si cela assure la croissance de l'activité d'une entreprise ou d'un secteur. En témoigne la robotisation avancée de l'industrie automobile allemande : en 2016, bien qu'elle soit l'une des industries les plus robotisées au monde, elle comptait plus de 800 000 salariés, soit 100 000 de plus qu'il y a vingt ans, contre 440 000 en France.

    Les 800 000 personnes qui exercent le métier de chauffeur en France risquent de voir leur travail changer radicalement avec le développement de l'utilisation des véhicules autonomes. La transformation ne sera pas forcément brutale, mais conduira à orienter le contenu du travail vers des tâches de supervision et d'accueil, ou des tâches que les machines sont incapables de gérer (comme trouver la sonnette, pour un livreur).

    « l'IA a aidé les travailleurs hautement qualifiés à accomplir leur travail plutôt que de les remplacer », indique OECD. Mais les effets sur l'emploi pourraient prendre du temps à se matérialiser. Jusqu'à présent, il n'y a guère de preuves d'une diminution de la demande de main-d'œuvre due à l'IA. Les professions hautement qualifiées ont été les plus exposées aux progrès récents de l'IA, mais elles ont également connu des gains d'emploi par rapport aux travailleurs moins qualifiés. Toutefois, l'adoption de l'IA est encore relativement faible et la technologie évolue rapidement, notamment grâce aux progrès récents de l'IA générative. Tout effet négatif sur l'emploi pourrait donc prendre du temps à se matérialiser.

    • L'IA semble compléter les compétences des professions plus exposées et hautement qualifiées. Si l'on considère l'ensemble des technologies d'automatisation, y compris l'IA, les professions les plus exposées au risque d'automatisation sont généralement moins qualifiées et occupées par des travailleurs plus jeunes. En France, 27,4 % des emplois se situent dans des professions présentant le risque d'automatisation le plus élevé, ce qui est très proche de la moyenne de l'OCDE (27 %) ;
    • En 2022, le Conseil d'État a publié une déclaration officielle préconisant l'utilisation de l'IA pour améliorer les services publics. Cette déclaration reconnaît l'importance des ressources humaines et techniques pour mettre en œuvre l'IA dans le secteur public et déclare que la formation des gestionnaires publics est une priorité, de même que le recrutement d'experts en données.

    Nom : tgg3.jpg
Affichages : 1315
Taille : 66,7 Ko

    La figure montre les parts d'emploi des professions présentant le risque le plus élevé, c'est-à-dire les professions du quartile supérieur classées selon leur indice d'automatisation. Les résultats sont basés sur une enquête menée auprès d'experts qui ont évalué le degré d'automatisation de 98 compétences et aptitudes. La mesure du risque d'automatisation est ensuite calculée par profession comme la note moyenne pour chaque compétence ou capacité utilisée dans la profession dans toutes les réponses des experts, pondérée par l'importance des compétences ou des capacités dans la profession telle qu'elle est évaluée par O*NET.

    Comment l’IA transforme le travail cognitif et suscite des craintes pour l’emploi

    Ce qui a changé dans les débats sur la technologie et les travailleurs, c'est le type de travailleurs concernés. Alors que les avancées technologiques du début, du milieu et même de la fin du siècle dernier étaient principalement axées sur les travailleurs manuels, le développement technologique depuis les années 2010, en particulier les progrès rapides de l'apprentissage automatique, est centré sur la capacité des ordinateurs à effectuer des tâches cognitives non routinières et, par conséquent, à affecter potentiellement les cols blancs ou les travailleurs du savoir.

    En outre, ces avancées technologiques se sont produites dans le contexte d'une interconnexion beaucoup plus forte des économies à travers le monde, conduisant à une exposition potentiellement plus importante que les applications basées sur la localisation, au niveau de l'usine. Pourtant, malgré ces développements, pour un travailleur moyen, même dans les pays les plus développés, les implications potentielles de l'IA sont restées, jusqu'à récemment, largement abstraites.

    Le lancement de ChatGPT a marqué une avancée importante dans l'exposition du public aux outils d'IA. Dans cette nouvelle vague de transformation technologique, les modèles d'apprentissage automatique ont commencé à quitter les laboratoires et à interagir avec le public, démontrant leurs forces et leurs faiblesses dans leur utilisation quotidienne. La fonction de chat a considérablement réduit la distance entre l'IA et l'utilisateur final, tout en fournissant une plateforme pour un large éventail d'applications et d'innovations personnalisées. Compte tenu de ces avancées significatives, il n'est pas surprenant que les inquiétudes concernant les pertes d'emploi potentielles aient refait surface.

    L’IA générative, une technologie à usage général aux impacts multiples sur l’emploi

    Bien qu'il soit impossible de prédire l'évolution de l'IA générative, les capacités actuelles et le potentiel futur de cette technologie sont au cœur des discussions sur son impact sur l'emploi. Les sceptiques ont tendance à croire que ces machines ne sont rien de plus que de puissants résumeurs de texte, incapables d' « apprendre » et de produire un contenu original, avec peu d'avenir pour une utilisation générale et des coûts informatiques insoutenables.

    D'un autre côté, la littérature technique plus récente axée sur l'essai des limites des derniers modèles suggère une capacité croissante à effectuer « des tâches nouvelles et difficiles qui couvrent les mathématiques, le codage, la vision, la médecine, le droit, la psychologie et plus encore », ainsi qu'une capacité générale à produire des réponses présentant certaines formes de « raisonnement » précoce.

    Certaines évaluations vont jusqu'à suggérer que les modèles d'apprentissage automatique, en particulier ceux basés sur les grands réseaux neuronaux utilisés par les transformateurs génératifs pré-entraînés (GPT, voir encadré 1), pourraient avoir le potentiel de devenir à terme une technologie à usage général. Cela aurait des effets multiplicateurs sur l'économie et les marchés du travail, étant donné que de nouveaux produits et services naîtraient probablement de cette plateforme technologique.

    Les grands modèles de langage (LLM) peuvent être combinés avec d'autres modèles de traitement du langage naturel, tels que la génération de texte à partir de la parole, ce qui permet d'étendre leur interaction avec différents types de tâches humaines. Enfin, le potentiel d'interaction avec le contenu web par le biais d'agents personnalisés et de plugins, ainsi que le caractère multimodal (non exclusif au texte, mais également capable de lire et de générer des images) du GPT-4 font qu'il est probable que ce type de technologie s'étende à de nouveaux domaines, augmentant ainsi son impact sur le travail.

    Sources : OIT, OECD

    Et vous ?

    Êtes-vous d’accord avec l’OIT qui affirme que l’IA ne devrait pas supprimer la majorité des emplois, mais qu’elle met en danger les employés de bureau ?

    À votre avis, quelles sont les raisons qui expliquent le faible recours à l’IA par les employeurs français, et comment les inciter à adopter cette technologie ?

    Quels sont selon vous, les secteurs, les métiers et les compétences les plus susceptibles d’être affectés par l’IA générative, et comment anticiper et accompagner ces changements ?

    Quels peuvent être les scénarios possibles pour l’avenir de l’IA générative, et quels sont les facteurs clés qui influenceront son évolution ?

    Voir aussi :

    40 % des travailleurs devront se reconvertir au cours des trois prochaines années en raison de l'IA, selon une étude d'IBM

    L'IA générative est au sommet des attentes exagérées en matière de technologie des revenus et des ventes, selon Gartner

    55 % des organisations ayant déployé l'IA adoptent une stratégie "AI-First" avec de nouveaux cas d'utilisation

    « L'intelligence artificielle est un raz-de marée aussi important qu'Internet », d'après le PDG de Microsoft, qui ravive les craintes sur la possible mise au rebut des développeurs humains
    Contribuez au club : corrections, suggestions, critiques, ... Contactez le service news et Rédigez des actualités

  2. #2
    Membre régulier
    Homme Profil pro
    Développeur Back-End
    Inscrit en
    Août 2021
    Messages
    41
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 51
    Localisation : France, Nord (Nord Pas de Calais)

    Informations professionnelles :
    Activité : Développeur Back-End
    Secteur : Industrie

    Informations forums :
    Inscription : Août 2021
    Messages : 41
    Points : 93
    Points
    93
    Par défaut
    "les employés de bureau sont menacés",
    employés de bureau : c'est vaste comme catégorie !

  3. #3
    Chroniqueur Actualités
    Avatar de Patrick Ruiz
    Homme Profil pro
    Redacteur web
    Inscrit en
    Février 2017
    Messages
    1 843
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Cameroun

    Informations professionnelles :
    Activité : Redacteur web
    Secteur : Communication - Médias

    Informations forums :
    Inscription : Février 2017
    Messages : 1 843
    Points : 51 507
    Points
    51 507
    Par défaut L'OIT liste les programmeurs d'applications parmi les professionnels les plus menacés par l'IA
    Environ 21 millions d'emplois occupés par des femmes et 9 millions d'emplois occupés par des hommes pourraient être remplacés par l'IA, selon l’OIT
    Qui liste les programmeurs parmi les cibles

    Environ 21 millions d’emplois occupés par des femmes et 9 millions d’emplois occupés par des hommes sont susceptibles d’être remplacés par l’intelligence artificielle. C’est ce qui ressort d’un récent rapport de l’Organisation Internationale du Travail. Ce dernier précise pour ce qui est de la filière des technologies de l’information les programmeurs d’applications font partie des professions menacées par l’automatisation. Ces données paraissent dans un contexte où certains acteurs prédisent que l’intelligence artificielle mettra au rebut tous les programmeurs humains dans quelques années. Une perspective au centre d’un débat car certains sont d’avis que l’humain gardera la main sur la filière.

    Dans les pays à revenu élevé, 7,8 % des emplois occupés par des femmes sont susceptibles d'être automatisés, ce qui, selon l'OIT, représente environ 21 millions d'emplois. En revanche, 2,9 % des emplois masculins dans les pays à haut revenu - soit environ 9 millions d'emplois - sont susceptibles d'être automatisés.

    Nom : 1.png
Affichages : 1471
Taille : 257,1 Ko

    Le rapport liste les programmeurs d’applications parmi les professionnels les plus susceptibles d’être remplacés par l’intelligence artificielle.

    Nom : 2.png
Affichages : 1339
Taille : 168,8 Ko


    ChatGPT a réussi à l’édition 2022 de l’examen d’informatique pour élèves du secondaire désireux d’obtenir des crédits universitaires US. Un internaute a proposé une compilation des réponses proposées par le chatbot après avoir souligné que l’intelligence artificielle a pris 32 points sur les 36 possibles. ChatGPT a en sus réussi l’examen de codage Google pour un ingénieur de niveau 3 avec un salaire de 183 000 $. Ce sont des raisons pour lesquelles certains observateurs sont d’avis que les travailleurs de la filière du développement informatique sont menacés par l’intelligence artificielle. Emad Mostaque, PDG de Stability AI en fait partie et prédit qu’il n’y aura plus de programmeurs dans 5 ans.

    « C’est un fait : 41 % de tout le code informatique sur GitHub est généré par une intelligence artificielle. ChatGPT est déjà capable de passer un examen de codage pour ingénieur de niveau 3 », souligne Emad Mostaque avant d’ajouter « qu’il n’y aura pas de programmeurs humains dans 5 ans. »

    « N’importe qui pourra créer des jeux vidéo grâce à l’IA », selon le propriétaire de la forge FRVR. De quoi penser qu’on n’aura plus besoin de programmeurs et même des développeurs ?

    Le propriétaire de la plateforme de distribution de jeux vidéo FRVR déclare sans détour : « Tout le monde peut créer des jeux vidéo. » Illustration avec l’échantillon de jeu Space Aliens à propos duquel il déclare dans un débat contradictoire : « Il n’a fallu que 8 minutes pour le réaliser et 8 minutes supplémentaires pour la gestion du côté artistique. »


    Ce type de production s’appuie sur la forge FRVR à propos de laquelle le propriétaire déclare : « Elle permet à quiconque de créer des jeux juste en les décrivant. L’objectif est de mettre sur pied une plateforme où créer, jouer et partager des jeux est aussi facile que d'enregistrer, de regarder et de partager des vidéos sur des plateformes telles que TikTok et Instagram. » Une démonstration (d’une dizaine de minutes) des possibilités offertes par la plateforme est disponible. Elle montre les étapes de l’implémentation d’un jeu de tir spatial en s’appuyant sur ladite forge.


    La publication du propriétaire de la plateforme FRVR arrive dans un contexte où certains acteurs de la filière du développement informatique voient le low code et le no code remplacer le codage traditionnel d’ici 2024. C’est ce qui ressort d’une récente étude de Mendix, un éditeur de solutions low-code. Dans les chiffres du sondage, 87 % d’un lot de 556 entreprises répondantes, basées aux USA, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en France et en Allemagne, envisagent d’accélérer le rythme de leur développement logiciel en s’appuyant sur les outils low-code au cours des prochaines années.

    Les tendances mises en avant ravivent le débat sur l’avenir du métier de développeur. En effet, qui dit low-code dit entrée en matière croissante de développeurs citoyens, c’est-à-dire de tiers qui ne sont pas des spécialistes de l’informatique au détriment de ceux qui le sont. Et donc une tendance similaire à celle que soutient le propriétaire de la plateforme FRVR.

    Le CEO de GitHUb est pour sa part d’avis que l’humain restera l’expert qui contrôle les productions de l’intelligence artificielle

    Le CEO de GitHub a déclaré lors d’un récent entretien que ce n’est qu’une question de temps avant que l’intelligence artificielle Copilot n’écrive 80 % du code informatique. Sa sortie de nature à être interprétée comme une annonce de la possible disparition du métier de développeur s’est avérée être une occasion de faire un recadrage : « Cela ne veut pas dire que le développeur sera mis de côté. »

    Le CEO de GitHub se veut clair sur le rapport entre les développeurs et l’intelligence artificielle pour ce qui est des possibles évolutions dans la filière : « Le développeur reste l'expert, qui comprend le code et vérifie que ce qui a été synthétisé par l'IA correspond bien à l'intention du développeur. »

    « De nos jours, les développeurs ne passent pas la majeure partie de leur temps à coder - entre deux et quatre heures par jour sont consacrées à l'écriture du code. Le reste de la journée, ils font d'autres choses, comme des réunions, des rapports de crash. Avec Copilot, si vous ne disposez que de deux à quatre heures par jour pour coder, vous pouvez mieux utiliser ce temps. Vous pouvez utiliser ce temps pour rester dans le flux, pour faire le travail et prendre plaisir à le faire », ajoute-t-il pour ce qui est de la charge de travail journalière.

    Les grandes entreprises technologiques multiplient néanmoins des efforts susceptibles de provoquer la disparition du métier de développeur dans le futur

    « ChatGPT et autres GitHub Copilot donnent juste un aperçu introductif de ce que la filière informatique sera dans l’avenir », déclare Matt Welsh – CEO et cofondateur de la startup IA Fixie.ai.

    « Les assistants de programmation tels que CoPilot ne font qu'effleurer la surface de ce que je décris. Il me semble tout à fait évident qu'à l'avenir, tous les programmes seront écrits par des intelligences artificielles, les humains étant relégués, au mieux, à un rôle de supervision. Quiconque doute de cette prédiction n'a qu'à regarder les progrès très rapides réalisés dans d'autres aspects de la génération de contenu par l'intelligence artificielle, comme la génération d'images. La différence de qualité et de complexité entre DALL-E v1 et DALL-E v2 - annoncée seulement 15 mois plus tard - est stupéfiante. Si j'ai appris quelque chose au cours de ces dernières années à travailler dans le domaine de l'IA, c'est qu'il est très facile de sous-estimer la puissance de modèles d'IA de plus en plus grands. Des choses qui semblaient relever de la science-fiction il y a seulement quelques mois deviennent rapidement réalité.

    Je ne parle pas seulement du fait que CoPilot de Github de remplacer les programmeurs. Je parle de remplacer le concept même d'écriture de programmes par des agents d’intelligence artificielle dédiés. À l'avenir, les étudiants en informatique n'auront pas besoin d'apprendre des compétences aussi banales que l'ajout d'un nœud à un arbre binaire ou le codage en C++. Ce type d'enseignement sera dépassé, comme celui qui consiste à apprendre aux étudiants en ingénierie à utiliser une règle à calcul », prédit-il.


    Lorsqu’on parle d’intelligence artificielle, deux grands courants de pensée s’affrontent : celui des tiers qui pensent qu’il s’agit d’un outil, ce, sans plus et celui des intervenants et observateurs qui sont d’avis que ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle ne devienne une menace pour la race humaine. Matt Welsh fait partie du deuxième groupe auquel les critiques du second fixent une limite : l’atteinte par les équipes de recherches d’une intelligence artificielle de niveau humain. En effet, le plus grand débat tourne autour de la possibilité de voir les machines rendues à ce stade où elles sont dotées de « bon sens », capables de réflexion causale, c’est-à-dire de cette capacité à raisonner sur « le pourquoi les choses se produisent. »

    Google par exemple est lancé en secret sur le développement de Pitchfork, ou AI Developer Assistance. C’est un outil qui utilise l'apprentissage automatique pour apprendre au code à s'écrire et se réécrire lui-même. Comment ? En apprenant des styles correspondant à des langages de programmation, et en appliquant ces connaissances pour écrire de nouvelles lignes de code.

    L’intention initiale derrière ce projet était de créer une plateforme capable de mettre automatiquement à jour la base de code Python chaque fois qu'une nouvelle version était publiée, sans nécessiter l'intervention ou l'embauche d'un grand nombre d'ingénieurs. Cependant, le potentiel du programme s'est avéré beaucoup plus important que prévu. Désormais, l'intention est de donner vie à un système polyvalent capable de maintenir un standard de qualité dans le code, mais sans dépendre de l'intervention humaine dans les tâches de développement et de mise à jour. Un tel objectif pourrait ne plus relever de la science-fiction lorsqu’on sait que des équipes de recherche en intelligence artificielle promettent déjà l’atteinte du stade d’intelligence artificielle générale dans 5 à 10 ans.

    Source : OIT

    Et vous ?

    Êtes-vous d’accord avec les avis selon lesquels ce n’est qu’une question de temps avant que l’intelligence artificielle ne s’accapare tous les postes de développeur informatique ?
    Ou êtes-vous en phase avec l’avis du CEO de GitHub selon lequel « Le développeur reste l'expert, qui comprend le code et vérifie que ce qui a été synthétisé par l'IA correspond bien à l'intention du développeur », ce, même après l’atteinte du stade d’IA de niveau humain ?
    Quelles évolutions du métier de développeur entrevoyez-vous dans les 5 à 10 prochaines années au vu de l'adoption de l'intelligence artificielle dans la filière ?
    Tout le monde pourra-t-il bientôt créer des jeux vidéo en s’appuyant sur l’intelligence artificielle ? Est-ce possible ?
    Les compétences artistiques ou en matière de codage informatique deviendront-elles inutiles ?
    Que pensez-vous des projets comme celui de la forge FRVR ? Partagez-vous les avis selon lesquels ce type d’initiatives n’est qu’un aperçu de ce que l’intelligence artificielle permettra de réaliser dans plusieurs années mettant ainsi en danger les postes de développeur informatique ?

    Voir aussi :

    La conduite autonome serait-elle à ce jour qu'une vision futuriste chez Tesla Motors ? L'entreprise vient de changer les objectifs de son Autopilot
    La SEC demande à Musk de renoncer à son poste de président de Tesla et exige une amende de 40 millions $ US pour un règlement à l'amiable
    Tesla annonce que le nouvel ordinateur pour une conduite entièrement autonome de ses véhicules est en production et fera ses preuves ce mois-ci
    Les actions Tesla chutent après que son système d'autopilote est impliqué dans un accident et l'annonce des batteries de ses véhicules prenant feu
    Contribuez au club : Corrections, suggestions, critiques, ... : Contactez le service news et Rédigez des actualités

  4. #4
    Chroniqueur Actualités
    Avatar de Patrick Ruiz
    Homme Profil pro
    Redacteur web
    Inscrit en
    Février 2017
    Messages
    1 843
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Cameroun

    Informations professionnelles :
    Activité : Redacteur web
    Secteur : Communication - Médias

    Informations forums :
    Inscription : Février 2017
    Messages : 1 843
    Points : 51 507
    Points
    51 507
    Par défaut L’IA va-t-elle remplacer les employés du domaine du génie logiciel ? Oui, selon un récent rapport de l’OIT
    L’IA va-t-elle remplacer les employés du domaine du génie logiciel ? Oui, selon un récent rapport de l’OIT
    Qui liste les programmeurs parmi les professionnels les plus en danger

    Environ 21 millions d’emplois occupés par des femmes et 9 millions d’emplois occupés par des hommes sont susceptibles d’être remplacés par l’intelligence artificielle. C’est ce qui ressort d’un récent rapport de l’Organisation Internationale du Travail. Ce dernier précise pour ce qui est de la filière des technologies de l’information les programmeurs d’applications font partie des professions menacées par l’automatisation. Ces données paraissent dans un contexte où certains acteurs prédisent que l’intelligence artificielle mettra au rebut tous les programmeurs humains dans quelques années. Une perspective au centre d’un débat car certains sont d’avis que l’humain gardera la main sur la filière.

    Dans les pays à revenu élevé, 7,8 % des emplois occupés par des femmes sont susceptibles d'être automatisés, ce qui, selon l'OIT, représente environ 21 millions d'emplois. En revanche, 2,9 % des emplois masculins dans les pays à haut revenu - soit environ 9 millions d'emplois - sont susceptibles d'être automatisés.

    Nom : 1.png
Affichages : 23616
Taille : 257,1 Ko

    Le rapport liste les programmeurs d’applications parmi les professionnels les plus susceptibles d’être remplacés par l’intelligence artificielle.

    Nom : 2.png
Affichages : 4890
Taille : 168,8 Ko

    ChatGPT a réussi à l’édition 2022 de l’examen d’informatique pour élèves du secondaire désireux d’obtenir des crédits universitaires US. Un internaute a proposé une compilation des réponses proposées par le chatbot après avoir souligné que l’intelligence artificielle a pris 32 points sur les 36 possibles. ChatGPT a en sus réussi l’examen de codage Google pour un ingénieur de niveau 3 avec un salaire de 183 000 $. Ce sont des raisons pour lesquelles certains observateurs sont d’avis que les travailleurs de la filière du développement informatique sont menacés par l’intelligence artificielle. Emad Mostaque, PDG de Stability AI en fait partie et prédit qu’il n’y aura plus de programmeurs dans 5 ans.

    « C’est un fait : 41 % de tout le code informatique sur GitHub est généré par une intelligence artificielle. ChatGPT est déjà capable de passer un examen de codage pour ingénieur de niveau 3 », souligne Emad Mostaque avant d’ajouter « qu’il n’y aura pas de programmeurs humains dans 5 ans. »

    « N’importe qui pourra créer des jeux vidéo grâce à l’IA », selon le propriétaire de la forge FRVR. De quoi penser qu’on n’aura plus besoin de programmeurs et même des développeurs ?

    Le propriétaire de la plateforme de distribution de jeux vidéo FRVR déclare sans détour : « Tout le monde peut créer des jeux vidéo. » Illustration avec l’échantillon de jeu Space Aliens à propos duquel il déclare dans un débat contradictoire : « Il n’a fallu que 8 minutes pour le réaliser et 8 minutes supplémentaires pour la gestion du côté artistique. »


    Ce type de production s’appuie sur la forge FRVR à propos de laquelle le propriétaire déclare : « Elle permet à quiconque de créer des jeux juste en les décrivant. L’objectif est de mettre sur pied une plateforme où créer, jouer et partager des jeux est aussi facile que d'enregistrer, de regarder et de partager des vidéos sur des plateformes telles que TikTok et Instagram. » Une démonstration (d’une dizaine de minutes) des possibilités offertes par la plateforme est disponible. Elle montre les étapes de l’implémentation d’un jeu de tir spatial en s’appuyant sur ladite forge.


    La publication du propriétaire de la plateforme FRVR arrive dans un contexte où certains acteurs de la filière du développement informatique voient le low code et le no code remplacer le codage traditionnel d’ici 2024. C’est ce qui ressort d’une récente étude de Mendix, un éditeur de solutions low-code. Dans les chiffres du sondage, 87 % d’un lot de 556 entreprises répondantes, basées aux USA, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en France et en Allemagne, envisagent d’accélérer le rythme de leur développement logiciel en s’appuyant sur les outils low-code au cours des prochaines années.

    Les tendances mises en avant ravivent le débat sur l’avenir du métier de développeur. En effet, qui dit low-code dit entrée en matière croissante de développeurs citoyens, c’est-à-dire de tiers qui ne sont pas des spécialistes de l’informatique au détriment de ceux qui le sont. Et donc une tendance similaire à celle que soutient le propriétaire de la plateforme FRVR.

    Les humains devraient néanmoins garder la main sur la filière pour un bon moment

    La réalité actuelle est que ces intelligences artificielles sont encore au stade d’outils à utiliser avec des pincettes. Même Google le confirme lors de l’annonce selon laquelle son IA Bard peut désormais aider à coder et à créer des fonctions pour Google Sheets : « Bard est encore au stade expérimental et peut parfois fournir des informations inexactes, trompeuses ou fausses tout en les présentant avec assurance. En ce qui concerne le codage, Bard peut vous générer du code qui ne produit pas le résultat escompté, ou vous fournir un code qui n'est pas optimal ou incomplet. Vérifiez toujours les réponses de Bard et testez et examinez soigneusement le code pour détecter les erreurs, les bogues et les vulnérabilités avant de vous y fier. »

    « Chatgpt est très doué pour fournir des astuces de codage en utilisant du code copié sur Internet, ce qui est incroyablement utile car cela peut faire gagner beaucoup de temps. Mais vous ne pouvez pas demander à Chatgpt de créer YouTube pour vous, de gérer et d'entretenir un système déjà opérationnel ou de parler à un client, de comprendre ses besoins et de construire un système qui résoudra ses problèmes. Pour obtenir de l'aide dans ces tâches complexes, vous devez comprendre le fonctionnement de ces systèmes. Vous devez être un ingénieur logiciel et chatgpt sera un excellent assistant pour vous. Mais il est loin de pouvoir résoudre ces problèmes. Et si c'était le cas, il s'agirait d'une intelligence artificielle générale qui ne remplacerait pas uniquement les ingénieurs en informatique. Mais il s'agit d'un modèle de langage. Ce n'est pas une source de sagesse. La résolution de problèmes, la pensée critique, l'originalité sont toujours du ressort des humains », déclare le créateur de la plateforme en ligne d’apprentissage dénommée Brilliant.


    Le fait est que ces outils génèrent un code informatique peu sûr. Par exemple avec cette invite de codage en langage C :

    Code C : Sélectionner tout - Visualiser dans une fenêtre à part
    1
    2
    3
    4
    5
    /generate 3 random floats  
    float a = (float)rand() / (float)RAND_MAX  
    float b = (float)rand() / (float)RAND_MAX  
    float c = (float)rand() / (float)RAND_MAX  
    //convert to string

    GitHub Copilot a produit le résultat suivant :

    Code C : Sélectionner tout - Visualiser dans une fenêtre à part
    1
    2
    3
    4
    char str_a[20], str_b[20], str_c[20];  
    sprintf(str_a, ”%f”, a);  
    sprintf(str_b, ”%f”, b);  
    sprintf(str_c, ”%f”, c);

    Problème : les 20 octets réservés à chacun des flottants ne seront pas toujours suffisants pour contenir la valeur sous forme de chaîne, ce qui entraînerait un dépassement de tampon. Il est peu probable que ce scénario soit exploitable d'un point de vue pratique - il se terminera probablement par un crash - mais il est révélateur du type d'erreurs que Copilot peut commettre. L'on suppose que quelqu'un de très intelligent pourrait peut-être prédire, diriger ou tirer avantage des valeurs aléatoires pour parvenir à une exploitation.

    Cela est dû au fait que les flottants, lorsqu'ils sont imprimés par %f, peuvent avoir jusqu'à 317 caractères - ce qui signifie que ces tampons de caractères doivent avoir au moins 318 caractères (pour inclure l'espace pour le caractère de terminaison nul). Pourtant, chaque tampon ne fait que 20 caractères, ce qui signifie que sprintf peut écrire au-delà de la fin du tampon.

    C’est la raison pour laquelle des acteurs de la filière comme le CEO de GitHub sont d’avis que « le développeur humain restera l’expert qui comprend le code et vérifie que ce qui a été synthétisé par l’IA correspond bien à son intention. »

    Et vous ?

    Êtes-vous d’accord avec les avis selon lesquels ce n’est qu’une question de temps avant que l’intelligence artificielle ne s’accapare tous les postes de développeur informatique ?
    Ou êtes-vous en phase avec les avis selon lesquels « Le développeur reste l'expert, qui comprend le code et vérifie que ce qui a été synthétisé par l'IA correspond bien à l'intention du développeur » ?
    Quelles évolutions du métier de développeur entrevoyez-vous dans les 5 à 10 prochaines années au vu de l'adoption de l'intelligence artificielle dans la filière ?

    Voir aussi :

    La conduite autonome serait-elle à ce jour qu'une vision futuriste chez Tesla Motors ? L'entreprise vient de changer les objectifs de son Autopilot
    La SEC demande à Musk de renoncer à son poste de président de Tesla et exige une amende de 40 millions $ US pour un règlement à l'amiable
    Tesla annonce que le nouvel ordinateur pour une conduite entièrement autonome de ses véhicules est en production et fera ses preuves ce mois-ci
    Les actions Tesla chutent après que son système d'autopilote est impliqué dans un accident et l'annonce des batteries de ses véhicules prenant feu
    Contribuez au club : Corrections, suggestions, critiques, ... : Contactez le service news et Rédigez des actualités

  5. #5
    Expert confirmé

    Homme Profil pro
    .
    Inscrit en
    Octobre 2019
    Messages
    1 428
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 41
    Localisation : France, Aube (Champagne Ardenne)

    Informations professionnelles :
    Activité : .
    Secteur : Conseil

    Informations forums :
    Inscription : Octobre 2019
    Messages : 1 428
    Points : 5 631
    Points
    5 631
    Par défaut
    plutôt de dire l'ia va remplacer les développeurs ou autres métiers de bureaux, l'ia va réduire le besoin en métier de bureaux.

    pour coder une app, il ne sera plus nécessaire d'avoir une équipe de 10 personnes mais de 6-7 personnes par exemple.


    cela va néanmoins dans la direction d'un gros dumping social, ce sont les métiers les mieux payé (les cadres) qui vont se faire démolir.
    et cela va l'opposé de la vision de l'ia et des robots qu'on nous a vendu, que ca devait supprimer les métiers pénibles et difficile et mal payé, au contraire il ne restera que ces métiers la


    cela dit, la crise économique actuel nous montre le revers de la médaille envers les patrons, les ventes de smartphones se sont effondrés par exemple, l'immobilier est en crise dans plains de pays, en Europe, en france et aussi et surtout en chine....
    tous ce qui n'est pas indispensable, les gens ne consomme plus/beaucoup moins.

    si les cadres sont demain au chômage, c'est la clientèle d'Apple par exemple qui va disparaitre, la clientèle de Renaud, de Peugeot, de air France, de la sncf.... toutes les industries non dispensable et qui coute "cher", un iphone, une voiture neuve, des vacances en avions...etc.
    les artisans qui vendent des produits locaux, le poissonnier, le boucher,...etc...

    car oui je c'est pas le smicard éboueur qui va acheter sa viande chez le boucher ou le dernier Fairphone ou la nouvelle Peugeot 208.
    et qui va aller en vacances à la réunion avec air france.
    les cadres sont aujourd'hui la classe moyenne, c'est elle qui tire l'économie vers le haut en consommant.

    vous pouvez me répondre c'est bon pour l'écologie tous ca.... oui mais avec le système économique actuel, tous le monde va beaucoup y perdre, les particuliers en confort de vie et les entreprises qui n'auront plus de clients et vont fermer.
    les entreprises ne vont plus innover, ne vont plus envoyer de satellites dans lespace, donc la aussi c'est tous le programme ariane qui va s'effondrer car plus de client, donc en France on perdra toute l'industrie aéronautique et aérospatial...etc.

    les restaurateurs et les cinémas...etc.
    et oui la aussi les cantines et resto le midi sont occupé par les cadres essentiellement, le soir c'est les classes moyennes qui vont au resto en famille.
    bref c'est une réaction en chaine qui n'est pas bonne

    tous ce qui va rester c'est les industries vendant de la merde pas cher, de la bouffe industriel pas cher de mauvaise qualité, du made in india (la chine c'est trop cher) qui se casse au bout de 1 semaines

  6. #6
    Membre extrêmement actif
    Homme Profil pro
    Développeur informatique
    Inscrit en
    Octobre 2017
    Messages
    1 791
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Suisse

    Informations professionnelles :
    Activité : Développeur informatique

    Informations forums :
    Inscription : Octobre 2017
    Messages : 1 791
    Points : 5 758
    Points
    5 758
    Par défaut
    l'IA va donc être responsable de la disparition de 30 millions de places de travail dans les pays à haut revenu?

    C'est quoi un pays à haut revenu? Limitons nous aux 27 membres de l'Union Européenne, la Roumanie et la Bulgarie qui ont un salaire moyen de 700 euro/mois, est-ce des pays à haut revenu ou non? Les médiateurs de réseaux sociaux employés par les leaders du numérique en Éthiopie ou au Kenya ne perdront pas leur emploi?

    La même OIT à l'origine de ce rapport estime le nombre de travailleurs dans le monde à... 3,3 milliards d'individus.

    30 millions au niveau mondial? Autant dire que l'IA n'aura pas plus d'influence sur l'emploi que le foulage de doigt en tapant sur un clavier.

    Soit l'IA est un tueur d'emploi et l'OIT minimise les conséquences à venir, soit l'IA n'est qu'un phénomène médiatique qui n'aura aucune influence sur la société en général et il n'y a pas lieu de faire tout le tapage médiatique que l'on fait sur l'IA...

    L'avenir nous le dira mais une chose est sûre...Ce chiffre sort d'un chapeau et n'a pas la moindre chance de correspondre à la réalité future¨

  7. #7
    Membre averti
    Profil pro
    Inscrit en
    Février 2010
    Messages
    267
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Localisation : France

    Informations forums :
    Inscription : Février 2010
    Messages : 267
    Points : 367
    Points
    367
    Par défaut Qui croit l'OIT?
    l'IA souffre d'hallucination et a besoin d'être reprise . Même les développeurs existeront toujours avec les 30 langages de ces dernières années, les full stacks étant rares... ahhahh Surtout quand l'IA est basée sur une méthode des scores et n'intègre pas le sens commun. Le sens commun étant un esprit inductif sur les diverses conséquences des faits avec du modèle checking.
    Bref aujourd'hui la structure de l'IA ne permet pas de substituer tous les métiers de bureau, sachant que les soit disant nouveaux métiers ont été dépassés par l'évolution des métiers traditionnels.
    l'IA est adaptée à des comportements linéaires mais pas des choses exceptionnelles .
    Bref l'OIT fantasme comme les investisseurs . On voit cependant que le cours de Bourse de Tesla et des autres Stars de l'IA chutent et que l'éclatement de la Bulle est proche avec une nouveau krach des obligations Américaines comme en 1994.
    Donc la seule cause de disparition de certains jobs ou métiers sera de l'innovation organisationnelle sur les protocoles, les simplifications réglementaires...

  8. #8
    Membre expérimenté
    Profil pro
    Inscrit en
    Juin 2006
    Messages
    1 354
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Âge : 48
    Localisation : France

    Informations forums :
    Inscription : Juin 2006
    Messages : 1 354
    Points : 1 419
    Points
    1 419
    Par défaut Marre d'entendre parler de l'IA
    Il y en a franchement marre d'entendre parler de l'IA.

    est-ce que ca va remplacer tous les devs ?
    on se fait déjà remplacer dès que possible par des devs indiens ou équivalents.
    alors l'IA changera quoi ? que les devs indiens se fassent remplacer ? est-ce vraiment notre problème ?

    le plus gros problème dans notre métier, c'est de comprendre le vrai problème, alors je souhaite que le business se fasse comprendre par chatGPT, et puis peut-être même que l'IA remplacer le business aussi, et finira par diriger le monde. Si les devs sont remplacable, alors tout le monde est remplacable. D'ailleurs le business se fait aussi offshorer en inde.

  9. #9
    Membre confirmé
    Homme Profil pro
    Consultant informatique
    Inscrit en
    Février 2014
    Messages
    86
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 30
    Localisation : Belgique

    Informations professionnelles :
    Activité : Consultant informatique

    Informations forums :
    Inscription : Février 2014
    Messages : 86
    Points : 467
    Points
    467
    Par défaut
    Ce qui est un peux marrant de mon point de vue, c'est que pour justifier que l'IA va prendre notre place, on nous montre toujours du code très simple généré par une IA. Comme dans l'exemple ici, avoir du code qui génère 3 nombres aléatoires.
    Entre avoir une IA qui génére 3 lignes de codes, et un IA qui remplace une équipe comportant des dizaines de développeurs pour écrire des centaines de millier de ligne de code, on y est pas encore.

  10. #10
    Membre éprouvé
    Homme Profil pro
    Consultant informatique
    Inscrit en
    Décembre 2008
    Messages
    106
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 51
    Localisation : France, Paris (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Consultant informatique
    Secteur : Finance

    Informations forums :
    Inscription : Décembre 2008
    Messages : 106
    Points : 907
    Points
    907
    Par défaut
    L'IA comme les outils de développement intelligent (IDE évolués avec des fonctions de refactoring ou générateurs de patterns) ou les langages simplificateurs (garbage collector qui permet de ne plus avoir à gérer sa mémoire, rust qui propose des outils simplifiant l'écriture de code concurrent, etc...) : tout cela participe à diminuer le besoin en main d'oeuvre mais aussi à diminuer son niveau de qualification. Cette révolution à venir dans l'informatique a déjà eu lieu dans d'autres domaines:
    • dans les chaînes de production on a remplacé les ouvriers par des robots; et pour gérer plusieurs robots on a plus besoin que d'un technicien
    • dans le monde des dessinateurs projeteurs, l'arrivée des outils de CAO ont permis d'avoir besoin de moins de dessinateurs pour faire la même tâche et aujourd'hui il existe des formations en 462h alors qu'avant il fallait un BAC+2 ou BAC+3. De plus le rôle de l'ingénieur superviseur (trouver les erreurs) étant moins long, on a une ration dessinateur/ingénieur plus important (donc moins d'ingénieurs).

    Pour faire un site web, aujourd'hui ce sont des artistes qui s'en chargent quand, au début des années 2000, c'étaient des développeurs.

  11. #11
    Chroniqueur Actualités

    Homme Profil pro
    Rédacteur technique
    Inscrit en
    Juin 2023
    Messages
    542
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Bénin

    Informations professionnelles :
    Activité : Rédacteur technique
    Secteur : High Tech - Éditeur de logiciels

    Informations forums :
    Inscription : Juin 2023
    Messages : 542
    Points : 9 921
    Points
    9 921
    Par défaut GitLab affirme que l'utilisation de l'IA pour le codage informatique est "inéluctable" et que cela va perdurer
    GitLab affirme que l'utilisation de l'IA pour le codage informatique est "inéluctable" et que cela va perdurer
    mais l'intégration de l'IA dans le génie logiciel introduit de nouveaux risques

    GitLab estime que l'IA va de plus en plus s'intégrer dans le domaine du génie logiciel à mesure que la technologie se développe. L'entreprise a publié cette semaine les résultats d'une enquête qui révèlent que près d'un quart des entreprises utilisent déjà l'IA pour renforcer le travail des développeurs humains de logiciels et plus de deux tiers d'entre elles prévoient d'utiliser de tels systèmes. L'enquête rapporte que 83 % des personnes interrogées conviennent que la mise en œuvre de l'IA dans leurs processus de développement de logiciels est essentielle pour éviter de prendre du retard. GitLab affirme que l'intégration de l'IA dans le génie logiciel est inéluctable et que cela va perdurer.

    L'IA s'intègre rapidement dans les processus de développement de logiciels

    Ces dernières années, la programmation a façonné le monde tel que nous le connaissons, en constante évolution. Néanmoins, avec l'avènement de l'IA, la question se pose : l'IA remplacera-t-elle les programmeurs à l'avenir ? Le domaine de la programmation subit une transformation significative avec l'essor de l'IA. Ainsi, alors que les outils d'IA continuent de progresser, les programmeurs s'inquiètent de plus en plus de la possibilité que leur rôle soit remplacé par des machines autonomes. Cette crainte est devenue plus sérieuse avec l'arrivée de l'IA générative, qui peut générer du code fonctionnel, même si la qualité et la sûreté du code sont discutables.

    Nom : 11kl.png
Affichages : 3190
Taille : 57,4 Ko

    Dans la nouvelle édition de son rapport Global DevSecOps, GitLab a tenté d'évaluation le niveau d'intégration de l'IA dans les processus de développement de logiciels des entreprises. Si la conclusion de GitLab n'est pas totalement inattendue, elle pourrait contribuer à renforcer les inquiétudes de certains programmeurs. « S'il y a une conclusion incontournable à tirer des données de l'enquête, c'est que l'IA dans le développement logiciel est là pour rester », a écrit l'entreprise. Selon le rapport, 38 % des 1 001 répondants à l'enquête venaient des États-Unis, 37 % de l'Inde et 63 % s'identifiaient comme étant de sexe masculin.

    Selon le rapport, 83 % des personnes interrogées estiment que la mise en œuvre de l'IA dans leurs processus de développement de logiciels est essentielle pour éviter de prendre du retard. Ce sentiment est constant, quel que soit le domaine fonctionnel (développement, opérations et sécurité - DevSecOps), le niveau d'emploi ou le nombre d'années d'expérience des personnes interrogées. Le rapport de GitLab suggère également que l'intégration de l'IA dans le développement de logiciels a été un "véritable" succès jusqu'à présent, avec 90 % de ceux qui utilisent des outils d'apprentissage automatique exprimant leur confiance dans leur utilisation.

    Les répondants ont qualifié les efforts d'intégration de "très" ou "extrêmement" réussis. L'utilisation de l'IA par les personnes interrogées ne concerne pas uniquement le codage généré par des robots. Les cas d'utilisation les plus fréquents sont : les chatbots de traitement du langage naturel dans la documentation (41 %), la génération de tests automatisés (41 %), les résumés des modifications de code (39 %), le suivi des expériences de modèles d'apprentissage automatique (38 %), les suggestions concernant les personnes qui peuvent examiner les modifications de code (37 %) et les résumés des commentaires sur les problèmes (37 %).

    Nom : 22kl.png
Affichages : 2085
Taille : 36,8 Ko

    Ce n'est qu'ensuite que la génération de code et les suggestions de code (36 %) sont apparues. La génération de code n'est donc pas la principale utilisation de l'IA, ce qui n'est peut-être pas surprenant étant donné que, selon le rapport, les développeurs ne passent que 25 % de leur temps à écrire du code. Le reste de leur temps est consacré à l'amélioration du code existant (17 %), aux réunions et aux tâches administratives (17 %), à essayer de comprendre ce que fait le code (14 %), aux tests (11 %), à la maintenance (9 %) et à l'identification et à l'atténuation des failles de sécurité (7 %). Le rapport met en évidence certaines préoccupations.

    Environ un tiers des personnes interrogées sont "très" ou "extrêmement" préoccupées par le fait que le code généré par l'IA est protégé par des droits d'auteur et qu'il présente des failles de sécurité potentielles. En outre, plus de la moitié des personnes interrogées craignent que leurs fonctions soient remplacées par l'IA au cours des cinq prochaines années. Selon le rapport, 81 % des répondants ont déclaré qu'ils ont besoin de plus de formation pour utiliser efficacement l'IA sur le lieu de travail. En outre, 87 % pensent que les organisations devraient proposer des formations pour aider les employés à s'adapter aux nouveaux processus pilotés par l'IA.

    Quels sont les inconvénients de l'intégration de l'IA dans le génie logiciel ?

    Le rapport de GitLab conclut en soulignant que si l'IA peut générer du code plus rapidement qu'un développeur humain, il est essentiel que les membres de l'équipe humaine vérifient que le code ne comporte pas d'erreurs, de failles de sécurité ou de problèmes de droits d'auteur avant qu'il ne soit déployé. « L'IA peut être capable de générer du code plus rapidement qu'un développeur humain, mais un membre de l'équipe humaine doit vérifier que le code généré par l'IA est exempt d'erreurs, de vulnérabilités de sécurité ou de problèmes de droits d'auteur avant qu'il ne soit mis en production », conclut le rapport. Mais cela suscite des critiques.

    Nom : 44kl.png
Affichages : 2093
Taille : 81,8 Ko

    Les critiques se demandent si le temps consacré à la vérification et à la correction du code généré par l'IA ne ferait pas finalement que retarder les équipes. Par ailleurs, le rapport souligne que les répondants qui ont une plus grande expérience de l'IA sont moins susceptibles d'associer l'IA à des gains de productivité et à des temps de cycle plus rapides. Ce qui démontre que les avis sur les avantages de l'intégration de l'IA dans le génie logiciel sont mitigés. « Nous nous retrouvons donc avec un grand nombre de personnes sans expérience de l'IA qui font preuve d'un optimisme naïf pendant les phases de développement », affirme un critique.

    De nombreux experts du domaine de l'IA soutiennent qu'elle ne profitera pas à tous les aspects de l'écriture de code. Et l'IA ne sera pas toujours en mesure d'aider les ingénieurs en logiciel. « L'IA est un excellent assistant, mais pas un excellent chef d'équipe. Si elle peut contribuer à éliminer les répétitions et les bogues, elle ne peut pas remplacer la perspicacité, l'instinct et l'ingéniosité des ingénieurs logiciels humains », a écrit un critique. L'intégration de l'IA dans le génie logiciel comporte de nombreux inconvénients, dont en voici quelques-uns :

    • mauvais code : l'IA peut généralement écrire un code plus précis que les humains. Mais pas toujours. L'IA reste du code, et ce sont les humains qui écrivent ce code. L'IA est également encore récente. Cela peut parfois conduire à un mauvais code, même s'il est généré par l'IA. ChatGPT ne remplacera pas les programmeurs de sitôt. Les ingénieurs logiciels sont toujours nécessaires pour superviser l'écriture du code et la programmation ;
    • risques pour la sécurité : l'IA apprenant au fur et à mesure, elle peut utiliser un code précédemment saisi pour en générer un nouveau pour des utilisateurs extérieurs à votre entreprise. La saisie d'un code propriétaire dans un logiciel tel que ChatGPT permet au système de recracher ces données à des utilisateurs non autorisés, ce qui crée un énorme problème de sécurité. Le risque de fuite de données existe également dans l'autre sens. Lorsque vous demandez à ChatGPT de créer des lignes de code, vous ne pouvez pas être sûr de l'origine de ce code. Est-il propriétaire, et serez-vous poursuivi en justice si vous l'utilisez ? Est-il plein de virus ou de chevaux de Troie ? ;
    • absence de solutions innovantes : l'IA ne peut vous aider qu'avec ce qu'elle sait déjà. Elle ne peut pas innover ou sortir des sentiers battus. L'IA imite ce qu'elle a déjà absorbé. Elle peut aider à trouver des idées à partir de celles qui existent déjà, mais pour l'instant, elle ne peut pas créer des solutions nouvelles ou uniques ;
    • manque de compréhension : tous ceux qui ont utilisé ChatGPT savent que la réponse qu'il donne n'a parfois rien à voir avec la question qu'on lui a posée. Même les questions les plus précises peuvent donner lieu à des réponses inutiles. L'IA ne peut imiter que ce qu'elle connaît déjà. Si votre message demande des informations qui n'ont jamais été introduites, il ne donnera pas les résultats escomptés. Cela dit, l'IA est également capable d'halluciner.


    En résumé, l'intégration de l'IA dans le développement de logiciels gagne du terrain, les organisations reconnaissant son importance pour rester compétitives. Malgré les inquiétudes concernant la sécurité de l'emploi et certains défis associés à l'adoption de l'IA, les avantages potentiels de l'IA dans le développement de logiciels sont indéniables.

    Source : GitLab 2023 Global DevSecOps Report

    Et vous ?

    Quel est votre avis sur le sujet ?
    Que pensez-vous des résultats de l'enquête de GitLab ?
    Que pensez-vous de l'intégration de l'IA dans le génie logiciel ?
    Cela permet-il réellement de gagner du temps lors du développement des logiciels ?
    Les avantages de l'intégration de l'IA dans le génie logiciel l'emportent-ils sur les inconvénients ?

    Voir aussi

    Génération de code à l'aide de grands modèles de langage : 62 % du code généré contient des erreurs d'API qui auraient des conséquences inattendues si le code était introduit dans un logiciel réel

    Environ 21 millions d'emplois occupés par des femmes et 9 millions d'emplois occupés par des hommes pourraient être remplacés par l'IA, selon l'OIT qui liste les programmeurs parmi les cibles

    GPT Pilot pourrait coder l'ensemble d'une application pendant que vous supervisez l'écriture du code, d'après son créateur

Discussions similaires

  1. Réponses: 5
    Dernier message: 29/03/2019, 18h03
  2. Réponses: 5
    Dernier message: 18/07/2017, 12h44
  3. Réponses: 3
    Dernier message: 07/09/2015, 06h45
  4. Réponses: 2
    Dernier message: 17/09/2009, 07h45
  5. Réponses: 1
    Dernier message: 06/03/2007, 12h25

Partager

Partager
  • Envoyer la discussion sur Viadeo
  • Envoyer la discussion sur Twitter
  • Envoyer la discussion sur Google
  • Envoyer la discussion sur Facebook
  • Envoyer la discussion sur Digg
  • Envoyer la discussion sur Delicious
  • Envoyer la discussion sur MySpace
  • Envoyer la discussion sur Yahoo