Ce qui devait arriver, arriva.
Ce qui devait arriver, arriva.
Ce n'est que la suite logique des événements. À la suite de tout ce capharnaüm on cherche tous les palliatifs
Twitter licencie 4 400 à 5 500 contractuels sans les avertir au préalable, ni prévenir les équipes internes,
d’après Platformer
Twitter a éliminé un grand nombre d'employés contractuels samedi, affectant entre 4 400 et 5 500 travailleurs. Les réductions de personnel ont été signalées samedi par Casey Newton de Platformer. La plupart des employés contractuels n'ont pas reçu de notification de leur licenciement et ne l'ont appris qu'après avoir perdu l'accès aux systèmes de messagerie et de communication interne de l'entreprise. Certains de ces travailleurs contractuels étaient basés à l'étranger, notamment en Inde. Les employés à temps plein, qui ont demandé à ne pas être nommés car ils ne sont pas autorisés à parler au nom de Twitter, ont déclaré qu'ils n'avaient reçu aucune notification interne avant le licenciement des contractuels avec lesquels ils collaboraient.
Un grand nombre de travailleurs contractuels de Twitter ont découvert qu'ils avaient été soudainement licenciés ce week-end après avoir perdu l'accès à Slack et à d'autres systèmes de travail, selon des communications internes par des employés à temps plein de Twitter. Ces suppressions d'emplois font suite à des licenciements qui ont réduit de moitié environ les effectifs de Twitter et amputé de 15 % son équipe chargée de la confiance et de la sécurité. Platformer a été le premier à faire état de ces licenciements massifs samedi soir, qui concernent des employés basés aux États-Unis et dans le monde entier, travaillant dans la modération de contenu, l'immobilier, le marketing, l'ingénierie et d'autres départements.
Twitter n'aurait pas non plus informé les managers de ces suppressions de postes, qui n'ont réalisé que leurs collègues avaient été licenciés qu'après avoir vu que leurs comptes avaient été désactivés dans le système de Twitter. Selon un courriel interne envoyé aux contracuels, Twitter explique que les suppressions de postes font partie de son « exercice de redéfinition des priorités et d'économies ». Il informe également les employés que leur dernier jour de travail est le lundi 14 novembre, mais qu'ils n'auront rien à faire.
Cette situation rappelle celle des employés à temps plein qui ont appris qu'ils avaient perdu leur emploi, non pas par un courriel promis le vendredi, mais dans la nuit de jeudi à vendredi, lorsqu'ils ont perdu l'accès à leur messagerie électronique et aux autres systèmes informatiques de l'entreprise. Twitter a depuis lors tenté de réembaucher certains employés à temps plein après avoir constaté que leurs compétences étaient essentielles pour les projets en cours, y compris les nouvelles fonctionnalités qui étaient une priorité pour l'entreprise.
Le statut de nombreux contractuels est en suspens depuis que Twitter a réduit la moitié de son personnel au début du mois, certains ne sachant même pas à qui faire rapport, puisque leurs homologues au sein de l'entreprise ont été licenciés. Aujourd'hui, certains s'inquiètent de leur dernier salaire puisque leurs équipes n'ont plus d'employés à plein temps de Twitter pour signer leurs cartes de pointage.
Suite à la prise de contrôle par Musk, un certain nombre de cadres de Twitter ont déjà démissionné ou ont été licenciés, et il est possible que d'autres employés perdent leur emploi en raison de la nouvelle politique de travail en personne de l'entreprise. Dans une transcription d'une session de questions-réponses entre Musk et les employés, Musk a clairement indiqué que les travailleurs doivent revenir au bureau et que seules les « personnes exceptionnelles » peuvent travailler à distance. « En gros, si vous pouvez vous présenter dans un bureau et que vous ne vous présentez pas au bureau, démission acceptée », a déclaré Musk.
Twitter est en pleine tourmente depuis qu'Elon Musk en a pris la direction, avec des produits et des fonctionnalités lancés puis retirés. Cela inclut une nouvelle version de son service d'abonnement Twitter Blue, qui permet aux abonnés d'avoir la même coche bleue que celle attribuée aux comptes vérifiés des politiciens, des journalistes, des agences gouvernementales et des célébrités. Twitter a mis ce service en suspens en début de semaine après qu'un flot d'imitateurs ait utilisé le service d'abonnement pour se faire passer pour diverses marques, des athlètes et des hommes politiques de premier plan.
L'annulation du travail des contractants marquerait la dernière réduction en date au sein de la plateforme de médias sociaux, qui a déjà licencié environ la moitié de ses employés après le rachat de l'entreprise par Elon Musk le 28 octobre dernier.
Le cofondateur de Twitter, Jack Dorsey, s'est excusé la semaine dernière d'avoir fait croître l'entreprise « trop rapidement », un jour après que la société de médias sociaux ait procédé aux licenciements. Dorsey s'est personnellement efforcé de faire en sorte que Musk reprenne son entreprise dans le cadre d'un rachat par emprunt litigieux et a fait entrer ses propres actions dans la nouvelle société de portefeuille.
Au 30 juin 2013, peu avant son entrée en bourse, Twitter comptait environ 2 000 employés, selon les documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission américaine. À la fin de l'année dernière, l'entreprise a déclaré qu'elle était passée à environ 7 500 employés à temps plein. Musk a abordé les licenciements dans un tweet le 4 novembre, écrivant : « Concernant la réduction des effectifs de Twitter, il n'y a malheureusement pas le choix lorsque l'entreprise perd plus de 4 millions de dollars par jour. Toutes les personnes licenciées se sont vues offrir 3 mois d'indemnités de licenciement, soit 50 % de plus que ce qui est légalement requis ».
Depuis sa prise de contrôle, Musk a informé les employés restants de Twitter qu'il a vendu des milliards de dollars d'actions de Tesla, son entreprise de véhicules électriques, pour « sauver » Twitter. On ne sait pas encore si Musk continuera à vendre des actions Tesla pour rembourser la dette de Twitter. Il a également déclaré aux employés de Twitter que la faillite n'était pas exclue pour l'entreprise de médias sociaux dans un contexte de ralentissement économique, et alors que les annonceurs ont fui ou interrompu leurs dépenses sur la plateforme pendant sa prise de contrôle difficile.
Source : Twitter
Et vous ?
Quel est votre avis sur le sujet ?
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Elon Musk pourrait licencier jusqu'à 3700 personnes chez Twitter vendredi en fonction de leurs contributions à la base de code, déterminées par les responsables de Tesla et Twitter
Elon Musk vend 3,95 Mds $ d'actions Tesla après avoir pris le contrôle de Twitter qui a coûté 11 fois ce montant. Twitter perd des annonceurs, de l'argent et peut-être des utilisateur
Elon Musk propose de transformer Twitter en banque pour éviter la faillite. Musk vise à augmenter le nombre d'utilisateurs de Twitter d'un milliard, puis à lier les comptes aux cartes de débit
Le Twitter d'Elon Musk licencie « presque tous » ses employés en Afrique sans offrir d'indemnités de départ, et sans mentionner les noms des collaborateurs remerciés dans les avis de licenciement
Ils ne devraient pas avoir de mal à retrouver du boulot.
De toute façon si Twitter continuait comme ça, il allait finir par faire faillite et tous les employés allaient perdre leur job de toute façon.
Mais c'est vrai qu'Elon Musk ne suit pas le protocole, il vire un peu n'importe qui n'importe comment et peut-être que parfois il ne respecte pas les règles, si c'est le cas il va le payer.
https://blog.digimind.com/fr/tendanc...nce-monde-2020
Le chiffre d'affaires de Twitter pour le 4ème trimestre 2021 est de 1,567 milliard de dollars, en hausse de 22% par rapport à Q4 2020. Son résultat net pour Q4 2021 est de 181,7 millions de dollars (en Q4 2020, Twitter avait affiché un bénéfice net de 222,1 millions de dollars).
la boite semblait pas trop mal marché avant son arrivé, elle se fait plusieurs millions de bénéfice.
8$ pour une coche.
Imaginez la tronche des gars de chez Wikipédia.
« Réparez vos entreprises ou le congrès s'en chargera », indique le sénateur Ed Markey à Elon Musk
après que le milliardaire se soit moqué de ses inquiétudes concernant la vérification payante sur Twitter
Le sénateur Ed Markey (D-MA) a déclaré à Elon Musk : « Réparez vos entreprises. Ou le Congrès le fera », après que Musk a répondu de manière sarcastique aux préoccupations du sénateur concernant les faux comptes vérifiés sur Twitter et a suggéré que le vrai compte de Markey « ressemble à une parodie ».
Tout a commencé par une décision d'Elon Musk sur la coche bleue qui était accordée aux célébrités et aux journalistes vérifiés par la plate-forme, précisément pour empêcher les usurpations d'identité : n'importe qui pouvait désormais en obtenir une, à condition d'avoir un téléphone, une carte de crédit et 8 dollars par mois.
Musk a affirmé que son plan « est le seul moyen de vaincre les bots et les trolls ». L'experte en sécurité Runa Sandvik s'est montrée sceptique. « Curieux de savoir comment cela va fonctionner, sûrement que certains bots et trolls vont payer pour bénéficier des coches bleues aussi (peut-être avec des cartes de crédit volées) », a écrit Sandvik en réponse à Musk.
Musk a ensuite expliqué qu'il pensait que son plan « détruirait les robots », car « si un compte Blue payant se livre à des spams/des escroqueries, ce compte sera suspendu. Essentiellement, cela augmente le coût du crime sur Twitter de plusieurs ordres de grandeur ». Il a également déclaré que Twitter commencera à utiliser « une étiquette secondaire sous le nom pour quelqu'un qui est une figure publique, ce qui est déjà le cas pour les politiciens ».
Faire payer la vérification pourrait permettre aux escrocs de se faire plus facilement passer pour de vraies personnes, même si les escrocs n'obtiennent pas de coches bleues. Si une personne vérifiée perd sa coche parce qu'elle ne paie pas pour Twitter Blue, un escroc pourrait se faire passer pour cette personne, et il n'y aurait pas de compte vérifié à pointer pour prouver que le compte de l'escroc est factice.
C'est dans ce contexte que le sénateur Ed Markey découvre avec stupeur qu'il est facile de se faire passer pour lui sur Twitter. Vendredi, Markey a envoyé un tweet contenant un lien vers une lettre qu'il a écrite à Musk, critiquant le nouveau Blue à 7,99 $ par mois avec abonnement de vérification (fonctionnalité qui a été, rappelons-le, suspendue). La lettre cite un rapport du Washington Post qui détaille comment un journaliste a pu créer facilement un faux compte vérifié se faisant passer pour Markey et appelle Musk à résoudre le problème : « Un journaliste de @washingtonpost a pu créer un compte vérifié en se faisant passer pour moi - je demande des réponses à @elonmusk qui fait passer les profits avant les gens et sa dette avant d'arrêter la désinformation. Twitter doit expliquer comment cela s'est produit et comment éviter que cela ne se reproduise ».
Très joueur, Elon Musk a rétorqué « Peut-être parce que votre compte réel ressemble à une parodie ? Et pourquoi y a-t-il un masque sur votre photo de profil ? » (en référence à la photo de profil du sénateur sur Twitter qui le montre portant un couvre-visage).
Markey n'a pas trop apprécié la réponse de Musk et a averti que le Congrès pourrait prendre des mesures contre Musk et ses nombreuses entreprises s'il ne clarifiait pas les choses : « L'une de vos entreprises est sous le coup d'un décret de consentement de la FTC. Le gendarme de la sécurité automobile NHTSA enquête sur une autre pour avoir tué des gens. Et vous passez votre temps à choisir des combats en ligne », écrit Markey. « Réparez vos entreprises. Ou le Congrès le fera ».
Les inquiétudes du sénateur concernant l'usurpation d'identité sur Twitter ne sont pas sans fondement. Après que Twitter a déployé la possibilité de paver son chemin vers la coche bleue de vérification sur une vague de faux comptes vérifiés se faisant passer pour des utilisateurs de haut niveau a inondé la plate-forme. Un compte se faisant passer pour Nintendo a publié une image de Mario renversant l'oiseau bleu, tandis qu'un autre prétendant être LeBron James a faussement affirmé qu'il prévoyait de quitter les Lakers de Los Angeles.
La plupart de ces comptes ont depuis été supprimés, mais certains sont restés en ligne pendant une longue période, ce qui pourrait nuire à la marque – ou à la personne – dont ils ont usurpé l'identité. Musk a annoncé plus tard que Twitter allait suspendre définitivement les comptes des utilisateurs qui se font passer pour d'autres sur la plate-forme, mais les faux comptes persistaient, obligeant Twitter à fermer suspendre toutes les inscriptions au service Blue.
Bien que Markey ne représente évidemment pas tout le Congrès, les démocrates garderont leur contrôle sur le Sénat après les élections de mi-mandat. Markey fait également partie d'un certain nombre de comités qui pourraient affecter l'entreprise Tesla appartenant à Musk – y compris le Comité du commerce, des sciences et des transports – et a soulevé des inquiétudes concernant le logiciel de conduite Full Self-Driving du constructeur de véhicules électriques à plusieurs reprises dans le passé.
Les demandes du sénateur adressées au PDG de Twitter
Le sénateur Edward J. Markey (D-Mass.), Membre du comité du commerce, des sciences et des transports, a envoyé aujourd'hui une lettre au PDG de Twitter, Elon Musk, demandant à l'entreprise d'expliquer les procédures en place pour son processus de vérification de la « coche bleue ». La requête intervient après qu'un journaliste du Washington Post a obtenu avec succès le pseudo Twitter « @realedmarkey » et a acheté le compte avec une vérification « coche bleue » indiquant que le compte a été vérifié, car il appartenait à une « personne notable du gouvernement ». Dans sa lettre à l'entreprise, le sénateur Markey a exhorté à rendre des comptes et a souligné que les pratiques de vérification laxistes de l'entreprise compromettent la capacité des utilisateurs à être des consommateurs critiques d'actualités et d'informations sur la plate-forme, y compris de la part d'agents publics, et risquent de propager la désinformation.
« Apparemment, en raison des pratiques de vérification laxistes de Twitter et du besoin apparent d'argent, n'importe qui pourrait payer 8,00 $ et se faire passer pour quelqu'un sur votre plate-forme. Vendre la vérité est dangereux et inacceptable. Twitter doit expliquer comment cela s'est produit et comment il empêchera que cela ne se reproduise », a écrit le sénateur Markey dans sa lettre à Musk.
« Des garanties telles que la coche bleue de Twitter permettaient autrefois aux utilisateurs d'être des consommateurs intelligents et critiques de nouvelles et d'informations sur la place publique mondiale de Twitter », a poursuivi le sénateur. « Mais votre prise de contrôle de Twitter, l'imposition rapide et aléatoire de changements de plate-forme, la suppression des garanties contre la désinformation et le licenciement d'un grand nombre d'employés de Twitter ont accéléré la descente de Twitter dans le Far West des médias sociaux. C'est inacceptable. Twitter et ses dirigeants ont la responsabilité envers le public de s'assurer que la plate-forme ne devienne pas un terrain fertile pour la manipulation et la tromperie ».
Malgré la résiliation par Twitter de Twitter Blue et la vérification payante de la coche bleue peu de temps après la publication de l'article du Washington Post et la prolifération des comptes d'imposteurs, le sénateur Markey a demandé à la direction de Twitter de fournir des réponses aux questions suivantes :
- Quel a été le processus de Twitter pour émettre une vérification par coche bleue payante d'un compte Twitter ? Quel a été le processus de Twitter pour émettre la vérification d'un compte qui est "remarquable dans le gouvernement, les actualités, le divertissement ou une autre catégorie désignée" sur votre plate-forme ? Veuillez décrire les étapes internes de Twitter qui étaient censées être suivies pour ces processus.
- En quoi le processus de vérification par coche bleue payant diffère-t-il du processus de vérification gratuit qui l'a précédé ?
- Comment le journaliste du Washington Post a-t-il pu obtenir la vérification d'un faux compte Twitter du sénateur Ed Markey ? Plus précisément, Twitter n'a-t-il pas suivi ses politiques internes de vérification payante et, si oui, lesquelles ? Si Twitter a suivi ces politiques, veuillez expliquer comment le système de Twitter a néanmoins permis au journaliste d'obtenir la vérification du faux compte.
- Twitter envisage-t-il de réintroduire un système de vérification ? Si oui, veuillez expliquer comment cela fonctionnera, s'il sera gratuit ou payant, et comment cela empêchera la vérification des faux comptes
Source : lettre du sénateur
Et vous ?
Que pensez-vous de la réaction d'Elon Musk lorsque le sénateur lui a fait part de ses inquiétudes concernant les coches bleues et l'usurpation d'identité ?
La réaction d'Ed Markey qui menace Elon Musk d'actions du congrès vous semble-t-elle proportionnée ? Dans quelle mesure ?
Excellente la réponse de Musk au covidiste Ed Markey
je suis pas sur que ce mettre à dos le gouvernement us ce soit une bonne chose. Beaucoup de grand cadre ont fini ruiné ou emprisonné pour des prétexte bidons...
La Standard Oil a été démantelé en pleins de petites entreprises par exemple.
Frédéric Pierucci a été mis en taule plusieurs années aux USA pour voler alstom aux français.
soyons complotiste, avec le recul je serais pas surpris dans 50ans d'apprendre que l'affaire DSK était un complot de la CIA...
En chine c'est pire, Jack Ma à disparu pour une simple critique du gouvernement. Les USA c'est pas la chine mais ils usent pas moins de méthode dégueulasse pour parvenir à leurs fin.
Une affaire de viol et 10ans de prison sa arrive très vite de nos jours.
44 % des utilisateurs de Twitter disent qu'ils ne paieront pas les 8 dollars par mois pour la vérification de leur compte, remettant ainsi en question les plans d'Elon Musk, selon une enquête d'All About Cookies
La saga de l'acquisition de Twitter par Elon Musk dure depuis des mois, mais elle est enfin parvenue à sa conclusion. Musk est maintenant l'unique propriétaire de Twitter, et il essaie de mettre en œuvre quelques changements pour augmenter ostensiblement les revenus, car il y avait un manque à gagner apparent si l'on ne comptait que sur les annonceurs.
L'un des changements les plus controversés apportés par Musk est la taxe de 8 dollars pour obtenir la coche bleue convoitée pour la vérification.
Cette marque de vérification est un outil important utilisé par les politiciens, les journalistes et les célébrités pour rendre plus difficile l'usurpation de leur identité. Musk pense manifestement que la vente de la marque de vérification pour 8 dollars par mois est parfaitement raisonnable, même si seulement 28 % des utilisateurs de Twitter ayant répondu à une enquête menée par All About Cookies ont déclaré qu'ils seraient prêts à la payer.
44 % des utilisateurs de Twitter qui ont répondu à cette enquête ont déclaré qu'ils ne seraient pas disposés à payer quoi que ce soit, et 45 % ont également déclaré qu'ils ne pensent pas que cela améliorera leur expérience sur Twitter.
Toutefois, une proportion importante d'utilisateurs semble penser que Twitter pourrait encore s'améliorer maintenant qu'il est sous la houlette d'Elon Musk.
38 % d'entre eux estiment que le contenu de Twitter s'améliorera sous la direction d'Elon Musk, 33 % déclarent que le contenu sera désormais plus fiable et 38 % pensent également que le cours de l'action Twitter commencera à s'améliorer maintenant que Musk est aux commandes.
Cependant, il semble peu probable que le prix de 8 dollars permette de compenser la perte de revenus publicitaires. Il n'y a tout simplement pas assez d'utilisateurs fidèles de Twitter pour payer la facture de l'énorme dette contractée par Musk pour acheter la plateforme, et le désir de Musk de créer un espace axé sur la liberté d'expression pourrait ne pas plaire aux annonceurs qui craignent que leurs publicités soient placées à côté de contenus controversés.
Source : All About Cookies
Et vous ?
Trouvez-vous les résultats de cette enquête pertinents ?
Que pensez-vous de la décision d'Elon Musk de faire payer les utilisateurs pour le badge de vérification ?
Seriez-vous disposé à payer cette somme ?
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Twitter va poursuivre Elon Musk en justice pour avoir essayé de se retirer de l'accord, Musk a signé un accord de fusion contraignant, mais il veut maintenant s'en retirer
Elon Musk expose Twitter à des milliards d'amendes, prévient un avocat de l'entreprise, « Elon met des fusées dans l'espace, il n'a pas peur de la FTC », aurait déclaré son avocat personnel
Elon Musk licencie un ingénieur qui l'a corrigé sur Twitter,
Eric Frohnhoefer, le développeur, avait remis publiquement en question l'évaluation de Musk dans un tweet d'excuses
Les premiers jours d'Elon Musk chez Twitter ont été marqués par des licenciements massifs. Dès qu'il a pris les rênes du géant des médias sociaux, le dirigeant a licencié des milliers de contractuels sans préavis ni avertissement. Il semble maintenant que ladite frénésie ne soit pas encore arrivée à son terme. Dans un développement qui a pris forme récemment, Musk a annoncé le licenciement d'un ingénieur qui a remis en question son évaluation. Le nouveau PDG de l'entreprise a tweeté qu'Eric Frohnhoefer, un employé qui s'était publiquement disputé avec lui sur la plateforme, avait été licencié.
La saga a commencé dimanche, lorsque Musk a présenté ses excuses pour la lenteur de Twitter dans « de nombreux pays » et a laissé entendre que les mauvaises performances sont dues au fait que l'application effectue plus de 1 000 appels de procédure à distance (remote procedure calls ou RPC) « mal répartis » pour charger la timeline d'accueil. Ce qui revient à dire que l'application doit contacter d'autres serveurs plusieurs fois et attendre une réponse pour chaque demande. Frohnhoefer, qui a tweeté qu'il avait passé six ans à travailler sur Twitter pour Android, a retweeté la déclaration de Musk en disant qu'elle était incorrecte. Musk a fait la même chose plusieurs fois en réponse à des articles sur ses entreprises, mais contrairement à ces cas, Frohnhoefer a expliqué pourquoi il pensait que le tweet de son patron était incorrect.
Selon Frohnhoefer, Twitter ne fait en réalité aucun appel de procédure à distance, ou RPC. Au lieu de cela, dit-il, lorsque l'application démarre, elle effectue environ 20 requêtes en arrière-plan. Semblant clarifier son tweet initial, Musk a ensuite répondu : « Le fait que vous ne vous rendiez pas compte qu'il y a jusqu'à 1200 "microservices" appelés lorsque quelqu'un utilise l'application Twitter n'est pas génial ». Frohnhoefer a de nouveau exprimé son désaccord, en tweetant que le « nombre requis pour générer la timeline de la maison est plus proche de 200 que de 1200 ».
La conversation entre Musk et Frohnhoefer est désordonnée, répartie sur plusieurs fils et heures. À un moment donné, Musk a demandé à Frohnhoefer ce qu'il avait fait personnellement pour remédier à la lenteur de Twitter sur Android. Mais n'oubliez pas que la conversation a commencé par les excuses de Musk pour la lenteur de Twitter dans « de nombreux pays », et non sur Android. Mais le dernier mot de Musk à ce sujet est venu en réponse à une discussion sur la question de savoir si Frohnhoefer aurait dû faire part de ses préoccupations concernant le tweet original en privé sur Slack plutôt que d'interpeller publiquement Musk. Un commentateur du fil de discussion a déclaré que Musk ne voulait probablement pas de Frohnhoefer dans son équipe après que le développeur a tweeté que Musk aurait dû poser des questions sur les problèmes de lenteur en privé, ce à quoi Musk a répondu : "Il est viré".
Musk a reçu des réactions négatives de la part d'autres personnes à propos de son tweet, notamment d'autres employés de Twitter. Sasha Solomon, qui se présente comme une responsable technique de Twitter, l'a retweeté en disant : « Vous n'avez pas simplement licencié la quasi-totalité de l'infrastructure pour ensuite faire une remarque insolente sur la façon dont nous faisons du batching ». Elle a également accusé Musk de ne pas connaître le fonctionnement de GraphQL et de ne pas savoir comment fonctionne l'infrastructure de Twitter. Lundi soir, Solomon a tweeté « lol just got fired for shitposting ». Son fil ne mentionne pas si elle a été licenciée par Musk directement, et il ne semble pas avoir répondu à ses tweets le critiquant comme il l'a fait avec Frohnhoefer.
Des commentateurs extérieurs à l'entreprise ont également remis en question le tweet. Musk affirme avoir obtenu l'information sur les RPC de plusieurs ingénieurs de Twitter et a déclaré que "l'ex-employé se trompe".
Si Musk s'est effectivement trompé sur le fonctionnement de Twitter, ce ne serait pas la première fois. Dimanche, il a tweeté que le site était « de loin le plus gros générateur de clics sur Internet », une déclaration qui a été immédiatement reprise par presque tous ceux qui possèdent un site Web et qui savent à quel point Google et Facebook sont puissants. Les utilisateurs de Twitter ont également utilisé Birdwatch, une fonction qui permet de signaler les informations erronées sur le site, pour corriger Musk. Ce n'était pas non plus la première fois qu'il faisait l'objet d'un Birdwatch - il y a aussi une note de correction sous son tweet sur le prix de l'insuline. Il a ensuite supprimé le tweet.
En ce qui concerne les retombées de la prise de bec, Musk a annoncé qu'au moins une fonctionnalité, les étiquettes indiquant à partir de quel appareil ou application un tweet a été posté, sera supprimée au nom de la performance. Pour l'instant, Musk n'a pas répondu aux autres suggestions faites par Frohnhoefer pour améliorer les performances, notamment la suppression des fonctions inutiles et la refonte des systèmes qui freinent l'application. Quant à Frohnhoefer lui-même, il a déclaré sur Twitter qu'il était « définitivement stupide » d'affronter Musk comme il l'a fait, mais il ne semble pas trop préoccupé par son licenciement. Il a déjà été encouragé à postuler à des emplois dans d'autres entreprises.
D'autres géants de la technologie continuent de licencier du personnel
Si on laisse de côté Musk et son annonce de licenciement peu conventionnelle sur Twitter, d'autres entreprises de premier plan semblent également emprunter la même voie. La semaine dernière, Mark Zuckerberg a révélé que les licenciements de Meta toucheraient environ 11 000 employés, soit environ 13 % des effectifs de l'entreprise. Le géant de la technologie Amazon, quant à lui, a également l'intention de licencier 10 000 employés de l'entreprise et des postes techniques cette semaine. Si Amazon procède à ce licenciement, il s'agirait du plus important de l'histoire de l'entreprise.
Et vous ?
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L'équipe d'IA éthique de Twitter fait partie du personnel qui a été licencié. Elle était chargée d'analyser les algorithmes de Twitter pour réduire les cas de partialité, préjudice et abus
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Le Twitter d'Elon Musk licencie « presque tous » ses employés en Afrique sans offrir d'indemnités de départ, et sans mentionner les noms des collaborateurs remerciés dans les avis de licenciement
Le procédé est très discutable mais je pense que Musk sait très bien ce qu'il fait et où il veux aller. Plus il vidange les équipes techniques moins il aura de resistance au changement si il prévoit de vraiment tout chambouler.
Elon Musk ne se prive pas de balancer de la merde, en plus fausse apparemment, sur les équipes de Twitter, bien que je comprend ta position, j'ai quand même envie de dire "l''arroseur arrosé"..
Et est ce que la personne a vraiment tord ? Difficile a dire, imagine après ce tweet assassin de Musk, tu postule dans une autre boite en disant que tu as fait de l'Androïd chez Twitter, t'as vu la réputation que t'as flanqué ton ex-patron ?
Techniquement je ne sais pas, professionnellement à mon sens oui.
Ca peut être vu positivement ou négativement selon où tu vas postuler.
Mais la réalité c'est qu'il a plus de chance de tomber sur quelqu'un même pas au courant, et surtout c'est la période qui risque de devenir compliqué avec le robinet de l'argent qui coule à flot qui se referme.
Tiens, je croyais que Elon Musk était un grand défenseur de la liberté d'expression? N'avait-il pas dis il y a quelques moi que n'importe qui pouvait le critiquer? On commence déjà a voir les limites de sa "liberté d'expression".
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