Merci de caricaturer ce que je dis...
Que les femmes dans une situations où elles ne peuvent pas rester au domicile familiale le quitte. Et quand dans le cas où le mari est capable d'aller à sa recherche, de ne plus aller dans les lieux où il pourrait nous y retrouver, en engageant en parallèle des procédures judiciaire. Et dans le cas extrême, le tuer.
Il n'y a pas besoin de changer de job, lieu où on est quand même protégé par la présence de ses collègues (et au passage, si elle a un job, où est la dépendance financière ?). Les biens tu peux partir avec un certains nombres ou en récupérer avec l'aide de la police. Changer de noms, ce n'est pas nécessaire. Partir loin... pas nécessairement.
Après tu me diras quelle est ta solution à toi, à part de s’apitoyer en attendant de te faire tuer...
D'ailleurs, c'est la même problématique quand tu quittes une communauté religieuse un peu extrême, quand tu dénonces une autre personne pour des faits graves, etc. etc.
Pour changer de sujet, la mise au second plan ou au rebut des victimes hommes, me semble pour le coup bien être à la fois sociétal et systémique... Et c'est en contribuant à cela, que vous repoussez nombres de personnes du féminisme et que vous perdez beaucoup de soutiens dans vos démarches.
Tous les problèmes de discriminations positives, tous les problèmes liés à la paternités... sont aussi systémiques. Les différences statistiques dans les agressions physiques sont aussi systémiques. Les différences quant à la valeur d'une vie d'un homme ou d'une femme, idem. etc. etc. Mais pour vous, seule la femme peut être victime du "système" et tout ce dont elle est victime vient forcément du système. Ce qui est une vision très sexiste que vous refusez de voir.
Je ne comprends même pas pourquoi vous tenez tant à cette exclusivité. Y'a pas franchement de quoi s'en enorgueillir, et ce n'est pas un jeu à somme nulle.
Partager