D'après ce que j'ai lu sur les sites d’actualités webmarketing, des grandes ont perdu entre 10 et 30 / de leur notoriété sur le web. La rue du commerce et le Bon coin par exemple selon le site Yooda.
D'après ce que j'ai lu sur les sites d’actualités webmarketing, des grandes ont perdu entre 10 et 30 / de leur notoriété sur le web. La rue du commerce et le Bon coin par exemple selon le site Yooda.
en même temps ces sites sont tellement bourré de pubs et traqueurs qu'il leur est difficile de changer de modèle
Après Google, au tour de Microsoft de favoriser les sites « mobile-friendly »
la firme présente la mise à jour qui sera apportée à l’algorithme de Bing
C’est au tour de Microsoft d’annoncer que les sites Web optimisés pour les mobiles seront favorisés dans ses résultats de recherche, moins d’un mois après que Google ait mis à jour l’algorithme de son moteur de recherche pour accorder la priorité aux sites avec rendu adaptatif.
Dans un récent billet de blog, la firme annonce qu’elle va déployer dans les prochains mois une mise à jour de son moteur de recherche qui accordera plus de visibilité aux sites Web qui fournissent une expérience de navigation adaptée aux terminaux avec des écrans de petites tailles.
Ce nouvel algorithme se basera sur quatre critères pour étiqueter un site « mobile-friendly » :
- Navigation : les menus, boutons, et liens sur la page doivent être suffisamment grands et espacés pour faciliter la navigation avec le toucher.
- Lisibilité : le texte sur la page devrait être lisible, sans nécessiter de zoom et de défilement latéral pour accéder au contenu.
- Défilement : le contenu de la page doit tenir sur l’écran de l’appareil de telle sorte que l’utilisateur n’ait pas besoin de défiler horizontalement. Le défilement vertical est acceptable. Les sites Web offrant une bonne prise en charge du mobile disposent d’un rendu adaptatif correspondant à la largeur de l’appareil, que l’orientation soit en portrait ou en paysage.
- Compatibilité : le contenu doit être compatible avec l’appareil. Microsoft prend pour exemple les pages avec du contenu Flash, qui ne fonctionnent pas correctement sur les appareils iOS ou encore des pages avec des vidéos qui ne peuvent pas être visionnées sur les smartphones à cause de la dépendance aux plug-ins tiers ou des questions de droits d’auteurs.
Pour qu’une page soit considérée comme « mobile-friendly » par Bing, elle devra respecter tous ces critères. Bing aura besoin d’accéder aux fichiers CSS et tous les scripts utilisés par une page pour déterminer si celle-ci est adaptée au mobile. La firme recommande donc aux Webmasters d’autoriser aux robots de Bing l’accès aux ressources.
Toutefois, la firme de Redmond précise que cela ne veut pas pour autant dire que les sites optimisés pour mobiles apparaitront en première position dans les résultats de recherche. Les pages Web qui sont très pertinentes par rapport à une requête donnée ne seront pas pénalisées, même si elles ne sont pas « mobile-friendly ».
Source : Bing
Et vous ?
Que pensez-vous de l'approche adoptée par Bing par rapport à celle de Google qui pénalise les sites non mobile-friendly ?
super c'est à celui qui copie/colle le plus vite ?
Les sites web français optimisés pour mobile gagnent 11 points de pourcentage en une année,
même si la moitié d'entre eux n'est pas encore « mobile friendly »
Le 21 avril de l’année dernière, Google a annoncé une modification de son algorithme qui allait désormais privilégier le référencement des sites optimisés mobiles dans les résultats de recherche effectuée sur un dispositif mobile (téléphone, tablette, etc.). Google a alors expliqué que les sites qui auront la priorité seront ceux qui disposent d’un rendu adaptatif en fonction de la résolution du mobile de l’internaute, quelle que soit la taille de l’écran. Ces sites sont ceux qui ont passé le test « mobile friendly » mis à la disposition des éditeurs par Google.
« Comme les internautes effectuent de plus en plus des recherches à partir de leurs terminaux mobiles, nous voulons nous assurer qu’ils ne trouvent pas seulement ce qui est pertinent, mais également ce qui est facile à lire et interagir avec sur les petits écrans des mobiles », a justifié un porte-parole de Google.
Au vu du nombre important d’internautes qui se servent d’une connexion mobile (plus de la moitié d’après les statistiques d’IDC), la crainte a poussé les spécialistes du référencement à baptiser cette mise à jour « mobilegeddon ».
Le mois suivant, Microsoft lui emboîtait le pas et annonçait un déploiement d’une mise à jour de l’algorithme de son moteur de recherche qui accorderait plus de visibilité aux sites dits « mobile friendly » en se basant sur quatre critères :
- navigation : les menus, boutons, et liens sur la page doivent être suffisamment grands et espacés pour faciliter la navigation avec le toucher ;
- lisibilité : le texte sur la page devrait être lisible, sans nécessiter de zoom et de défilement latéral pour accéder au contenu ;
- défilement : le contenu de la page doit tenir sur l’écran de l’appareil de telle sorte que l’utilisateur n’ait pas besoin de défiler horizontalement. Le défilement vertical est acceptable. Les sites Web offrant une bonne prise en charge du mobile disposent d’un rendu adaptatif correspondant à la largeur de l’appareil, que l’orientation soit en portrait ou en paysage ;
- compatibilité : le contenu doit être compatible avec l’appareil. Microsoft prend pour exemple les pages avec du contenu Flash, qui ne fonctionnent pas correctement sur les appareils iOS ou encore des pages avec des vidéos qui ne peuvent pas être visionnées sur les smartphones à cause de la dépendance aux plug-ins tiers ou des questions de droits d’auteurs.
Ces mises à jour peuvent affecter la majorité des sites français : l’année dernière une étude de Yooda, un éditeur français de solution d’optimisation du référencement sur les moteurs de recherche, a conclu que près de 64 % de sites Web français ne sont pas adaptés au mobile. Les sites de l’administration sont particulièrement concernés, ainsi que 63 % des sites des e-commerces. L’activité de ces derniers peut être considérablement affectée, dans la mesure où environ « 66 % des parcours d’achat débutent sur le mobile ».
En 2016, après avoir analysé un million de sites web français pour faire un état des lieux de la migration vers des sites « mobile friendly », Yooda a indiqué que 53 % des sites sont toujours inadaptés au mobile. Il faut quand même saluer la progression annuelle de la migration vers le mobile friendly qui est de 11 %.
Dans le détail, l’univers étudié a été constitué par un peu plus de 185 000 sites de e-commerce (soit près de 20 % du panel), un peu plus de 139 000 sites axés sur le voyage et le tourisme, 84 000 sites d’actualités et de médias, 54 000 sites d’administration, près de 33 000 sites traitant de l’immobilier et près de 12 000 sites de cuisine. Le reste des sites est issu de catégories diverses.
La proportion du secteur d’activité cuisine disposant de sites optimisés pour le mobile est restée la même (58 % en 2015 et 2016) et reste en tête de liste en termes de proportion. Les autres secteurs d’activités ont pour leur part connu une croissance : l’immobilier passe de 33 % à 55 %, la catégorie voyages et tourisme passe de 36 % à 54 %, actualités et médias de 42 % à 53 %, e-commerce de 37 % à 49 % et administration de 27 % à 34 %.
Source : blog Yooda
Voir aussi :
Les applications mobiles et sites web mobile-friendly sont la priorité des entreprises en 2015 d'après une enquête internationale
Pourquoi les services publics anglais ont-ils décidé de bannir les applications mobiles ? Un ancien responsable explique
Avoir un site mobile-friendly (le responsive semble être devenu une norme de fait) est INDISPENSABLE aujourd'hui pour la quasi majorité des business. Google a bien poussé la transition en annonçant une mise à jour prenant en compte ce critère donc d'autant plus indispensable !
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