Oui effectivement, c'est le sens de ma phrase. Désolé.
Non il ne manque rien, je parle de l'Ignorance. L'ignorance me fascine depuis quelques temps car je la soupçonne d'être responsable de bien des choses ici bas, comme le besoin de dominer, la peur sous toute ses formes (un gros sous-ensemble de l'ignorance), mais aussi de choses plus agréables, comme les sentiment de bonheur, de surprise positive, de découverte, etc.Si oui, il manque quelque chose : la réponse à la question initiale, "de l'origine de la guerre", c'est l'ignorance de quoi ? qui conduit à la peur de la mort.
L'ignorance de quoi ?
Du temps qu'il va faire demain ? De l'arrivée du tiercé ou des numéros du loto ? Bof bof...
L'ignorance de ce qu'il y a après la vie ? C'est la mort, on le sait.
L'ignorance de ce qu'il y a dans la mort ? OK alors, car effectivement sur une longue durée de mort (en faisant abstraction des NDE donc), personne n'en sait rien...
Et donc je fais partie de ces personnes qui n'en savent rien, et ne savent pas comment appréhender cette situation où il faut envisager quelque chose où l'on n'est plus présent pour envisager quoi que ce soit, mais je ne peux pas dire que j'ai peur de la mort, tout au plus je ne sais pas comment interagir avec ce concept, et ça n'est pas pour autant que ça me donne envie de trucider mon voisin, même si son champ est plus vert que le mien, sa femme plus belle que la mienne, son porte-feuille plus rempli que le mien, etc.
Toutes tes phrases ne laissent pas vraiment place à la discussion, tu as un esprit semble-t'il bien trop fermé et tes argumentations sont tellement grossières (en opposition à précises/logiques) qu'il y a bien trop de choses à dire pour pouvoir/vouloir y répondre. Je penses que ton plus gros problème c'est que tu sais plein de choses...
Aborder la question de "l'après mort" de cette manière n'était pas mon intention. Je ne fais que poser l'hypothèse que l'homme répond bien plus à son instinct animal qu'il ne le croit. Et que ses soit-disantes particularités qui lui permettent de se croire hors des animaux, de se croire "à part", n'en sont pas. La guerre ici présentée par l'OP comme propre à l'homme n'est pas plus différente que la guerre de clan qui peut opposer deux familles de lions vivant côte à côte. La seule chose qui change c'est la proportion, et les différences de forme qu'elle prend à cause de l'anatomie des espèces citées.
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