Note importante: Il utilise toujours le VideoCore 4 (qui est un très bon GPU au passage) pour des raisons évidentes d'ouverture:
Are you still using VideoCore?
Yes. VideoCore IV 3D is the only publicly documented 3D graphics core for ARM-based SoCs, and we want to make Raspberry Pi more open over time, not less. BCM2837 runs most of the VideoCore IV subsystem at 400MHz and the 3D core at 300MHz (versus 250MHz for earlier devices).
C'est ce que m'a répondu Kubii... Sauf que sur le site de Farnell, le rasp 2 et le 3 ont 1 euros de différence HT, et sur Kubii : 6 euros TTC de différence... Ca en fait de la taxe dis donc !
Bon je chipote hein, c'est pas grand chose... juste c'est bizarre la différence de traitement.
quelqu'un l'a fait avec 32 raspi !
http://eclipsejpa.blogspot.fr/2012/1...g-cluster.html
(à la fin de l'article il y a le détail du coût de la manoeuvre) des presques 4000 $
bon, il faut se résilier ça prend trop de place sur une table de télé finallement
Moi aussi j'ai eu l'impression d'être pigeonné, venant d'acheter une Raspberry PI2, après un an d'usage (modeste) d'une PI1 B+.
M'enfin on parle de cartes à 35€ ! Même si la parité $/€ n'est pas à notre avantage, c'est vrai aussi des smartphones à 700€ et des ordis à 2000€.
Olivier
Mine de rien, c'est pas donné, je viens de commander le 3 sur PiHut hier soir avec une carte mémoire 64Go, j’atteins les 90€ en ayant déjà clavier/souris filaires, cable Ethernet et cable HDMI.
Je ne m'en plains pas, je savais à quoi je m'engageait mais le pseudo faible coût reste à relativiser.
Reste à voir ce que je vais en faire, un dual boot OSMC et une distrib Linux à côté.
Exprimer une différence d'opinion vaut mieux que :
Salut,
j'ai vu vos posts et je voulais savoir si à force de monter la PI était toujours d'un bon rapport puissance/qualité/prix ?
parceque ok : le concept est chouette, sauf que c'est le même depuis le début.
Trés trés peu de choses ont changé je pense aux demandes pour avoir un vrai contrôleur ethernet, du SATA, plus de GPIO, etc
et puis, et surtout, avoir accès aux specs, au code.
Après plusieurs années, on reste sur du Broadcomm certes plus ouvert comme ici:
Mais pleins de choses restent cachées et inaccessibles.
Je ne parle pas de la licence à payer pour avoir accès au décodage matériel pour regarder un film avec le GPU et relacher le CPU, ok c'est quelques euros
je l'ai testé c'est plus ou moins efficace mais surtout : on sent la volonté de marché captif. moi ça me gêne. D'autant plus que la partie la plus libre dans
la PI : c'est la communauté autour, ce sont les gens qui l'ont porté avec leur propre énergie. Ca ça me gêne aussi que la fondation en tire tous les bénéfices.
Surtout pour qu'à la fin la PI3 est définie comme, et je cite :
Pour ma part, je préfère faire plus de projets, pouvoir accéder à un maximum de codes, de schéma, d'idées et avoir un ecosysteme sur le modèle Arduino pour un marché de cartes à ajouter . Par exemple avoir des Ethernet supplémentaires, pouvoir ajouter des Shields Arduino, des I/O, des relais de puissance, etc ... Tout ça en libre. Il y à donc d'autres choix de cartes qui permettent cela.le seul changement est la position des LED qui ont été déplacées de l'autre côté de la carte SD pour faire place à l'antenne [...] Tous les connecteurs sont à la même place et ont les mêmes fonctionnalités
Il y a certes moyen de faire plus puissant (d'ailleurs il y a des concurrents qui le font), cela dit je ne suis pas sur qu'un meilleur contrôleur ethernet et du Sata, soit la priorité de la cible des Raspberry Pi. Le but de Raspberry Pi n'est pas de faire des ordinateurs complets, mais de permettre des bricolages faciles.
Et c'est pour cela que la stabilité a du bon, notamment pour les GPIO qui font que quasiment tous les bricolages que la communauté a réalisé pour les Raspberry Pi 1 et 2 sont toujours fonctionnels avec le Raspberry Pi 3.
Mais pleins de choses restent cachées et inaccessibles.
Là le problème c'est surtout les brevets qui obligent ça Raspberry Pi n'y peut rien.
C'est une fondation a but non lucratif. Elle ne paye pas d'actionnaire, les bénéfice vont a l'élaboration des prochains modèles.
Ce n'est pas leur but, ils visent avant tout un matériel qui évolue mais en gardant une base le plus stable possible pour faciliter les échanges au sein de la communauté. Si tu veux du matériel moins stable mais plus évolué, il y a d'autres fabriquants qui proposent ça.
@dlewin
Ton schéma est biaise, les choses ont change depuis 2012 notamment la libération des spécifications du GPU du RPi (VideoCore4) qui a permis la création d'un pilote open source par Eric Anholt (ancien employé de chez Intel). Le RPi n'est pas un hardware libre et ouvert a proprement parler (a ma connaissance, aucune board ne l'est) mais il est le plus documente et celui ayant le moins de "boite noires".
Le fait de pas avoir de boite noirs veut dire que tu peu communiquer et comprendre a quoi servent tous les registres des composant hardwares (tu peux donc écrire du code "bare metal" et tes pilotes) ce qui te permet de faire reelement ce que tu veux avec le hardware sans forcement comprendre comment chaque composant fonctionne.
Un hardware "ouvert" serait plutôt: "en plus de te dire a quoi servent les registres, tu peux voir ce qu'il y a dedans et comment les composants marchent en interne".
Les hardwares open sortent rarement des FPGA.
Je vais nuancer un peu tes propos même si dans le font tu as tout a fait raison.
En électronique, rien est libre pas même Arduino ! Si je prends le UNO il est équipé d'un micro-contrôleur ATMEGA328P qui est propriété d'ATMEL. Jamais ATMEL ou un autre te dira par exemple comment ils arrivent une consommation aussi faible. Les micro Texas Instruments MSP430 sont les micro qui consomment le moins au monde et jamais on nous dira comment ils font. Les boîtes noires ici sont surtout des secrets de fabrications mais au final rien est libre.
Avec Arduino, seul le schéma électronique est libre ce qui est complètement différent.
En revanche, les constructeurs de microcontrôleurs te donne la datasheet du composant et tu as dedans les registres, leurs descriptions, comment on les utilises, comment ils sont connectés etc... en fait il t'explique comment le micro fonctionne de A à Z (mais en ne s'étalant pas trop sur comment le CPU est réalisé concrètement) depuis le temps que je fais de l'électronique j'ai toujours fait moi même mes drivers/firmware. Maintenant Braodcomm est un SOC (microcontrôleur ARM + GPU + ....) et c'est sur que si il donne la doc du micro ARM sans le reste on va pas aller bien loin !
La science ne nous apprend rien : c'est l'expérience qui nous apprend quelque chose.
Richard Feynman
Pour moi la puissance n'est pas un critère, je ne suis pas partisan de ces cartes qui proposent des monstres multicoeurs 64bits et qui ne proposent rien de plus, je pense notamment à la dernière Silicon pourtant prometteuse et qui.... ne sait même pas avoir de l'Ethernet avec tout ça.
Non le but de la Raspberry au départ était pour que des enfants se remettent à bricoler/programmer plutôt qu'aller sur les consoles et réseaux sociaux. Le concept à tellement prix que les adultes (dont nous) s'en sont emparé. Ce concept, je le répète est trés bon, ça m'a permis de sortir des cartes embarquées trés chères à faire venir des US pour enfin pouvoir bricoler à 30€.
Par contre, il n'y à pas de contrôleur ethernet: c'est de l'usb-Ethernet depuis le début :donc votre bande passante est limité à celle de l'USB 2 (pas 3 donc :480Mb/S) qui est une liaison série pour rappel. Le Sata, c'est un choix tout à fait compréhensible de le mettre ou pas, comme la Cubieboard. C'est d'ailleurs trés couteux en étude, schéma (placements, etc) et prix final. Cela étant, la Cubie est un kickstarter fait par 2 électroniciens qui ont pris ce risque et maintenant prend de l'ampleur au point d'alimenter des université et même un Cluster pour Docker . Je semble diverger, mais c'est pour plus de clarté sur les alternatives.[/QUOTE]
Je ne partage pas totalement cet avis, j'y vois plus une stratégie conservatrice mais encore une fois: c'est leur choix. D'autant plus, et c'est ce qui m'insurge le plus : c'est la communauté qui à porté cette carte. Depuis le début jusqu'à aujourd'hui sans elle : pas de PI. Et tout ce boulot, NOOB, Adafruit, etc tout ces portages, ces facilitations apportées ont profité à cette communauté ...pour vendre plus de PI. [/QUOTE]
De quels brevets est il question ? car Broadcomm, et je ne vois qu'eux, fonctionne en direct avec la fondation PI.Ils étaient en perdition, et maintenant peuvent dire merci à la PI. A tel point, que le dernier chip sur la PI3 est designé pour elle! .
NB: j'ai tenté de ne pas écrire sous la forme d'un "Troll", et du coup je souhaite préciser que ce n'est encore un la "PI c'est pas bien, rien n'est libre, etc" ce n'est absolument pas mon propos. Juste informer qu'avec un rapport qualité/prix ont à mieux, plus accessible parceque l'effort de libérer à été fait au maximum. Et ça c'est important.
Je ne comprends pas, j'ai pourtant mis un (gros) schéma pour l'indiquer. Ce qui ne signifie pas que tout à été libéré.
C'est là que la plupart du temps les points divergent (et c'est beaucoup pour un seul homme) : qu'est ce qui défini un hardware de libre ? jusqu'à quel point?
Sur ce sujet particulier, contrairement au SW, j'estime qu'il est possible de faire un minimum d'effort pour libérer un hardware, car dans ce cas je le définis comme:
la carte avec toutes les études autours qui ont permis de la réaliser, comme :
- schémas
- liste des matériaux
- documentation
- spécifications (certaines quand c'est possible)
Et là je te rejoint, on s'arrête au chip le plus souvent.
Donc en utilisant ma définition de hardware libre, je dirais : on peu très bien faire une carte open hardware et open source tout en étant obligé d'utiliser un composant partiellement ouvert.
C'est l'effort des créateurs de la carte qui prime, pas des fabricants des connecteurs, contrôleur, etc. .
Je disais que l'on diverge car il existe plusieurs cartes qui du coup son réellement reconnues comme open hardware. Celles dont je parlais au départ avec un écosysteme bien fournit et bien pensé.
Et donc on arrive à mon propos de départ : ceci n'est pas le cas de la PI, même après les derniers efforts. PAr exemple : quid du code boot de stage1 sur le GPU ? Quid des specs du broadcomm, etc... .
Il est important de sortir de la dichotomie : "ça peut pas être libre, rien ne peut être libre à 100 %: donc ok restons fermé et en marché captif" sinon on n'aurait pas de Linux, pas de fondation Apache (Firefox, Serveurs, Certificats SSL, etc), pas de musiques libre, livres libres, logiciels libres, etc etcc. Car tout ça finalement à pourtant été fait avec des ordinateurs aux formats propriétaires cependant.
Tout à fait, sauf que ta définition du open hardware part du principe que le chip est totalement libre. De plus, et dans le cas du Broadcomm de la PI tu ne peux pas tout utiliser en "bare- metal" il y à toujours des zones d'ombres
Petite information, après avoir lu que le Pi 3 consommait plus que ces prédécésseurs, le wattmètre mesure de 1,7 à 2,2 W en lecture vidéo via OSMC / Kodi contre environ 2.5 W pour le Pi 1 B+, la conso au repos est donc un cran plus faible ce qui le rend très pratique pour faire des téléchargements de fichiers via wget par exemple. Sur un lourd fichier vidéo en 1080p ou 4K que le Pi 3 n'arrive pas correctement à lire, la consommation monte à environ 6 W.
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