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  1. #61
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    Par défaut Google et Meta utilisent des « tactiques d'intimidation » contre le projet de loi sur l'information au Canada
    Google et Meta utiliseraient des « tactiques d'intimidation » contre le projet de loi sur l'information au Canada,
    selon le Premier ministre Trudeau qui ne semble pas vouloir faire de compromis

    Google et Meta utiliseraient des « tactiques d'intimidation » contre le projet de loi sur l'information au Canada, selon le Premier ministre Justin Trudeau. Ce dernier ne souhaite pas faire de compromis avec Meta et Google au sujet d'une proposition de loi qui les obligerait à payer les journalistes canadiens qui aident les entreprises technologiques à générer des revenus.

    Le projet de loi a été adopté par la Chambre des communes du Canada en décembre et se trouve dans la chambre haute du parlement, qui bloque rarement les lois approuvées par la chambre basse. « Les différents géants de l'internet, comme Meta, affichent chaque année des bénéfices records alors que les informations locales indépendantes sont en difficulté dans tout le pays », a déclaré Trudeau. « Nous continuerons à veiller à ce que ces entreprises incroyablement rentables contribuent au renforcement de notre démocratie.

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    « Nous sommes venus à la table avec des solutions raisonnables et pragmatiques qui permettraient au projet de loi de fonctionner comme prévu et d'accroître nos investissements dans l'écosystème canadien de l'information », a déclaré Shay Purdy, porte-parole de Google, en réaction aux remarques de Trudeau. Le projet de loi « présente de sérieux problèmes qui le rendent inapplicable à nos produits et services », a ajouté Purdy.

    Trudeau a déclaré que les tactiques d'intimidation de Meta et de Google ne fonctionneraient pas avec son gouvernement, qui, selon lui, veille à ce que ces entreprises n'affaiblissent pas la démocratie canadienne en menaçant l'industrie nationale des médias.

    Google et Meta ont déclaré qu'elles étaient prêtes à mettre un terme définitif à l'accès aux contenus d'information au Canada si le Parlement adoptait le projet de loi C-18, qui obligerait les géants de la technologie à payer les éditeurs pour l'établissement de liens vers des contenus d'information ou pour leur réaffectation.

    Google Canada joue la carte de la conciliation après avoir testé la censure des actualités

    Google Canada a déclaré aux sénateurs qu'il serait raisonnable de reconsidérer la question de savoir s'il partage des liens vers des sites d'information si le projet de loi sur l'information en ligne du gouvernement est adopté, mais qu'il ne promet pas de les bloquer. Richard Gingras, vice-président de la division des actualités de l'entreprise, a déclaré à une commission sénatoriale que Google avait fait part de ses préoccupations concernant le projet de loi depuis plus d'un an.

    Gingras a déclaré que ces préoccupations n'avaient pas été prises en compte et que les récents amendements apportés au projet de loi avaient aggravé la situation dans certains cas. La sénatrice Paula Simons a qualifié les commentaires de Gingras de « plutôt conciliants », à la lumière du test effectué par Google en début d'année.

    Google a effectué un test similaire en début d'année, en limitant l'accès aux actualités sur son moteur de recherche à moins de 4 % de ses utilisateurs canadiens. La société affirme qu'elle cherche à obtenir un compromis de la part du gouvernement libéral. À l'époque, les critiques ont qualifié cette mesure de tactique d'intimidation, et l'Association canadienne des radiodiffuseurs a déclaré qu'il s'agissait d'une preuve que les géants mondiaux du numérique n'avaient pas l'intention de faire preuve d'équité.

    « Le fait que ces géants de l'Internet préfèrent couper l'accès des Canadiens aux informations locales plutôt que de payer leur juste part est un vrai problème, et ils ont maintenant recours à des tactiques d'intimidation pour essayer d'obtenir ce qu'ils veulent. Cela ne marchera pas », a déclaré Trudeau lors d'une conférence de presse. « Nous continuerons à veiller à ce que ces entreprises incroyablement rentables contribuent à renforcer notre démocratie, et non à l'affaiblir ».

    Les grands éditeurs ont déclaré à une commission sénatoriale chargée d'étudier le projet de loi qu'ils pourraient perdre des millions de dollars si leur contenu était bloqué par Google et Meta.

    Google critique le projet de loi canadien et le compare aux normes internationales

    Google affirme que les règles du projet de loi sont plus strictes que celles adoptées en Australie et en Europe, et a proposé des amendements « pour s'aligner » sur les normes internationales afin de répondre aux préoccupations de l'entreprise. « Nous sommes venus à la table avec des solutions raisonnables et pragmatiques qui permettraient au projet de loi de fonctionner comme prévu et d'accroître nos investissements dans l'écosystème canadien de l'information », a déclaré Shay Purdy, porte-parole de Google, en réaction aux remarques de Trudeau.

    En juillet 2020, alors que les géants du GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) n’en ont pas encore fini avec les accusations d’abus de position dominante portées par les élus du Congrès américain, les choses semblent encore se compliquer pour Google et Facebook en Australie. En effet, durant ce mois de juillet 2020, le gouvernement australien, à travers la Commission australienne de la concurrence et des consommateurs (abrégée ACCC en anglais), a annoncé qu’il allait contraindre ces deux entreprises à payer une rémunération aux groupes de presse du pays pour les contenus qui sont relayés sur les plateformes de ces deux entreprises.

    Février 2021, le Parlement australien a adopté une version finale de la législation visant à forcer Google et Facebook à payer pour créer des liens vers des articles de presse. L'adoption du code de négociation des médias d'information marque la fin d'une négociation controversée de plusieurs mois entre le gouvernement australien et les deux géants de la technologie, qui sont mentionnés dans le code.

    Le projet de loi « présente de sérieux problèmes qui le rendent inapplicable à nos produits et services », a ajouté Purdy. Le projet de loi a été adopté par la Chambre des communes du Canada en décembre et se trouve dans la chambre haute non élue du parlement, qui bloque rarement les lois approuvées par la chambre basse. Le secteur canadien des médias souhaite une réglementation plus stricte des entreprises technologiques afin de les empêcher d'évincer les entreprises de presse du marché de la publicité en ligne.

    Meta et Google ont tous deux fait valoir que les actualités ne généraient pas beaucoup de revenus pour leurs entreprises, et ils envisagent de supprimer complètement les actualités locales sur leurs plateformes. Meta a déclaré que les actualités représentaient environ 3 % du contenu des flux Facebook, et Google a indiqué que moins de 2 % des recherches étaient liées aux actualités, car les gens s'intéressent davantage aux recettes qu'aux articles.

    Une législation imparfaite pour les petites entreprises de médias

    Le projet de loi sur l'information en ligne a déjà été adopté par la Chambre des communes et pourrait être approuvé par le Sénat dès ce mois-ci. S'il est adopté, les deux entreprises seront tenues de conclure des accords avec les éditeurs de presse afin de les rémunérer pour les contenus d'information qui apparaissent sur leurs sites s'ils les aident à générer de l'argent.

    Les sénateurs qui étudient le projet de loi au sein de la commission des transports et des communications estiment que jusqu'à 700 organes de presse au Canada pourraient en bénéficier.

    Cependant, le directeur parlementaire du budget, Yves Giroux, a déclaré à la commission que la législation n'était pas bien conçue pour les petites entreprises de médias. Il a déclaré que ces dernières ne disposaient pas des mêmes ressources que les médias traditionnels et qu'il leur serait probablement difficile de négocier avec les puissantes entreprises de la Silicon Valley.

    Chaque entreprise a proposé des amendements au Sénat, y compris des changements à la section du projet de loi qui traite de l'arbitrage et des ajustements qui créeraient plus de certitude quant aux éditeurs avec lesquels ils devraient conclure des accords. Par exemple, Google a déclaré qu'en l'état actuel du projet de loi, il devrait conclure des accords avec les diffuseurs communautaires et universitaires, même s'ils ne produisent pas de contenu d'information et ne sont pas tenus d'adhérer à un code de déontologie.


    La porte-parole Shay Purdy a déclaré dans un communiqué que la société avait proposé des « solutions raisonnables et pragmatiques » qui permettraient d'accroître l'investissement de la société dans l'information canadienne. « Nous sommes très préoccupés par la voie dans laquelle nous sommes engagés et nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour nous engager de manière constructive et éviter une issue négative pour les Canadiens. »

    Le ministre du Patrimoine Pablo Rodriguez a déclaré que le projet de loi était déjà équilibré et que Meta et Google avaient son numéro de téléphone s'ils voulaient discuter. « Le projet de loi C-18 concerne l'avenir de l'industrie de l'information dans notre pays », a déclaré Pablo Rodriguez, ministre du Patrimoine canadien. « Il s'agit de défendre notre démocratie, car notre démocratie - toute démocratie - a besoin d'une presse libre, indépendante et prospère. »

    Meta finance un nombre limité de bourses qui soutiennent les journalistes émergents de La Presse Canadienne.

    Source : Vidéo

    Et vous ?

    Quelles sont les conséquences potentielles du blocage des contenus d’information pour les utilisateurs, les médias et la démocratie canadienne ?

    À votre avis, pourquoi Google et Meta ne veulent-ils pas négocier avec le gouvernement et les éditeurs de presse ?

    Quelles pourraient être les alternatives possibles au projet de loi C-18 pour assurer une rémunération équitable des médias sans compromettre l’accès à l’information ?

    Quels sont les risques et les défis liés à l’application du projet de loi C-18, notamment en ce qui concerne les recours civils, les sanctions administratives pécuniaires et l’arbitrage sur l’offre finale ?

    Voir aussi :

    L'Australie va forcer Google et Facebook à payer les éditeurs de presse pour l'affichage des extraits de leurs articles, un projet de code vient d'être publié à cet effet

    L'Australie adopte une nouvelle loi sur les médias qui obligera Google et Facebook à payer pour les actualités, diffusées sur leurs plateformes ou dans les résultats de recherche
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  2. #62
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    Les pays et media devraient prendre exemple sur le Canada. Et ça aurait du être fait il y a des années.

    Les GAFAM ont acquis tellement de pouvoir qu'ils se croient tout permis.
    Ils fournissent un accès facile à l'information.
    Si les gens n'ont plus accès à l'information via FB ou Google ou consort, les canadiens se tourneront inévitablement vers d'autre sources (TV, presse papier, site web du journal, ...).

  3. #63
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    Citation Envoyé par Bruno Voir le message
    Le projet de loi sur l'information en ligne a déjà été adopté par la Chambre des communes et pourrait être approuvé par le Sénat dès ce mois-ci. S'il est adopté, les deux entreprises seront tenues de conclure des accords avec les éditeurs de presse afin de les rémunérer pour les contenus d'information qui apparaissent sur leurs sites s'ils les aident à générer de l'argent.
    Envoyer les editeurs locaux négocier avec des GAFAM est vraiment une bonne idée?
    Quel est le poids d'un éditeur face à Google? Ont-ils la moindre chance d'être écouté s'ils ne se groupent pas?

    Après ça ne fait pas de mal aux GAFAM de tomber sur un gouvernement qui ne plie pas à leur moindre menace.

  4. #64
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    Citation Envoyé par smarties Voir le message
    Si les gens n'ont plus accès à l'information via FB ou Google ou consort, les canadiens se tourneront inévitablement vers d'autre sources (TV, presse papier, site web du journal, ...).
    J'en doute. À l'exception des personne âgés, la majorité des gens n'ont plus confiance aux médias traditionnelles. Et comme de plus en plus de gens sont victimes du vaccins contre le Covid. (94 des gens morts du Covid étaient triplement vaccinés), cela ne va pas améliorer leur crédibilité. Et grace à Trudeau, les blogs sont une espèces en voie de disparition.

  5. #65
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    Citation Envoyé par Madmac Voir le message
    Et comme de plus en plus de gens sont victimes du vaccins contre le Covid.
    Comme d'habitude, Madmac propage de la désinformation .
    Cette rumeur n'a aucun fondement, des tonnes de sources l'attestent, il est temps d'arrêter les mensonges.

  6. #66
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    Citation Envoyé par escartefigue Voir le message
    Comme d'habitude, Madmac propage de la désinformation .
    Cette rumeur n'a aucun fondement, des tonnes de sources l'attestent, il est temps d'arrêter les mensonges.

    Mais il y a des fondements. Depuis le temps, tu devrais savoir que je n'invente pas mes informations..

    France


    https://www.mortality.watch/explorer...522%253A1%257D


    Canada

    Selon cette tendance, cela va être un carnage, cet hivers.

    https://www.mortality.watch/explorer/?q={%22c%22:[%22Canada%22],%22t%22:%22cmr_excess%22,%22ct%22:%22yearly%22,%22cs%22:%22line%22,%22df%22:%222013%22,%22dt%22:%222022%22,%22pi%22:1,%22p%22:1,%22v%22:1}

  7. #67
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    @MadMac : et comme d'habitude, des sources moisies ou incomplètes

    Sur vos liens les courbes de mortalité sont présentées sans la moindre corrélation avec la cause, donc dire que le fautif est le vaccin est un mensonge.
    De plus, la mortalité augmente en France quasi régulièrement depuis 2006, donc bien avant le COVID-19

    Voir cette courbe de l'INSEE
    https://www.insee.fr/fr/statistiques/2383440

    Comme tous les complotistes, vous biaisez les faits et chez vous c'est systématique.
    Une telle constance dans le mensonge et la mauvaise foi, c'est sidérant !

  8. #68
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    Citation Envoyé par escartefigue Voir le message
    Voir cette courbe de l'INSEE
    Je parie que l'INSEE prétend que l'immigration est sans problème en France ....

  9. #69
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    L'INSEE fait des études statistiques, pas des remarques au fondement xénophobe et encore moins des assertions mensongères.
    En d'autres termes, inutile de leur envoyer votre CV, vous n'avez pas le profil.

  10. #70
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    Citation Envoyé par Madmac Voir le message
    Je parie que l'INSEE prétend que l'immigration est sans problème en France ....
    Je me demandais qui pouvait prendre au sérieux Mathieu Bock-Côté et Richard Martineau et voter Maxime Bernier.
    J'ai ma réponse.

  11. #71
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    Par défaut Gannett, la plus grande chaîne de presse américaine, poursuit Google en justice
    Gannett, la plus grande chaîne de presse américaine, poursuit Google en justice pour pratiques anticoncurrentielles et trompeuses,
    concernant sa technologie publicitaire

    Gannett, la plus grande chaîne de presse américaine et éditeur de USA Today, a poursuivi mardi Google pour avoir tenté d'accaparer le marché de la publicité en ligne en monopolisant la technologie publicitaire. Dans une plainte déposée devant le tribunal fédéral de Manhattan, Gannett, qui compte plus de 200 quotidiens, a déclaré que le contrôle de Google sur les outils d'achat et de vente d'annonces en ligne oblige les éditeurs à vendre plus d'espace publicitaire bon marché à l'unité Alphabet Inc.

    La plainte fédérale, déposée mardi devant le tribunal de district américain du district sud de New York, accuse Google de monopoliser les marchés de la technologie publicitaire, d'utiliser des « pratiques commerciales trompeuses » et de violer les lois américaines antitrust et de protection des consommateurs.

    « Google contrôle 90 % du marché des "serveurs publicitaires d'éditeurs", que les éditeurs utilisent pour proposer des espaces publicitaires à vendre », a déclaré Gannett dans un communiqué. « Google contrôle également plus de 60 % du marché des "échanges d'annonces", qui organisent des enchères entre les annonceurs enchérissant pour l'espace publicitaire sur les sites Web des éditeurs ».

    Les éditeurs comptent sur les revenus des publicités numériques pour financer leurs opérations. Gannett est le plus grand éditeur aux États-Unis.

    « Les éditeurs d'actualités dépendent des revenus de la publicité numérique pour fournir des rapports opportuns et de pointe et les communautés de contenu essentielles sur lesquelles s'appuient, mais les pratiques de Google ont eu des implications négatives qui non seulement réduisent les revenus, mais forcent également la réduction et l'empreinte des actualités locales », a déclaré le PDG de Gannett, Mike Reed, dans un communiqué. « Sans concurrence libre et équitable pour l'espace publicitaire numérique, les éditeurs ne peuvent pas investir dans leurs salles de rédaction ».

    L’activité publicitaire de Google est de loin la plus rentable, représentant environ 80 % de son chiffre d’affaires annuel. Pour mémoire, en 2022, Google a généré 224.47 milliards de dollars de revenus publicitaires, ce qui représente près de 80 % de ses revenus totaux (qui étaient de 282.83 milliards de dollars). Dans ce montant, plus de 162 milliards de dollars provenaient de Google Search, plus de 29 milliards de dollars provenaient des annonces YouTube et près de 33 milliards de dollars provenaient des sites de son Réseau. Pour mémoire, afin que vous puissiez mieux contrôler les emplacements de diffusion de vos annonces, Google a divisé son Réseau Google en deux groupes :
    • le Réseau de Recherche : il comprend les pages de résultats de recherche, d'autres sites Google, tels que Maps et Shopping, ainsi que des sites qui s'associent à Google pour diffuser des annonces ;
    • le Réseau Display : il comprend des sites Google comme YouTube, Blogger et Gmail, ainsi que des milliers de sites partenaires de Google sur le Web.


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    L'activité publicitaire de Google

    PDG de Gannett : voici pourquoi nous poursuivons Google pour pratiques commerciales trompeuses

    Ci-dessous, un extrait d'une tribune du PDG de Gannett.

    Notre action en justice vise à rétablir une concurrence loyale sur un marché de la publicité numérique que Google a démoli. Depuis que notre plus ancienne publication, le Poughkeepsie Journal, est entrée en circulation en 1785, la couverture médiatique dépend de la publicité. Aujourd'hui, 86 % des Américains lisent les actualités en ligne. Par conséquent, les éditeurs d'actualités dépendent des revenus publicitaires numériques pour fournir des rapports et du contenu opportuns et de pointe dont dépendent les communautés à travers le pays.

    Le passage en ligne aurait dû créer d'énormes opportunités pour les éditeurs. La publicité numérique représente désormais une activité de 200 milliards de dollars, soit près de huit fois plus qu'en 2009.

    Pourtant, les revenus publicitaires des éditeurs de presse ont considérablement diminué. Les pratiques de Google ont des implications dans le monde réel qui réduisent non seulement les revenus, mais forcent également la réduction et l'empreinte des actualités locales à un moment où elles sont le plus nécessaires.

    Les données révèlent une inadéquation fondamentale sur le marché en ligne. Les fournisseurs de contenu, y compris des centaines de nos organes de presse locaux, créent une valeur énorme, mais ne voient aucun avantage financier, car Google, en tant qu'intermédiaire, a monopolisé les marchés des produits logiciels et technologiques importants que les éditeurs et les annonceurs utilisent pour acheter et vendre de l'espace publicitaire.

    Google contrôle 90 % du marché des "serveurs publicitaires d'éditeurs", que les éditeurs utilisent pour proposer des espaces publicitaires à la vente. Google contrôle également plus de 60 % du marché des "échanges d'annonces", qui organisent des enchères entre les annonceurs enchérissant pour l'espace publicitaire sur les sites Web des éditeurs.

    Enfin, Google contrôle la plus grande source d'annonceurs enchérissant sur les échanges. Pour Gannett, 60 % de tous les acheteurs passent par Google. Le résultat évidemment douloureux est que Google contrôle et manipule injustement tous les aspects de chaque transaction publicitaire en ligne.

    Google exploite ce conflit d'intérêts à son avantage et aux dépens des éditeurs, des lecteurs et de tous les autres. Notre action en justice détaille plus d'une douzaine d'actes significativement anticoncurrentiels et trompeurs de la part de Google, commençant dès 2009 et persistant jusqu'à nos jours.

    Le cœur de l'affaire et notre position sont que Google abuse de son contrôle sur le monopole des serveurs publicitaires pour rendre de plus en plus difficile pour les bourses concurrentes de lancer des enchères compétitives. De plus, la bourse de Google organise ses propres enchères afin que les annonceurs de Google puissent acheter de l'espace publicitaire à des prix avantageux. Cela signifie moins d'investissements dans le contenu en ligne et moins d'espaces publicitaires pour les éditeurs à vendre et les annonceurs à acheter. Google gagne toujours parce qu'il prend une part croissante de ce gâteau qui rétrécit.

    Mais qui perd ? Les médias américains et leurs lecteurs. En particulier, les organes de presse locaux sont en difficulté en raison des pratiques illégales de truquage des offres de Google.

    Dans l'ensemble de l'industrie, depuis 2008, l'emploi dans les salles de rédaction a chuté de plus de moitié et 20 % de tous les journaux ont été contraints de fermer. Il y a moins de nouvelles là où elles sont le plus nécessaires tandis que Google prospère grâce à ce schéma.

    En 2022, Google a réalisé plus de 30 milliards de dollars de revenus grâce à la vente d'espaces publicitaires sur les sites Web des éditeurs. Cela représentait six fois les revenus publicitaires numériques de toutes les publications d'information américaines combinées. Dans un marché qui fonctionne, personne ne s'attendrait à ce que l'intermédiaire gagne plus que le créateur de contenu.


    La réaction de Google

    « Ces affirmations sont tout simplement fausses », a déclaré Dan Taylor, vice-président de Google Ads, dans une déclaration à USA TODAY. « Les éditeurs ont le choix entre de nombreuses options lorsqu'il s'agit d'utiliser la technologie publicitaire pour monétiser leurs activités - en fait, Gannett utilise des dizaines de services publicitaires concurrents, y compris Google Ad Manager. Et lorsque les éditeurs choisissent d'utiliser les outils Google, ils conservent la grande majorité des revenus. Nous montrerons au tribunal comment nos produits publicitaires profitent aux éditeurs et les aiderons à financer leur contenu en ligne.*»

    Google a affirmé son soutien continu au journalisme, notant qu'il a « fourni des milliards de dollars pour soutenir la création d'un journalisme de qualité à l'ère numérique ».

    Gannett a déclaré que l'année dernière : « Google a réalisé plus de 30 milliards de dollars de revenus grâce à la vente d'espaces publicitaires sur les sites Web des éditeurs, soit six fois les revenus publicitaires numériques de toutes les publications d'actualités américaines combinées ».

    Mais Google note : « Dans une étude portant sur les principaux éditeurs d'actualités utilisant Google Ad Manager, nous avons constaté qu'ils conservent en moyenne plus de 95 % des revenus publicitaires numériques lorsqu'ils diffusent des annonces sur leur contenu ». L'entreprise a également ajouté que ses frais de technologie publicitaire sont transparents et conformes au reste de l'industrie.

    Gannett n'est pas le premier à poursuivre Google pour ses pratiques publicitaires. Plusieurs procureurs généraux des États ont intenté une action en justice contre Google avec des allégations similaires en 2020, et cette année, le ministère de la Justice et d'autres États ont poursuivi Google pour « monopolisation des technologies de publicité numérique », comme l'a noté Reed. L'autorité de la concurrence de l'Union européenne cherche également à démanteler l'activité de technologie publicitaire de Google dans une affaire distincte déposée la semaine dernière.

    Sources : SEC, vidéo dans le texte

    Et vous ?

    Que pensez-vous de la plainte de Gannett contre Google ?
    Avez-vous déjà remarqué une baisse de la diversité et de la qualité de l’information en ligne ?
    Quelles sont les solutions possibles pour soutenir le journalisme face à la domination de Google ?
    Quels sont les avantages et les inconvénients de la publicité en ligne pour les éditeurs et les lecteurs ?
    Quel est le rôle des autorités de régulation dans le secteur de la publicité en ligne ?
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  12. #72
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    Citation Envoyé par AaâÂäÄàAaâÂäÄàAaâÂäÄ Voir le message
    Je me demandais qui pouvait prendre au sérieux Mathieu Bock-Côté et Richard Martineau et voter Maxime Bernier.
    J'ai ma réponse.
    Il n'y a qu'un wokisto décérébré jusqu'à la trogne pour tenir des propos comme les tiens.
    De là à ce que tu habites dans le repère des wokistes : au canada, ça ne me surprendrais pas.

    De là à ce que tu nous pondes tes arguments comme quoi la matriarcat est la réponse au patriarcat, qui lui même est la cause de tout les problèmes du monde, même tes problèmes de constipations, il n'y a qu'un pas.

    Bien sûr que Mathieu Bock-Coté est à prendre au sérieux, bien plus que tu ne le sera jamais !

  13. #73
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    Citation Envoyé par HaryRoseAndMac Voir le message
    Il n'y a qu'un wokisto décérébré jusqu'à la trogne pour tenir des propos comme les tiens.
    De là à ce que tu habites dans le repère des wokistes : au canada, ça ne me surprendrais pas.
    Et oui, comme MBC d'ailleurs
    Et pire je suis à Montréal mais dans Hochelaga, le quartier ouvrier par excellence par contre...

    Citation Envoyé par HaryRoseAndMac Voir le message
    De là à ce que tu nous pondes tes arguments comme quoi la matriarcat est la réponse au patriarcat, qui lui même est la cause de tout les problèmes du monde, même tes problèmes de constipations, il n'y a qu'un pas.
    Le problème est que tu opposes le patriarcat au matriarcat, alors que le problème un peu moins simple que ça. Mais quand on ne veut pas comprendre, tous les raccourcis sont permis.

    Citation Envoyé par HaryRoseAndMac Voir le message
    Bien sûr que Mathieu Bock-Coté est à prendre au sérieux, bien plus que tu ne le sera jamais !
    Comme quoi l'éloquence et la pédanterie est bien plus efficace que le contenu.
    D'ailleurs, le pourfendeur des « valeurs québécoises » qui passe la majorité de son temps en France, c'est tout de même assez drôle...

  14. #74
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    Par défaut Canada : après Meta (Facebook), Google décide de supprimer les liens vers les actualités de ses produits
    Canada : après Meta (Facebook), Google décide de supprimer les liens vers les actualités de ses produits
    suite à une loi adoptée qui l'obligerait à rémunérer les médias pour le contenu partagé

    Le gouvernement libéral du Canada a adopté la semaine dernière la loi sur les actualités en ligne, anciennement connue sous le nom de projet de loi C-18, qui oblige les géants du numérique comme Google et Meta à négocier des accords pour rémunérer les médias pour le contenu qu’ils partagent ou qu’ils réutilisent sur leurs plateformes. En réaction à cette loi, Google a annoncé qu’il allait supprimer les liens vers les actualités au Canada sur ses produits de recherche, d’actualités et de découverte, avant la fin de l’année. Il va également mettre fin à Google News Showcase au Canada, un produit qu’il utilise pour acheter des actualités auprès de plus de 150 éditeurs locaux.

    Le Parlement canadien a adopté une loi qui obligera les entreprises technologiques à payer les organes de presse nationaux pour les liens vers leurs articles, ce qui a incité le propriétaire de Facebook et d'Instagram à dire qu'il retirerait des articles d'actualité des deux plateformes du pays.

    La loi, adoptée le 22 juin, est la dernière salve d'une poussée des gouvernements du monde entier pour forcer les grandes entreprises comme Google et Facebook à payer pour les informations qu'elles partagent sur leurs plateformes. Avec quelques mises en garde, la nouvelle loi canadienne obligerait les moteurs de recherche et les entreprises de médias sociaux à s'engager dans un processus de négociation (et un arbitrage exécutoire, si nécessaire) pour obtenir une licence de contenu d'actualités pour leur utilisation.

    La loi, baptisée Online News Act, s'inspire d'une loi similaire adoptée en Australie il y a deux ans. Elle a été conçue pour « renforcer l'équité sur le marché canadien des nouvelles numériques et contribuer à sa durabilité », selon un résumé officiel.

    Les partisans de la législation y voient une victoire pour les médias d'information, car ils se battent pour compenser la chute des revenus publicitaires qu'ils attribuent aux entreprises de la Silicon Valley accaparant le marché de la publicité en ligne.

    « Une presse forte, indépendante et libre est fondamentale pour notre démocratie », a écrit Pablo Rodriguez, ministre du Patrimoine canadien dans le gouvernement du Premier ministre Justin Trudeau, sur Twitter. « La loi sur les informations en ligne aidera à garantir que les géants de la technologie négocient des accords justes et équitables avec les organes de presse ».

    Les entreprises technologiques l'ont perçu différemment

    Meta a décidé de bloquer l'accès aux actualités canadiennes sur ses sites en représailles

    L'entreprise a par ailleurs mis fin au contrat d’un programme de bourses qui soutenait l’embauche d’un nombre limité de journalistes émergents au service de presse The Canadian Press.

    Citation Envoyé par Meta
    Aujourd'hui, nous confirmons que la disponibilité des actualités sur Facebook et Instagram sera terminée pour tous les utilisateurs au Canada avant l'entrée en vigueur de la Loi sur les nouvelles en ligne (projet de loi C-18).

    Nous avons expliqué à plusieurs reprises qu'afin de se conformer au projet de loi C-18, adopté aujourd'hui au Parlement, le contenu des organes de presse, y compris les éditeurs de nouvelles et les diffuseurs, ne sera plus disponible pour les personnes accédant à nos plateformes au Canada.

    Plus tôt ce mois-ci, nous avons annoncé que nous menions des tests de produits pour nous aider à créer une solution de produit efficace pour mettre fin à la disponibilité des informations à la suite de C-18. Ces tests sont en cours et touchent actuellement un petit pourcentage d'utilisateurs au Canada.

    Les changements affectant le contenu des nouvelles n'auront pas d'incidence sur les produits et services de Meta au Canada. Nous voulons assurer aux millions de Canadiens sur nos plateformes qu'ils pourront toujours se connecter avec leurs amis et leur famille, développer leurs entreprises et soutenir leurs communautés locales.

    Nous continuerons à lutter contre la désinformation et avons construit le plus grand réseau mondial de vérification des faits de toutes les plateformes en nous associant à plus de 90 organisations indépendantes de vérification des faits à travers le monde qui examinent et évaluent la désinformation virale dans plus de 60 langues dans le monde. La vérification des faits se poursuivra en ce qui concerne le contenu qui demeure disponible au Canada.
    Nom : facebook.png
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    Google estime que c'est une position impossible à tenir

    Kent Walker, président des affaires mondiales de Google et Alphabet, a dit qu’il était déçu d’en arriver là, mais que la législation restait inapplicable. Il a ajouté que la décision sans précédent de mettre un prix sur les liens (une sorte de “taxe sur les liens”) créait de l’incertitude pour ses produits et l’exposait à une responsabilité financière illimitée simplement pour faciliter l’accès des Canadiens aux actualités des éditeurs canadiens.

    Citation Envoyé par Kent Walker
    Le projet de loi C-18 est devenu loi et demeure inapplicable. Le gouvernement ne nous a pas donné de raison de croire que le processus réglementaire sera en mesure de résoudre les problèmes structurels de la législation. Par conséquent, nous avons informé le gouvernement que nous avons pris la décision difficile que lorsque la loi entrera en vigueur, nous supprimerons les liens vers les actualités canadiennes de nos produits de recherche, d'actualités et de découverte et ne serons plus en mesure d'exploiter Google News Showcase au Canada.
    « Une fois la loi entrée en vigueur, nous ne prévoyons pas de poursuivre les accords », a déclaré Kent Walker au sujet de Google News Showcase. « Nous n'aurons pas de produit d'information à présenter, (et) les ententes sont fondées sur la capacité de présenter les actualités canadiennes ».

    Google n'a pas dit exactement quand les changements se produiront, mais ce sera avant l'entrée en vigueur de la loi. La loi a été adoptée la semaine dernière et entrera en vigueur d'ici la fin de l'année.

    Walker a déclaré avoir écrit une lettre au ministre du Patrimoine canadien Pablo Rodriguez tôt jeudi matin pour l'informer, lui et son équipe, de la décision. Walker a déclaré que Google avait commencé à informer les autorités fédérales, provinciales et régionales « juste pour s'assurer qu'elles sont au courant de tous les outils Google à leur disposition pour faire passer le mot dont elles ont besoin pour répondre à la crise, (et) prévoir d'autres circonstances ».

    Il a déclaré que Google continuerait à créer des ressources pour les agences gouvernementales afin de faire passer le mot en temps de crise. « Nous voulons souligner que ce changement n'affectera pas les alertes SOS que nous utilisons pour faire remonter les informations de sécurité pendant les situations de crise, comme les incendies (au Canada) ou les inondations ou les tremblements de terre », a déclaré Walker.


    Une situation complexe

    La loi sur les actualités en ligne oblige les deux sociétés à conclure des accords avec les éditeurs d'actualités pour les payer pour le contenu d'actualités qui apparaît sur leurs sites si cela les aide à générer de l'argent. La loi vise à créer une nouvelle surveillance gouvernementale pour les géants du numérique qui dominent le marché de la publicité en ligne.

    Le gouvernement libéral considère la domination de Meta et de Google sur Internet, et leur décision de supprimer les nouvelles, comme une menace pour la démocratie canadienne à un moment où l'industrie de l'information continue de faire face à des réductions en raison de la baisse des revenus publicitaires.

    Depuis 2008, près de 500 salles de rédaction ont fermé à travers le pays, a déclaré Rodriguez.

    Walker a déclaré que la loi est irréalisable, car elle met un prix sur les liens, ce qui entraîne une responsabilité financière non plafonnée « qu'aucune entreprise ne pourrait accepter ». « Je pense que nous avons besoin d'attentes financières claires, et nous avons besoin d'une voie claire et réaliste vers l'exemption qui tient compte de nos accords commerciaux et des autres soutiens que nous fournissons pour les actualités au Canada », a déclaré Walker.

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    Alors que le projet de loi était débattu au Parlement, Google a appelé les législateurs à envisager d'autres moyens de soutenir l'information, comme la création d'un fonds pour les journalistes. Google cherchait également à obtenir des assurances sur le coût des changements et sur le déroulement du processus de négociation. Ces détails deviendront probablement clairs une fois le processus réglementaire du projet de loi terminé.

    News Media Canada, qui défend l'industrie de l'information, a déclaré que le moment était venu pour toutes les parties prenantes « d'agir de bonne foi » et de s'engager dans le processus de réglementation. « Nous pensons qu'il existe une voie viable », a déclaré Paul Deegan, président et chef de la direction du groupe, dans un communiqué.

    Plus tôt cette semaine, Rodriguez a déclaré à La Presse canadienne qu'il espérait que le gouvernement parviendrait à une résolution positive avec les deux sociétés pour les empêcher de supprimer des informations. Rodriguez a également déclaré que le gouvernement continuerait à soutenir les salles de rédaction, bien qu'il n'ait pas précisé exactement comment cela se ferait.

    « L'effort pour trouver une solution semble sincère, mais malheureusement, nous n'avons pas les assurances dont nous avons besoin pour créer la certitude financière ou la certitude du produit, mais nous espérons que cela changera », a déclaré Walker. « Nous espérons que le gouvernement pourra travailler sur les détails. C'est leur projet de loi, ils le connaissent mieux, nous devrons donc attendre et voir comment le processus réglementaire se déroule, ce que le gouvernement propose et voir s'il y a un résultat satisfaisant ».

    Rendus à ce niveau, à moins d’un coup de théâtre, les Canadiens et les Canadiennes ne pourront plus voir de l’actualité à travers Google. Il leur faudra opter pour un autre moteur de recherche, taper l’adresse du média directement dans la barre d’adresse de leur navigateur web ou bien utiliser l’application maison du média. Ils pourront aussi toujours cliquer sur les liens des médias qui apparaissent sur les sites web ou dans les applications. Google estime que la loi C-18 « rendra plus difficile la recherche d’informations en ligne pour les Canadiens ». Les médias aussi auront également plus de mal à atteindre leur public. Cela « réduira le précieux trafic gratuit sur le web pour les éditeurs canadiens ». En clair, si la situation n’est pas fameuse aujourd’hui, elle sera pire demain.

    Sources : Meta, Google

    Et vous ?

    Que pensez-vous de la loi canadienne sur les actualités en ligne ?
    Que pensez-vous de la réaction de Google et Facebook ? Des arguments avancés ?
    Pensez-vous que les géants du numérique devraient payer les médias pour le contenu qu’ils partagent ou réutilisent sur leurs plateformes ?
    Quels sont les avantages et les inconvénients d’une telle réglementation pour les utilisateurs, les créateurs et les éditeurs de contenu ?
    Quel modèle de régulation du contenu en ligne vous semble le plus adapté à votre pays ou à votre région ?
    Comment vous informez-vous sur l’actualité ? Quelles sont vos sources préférées ?

    Voir aussi :

    Droit voisin : Google accepte le principe d'une rémunération des journaux français pour l'affichage de contenus et affirme être proche d'un accord avec l'Alliance de la presse d'information générale
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  15. #75
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    Par défaut Meta refuse catégoriquement de payer pour les articles d'actualités comme l'exige la nouvelle loi canadienne
    Meta refuse catégoriquement de payer pour les actualités relayées sur ses plateformes comme l'exige la nouvelle loi canadienne
    et a commencé à les bloquer sur Facebook et Instagram dans le pays

    Meta a annoncé mardi avoir commencé à supprimer les articles d'actualité pour les utilisateurs de Facebook et d'Instagram au Canada. La raison de cette décision est l'opposition radicale de Meta à la nouvelle loi canadienne qui oblige l'entreprise à payer les organes de presse locaux pour les actualités relayées sur ses plateformes Facebook et Instagram. Meta a déclaré que la loi canadienne est basée sur une prémisse fondamentalement erronée et que le seul moyen dont il dispose pour s'y conformer est de mettre fin à la disponibilité des informations au Canada. Google a également proféré des menaces de ce type et pourrait les mettre à exécution dans les prochains jours.

    La loi canadienne sur l'information en ligne (C-18) oblige les plateformes numériques qui diffusent de l'information et dominent le marché à négocier équitablement et de bonne foi avec les entreprises de presse canadiennes pour pouvoir publier leurs nouvelles. Les partisans de la législation affirment qu'elle vise à sauver l'industrie de l'information du pays, qui est en difficulté depuis que les grandes plateformes accaparent une grande partie des recettes publicitaires. Pour illustrer cela, Chris Brittle, du parti libéral au pouvoir au Canada, a déclaré en mai de cette année qu'au moins 450 organes de presse avaient fermé dans le pays entre 2008 et 2021.

    Selon lui, les éditeurs de presse restants ont besoin de plus d'argent pour éviter la fermeture. Il a déclaré que cet argent devrait provenir des plateformes numériques telles que Meta et Google, qui, selon lui, devraient générer 80 % des quelque 10 milliards de dollars de recettes publicitaires du pays en 2020. Mais ces entreprises ne voient pas la chose de la même manière. Meta, et d'une certaine manière Google, refusent catégoriquement de se plier à la loi. Mardi, Meta a commencé à bloquer les actualités sur ses plateformes Facebook et Instagram. Meta avait menacé à plusieurs reprises de cesser de diffuser les actualités au Canada si la loi était votée.

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    « Depuis plusieurs mois, nous avons été transparents sur nos préoccupations", a déclaré Rachel Curran, responsable des politiques publiques de Meta Canada, dans un communiqué mardi. Il est basé sur la prémisse erronée selon laquelle Meta bénéficie injustement des contenus d'actualité partagés sur nos plateformes, alors que l'inverse est en fait vrai », a déclaré Rachel Curran, responsable des politiques publiques de Meta Canada, dans un communiqué mardi. Selon des statistiques publiées par Meta, les messages contenant des liens vers des articles d'actualité représentent moins de 3 % de ce que les utilisateurs de Facebook voient sur leur fil d'actualité.

    L'entreprise estime que les clics qu'elle fournit aux éditeurs d'actualités valent environ 173 millions de dollars en publicité gratuite. L'interdiction des actualités sur les plateformes Facebook et Instagram va se poursuivre au cours des prochaines semaines. Voici comment la fin de la disponibilité des actualités affecte le Canada :

    • pour les éditeurs et diffuseurs canadiens de nouvelles, leurs liens d'actualités et le contenu affiché sur les plateformes ne pourront plus être consultés par les personnes au Canada ;
    • les organes de presse internationaux continueront à pouvoir publier des liens et des contenus d'actualité, mais ces contenus ne pourront pas être consultés par les personnes résidant au Canada ;
    • les utilisateurs canadiens ne pourront plus consulter ou partager des contenus d'actualité sur Facebook et Instagram, y compris des articles et des contenus audiovisuels provenant d'organes d'information.


    Le géant américain des médias sociaux a également rappelé que les résidents canadiens peuvent toujours accéder aux nouvelles en ligne en allant directement sur les sites Web d'actualités, en utilisant des applications d'actualités mobiles et en s'abonnant à des éditeurs préférés. « À l'avenir, nous espérons que le gouvernement canadien reconnaîtra la valeur que nous apportons déjà à l'industrie de l'information et qu'il envisagera une réponse politique qui respecte les principes d'un Internet libre et ouvert, qui défend la diversité et l'innovation et qui reflète les intérêts de l'ensemble du paysage médiatique canadien », a déclaré Curran de Meta.

    En juillet, le gouvernement canadien, le gouvernement québécois et de grandes entreprises, dont la société de médias Quebecor Inc. ont déclaré qu'ils suspendaient toute publicité sur les plateformes en représailles au projet de Meta de bloquer les informations au Canada. « Nous nous attendons à ce que de plus en plus de gouvernements et d'entreprises canadiennes réagissent à cette mesure unilatérale et intempestive visant à priver le Canada de ses amis », a déclaré Paul Deegan, PDG de News Media Canada, dans un communiqué. Par ailleurs, Google est un autre géant de la technologie qui refuse de participer au changement.

    Fin juin, l'entreprise a annoncé qu'elle supprimerait les liens vers les sites d'information canadiens des résultats de recherche au Canada. Kent Walker, président des affaires internationales de Google, a déclaré que la nouvelle loi était la mauvaise approche pour soutenir le journalisme au Canada. Une loi similaire à la loi canadienne sur l'information en ligne pourrait être adoptée en Californie. La loi sur la préservation du journalisme en Californie a été adoptée par l'assemblée de l'État en juin et attend une audition au Sénat qui a été annulée au début du mois de juillet. Meta prévoit de bloquer l'accès aux informations dans l'État si la loi est adoptée.

    La nouvelle loi canadienne s'inspire d'une loi similaire adoptée par l'Australie en 2021, qui impose également aux entreprises telles que Meta et Google de payer une redevance négociée pour les contenus d'information ou de recourir à l'arbitrage si un accord ne peut être trouvé. Selon un rapport du gouvernement australien, ce changement a largement joué en faveur des éditeurs de presse, les entreprises technologiques ayant conclu plus de 30 accords compensatoires avec des organes de presse dans le pays. Comme dans le cas de la législation canadienne, Google et Meta se sont également ouvertement opposés à la loi australienne.

    En ce qui concerne la législation canadienne, Google a fait valoir que la loi était plus large que celles adoptées en Australie et en Europe. L'entreprise affirme que la loi canadienne mettait un prix sur les liens d'articles d'actualité affichés dans les résultats de recherche. Google a ajouté que la loi pouvait s'appliquer à des organismes qui ne produisaient pas d'informations. Le géant de la recherche en ligne a proposé que le projet de loi soit révisé afin que l'affichage de contenus d'actualité, plutôt que de liens, constitue la base du paiement et que seules les entreprises qui produisent des informations et adhèrent aux normes journalistiques soient éligibles.

    Un porte-parole de Google a déclaré fin juin que le projet de loi restait "irréalisable" et que l'entreprise cherchait d'urgence à travailler avec le gouvernement "sur une voie à suivre". Le gouvernement canadien aurait jusqu'à présent repoussé les propositions de changement. Danielle Coffey, présidente du groupe industriel mondial News Media Alliance, a salué l'adoption de la loi canadienne. « Nous sommes encouragés par la reconnaissance croissante de la nécessité d'une action en justice pour garantir une juste compensation, tant au Canada qu'à l'étranger, et nous espérons que les États-Unis suivront cet exemple », a déclaré Coffey.

    Source : Meta

    Et vous ?

    Quel est votre avis sur le sujet ?
    Que pensez-vous de la loi canadienne sur l'information en ligne ?
    Que pensez-vous de la réaction de Meta face à la législation canadienne ?
    Selon vous, la loi souffre-t-elle d'insuffisance ? Si oui, lesquelles ?
    Est-elle bénéfique pour les organes de presse ? Quid des plateformes numériques ?

    Voir aussi

    Après Meta (Facebook), Google décide de supprimer les liens vers les actualités de ses produits suite à une loi adoptée au Canada, qui l'obligerait à rémunérer les médias pour le contenu partagé

    Le Sénat canadien adopte un projet de loi qui oblige Google et Meta à payer pour les actualités, mais Meta s'y oppose et supprime l'accès aux actualités sur Facebook et Instagram dans le pays

    Google et Meta utiliseraient des « tactiques d'intimidation » contre le projet de loi sur l'information au Canada, selon le Premier ministre Trudeau qui ne semble pas vouloir faire de compromis

  16. #76
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  17. #77
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    Quel est votre avis sur le sujet ?
    173 millions de dollars en publicité gratuite me semble être un chiffre gonflé.

    Que pensez-vous de la loi canadienne sur l'information en ligne ?
    Le problème est épineux mais il y a d'autres sources possibles.
    Il est aussi possible d'utiliser le flux RSS mais on perd le côté social car l'article sera probablement moins partagé.
    Les pages de lancement du navigateur (FireFox, autre) pourraient être un bon support mais (Google) Chrome domine le marché

    Selon vous, la loi souffre-t-elle d'insuffisance ? Si oui, lesquelles ?
    Ce n'est pas forcément la loi, je dirais plutôt que ce sont les fournisseurs d'informations qui ne protègent pas correctement leurs contenus.

  18. #78
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    Car la presse subventionnée ne peut se permettre de médire sur la main qui la nourrit (propriétaire, gouvernement, publicitaires, GAFAM...)

  19. #79
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    En Europe, c'est la même chose depuis 2011-2012 : la presse allemande et espagnole (et peut-être d'autres) sont contre Google News

    Et suite à 1 procès, Google News avait retiré les liens vers les publications allemandes: 70-80% de trafic en moins
    Parce que, très souvent, le problème à la base ce sont les habitudes des gens : très peu vont sur les sites spécifiques et préfèrent lire le titre et le résumé/ début.

  20. #80
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    Citation Envoyé par foetus Voir le message
    Parce que, très souvent, le problème a la base ce sont les habitudes des gens : très peu vont sur les sites spécifiques et préfèrent lire le titre et le résumé/ début.
    Je suis un peu comme ça mais j'utilise les flux RSS. Parfois les pages d'accueil de navigateur affichent l'actualité si on n'a pas changé le comportement au démarrage

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