IdentifiantMot de passe
Loading...
Mot de passe oublié ?Je m'inscris ! (gratuit)
Navigation

Inscrivez-vous gratuitement
pour pouvoir participer, suivre les réponses en temps réel, voter pour les messages, poser vos propres questions et recevoir la newsletter

Microsoft Azure Discussion :

Windows est désormais disponible comme une application pour les iPhone, iPad, Mac, PC et navigateurs web


Sujet :

Microsoft Azure

  1. #1
    Chroniqueur Actualités
    Avatar de Patrick Ruiz
    Homme Profil pro
    Redacteur web
    Inscrit en
    Février 2017
    Messages
    2 077
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Cameroun

    Informations professionnelles :
    Activité : Redacteur web
    Secteur : Communication - Médias

    Informations forums :
    Inscription : Février 2017
    Messages : 2 077
    Points : 56 289
    Points
    56 289
    Par défaut Windows est désormais disponible comme une application pour les iPhone, iPad, Mac, PC et navigateurs web
    Microsoft propose des PC dans le cloud via son offre Desktop-as-a-service basée sur Azure et dénommée Windows 365 :
    Quelle plus-value par rapport à l’existant ?

    La pandémie de coronavirus a bouleversé la façon de travailler de par le monde. L’approche hybride télétravail – présentiel tend à s’imposer. En droite ligne avec cet état de choses, Microsoft lance une « nouvelle ère d’informatique personnelle hybride » : le PC dans le cloud via son offre dénommée Windows 365. Seulement, la virtualisation et l’accès à distance à des ordinateurs n’ont rien de nouveau. Une question fait alors surface : quelle plus-value l’offre Windows 365 introduit-elle par rapport à l’existant ?

    Microsoft va proposer Windows dans le nuage. Windows 365 est un nouveau service qui permettra aux entreprises d'accéder à des PC en nuage de n'importe où et de faire usage de Windows 10 ou Windows 11 dans un navigateur Web. Windows 365 fonctionnera sur n'importe quel navigateur web moderne ou par le biais de l'application Remote Desktop de Microsoft. Cela permettra aux utilisateurs d'accéder à leur PC dans le cloud à partir de divers appareils. Applications, données, outils et configurations seront accessibles sur Mac, iPad, systèmes Android et Linux.

    Grosso modo, Windows 365 se destine pour le moment aux entreprises de toutes les tailles, conserve les applications, données, réglages et outils de l'utilisateur dans son nuage. L’utilisateur manipule donc le même Windows quel que soit l'appareil hôte. Le système d'exploitation dans le nuage possède les mêmes fonctions que son équivalent de bureau.

    Windows 365 sera uniquement disponible pour les entreprises lors de son lancement le 2 août. L'offre est soumise à un abonnement mensuel par utilisateur. Pas de détails exacts sur les prix avant le lancement du service le mois prochain. Deux éditions de Windows 365 sont prévues : Business et Enterprise. Toutes deux s’appuient sur Azure Virtual Desktop. Les PC en nuage individuels peuvent être configurés avec un seul processeur, 2 Go de mémoire vive et 64 Go d’espace de stockage pour le bas de gamme. En sus, l’offre prévoit d’aller jusqu'à huit processeurs, 32 Go de mémoire vive et 512 Go d’espace de stockage. Microsoft propose 12 configurations différentes pour Windows 365 Business et Enterprise.


    Windows 365 : quelle réelle plus-value par rapport à l’existant ?

    L’offre de Microsoft tombe dans un contexte où des acteurs bien établis de la virtualisation et de l’accès à distance des PC se positionnent compte tenu du contexte sanitaire. « Le travail hybride est la nouvelle norme des bureaux », indique l’éditeur Citrix qui propose donc des mises à jour de mise en avant de sa solution Citrix Workspace. La promesse est la même : « Les solutions Citrix Digital Workspace permettent aux entreprises de déployer en toute sécurité les applications et les données dont les utilisateurs ont besoin pour être les plus productifs possibles, qu’importent où ils travaillent et quels appareils ils utilisent. » Dans un comparatif entre Windows Virtual Desktop et Citrix paru à mi-parcours de l’année précédente, l’éditeur Citrix indique que « ses solutions apportent des extensions à la plus-value de Winows Virtual Desktop. »


    Les avantages du cloud computing sont aujourd’hui une évidence. Les plus notables sont : la réduction des coûts de maintenance de son infrastructure informatique, la réduction de la consommation énergétique, la disposition rapide d'une plateforme prête à l'emploi pour le déploiement des applications, la disposition d'une solution de sauvegarde simple et accessible à tous, même aux non-informaticiens, etc. Cependant, devant toutes les possibilités offertes, il demeure des réticences dans son adoption. Ces réticences sont liées, pour la plupart, au facteur de sécurité, qui reste encore un véritable challenge :

    • la fragilité dans la gestion des accès et des identités, bien que certains fournisseurs renforcent les interfaces d’authentification avec d’autres moyens tels que les certificats, les smartcards, la technologie OTP et bien d’autres ;
    • l’utilisation d’API non sécurisées pour l’intégration des applications avec les services cloud ;
    • l’exploit de vulnérabilités des systèmes d’exploitation sur les serveurs du cloud et même sur les applications hébergées ;
    • le piratage de compte, qui est un vieux type d’attaque informatique, vient avec une forte recrudescence depuis l’avènement d’Internet et encore celui du cloud computing ;
    • une action malveillante initiée en interne dans les effectifs du fournisseur. Une personne malveillante dans l’équipe de gestion du Datacenter peut facilement nuire à la confidentialité et l’intégrité des environnements hébergés ;
    • les menaces persistantes avancées qui consistent en une forme d’attaque où le hacker réussit à installer d’une façon ou d’une autre un dispositif dans le réseau interne de l’organisation, à partir duquel il peut extirper des données importantes ou confidentielles. C’est une forme d’attaque difficile à détecter pour un fournisseur de services cloud ;
    • la perte de données qui peut être causée par une attaque informatique (logique) du Datacenter, une attaque physique (incendie ou bombardement), une catastrophe naturelle, ou même simplement à un facteur humain chez le fournisseur de services, par exemple en cas de faillite de la société ;
    • les insuffisances dans les stratégies internes d’adoption ou de passage au cloud. Les entreprises ou les organisations ne prennent pas souvent en compte tous les facteurs de sécurité liés à leur fonctionnement avant de souscrire à un service cloud. Certaines négligences, tant au niveau du développement d’application qu’au niveau de l’utilisation basique, leur sont parfois fatales ;
    • utilisation frauduleuse des technologies cloud en vue de cacher l'identité et de perpétrer des attaques à grande échelle. Généralement, il s’agit de comptes créés pendant les périodes d’évaluation (la plupart des FAI proposent 30 jours d’essai gratuits) ou des accès achetés frauduleusement ;
    • le déni de service qui est une attaque qui consiste à rendre indisponible un service par une consommation abusive des ressources telles que les processeurs, la mémoire ou le réseau. L’idée, pour le pirate, c’est de réussir à surcharger les ressources du Datacenter en vue d’empêcher d’autres utilisateurs de profiter des services ;
    • les failles liées à l’hétérogénéité des technologies imbriquées dans l’architecture interne du cloud, et l'architecture externe d'interfaçage avec les utilisateurs.

    Sources : Microsoft 1, Microsoft 2

    Et vous ?

    Votre entreprise s’est-elle arrimée à l’une de ces offres PC sur cloud ? Quels sont les avantages et les inconvénients que vous avez perçus ? Partagez votre expérience
    Que pensez-vous du cloud computing de façon générale ?

    Voir aussi :

    Pour la première fois, les abonnements à Office 365 sont plus rentables pour Microsoft que les licences des versions Office traditionnelles
    Microsoft annonce la disponibilité d'Office 2019 pour Mac et Windows avec des fonctionnalités dérivées d'Office 365 ProPlus
    Microsoft termine son année fiscale 2018 avec un chiffre d'affaires annuel supérieur à 100 milliards de dollars avec un 4T18 meilleur que prévu
    Microsoft dote l'application de collaboration Teams d'une version gratuite qui prend jusqu'à 300 utilisateurs en charge

  2. #2
    Membre actif
    Profil pro
    Inscrit en
    Mars 2012
    Messages
    79
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Localisation : France

    Informations forums :
    Inscription : Mars 2012
    Messages : 79
    Points : 276
    Points
    276
    Par défaut
    L'intérêt du cloud pc est de se passer du pc... Du coup le scénario pour l'entreprise serait que le salarié branche son smartphone à un dock pour afficher l'application cloud pc sur ses écrans de travail.

  3. #3
    Membre émérite

    Homme Profil pro
    Développeur informatique
    Inscrit en
    Octobre 2013
    Messages
    1 106
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Paris (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Développeur informatique
    Secteur : Conseil

    Informations forums :
    Inscription : Octobre 2013
    Messages : 1 106
    Points : 2 658
    Points
    2 658
    Par défaut
    Ils vont proposer des terminaux low cost ? Ca va ressembler un peu au minitel

  4. #4
    Expert éminent sénior

    Homme Profil pro
    Consultant informatique
    Inscrit en
    Avril 2018
    Messages
    1 548
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Côte d'Ivoire

    Informations professionnelles :
    Activité : Consultant informatique
    Secteur : High Tech - Éditeur de logiciels

    Informations forums :
    Inscription : Avril 2018
    Messages : 1 548
    Points : 125 234
    Points
    125 234
    Par défaut Microsoft a dévoilé les tarifs de son service Windows 365 Cloud PC
    Microsoft a dévoilé les tarifs de son service Windows 365 Cloud PC,
    Et mis en pause, un jour après, son essai gratuit en raison d'une demande "incroyable"

    Microsoft a annoncé lundi la disponibilité générale de Windows 365, le service de PC dans le cloud qui permet aux utilisateurs d'accéder à leur bureau de n'importe où via un navigateur Web. Le géant des logiciels a dévoilé ce nouveau service par abonnement le mois dernier, en indiquant qu'il permettrait aux utilisateurs de se connecter à un PC virtuel toujours actif, où qu'ils se trouvent avec une connexion Internet. Il a également déclaré qu'il publierait les détails des prix le jour où le service serait généralement disponible pour le public. Comme promis, les détails de la tarification pour Windows 365 sont maintenant publics, allant de 20 à 158 dollars US par utilisateur et par mois, en fonction du niveau de service fourni.

    Dans un billet de blog, Scott Manchester, directeur de la gestion des programmes chez Microsoft, a déclaré hier, 02 août, qu'il était « ravi » d'annoncer « la disponibilité générale de Windows 365 et les ressources » qui sont maintenant accessibles pour aider les utilisateurs à démarrer avec le nouveau service de cloud.

    Nom : c01.png
Affichages : 18468
Taille : 88,9 Ko

    « Windows 365 introduit une nouvelle façon d'expérimenter Windows 10 ou Windows 11 (lorsqu'il sera généralement disponible plus tard dans l'année civile) pour tous les types de travailleurs, des stagiaires et entrepreneurs aux développeurs de logiciels et concepteurs industriels », a-t-il ajouté.

    Selon Microsoft, le PC dans le cloud est spécialement conçu pour répondre aux exigences croissantes des environnements de travail hybrides qui permettent aux employés de partager leur temps entre le bureau et la maison. Le nouveau service permettra aux utilisateurs d'accéder à leurs appareils, y compris les données, les applications et les paramètres, à partir d'un appareil personnel ou professionnel ou d'un téléphone, éliminant ainsi la nécessité de se déplacer avec leur PC.

    Il est conçu pour offrir une expérience informatique complète par le biais d'un navigateur Web ou d'une application native sur tout appareil disposant d'une connexion Internet active. Les utilisateurs peuvent utiliser Windows 365 à partir d'un PC, d'un Mac, d'un iPad ou de tout appareil mobile doté d'un navigateur, y compris les micro-ordinateurs Raspberry Pi qui commencent à devenir populaires dans l'enseignement. Microsoft disposait déjà d’un produit similaire, Azure Virtual Desktop, mais la nouvelle offre est censée être plus simple à mettre en place et à gérer.

    Les tarifs officiels, qui manquaient le mois dernier, sont enfin connus. Le principal point d'attention concerne leur caractère évolutif en fonction des caractéristiques souhaitées. La formule la moins chère permet la simulation d'une machine disposant d'un processeur virtuel de 2 Go de RAM et de 64 Go de stockage. Il faudra débourser pour ces performances 20 dollars par mois et par utilisateur avec "Windows Hybrid Benefit", pour l'emploi d'une version Windows 10 Professionnel. Soit le minimum vital.

    La proposition "Windows Hybrid Benefit" signifie que les utilisateurs disposant de licences existantes peuvent demander une réduction. Ceux qui ne disposent pas d'une licence existante paieront 4 dollars de plus par utilisateur et par mois. A contrario, pour 158 dollars par mois, on peut avoir une machine virtuelle avec 8 CPU virtuels, 32 Go de RAM et 512 de Go de stockage, ce qui est beaucoup plus confortable.

    Nom : c02.png
Affichages : 3976
Taille : 82,5 Ko

    Trois offres Business et Entreprise

    Windows 365 sera disponible en deux éditions : Business et Enterprise. Les plans Business sont plafonnés à 300 utilisateurs par organisation, tandis que les abonnés Enterprise peuvent avoir un nombre illimité d'utilisateurs. Microsoft a également planché sur trois offres plus proches des attentes les plus communes.

    La première, l’offre Basic, propose contre 28,20 euros (environ 34 dollars) par mois la simulation de deux processeurs virtuels, 4 Go RAM et 128 Go stockage. Elle permet un accès au PC Cloud et à la gestion de l’expérience sur Windows365.microsoft.com, l'accès aux versions bureau d'Office, d’Outlook, de OneDrive et de Microsoft Teams (conversations et appels audio uniquement) pour la version Business. Dans la version Entreprise, l'utilisateur a accès à Microsoft Endpoint Manager, la gestion des PC et appareils mobiles.

    Les versions Standard à 37,30 euros (environ 45 dollars) par mois (deux processeurs virtuels, 8 Go RAM, 128 Go de stockage) et Premium à 60,10 euros par mois (quatre processeurs virtuels, 16 Go RAM et 128 Go de stockage) offrent une prise en charge complète de Teams. Par ailleurs, la version Premium inclut également la prise en charge de Microsoft Visual Studio, de Power BI et de Dynamics 365.

    Les tarifs du produit Windows 365 Cloud PC peuvent paraître élevés. En réalité, dans le domaine professionnel, ils sont plutôt compétitifs. Chez Amazon, l’offre de PC virtualisé Workspaces démarre à 29 dollars par mois pour 1 vCPU et 2 Go de RAM. Un particulier, évidemment, ne débourserait jamais une telle somme. À titre de comparaison, Shadow*propose des PC de gaming virtualisés sous Windows 10 avec CPU virtuels 4 cœurs/8 threads, 12 Go de RAM et 256 Go de Stockage pour 29,99 euros par mois. Avec Windows 365, il faudrait débourser au moins deux fois plus pour avoir une configuration similaire, et encore il faut faire une croix sur la carte graphique.

    Microsoft interrompt l'essai gratuit de Windows 365 Cloud PC en raison d'une "réponse incroyable"

    Un programme d’essai gratuit de deux mois avait été proposé afin de tester les différentes offres proposées par Microsoft pour Windows 365 Cloud PC. Cependant, un jour seulement après le lancement du programme, Microsoft l’a interrompu en raison d'une « réponse incroyable ». Le changement a été annoncé par Scott Manchester, qui a publié un post dans la journée de mardi sur Twitter.

    « Nous avons vu une réponse incroyable à #Windows365 et devons suspendre notre programme d'essai gratuit pendant que nous mettons à disposition une capacité supplémentaire ».

    Nom : m01.png
Affichages : 3900
Taille : 67,8 Ko

    Windows 365 fonctionne sur le Cloud de Microsoft, vous pouvez profiter d'une expérience de démarrage instantané sur n'importe quel appareil, et vous pouvez reprendre là où vous vous étiez arrêté, car l'état de votre Cloud PC reste le même, même lorsque vous changez d'appareil. Étant donné que le service s'exécute sur des serveurs distants, il vous expose également à des problèmes de disponibilité et de ressources de ces serveurs.

    Microsoft dit avoir suspendu les nouveaux essais gratuits pour permettre à l'entreprise de disposer d'une nouvelle capacité de serveur, et encourage ceux qui sont intéressés à s'inscrire pour être informés de la reprise des essais gratuits.

    Sources : Microsoft (1 & 2), Tweet

    Et vous ?

    Que pensez-vous des offres Windows 365 ?
    Les prix conviennent-ils à votre entreprise ? Allez-vous prendre des abonnements ?

    Voir aussi :

    Windows 11 compte déjà plus d'installations que vous ne le pensez, les statistiques publiées par AdDuplex suggèrent un intérêt grandissant pour la nouvelle version du système d'exploitation
    Windows 11 a maintenant sa première version bêta, le nouvel OS de Microsoft est plus stable et plus proche de la sortie
    Microsoft propose des PC dans le cloud via son offre Desktop-as-a-service basée sur Azure et dénommée Windows 365 : quelle plus-value par rapport à l'existant ?
    Les utilisateurs ont déjà des problèmes avec la version bêta de Windows 11, à cause de la configuration système minimale requise

  5. #5
    Membre actif
    Profil pro
    Inscrit en
    Avril 2009
    Messages
    276
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Localisation : France

    Informations forums :
    Inscription : Avril 2009
    Messages : 276
    Points : 299
    Points
    299
    Par défaut
    Bonjour,

    Comme toujours chez Microsoft, un tarif incompréhensible.
    C'est quoi la proposition "Windows Hybrid Benefit" ? Il faut avoir une licence Windows 10 Pro pour avoir un prix pour l'utiliser à partir d'une tablette sous Android !?

    Disons quand même 20 € (ht bien sûr!) par utilisateur. 5 utilisateurs * 20 € * 12 mois = 1200 € / an ! Autant s'installer son propre serveur tse.

    Ok, il y a apparemment Office d'inclue.

    Mais comme disent certains 'verts', c'est le moyen de consommer 2 fois plus d'électricité pour un poste !

  6. #6
    Membre à l'essai
    Profil pro
    Inscrit en
    Juin 2012
    Messages
    43
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Localisation : France

    Informations forums :
    Inscription : Juin 2012
    Messages : 43
    Points : 16
    Points
    16
    Par défaut Les verts
    Citation Envoyé par lubinfo Voir le message

    Mais comme disent certains 'verts', c'est le moyen de consommer 2 fois plus d'électricité pour un poste !
    Malheureusement les gens ne se rendent pas compte de la supercherie, qu’ils soient pour les technologies libres ou les propriétaires…

    Il y a des années en arrière, j’ai assisté à un débat à ce sujet entre "des extrémistes du libres" (près d’une centaine) qui ne juraient que par la compilation de système et de paquets, du genre FreeBSD ; Gentoo ; etc…, et des "écolos" qui essayaient de leur faire comprendre qu’il existait d’autres alternatives moins nocives pour l’environnement, et tout aussi efficace.

    Malgré les faits avancer :
    - c’est l’accumulation de petite pollution qui contribuent elles aussi, à leur échelle, à la catastrophe écologique que nous vivons,
    - il ne sert à rien de compiler des paquets et systèmes, de surcroît sans en modifier une option (ce que la majorité d’entre-eux admirent),
    etc…

    La réponse des ces "extrémistes du libres" consistait à ce moquer uniquement du fait que la compilation d’un système et de paquets ne représentait pas grand chose en terme de pollution dans le total…

    Ici ça doit être le même problème… Ça n’apparaît pas évident, mais l’impact est bien là.

    Bref, on va tout droit à la catastrophe, et comme je l’écrivais précédemment, Microsoft et d’autres inconscients nous y précipitent.

  7. #7
    Membre expert
    Profil pro
    programmeur du dimanche
    Inscrit en
    Novembre 2003
    Messages
    871
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Localisation : France

    Informations professionnelles :
    Activité : programmeur du dimanche
    Secteur : Santé

    Informations forums :
    Inscription : Novembre 2003
    Messages : 871
    Points : 3 728
    Points
    3 728
    Par défaut
    pour 158 dollars par mois, on peut avoir une machine virtuelle avec 8 CPU virtuels, 32 Go de RAM et 512 de Go de stockage, ce qui est beaucoup plus confortable.
    C'est plutôt ça qui m'ennuie. Je trouve qu'avec les dernières mises à jour de windows, la consommation au quotidien de ressources devient délirante. J'ai un PC certes plus tout jeune, mais avec un processeur décent, un SSD et HD, 16Go de RAM et... depuis les dernières mises à jour ça rame un peu, ça démarre lentement, et idem au boulot avec des config similaires.

    Sur un PC portable ancien (4Go de RAM), le PC est juste inutilisable sous windows depuis peu : 15mn pour booter parfois, plusieurs minutes pour ouvrir un programme, alors qu'en début d'année avant la dernière mise à jour, il était utilisable... Il n'y a évidemment rien de lancé, le PC est superpropre : juste les processus systèmes qui écrivent et lisent à mort sur le disque, même hors ligne. Le même sous xubuntu démarre assez vite, et est fluide sous firefox avec plein d'onglets , libreoffice, visual studio code et divers éditeurs ouverts.

    Je me demande si Microsoft n'a pas provoqué une obsolescence matérielle récemment quitte à mettre en avant son cloud et son dernier os.

    Alors qu’honnêtement, bien que mon dernier séjour sous xubuntu nécessite toujours beaucoup de console pour polir les angles pour un environnement de dév., cela fait, la différence avec windows devient plus mince (ex : l'hibernation qui est un enfer à mettre en place).

    Donc, les PC dans le cloud distant, bof bof. Les clients légers dans ma boîte servent au final à juste faire tourner (tant bien que mal) un peu de bureautique bidon avec des programmes hérités de windows XP au mieux, et à chaque panne réseau, c'est retour au crayon pour mille personnes... (ex quand le dernier orage a noyé les alim des servers, ou quand l'architecture matérielle des serveurs était subtilement défaillante...). Je ne serais pas surpris qu'on puisse mettre un os léger sur des machines de coût voisin.

  8. #8
    Membre extrêmement actif
    Homme Profil pro
    Inscrit en
    Janvier 2014
    Messages
    1 550
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France

    Informations forums :
    Inscription : Janvier 2014
    Messages : 1 550
    Points : 5 910
    Points
    5 910
    Par défaut
    Et concrètement quelqu'un a compris à quoi ça pouvais bien servir ce machin payant ?

  9. #9
    Expert confirmé
    Homme Profil pro
    Développeur .NET
    Inscrit en
    Novembre 2009
    Messages
    2 032
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 35
    Localisation : France, Bouches du Rhône (Provence Alpes Côte d'Azur)

    Informations professionnelles :
    Activité : Développeur .NET

    Informations forums :
    Inscription : Novembre 2009
    Messages : 2 032
    Points : 5 470
    Points
    5 470
    Par défaut
    Citation Envoyé par Mingolito Voir le message
    Et concrètement quelqu'un a compris à quoi ça pouvais bien servir ce machin payant ?
    A utiliser un navigateur qui permet d'utiliser le navigateur d'une machine bien plus puissante pour utiliser des applis légères (web) qui le sont de moins en moins.

  10. #10
    Membre chevronné Avatar de FatAgnus
    Homme Profil pro
    Troufion de base
    Inscrit en
    Août 2015
    Messages
    360
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Paris (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Troufion de base

    Informations forums :
    Inscription : Août 2015
    Messages : 360
    Points : 2 102
    Points
    2 102
    Par défaut
    Citation Envoyé par Mingolito Voir le message
    Et concrètement quelqu'un a compris à quoi ça pouvais bien servir ce machin payant ?
    • [ ] Accroître encore les bénéfices gargantuesques de la société Microsoft
    • [ ] Augmenter l'emprunte carbone de la société Microsoft
    • [ ] Faire de jolis articles sur Développez.com
    • [ ] Obi-Wan Kenobi

  11. #11
    Membre chevronné Avatar de FatAgnus
    Homme Profil pro
    Troufion de base
    Inscrit en
    Août 2015
    Messages
    360
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Paris (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Troufion de base

    Informations forums :
    Inscription : Août 2015
    Messages : 360
    Points : 2 102
    Points
    2 102
    Par défaut
    Citation Envoyé par zero_divide Voir le message
    Il y a des années en arrière, j’ai assisté à un débat à ce sujet entre "des extrémistes du libres" (près d’une centaine) qui ne juraient que par la compilation de système et de paquets, du genre FreeBSD ; Gentoo ; etc…, et des "écolos" qui essayaient de leur faire comprendre qu’il existait d’autres alternatives moins nocives pour l’environnement, et tout aussi efficace.
    Je ne vois pas bien le rapport entre l'utilisation d'une distribution dite source (où tous les paquets installés sont compilés lors de l'installation) comme Gentoo et être un défenseur du logiciel libre. Un défenseur du logiciel libre peut utiliser une distribution qui propose uniquement des paquets binaires comme Debian par exemple. Le principal étant que les paquets binaires soient générés à partir d'un code source libre. À noter que si FreeBSD offre la possibilité de compiler les paquets (qui sont connus sous le nom de ports), de manière générale cela reste une exception, FreeBSD s'installe principalement à partir de paquets binaires. Dans le même ordre d'idée si on veut réduire son emprunte écologique, on peut également s'interroger sur la fréquence des mises à jour des logiciels qu'ils soient libres ou propriétaires. Si on reste dans le monde des distributions GNU/Linux, on peut aussi s'interroger sur l'impact écologique d'une distribution rolling release comme Arch Linux par rapport à Debian ou même d'Ubuntu par rapport à Debian, Ubuntu proposant beaucoup plus de mises à jour que Debian.

    Citation Envoyé par zero_divide Voir le message
    La réponse des ces "extrémistes du libres" consistait à ce moquer uniquement du fait que la compilation d’un système et de paquets ne représentait pas grand chose en terme de pollution dans le total…
    C'est certainement vrai, l'impact doit être faible, le monopole de Microsoft sur le bureau reste écrasant et l'utilisation de GNU/Linux sur le bureau reste marginale, peut-être 2 % et la part des distributions sources comme Gentoo est infime. Si la généralisation du service service Windows 365 de Microsoft se généralise à plusieurs centaines de millions d'utilisateurs, l'impact écologique et carbone généré par Microsoft sera des milliers de fois plus important que l'impact produit par une poignée de geeks qui s'amusent à recompiler les paquets sur leurs distributions GNU/Linux. Tout est une question d'échelle.

  12. #12
    Membre émérite
    Profil pro
    Inscrit en
    Juin 2009
    Messages
    951
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Localisation : France

    Informations forums :
    Inscription : Juin 2009
    Messages : 951
    Points : 2 909
    Points
    2 909
    Par défaut
    Citation Envoyé par zero_divide Voir le message
    Malheureusement les gens ne se rendent pas compte de la supercherie, qu’ils soient pour les technologies libres ou les propriétaires…

    Il y a des années en arrière, j’ai assisté à un débat à ce sujet entre "des extrémistes du libres" (près d’une centaine) qui ne juraient que par la compilation de système et de paquets, du genre FreeBSD ; Gentoo ; etc…, et des "écolos" qui essayaient de leur faire comprendre qu’il existait d’autres alternatives moins nocives pour l’environnement, et tout aussi efficace.

    Malgré les faits avancer :
    - c’est l’accumulation de petite pollution qui contribuent elles aussi, à leur échelle, à la catastrophe écologique que nous vivons,
    - il ne sert à rien de compiler des paquets et systèmes, de surcroît sans en modifier une option (ce que la majorité d’entre-eux admirent),
    etc…

    La réponse des ces "extrémistes du libres" consistait à ce moquer uniquement du fait que la compilation d’un système et de paquets ne représentait pas grand chose en terme de pollution dans le total…

    Ici ça doit être le même problème… Ça n’apparaît pas évident, mais l’impact est bien là.

    Bref, on va tout droit à la catastrophe, et comme je l’écrivais précédemment, Microsoft et d’autres inconscients nous y précipitent.
    Alors déjà, toute démarche ce doit d'être entrepris avec un minimum de sérieux et je trouve que franchement ici ça manque :

    • Tu ne compile qu'une seule fois pour exécuter plusieurs fois, il vaut donc mieux encourager un code efficace qu'un paquet cadeau déjà compilé
    • Les flux réseau tel que le streaming/ les images représente largement plus de consommation que ce que tu cites par exemple. Ton argument serait déjà donc plus convaincant si tu parlais de l'énergie passer à transférer un code à compiler, plutôt qu'un code déjà compilé.
    • Dans les foyers (34% de la consommation en France) ~70% viennent de l'eau chaude + électricité, l'électroménager compte pour 11% et je parie que c'est plutôt ton frigo que ton PC qui consomme plus.


    Il y a aussi la montée en charge des voitures électriques, c'est certainement pas le logiciel qui tourne qui représente 95% de la consommation électrique. De même pour les portables, ce qui bouffe, c'est l'écran et le fait de s'accrocher à l'antenne la plus proche.

    Tout ça pour en venir au point suivant : il y a pour moi un différence significative entre un effort qui apporte un gain sensible et démontrable à la planète (exemple dans l'informatique : nouveau format de compression JPEG-XL, flux vidéo, remplacement de VM par Docker qui sont plus léger), et un effort qui relève plus de s'acheter une conscience tant son impact écologique est insignifiant.

    Que ce soit clair, recompiler chaque truc m'emmerde plutôt qu'autre chose, mais je vais certainement pas utiliser l'argument "Mère nature" pour contrer cela.

  13. #13
    Chroniqueur Actualités
    Avatar de Patrick Ruiz
    Homme Profil pro
    Redacteur web
    Inscrit en
    Février 2017
    Messages
    2 077
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Cameroun

    Informations professionnelles :
    Activité : Redacteur web
    Secteur : Communication - Médias

    Informations forums :
    Inscription : Février 2017
    Messages : 2 077
    Points : 56 289
    Points
    56 289
    Par défaut Microsoft s'achemine-t-il Vers des PC Windows 11 à bas coût compensé par la publicité et les abonnements ?
    Vers des PC Windows 11 à bas coût compensé par la publicité et les abonnements ?
    Microsoft est en quête d’une équipe chargée d’étendre sa vision du PC accessible via le cloud

    Microsoft est à la recherche d’une équipe chargée d’étendre sa vision du PC accessible via le cloud. C’est ce que laisse entrevoir une offre d’emploi de l’entreprise dont la publication fait suite au lancement par le géant technologique d’une « nouvelle ère d’informatique personnelle hybride » : le PC dans le cloud via son offre dénommée Windows 365. Le tableau laisse penser que l’entreprise s’achemine vers des PC Windows 11 à bas coût compensé par la publicité et les abonnements.

    Microsoft propose déjà Windows dans le nuage. Windows 365 est un service qui permet aux entreprises d'accéder à des PC en nuage de n'importe où et de faire usage de Windows 10 ou Windows 11 dans un navigateur Web. Windows 365 fonctionne sur n'importe quel navigateur web moderne ou par le biais de l'application Remote Desktop de Microsoft. Cela permet aux utilisateurs d'accéder à leur PC dans le cloud à partir de divers appareils. Applications, données, outils et configurations seront accessibles sur Mac, iPad, systèmes Android et Linux.

    La parution de la récente offre d’emploi laisse anticiper sur ceci que Microsoft s’achemine vers des PC Windows 11 (accessibles via le cloud) à bas coût compensé par la publicité et les abonnements.

    Grosso modo, Windows 365 se destine aux entreprises de toutes les tailles et aux particuliers. Microsoft conserve les applications, données, réglages et outils de l'utilisateur dans son nuage. L’utilisateur manipule donc le même Windows quel que soit l'appareil hôte. Le système d'exploitation dans le nuage possède les mêmes fonctions que son équivalent de bureau.

    L’accès à Windows 365 est soumis à un abonnement mensuel par utilisateur qui va de 20 à 158 dollars par mois, ce, en fonction du niveau de service fourni. Deux éditions de Windows 365 sont prévues : Business et Enterprise. Toutes deux s’appuient sur Azure Virtual Desktop. Les PC en nuage individuels peuvent être configurés avec un seul processeur, 2 Go de mémoire vive et 64 Go d’espace de stockage pour le bas de gamme. En sus, l’offre prévoit d’aller jusqu'à huit processeurs, 32 Go de mémoire vive et 512 Go d’espace de stockage. Microsoft propose 12 configurations différentes pour Windows 365 Business et Enterprise.

    Nom : 1.jpg
Affichages : 6110
Taille : 51,2 Ko

    Les avantages du cloud computing sont aujourd’hui une évidence. Les plus notables sont : la réduction des coûts de maintenance d’une infrastructure informatique, la réduction de la consommation énergétique, la disposition rapide d'une plateforme prête à l'emploi pour le déploiement des applications, la disposition d'une solution de sauvegarde simple et accessible à tous, même aux non-informaticiens, etc. Cependant, devant toutes les possibilités offertes, il demeure des réticences dans son adoption. Ces réticences sont liées, pour la plupart, au facteur de sécurité, qui reste encore un véritable challenge :

    • la fragilité dans la gestion des accès et des identités, bien que certains fournisseurs renforcent les interfaces d’authentification avec d’autres moyens tels que les certificats, les smartcards, la technologie OTP et bien d’autres ;
    • l’utilisation d’API non sécurisées pour l’intégration des applications avec les services cloud ;
    • l’exploit de vulnérabilités des systèmes d’exploitation sur les serveurs du cloud et même sur les applications hébergées ;
    • le piratage de compte, qui est un vieux type d’attaque informatique, vient avec une forte recrudescence depuis l’avènement d’Internet et encore celui du cloud computing ;
    • une action malveillante initiée en interne dans les effectifs du fournisseur. Une personne malveillante dans l’équipe de gestion du Datacenter peut facilement nuire à la confidentialité et l’intégrité des environnements hébergés ;
    • les menaces persistantes avancées qui consistent en une forme d’attaque où le hacker réussit à installer d’une façon ou d’une autre un dispositif dans le réseau interne de l’organisation, à partir duquel il peut extirper des données importantes ou confidentielles. C’est une forme d’attaque difficile à détecter pour un fournisseur de services cloud ;
    • la perte de données qui peut être causée par une attaque informatique (logique) du Datacenter, une attaque physique (incendie ou bombardement), une catastrophe naturelle, ou même simplement à un facteur humain chez le fournisseur de services, par exemple en cas de faillite de la société ;
    • les insuffisances dans les stratégies internes d’adoption ou de passage au cloud. Les entreprises ou les organisations ne prennent pas souvent en compte tous les facteurs de sécurité liés à leur fonctionnement avant de souscrire à un service cloud. Certaines négligences, tant au niveau du développement d’application qu’au niveau de l’utilisation basique, leur sont parfois fatales ;
    • utilisation frauduleuse des technologies cloud en vue de cacher l'identité et de perpétrer des attaques à grande échelle. Généralement, il s’agit de comptes créés pendant les périodes d’évaluation (la plupart des FAI proposent 30 jours d’essai gratuits) ou des accès achetés frauduleusement ;
    • le déni de service qui est une attaque qui consiste à rendre indisponible un service par une consommation abusive des ressources telles que les processeurs, la mémoire ou le réseau. L’idée, pour le pirate, c’est de réussir à surcharger les ressources du Datacenter en vue d’empêcher d’autres utilisateurs de profiter des services ;
    • les failles liées à l’hétérogénéité des technologies imbriquées dans l’architecture interne du cloud, et l'architecture externe d'interfaçage avec les utilisateurs.

    Sources : Offre d’emploi

    Et vous ?

    Votre entreprise s’est-elle arrimée à l’une de ces offres PC sur cloud ? Quels sont les avantages et les inconvénients que vous avez perçus ? Partagez votre expérience
    Que pensez-vous du cloud computing de façon générale ?

    Voir aussi :

    Pour la première fois, les abonnements à Office 365 sont plus rentables pour Microsoft que les licences des versions Office traditionnelles
    Microsoft annonce la disponibilité d'Office 2019 pour Mac et Windows avec des fonctionnalités dérivées d'Office 365 ProPlus
    Microsoft termine son année fiscale 2018 avec un chiffre d'affaires annuel supérieur à 100 milliards de dollars avec un 4T18 meilleur que prévu
    Microsoft dote l'application de collaboration Teams d'une version gratuite qui prend jusqu'à 300 utilisateurs en charge

  14. #14
    Membre extrêmement actif
    Avatar de Madmac
    Homme Profil pro
    Ingénieur développement logiciels
    Inscrit en
    Juin 2004
    Messages
    1 707
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Canada

    Informations professionnelles :
    Activité : Ingénieur développement logiciels
    Secteur : Alimentation

    Informations forums :
    Inscription : Juin 2004
    Messages : 1 707
    Points : 1 448
    Points
    1 448
    Billets dans le blog
    7
    Par défaut
    Citation Envoyé par CoderInTheDark Voir le message
    Ils vont proposer des terminaux low cost ? Ca va ressembler un peu au minitel
    Tu n'est pas loin de la vérité, les PC sous ce modèle deviennent des terminaux. Le progrès c'est de retourner aux années 70, selon Micro$oft.

  15. #15
    Membre extrêmement actif
    Avatar de Madmac
    Homme Profil pro
    Ingénieur développement logiciels
    Inscrit en
    Juin 2004
    Messages
    1 707
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Canada

    Informations professionnelles :
    Activité : Ingénieur développement logiciels
    Secteur : Alimentation

    Informations forums :
    Inscription : Juin 2004
    Messages : 1 707
    Points : 1 448
    Points
    1 448
    Billets dans le blog
    7
    Par défaut
    Citation Envoyé par Mingolito Voir le message
    Et concrètement quelqu'un a compris à quoi ça pouvais bien servir ce machin payant ?
    Pour prendre en otages ses clients, comme à la époque où IBM tenait les entreprises par les couilles. Ils n'ont qu'à faire en sorte que les techniciens de maintenance informatique n'arrivent plus à trouver du travail pendant une génération. Et ils pourront demander n'importe quel prix.

    Dans ces conditions, les entreprises devraient plutôt payer pour un support Red Hat ou Suse.

  16. #16
    Membre extrêmement actif
    Homme Profil pro
    Graphic Programmer
    Inscrit en
    Mars 2006
    Messages
    1 598
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Paris (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Graphic Programmer
    Secteur : High Tech - Multimédia et Internet

    Informations forums :
    Inscription : Mars 2006
    Messages : 1 598
    Points : 4 108
    Points
    4 108
    Par défaut
    franchement on voit deja ce que ca donne avec office 365 niveau ergonomie ou possibilité => a la ramasse, alors tout l'os, lol

  17. #17
    Chroniqueur Actualités

    Homme Profil pro
    Rédacteur technique
    Inscrit en
    Juin 2023
    Messages
    863
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Bénin

    Informations professionnelles :
    Activité : Rédacteur technique
    Secteur : High Tech - Éditeur de logiciels

    Informations forums :
    Inscription : Juin 2023
    Messages : 863
    Points : 15 360
    Points
    15 360
    Par défaut Microsoft interdit à Google et Alibaba d'exécuter les applications Windows O365 sur leurs plateformes cloud
    Microsoft interdit toujours à Google et Alibaba d'exécuter les applications Windows O365 sur leurs plateformes de cloud computing
    la firme de Redmond a pourtant fait quelques concessions à AWS

    Microsoft maintient sa politique interdisant l'exécution de son logiciel de bureautique sur les plateformes rivales telles telles que Google Cloud Platform (GPC) et Alibaba Cloud. Cette décision continue à donner des maux de tête aux clients de GCP et d'Alibaba, ces derniers se plaignant d'être laissés pour compte alors que la Microsoft a récemment fait des concessions pour les clients d'AWS. Les clients mécontents de GCP et d'Alibaba affirment qu'il n'y a aucune raison technique qui justifie ce blocage, ajouté que la décision de Microsoft est basée sur des considérations commerciales. Microsoft n'a pas expliqué pourquoi AWS a bénéficié d'un traitement de faveur.

    Windows 365 est une offre de PC basée sur le cloud qui crée automatiquement un nouveau type de machine virtuelle Windows (Cloud PC) pour vos utilisateurs finaux. Chaque PC dans le cloud est attribué à un utilisateur individuel et constitue son appareil Windows dédié. Windows 365 offre les avantages de Microsoft 365 en matière de productivité, de sécurité et de collaboration. Windows 365 est disponible en quatre éditions : Windows 365 Business (pour les PME), Windows 365 Enterprise (pour les grandes entreprises), Windows 365 Government (pour les clients gouvernementaux) et Windows 365 Frontline (pour d'autres cas d'utilisation spécifiques).

    À partir d'octobre 2019, Microsoft a modifié ses politiques en matière de licences en classant ses trois principaux rivaux dans le secteur du cloud computing [Amazon Web Service (AWS), Google Cloud Platform (GCP) et Alibaba Cloud) parmi les fournisseurs répertoriés. Cela signifie que les clients doivent payer de nouvelles licences pour faire fonctionner leurs produits dans ces clouds. Dans le cas d'Office 365, les applications Windows n'avaient pas le droit d'être hébergées par les plateformes susmentionnées. Cependant, au début du mois d'août, Microsoft a décidé de modifier ses règles afin d'accorder quelques privilèges à son concurrent AWS.

    Nom : Untitled-design-2.png
Affichages : 187363
Taille : 82,2 Ko

    La firme de Redmond a déclaré que les utilisateurs finaux disposant de certaines licences peuvent désormais utiliser Microsoft 365 Apps for Enterprise, Microsoft Project et Microsoft Visio sur Amazon WorkSpaces. Des critiques ont suggéré que l'intérêt des régulateurs antitrust a stimulé cette décision. « Les licences qui seront éligibles dans le cadre de cette politique révisée comprennent Microsoft 365 E3/E5/A3/A5 et Microsoft 365 Business Premium. Si vous disposez actuellement de l'une de ces licences, à partir du 1er août, vous pourrez utiliser ces applications Microsoft sur l'infrastructure de bureau virtuel Amazon WorkSpaces », précise l'entreprise.

    Quelques semaines se sont écoulées depuis ce changement surprenant, et Microsoft n'a toujours pas indiqué si des changements similaires pourraient être répercutés sur Google et Alibaba. Selon plusieurs sources anonymes proches de Microsoft et des entreprises concurrentes, il n'y a absolument aucune raison technique pour que Google et Alibaba soient exclus. « Il n'y a aucune raison technique. C'est purement commercial. Il s'agit simplement de quelques lignes dans un accord de licence de Microsoft qui stipule que vous ne pouvez pas l'exécuter sur GCP, sans raison valable, car vous pouvez l'exécuter sur d'autres appareils », a déclaré une source.

    En effet, vous pouvez exécuter ces applications sur des appareils Apple, des appareils Android, des PC, des Mac sur des centres de données Azure sur site, mais vous n'êtes pas en mesure de le faire avec GCP ou Alibaba. « Microsoft a sa propre solution, Windows 365 et Azure Virtual Desktop, et ce sont des produits concurrents des nôtres, de sorte que sur un marché, ce qu'ils disent essentiellement aux clients, c'est : "si vous avez des problèmes de sécurité avec Windows, vous voulez l'exécuter dans un centre de données dans un cloud". Mais le seul choix que vous avez, c'est Azure », a déclaré une autre source dans un rapport de The Register.

    Les clients qui souhaitent utiliser Windows Client ou Office dans GCP, Alibaba ou AWS doivent acheter des licences supplémentaires. GCP, AWS et bien d'autres se sont plaints de cette situation, la CISPE (Cloud Infrastructure Service Providers in Europe - un groupe commercial défendant les intérêts des fournisseurs d'infrastructure en tant que service en Europe) ayant même déposé une plainte auprès de la Commission européenne. En novembre dernier, le groupe a accusé la firme de Redmond de pratiques anticoncurrentielles, alléguant que les politiques de Microsoft portent "un préjudice irréparable" à l'écosystème de cloud computing de l'UE.

    « Il devient plus coûteux d'utiliser Windows sur n'importe quel autre nuage. C'est un coût, mais celui-ci [l'interdiction] est flagrant parce qu'il dit simplement qu'on ne peut pas le faire », a déclaré une source. Que disent les clients à ces fournisseurs à propos de la configuration du cloud ? Certains ont décidé de reporter la décision, d'autres ont opté à "contrecœur" pour Azure, et d'autres encore veulent se battre contre Microsoft. « La solution ?La solution est simple. Supprimez ces lignes de l'accord de licence et tout ira bien », a déclaré un fournisseur VDI (Virtual Desktop Infrastructure - infrastructure de bureau virtuel) dans le rapport.

    « Toute la croissance se produit dans le domaine de l'hyperscale. Elle ne se produit pas chez les petits fournisseurs de services gérés. 80 % de la croissance est le fait des hyperscaleurs, plus personne n'utilise son propre centre de données. Il semble scandaleux que Microsoft puisse jouer les favoris et n'autoriser arbitrairement qu'AWS à exécuter O365, mais il semble que ce soit le cas pour l'instant », a ajouté le fournisseur VDI. Wes Miller, analyste chez Directions on Microsoft, a déclaré que les raisons pour lesquelles Microsoft avait fait ce changement pour AWS et pas pour les deux autres fournisseurs listés n'étaient pas du tout claires.

    « Je ne suis pas au courant de ce qui est à l'origine de ce changement, mais je peux dire que nous entendons régulièrement parler de clients qui utilisent Amazon WorkSpaces, et pas tellement de VDI sur Google Cloud Platform ou Alibaba. Il est donc possible que cela soit dû au nombre de clients concernés, au volume distinct de clients, à la durée d'existence de WorkSpaces. C'est difficile à dire. Je pense qu'il est regrettable de créer cette exclusion et de ne pas réactiver Office sur VDI sur GCP et Alibaba. J'espère qu'à un moment donné, Microsoft corrigera ce problème et l'activera pour les deux autres partenaires », a déclaré Miller.

    « Il n'y a aucune raison justifiable pour que vous puissiez exécuter Office sur Azure (avec la meilleure option de licence), sur Amazon (avec une licence plus chère, mais c'est autorisé), mais pas sur les deux autres fournisseurs répertoriés », a-t-il ajouté. Michael Silver, vice-président de la recherche chez Gartner, estime que le problème général persiste pour tous les fournisseurs répertoriés, y compris Amazon, et que les clients devraient continuer à faire pression sur Microsoft pour qu'il élimine complètement les limitations des fournisseurs répertoriés. Selon lui, l'accord avec Amazon ne prend en compte que la plateforme WorkSpaces.

    « Tout d'abord, il convient de noter que l'accord Amazon/Microsoft semble être spécifique à Amazon WorkSpaces et ne permet pas aux solutions tierces de fonctionner de manière conforme. Ainsi, les solutions de Citrix, VMware, etc. ne sont toujours pas conformes en matière d'exécution des applications Windows M365 sur AWS. Je ne pense pas que Google dispose d'un service similaire et je ne sais pas ce qu'il en est d'Alibaba. La question générale reste un problème pour tous les fournisseurs répertoriés, y compris Amazon. Les clients devraient continuer à faire pression sur Microsoft pour qu'il supprime ces limitations », a-t-il déclaré.

    Ryan Triplette, directeur exécutif de la Coalition for Fair Software Licensing, est du même avis : « la nouvelle selon laquelle Microsoft autorisera un nombre limité de clients 365 à utiliser Amazon WorkSpaces est un pas bien trop petit pour suggérer que Microsoft souhaite réellement faire ce qu'il faut. Au contraire, cela confirme qu'il n'y a pas de raisons techniques derrière la décision de Microsoft de continuer à limiter le choix des clients ».

    Microsoft s'est avéré très populaire dans les cercles de discussion européens, et ce pour de mauvaises raisons. Récemment, il a été confronté à une bataille de plusieurs mois concernant ses conditions de licence jugées injustes qui rendent le changement de fournisseur ou l'utilisation d'un environnement multicloud à la fois difficile et coûteux. La firme de Redmond a promis de travailler avec les organismes compétents, mais n'a donné aucun détail à ce sujet.

    Triplette a déclaré : « Microsoft a créé des inégalités en octobre 2019 lorsqu'elle a mis en œuvre des conditions de licence logicielle pour limiter la capacité de ses clients à utiliser des licences qu'ils avaient déjà payées sur le cloud de leur choix. Rien de moins que de revenir entièrement sur ces restrictions n'est acceptable ».

    Source : Microsoft (1, 2)

    Et vous ?

    Quel est votre avis sur le sujet ?

    Voir aussi

    Un groupe industriel européen affirme que Microsoft porte un "préjudice irréparable" à l'écosystème du cloud de l'UE, le groupe accuse la firme de Redmond de pratiques anticoncurrentielles

    Microsoft met la dernière main à ses plans pour remédier aux problèmes de licences déloyales dans l'UE, avec des nouvelles options pour transférer les licences vers le cloud d'un partenaire

    Microsoft révise ses politiques en matière de licences logicielles et de cloud computing dans le contexte de l'examen des autorités européennes, et a la suite d'une plainte OVHcloud et Nextcloud

  18. #18
    Chroniqueur Actualités
    Avatar de Patrick Ruiz
    Homme Profil pro
    Redacteur web
    Inscrit en
    Février 2017
    Messages
    2 077
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Cameroun

    Informations professionnelles :
    Activité : Redacteur web
    Secteur : Communication - Médias

    Informations forums :
    Inscription : Février 2017
    Messages : 2 077
    Points : 56 289
    Points
    56 289
    Par défaut Windows est désormais disponible comme une application pour les iPhone, iPad, Mac, PC et navigateurs web
    Windows est désormais disponible comme une application pour les iPhone, iPad, Mac, PC et navigateurs web
    A partir desquels l’utilisateur pourra se connecter à un PC dans le nuage basé sur Azure

    Microsoft a créé une application Windows pour les iPhone, les iPad, les Mac, les PC et les navigateurs web. L’objectif : permettre la connexion des utilisateurs à un PC dans le nuage via l’offre Desktop-as-service basée sur Azure. L’utilisateur manipule le même Windows quel que soit l'appareil hôte. Le système d'exploitation dans le nuage possède les mêmes fonctions que son équivalent de bureau. La manœuvre attire l’attention sur les ambitions de Microsoft en termes d’élargissement de la disponibilité de ses systèmes d’exploitation. En effet, cette dernière ouvre la porte à la filière des plateformes mobiles au géant technologique américain.

    Nom : 1.png
Affichages : 3594
Taille : 455,3 Ko

    Windows app se destine pour le moment aux entreprises de toutes les tailles. Des rapports font état de ce qu’elle pourrait bientôt être accessible aux particuliers. Deux éditions de Windows 365 sont prévues : Business et Enterprise. Toutes deux s’appuient sur Azure Virtual Desktop. Les PC en nuage individuels peuvent être configurés avec un seul processeur, 2 Go de mémoire vive et 64 Go d’espace de stockage pour le bas de gamme. En sus, l’offre prévoit d’aller jusqu'à huit processeurs, 32 Go de mémoire vive et 512 Go d’espace de stockage. Microsoft propose 12 configurations différentes pour Windows 365 Business et Enterprise.

    Depuis des décennies, Microsoft propose des applications similaires pour se connecter à distance à des PC, notamment avec l'application Remote Desktop Connection (connexion au bureau à distance) fournie avec Windows. Une application Windows dédiée est inhabituelle et pourrait indiquer que la firme ambitionne de déplacer Windows vers le nuage.

    La pandémie de coronavirus a bouleversé la façon de travailler de par le monde. L’approche hybride télétravail – présentiel tend à s’imposer. C’est en réponse à cet état de choses que Microsoft propose Windows 365. Le nouveau service est conçu pour permettre aux utilisateurs d'accéder à leurs appareils, y compris les données, les applications et les paramètres, à partir d'un appareil personnel ou professionnel ou d'un téléphone, éliminant ainsi la nécessité de se déplacer avec leur PC. Microsoft disposait déjà d’un produit similaire, Azure Virtual Desktop, mais la nouvelle offre est censée être plus simple à mettre en place et à gérer.

    Coup d'oeil sur les tarifs

    Les tarifs officiels sont disponibles. Le principal point d'attention concerne leur caractère évolutif en fonction des caractéristiques souhaitées. La formule la moins chère permet la simulation d'une machine disposant d'un processeur virtuel de 2 Go de RAM et de 64 Go de stockage. Il faudra débourser pour ces performances 20 dollars par mois et par utilisateur avec "Windows Hybrid Benefit", pour l'emploi d'une version Windows 10 Professionnel. Soit le minimum vital.

    La proposition "Windows Hybrid Benefit" signifie que les utilisateurs disposant de licences existantes peuvent demander une réduction. Ceux qui ne disposent pas d'une licence existante paieront 4 dollars de plus par utilisateur et par mois. A contrario, pour 158 dollars par mois, on peut avoir une machine virtuelle avec 8 CPU virtuels, 32 Go de RAM et 512 de Go de stockage.

    Les plans Business sont plafonnés à 300 utilisateurs par organisation, tandis que les abonnés Enterprise peuvent avoir un nombre illimité d'utilisateurs. Microsoft a également planché sur trois offres plus proches des attentes les plus communes.

    La première, l’offre Basic, propose contre 28,20 euros (environ 34 dollars) par mois la simulation de deux processeurs virtuels, 4 Go RAM et 128 Go stockage. Elle permet un accès au PC Cloud et à la gestion de l’expérience sur Windows365.microsoft.com, l'accès aux versions bureau d'Office, d’Outlook, de OneDrive et de Microsoft Teams (conversations et appels audio uniquement) pour la version Business. Dans la version Entreprise, l'utilisateur a accès à Microsoft Endpoint Manager, la gestion des PC et appareils mobiles.

    Les versions Standard à 37,30 euros (environ 45 dollars) par mois (deux processeurs virtuels, 8 Go RAM, 128 Go de stockage) et Premium à 60,10 euros par mois (quatre processeurs virtuels, 16 Go RAM et 128 Go de stockage) offrent une prise en charge complète de Teams. Par ailleurs, la version Premium inclut également la prise en charge de Microsoft Visual Studio, de Power BI et de Dynamics 365.

    Les tarifs du produit Windows 365 Cloud PC peuvent paraître élevés. En réalité, dans le domaine professionnel, ils sont plutôt compétitifs. Chez Amazon, l’offre de PC virtualisé Workspaces démarre à 29 dollars par mois pour 1 vCPU et 2 Go de RAM. Un particulier, évidemment, ne débourserait jamais une telle somme. À titre de comparaison, Shadow*propose des PC de gaming virtualisés sous Windows 10 avec CPU virtuels 4 cœurs/8 threads, 12 Go de RAM et 256 Go de Stockage pour 29,99 euros par mois. Avec Windows 365, il faudrait débourser au moins deux fois plus pour avoir une configuration similaire, et encore il faut faire une croix sur la carte graphique.

    Source : Microsoft

    Et vous ?

    Votre entreprise s’est-elle arrimée à l’une de ces offres PC sur cloud ? Quels sont les avantages et les inconvénients que vous avez perçus ? Partagez votre expérience
    Que pensez-vous du cloud computing de façon générale ?

    Voir aussi :

    Pour la première fois, les abonnements à Office 365 sont plus rentables pour Microsoft que les licences des versions Office traditionnelles
    Microsoft annonce la disponibilité d'Office 2019 pour Mac et Windows avec des fonctionnalités dérivées d'Office 365 ProPlus
    Microsoft termine son année fiscale 2018 avec un chiffre d'affaires annuel supérieur à 100 milliards de dollars avec un 4T18 meilleur que prévu
    Microsoft dote l'application de collaboration Teams d'une version gratuite qui prend jusqu'à 300 utilisateurs en charge

  19. #19
    Expert éminent Avatar de kain_tn
    Homme Profil pro
    Inscrit en
    Mars 2005
    Messages
    1 671
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Suisse

    Informations forums :
    Inscription : Mars 2005
    Messages : 1 671
    Points : 7 812
    Points
    7 812
    Par défaut
    Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
    Windows est désormais disponible comme une application pour les iPhone, iPad, Mac, PC et navigateurs web
    A partir desquels l’utilisateur pourra se connecter à un PC dans le nuage basé sur Azure
    ... et déposer directement ses données personnelles. Même plus besoin de les collecter! Ils sont forts!

Discussions similaires

  1. Microsoft dope les fonctionnalités de son service de sauvegarde sur le Cloud
    Par Stéphane le calme dans le forum Microsoft Azure
    Réponses: 0
    Dernier message: 17/02/2015, 18h09
  2. Microsoft dévoile les tarifs pour Office 2013 et Office 365
    Par Hinault Romaric dans le forum Microsoft Office
    Réponses: 9
    Dernier message: 20/09/2012, 20h49
  3. Réponses: 5
    Dernier message: 22/03/2012, 13h45
  4. Réponses: 4
    Dernier message: 10/12/2009, 15h57
  5. Réponses: 1
    Dernier message: 29/10/2009, 15h48

Partager

Partager
  • Envoyer la discussion sur Viadeo
  • Envoyer la discussion sur Twitter
  • Envoyer la discussion sur Google
  • Envoyer la discussion sur Facebook
  • Envoyer la discussion sur Digg
  • Envoyer la discussion sur Delicious
  • Envoyer la discussion sur MySpace
  • Envoyer la discussion sur Yahoo