Discussion :

[perrotta]

Bonjour tous le monde,

a votre avis, le mieux sur tous les plans(salaire, retraite, avantage, carrière, évolution ...) travailler dans le privé ou dans le public ou en indépendant.

Merci a vous tous.

Cordialement.

[Jean-Philippe André]

Salut,

sur le papier ou dans la realite ?

sur tous les plans, aucune des 3 solutions ne surpasse les deux autres (sinon tout le monde serait dessus)

Les aspects evolutions, c'est plus au niveau de l'individu que ca se jouera, un gland mauvais restera un gland, un bon gros gland peut devenir un chene...

Pour la retraite, ca se jouera a quel age pour toi ? 70+ ? si a 70 ans tu as pas ta villa et tes appartements qui te paient ta retraite, tu as rate ta retraite ?

C'est un peu totalement un sujet a trolls ta question, a la rigueur si tu precises un peu mieux ton objet, on pourra discuter normalement

[perrotta]

je voulais dire le plus avantageux sur les 3.

[Glutinus]

D'accord. Et tu peux mieux préciser s'il te plait ?

[thom14]

[mode troll on]

le meilleur c'est l'expatriation.

[mode troll off]

sinon bah tout dépend de ta vision personnelle de ce qu'est le confort, la carrière, les avantages, ...

[Bousk]

Mais non, le mieux c'est de créer le prochain Microsoft, Twitter ou Facebook et devenir big boss !

[yento]

A condition de commencer par l'expatriation. Finir boss d'une entreprise en France ce serait vraiment la pire des 3 options et de loin.

[ed73170]

salaire : En salaire mensuel c'est le privé qui gagne, mais en salaire horaire le public est loin devant.

retraite : Le public sans aucun doute, départ plus jeune en moyenne et bien meilleures conditions de calcul de la pension, 6 derniers mois contre 25 meilleures années dans le privé. Les fonctionnaires se plaignent sans arrêt mais il ne faut pas trop les croire, ils essayent juste de conserver leurs avantages.

avantage : Le public bien sûr, pas de risque de chômage, plus de congés, des arrêts maladie institutionnalisés, des jours pour enfants malades (un de mes amis fonctionnaire a sa fille qui est malade tous les mercredis).

carrière : Là il faut voir ce qu'on veut, si c'est une carrière pépère sans trop de stress et en travaillant pas trop loin de la maison c'est le public qui gagne, mais si on veut voyager dans toute le France selon le bon vouloir des SSII et loger à l'hôtel la moitié de sa vie pour faire des missions le plus souvent bien pourries, alors il faut sans hésiter aller vers le privé.

évolution : Les deux se valent à condition de s'asseoir sur ses illusions et d'accepter certains compromis.

[perrotta]

salaire : En salaire mensuel c'est le privé qui gagne, mais en salaire horaire le public est loin devant.

retraite : Le public sans aucun doute, départ plus jeune en moyenne et bien meilleures conditions de calcul de la pension, 6 derniers mois contre 25 meilleures années dans le privé. Les fonctionnaires se plaignent sans arrêt mais il ne faut pas trop les croire, ils essayent juste de conserver leurs avantages.

avantage : Le public bien sûr, pas de risque de chômage, plus de congés, des arrêts maladie institutionnalisés, des jours pour enfants malades (un de mes amis fonctionnaire a sa fille qui est malade tous les mercredis).

carrière : Là il faut voir ce qu'on veut, si c'est une carrière pépère sans trop de stress et en travaillant pas trop loin de la maison c'est le public qui gagne, mais si on veut voyager dans toute le France selon le bon vouloir des SSII et loger à l'hôtel la moitié de sa vie pour faire des missions le plus souvent bien pourries, alors il faut sans hésiter aller vers le privé.

évolution : Les deux se valent à condition de s'asseoir sur ses illusions et d'accepter certains compromis.

Merci pour votre réponse, la je voir plus clair les choses.

[Glutinus]

salaire : En salaire mensuel c'est le privé qui gagne, mais en salaire horaire le public est loin devant.

retraite : Le public sans aucun doute, départ plus jeune en moyenne et bien meilleures conditions de calcul de la pension, 6 derniers mois contre 25 meilleures années dans le privé. Les fonctionnaires se plaignent sans arrêt mais il ne faut pas trop les croire, ils essayent juste de conserver leurs avantages.

avantage : Le public bien sûr, pas de risque de chômage, plus de congés, des arrêts maladie institutionnalisés, des jours pour enfants malades (un de mes amis fonctionnaire a sa fille qui est malade tous les mercredis).

carrière : Là il faut voir ce qu'on veut, si c'est une carrière pépère sans trop de stress et en travaillant pas trop loin de la maison c'est le public qui gagne, mais si on veut voyager dans toute le France selon le bon vouloir des SSII et loger à l'hôtel la moitié de sa vie pour faire des missions le plus souvent bien pourries, alors il faut sans hésiter aller vers le privé.

évolution : Les deux se valent à condition de s'asseoir sur ses illusions et d'accepter certains compromis.

L'auteur parlait également des professions libérales. En comparaison de ce qu'a dit Ed :

Salaire : potentiellement meilleur, puisqu'on est payé au jour travaillé. On travaille sans vacances : on gagne plus. Et a priori, on gagne plus à la journée, mais on est aussi dans le risque que le client ne veut plus travailler avec soi du jour au lendemain (arrêt de rentrée d'argent quasi immédiate). Donc dans l'absolu "ça dépend", de son taux de facturation, de sa capacité à se trouver des clients, et du temps qu'on fournit (certains indépendants qui sont bien payés à la journée choisissent de bosser moins). Si tu factures 1500€ / jour (la moitié part à l'état mais l'autre moitié est pour ta poche), et que tu travailles sans arrêt oui là pour le coup tu vas te faire des baloches en or.

Avantage et retraite : bah là encore, ça dépend. Car a priori, dans le taux de facturation, le freelance prend en compte de quoi payer ses jours de congés, sa mutuelle (ainsi que celle de sa compagne et enfants s'il a envie), sa retraite, son matériel, sa bouffe le midi, etc. il peut très bien tout brûler et ne rien épargner ou à l'inverse se serrer la ceinture mais assurer sa sécurité et sa retraite.

Carrière et évolution : encore une fois, ça dépend. C'est bien comme réponse ? ;-) en tant que freelance, tant qu'on arrive à se vendre, on peut se dégotter ses propres challenges, choisir ses propres formations. On n'a pas envie de faire quelque chose ? On le fait pas. Mais par contre si on veut faire absolument quelque chose, il faut s'y donner les moyens à 300%. C'est plus gratifiant quand y on arrive. Dans les faits, si on n'a plus de rentrée d'argent, on peut se retrouver à faire des tâches ingrates (tout comme dans le privé ou le public)