Avec le temps, je trouve l'informatique de plus en plus froide et "asocialisante".
Alors, je me demandais votre opinion là-dessus. Et quels sont, selon vous, les métiers de l'informatiques les moins touchés par ce phénomène.
Avec le temps, je trouve l'informatique de plus en plus froide et "asocialisante".
Alors, je me demandais votre opinion là-dessus. Et quels sont, selon vous, les métiers de l'informatiques les moins touchés par ce phénomène.
J'aurais pensé l'inverse.
Débat intéressant en tout cas, j'attends avec impatience ce qui va en ressortir !
Mouais, si on veut... Plus j'avance en expérience, plus je suis obligé de faire du "social" au contraire.
Fini le bon temps où l'ours de service pouvait être peinard dans sa caverne : encore un cran, et il faudra même que je sois diplomate... Snif...
Mac LAK.
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Hello
Etre sociale avec les gens, c'est facile.
Mais de leur expliquer ce qu'on fait du comment et du pourquoi cela est autre chose!!!
En attendant iil faudrait faire quoi pour etre accepter tell comme nous sommes?
Actuellement je suis informaticienne en 3ème année d'apprentissage
Je me disais justement ce matin qu'au début on développe... Mais par la suite, on voudra de moins en moins de nous à ces postes... Sauf cas exceptionnel, d'expert pour aller plus vite...
Du coup, on est bien obligé de se convertir vers quelque chose d'autre... Le social ? seulement après...?
Parfois, je songe même à me reconvertir... Je me dis qu'il y aura un façon où de toute façon, faudra peut être le faire...
"Froide" et "asocialisante"
dis donc, faudrait que tu change de fréquentation lolll
J'avoue que j'ai du mal à interpréter ton message ... Ce que j'en comprends (tu me corrigera si je me trompe)
"Froide" : Niveau ambiance de travail ? Je pense que ça dépend beaucoup plus des personnes avec qui tu travail, si tu travail en équipe, si le management permet une interaction entre les différents acteur, ça peut donner de la vie au projet, donc même si je trouve que le monde de l'informatique manque cruellement de féminité (mon seul regret ), j'ai trouvé pour l'instant les ambiances dans lesquels je suis passé assez sympathique ...
"asocialisante" : Tu parle du côté geek ? Le fait de passer son temps libre dans l'informatique est un choix ... Et à mon avis il faut priorisé et comme il est commun de dire "les amis d'abord", ensuite la copine :p et enfin la passion (si elle en est une ;-) )
Échouer, c'est avoir la possibilité de recommencer de manière plus intelligente.
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Mon article sur l'agilité
Échouer, c'est avoir la possibilité de recommencer de manière plus intelligente.
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c'est dommage mais sache que dans le monde informatique, il n'y a pas beaucoup de fille et j'aimerai bien savoir pourquoi?
En plus si le monde informatique doit devenir plus sociale cela ne devrait pas devenir plus féministe ???
L'avenir nous le dira.
Une informatique plus humaine ? C'est un paradoxe non ? Comment un domaine qui à pour objectif d'automatiser les tâches humaines, de les effectuer plus vite, et de les vérifier "mieux" pourrait être humain ?
Un programme informatique est performant parce qu'il n'est pas humain, il n'a pas de ressenti, d'état d'âme, et prend les décisions qu'un homme hésiterait à prendre. Le rendre humain, serait le rendre inefficace.
Maintenant, si c'est le milieu de l'activité informatique (les gens qui font l'activité), oui je suis d'accord pour dire que c'est devenu un milieu de creuvards
Mes propos sont peut-être un peu forts, mais il est vrai que l'on est loin du milieu de passionnés qu'a pût être l'informatique des années 80. Aujourd'hui, le secteur est tenu par des financiers qui font principalement de l'informatique pour des financiers. Ceux sont eux qui ont le fric et qui font les bons (ou mauvais) jours de l'informatique.
Et bien sûr, en tenant un niveau très bas de salaire et en faisant pression sur les compétences européennes en menaçant de faire sous-traîter tous les développements en Inde ou au Pakistan (qui ont d'excellentes compétences, soit dit en passant).
Il reste bien sûr des vrais passionnés, qui ont ratés les années 80 et qui veulent aujourd'hui de la notoriété. Donc, ils passent leur temps à critiquer ceux qui tentent d'avancer.
Donc oui, le secteur est pourri à partir du noyau et si on veut du social et de l'humain, il vaut mieux investir son temps et ses compétences chez EMMAÜS.
Zecreator.
"La révolution informatique fait gagner un temps fou aux hommes, mais ils le passent avec leur ordinateur !"
En fait, je pensais surtout au fait qu'on a surtout un rôle de technicien, ou en tout cas on est très souvent perçu de cette manière.
D'où le côté froid et asocialisant, en opposition avec un métier comme psychologue, par exemple.
Mais en définitive, c'est le cas de beaucoup de métiers, même en dehors de l'informatique. A part les métiers en rapport avec la médecine (et encore pas tous), il y a toujours ce côté très cloisonné.
Parce qu'une fille , en général, elle sait quand elle commence à bosser , qu'elle fondera une famille, voudra s'occuper de ses enfants, etc... alors qu'un garçon y pense plus rarement (et en plus n'a aucune idée de ce qu'est être parent)...
Donc un métier, où tu ne sais jamais où tu vas bosser, où on peut t'envoyer à l'autre bout de la France pour 3 mois ou plus, où de mission en mission tu vas te taper des horaires de folie (transports) , qu'en plus, à la première grossesse tu vas être cataloguée, déclassée , dévalorisée. métier , aussi, ou le mi-temps et le temps partiel sont inexistants ....
C'est pas franchement attirant...
(même en tant qu'homme, si c'était à refaire je ferais autre chose...genre plombier, électricien ou serrurier)
Salut davcha,
entièrement d'accord les gens travaillent sur plateforme mais ils se parlent par mail même s'ils sont assis l'un à côté de l'autre.
De plus j'en suis à ma quatrième entreprise mais j'ai l'impression que les gens s'emmerdent.
D'ailleurs si malgré la crise beaucoup sont en recherche active ce n'est pas sans raison: les open spaces, la standardisation brident l'esprit créatif et au fond de soi chacun aspire à un mimimum de peps dans sa carrière et le peps on ne l'a pas quand on écoute les conversations de comptoirs des gens sur les plateformes.
A+
Faut que tu arrêtes la SSII là...
J'ai personnellement vécu les deux cas :
- M'emmerder ferme chez un client ou tout le monde s'emmerde ferme, ambiance froide, désumanisée, tous les jours se ressemblent, aucun pep's...
- M'éclater chez un client sur un projet passionnant, où l'on me fait confiance, plein de défis, d'idées...
Et je peux affirmer que dans ce deuxième cas, le métier n'est vraiment pas inhumain, personne dans mon équipe ne se met le cerveau en "mode machine" dans son coin. Ca débat, ça réfléchit...
Plus le temps passe et plus je me rend compte que la vision bien / pas bien que j'ai de mon métier dépend complément de la société ou je l'exerce et de son attitude envers moi...
"J'adorerais changer le monde, mais pas moyen de mettre la main sur le code source."
chez moi
C'est un peu cliché... en fait, c'est l'entrée dans la vie active qui fait que nous sommes obligées d'y penser. En entretien, si tu es une fille, les questions sur l'idée que tu te fais de la vie future arrivent tout de suite...
Tu as 20 ans, tu es célibataire... tu y aura droit de toute façon. Alors que pour ces messieurs, rares sont les hommes de moins de 30 ans qui ont eu le droit à "Vous voulez des enfants ?" durant un entretien... Un peu comme si toutes les minettes de 22 ans en info faisaient des enfants qu'avec des vieux passé la quarantaine ...
Ça c'est vrai dans beaucoup de métiers...Donc un métier, où tu ne sais jamais où tu vas bosser, où on peut t'envoyer à l'autre bout de la France pour 3 mois ou plus, où de mission en mission tu vas te taper des horaires de folie (transports)
Le problème c'est la société en général qui à fait associer la grossesse à une longue maladie... dont on ne guéri jamais vraiment puisque quand tout se passe bien les minis-humains sont là pour au moins les 18 prochaines années.à la première grossesse tu vas être cataloguée, déclassée , dévalorisée. métier , aussi, ou le mi-temps et le temps partiel sont inexistants ....
C'est pas franchement attirant...
Ni Dieu, ni maître, mais des frites bordel!
Le travail à la mission, où au forfait c'est plutôt adapté à des personnes seules, sans attache familiale.
J'ai du mal à croire qu'un parent pourrait partir 6 mois en mission loin de sa famille. C'est clair que pour le couple, ça risque de flancher, et pour les enfants, c'est vraiment pas top.
Les missions qu'offres les SSII sont souvent ciblées "singles workers". Dès que t'as une attache, t'es pas flexible, et donc c'est mort.
Pour le problème de la femme (doit on parler de problème), c'est vrai que pour beaucoup d'employeur, recruter une jeune femme qui n'a pas encore sa famille, angoisse de la voir dans 1 an lui annoncer son départ pour un congé mat', suivi d'un congé parental de 3 ans, qui l'obligera à recruter un/une remplaçante... C'est une angoisse qui à toujours existé et qui existera toujours (sauf si on trouve un autre moyen de faire des enfants).
Mon beau père, ancien directeur commercial, m'a souvent dit : "J'ai toujours préféré travailler avec 10 mecs, plutôt que 100 femmes. Entre leurs rêgles douloureuses, leurs gamins malades, leurs grossesses, leurs mariages, leurs divorces... Des emmerdes... Et en plus, les femmes entre elles, au bureau, c'est pas d'la tarte.".
Un discours misogyne, qui existe encore aujourd'hui, mais qui n'est pas clairement dit ou subtilement esquissé.
Donc, mesdames je vous souhaitent bien du courage, car en ces temps de crise, vous allez encore plus vous sentir sur la touche.
"La révolution informatique fait gagner un temps fou aux hommes, mais ils le passent avec leur ordinateur !"
La question du départ prématuré, par les temps qui courent, on se la pose quand on embauche un jeune, garçon ou fille.
Parce qu'entre ceux qui au bout de six mois décident que finalement ils veulent aller vivre à la campagne (ou à la plage), ceux qui veulent tout quitter pour aller en Australie, ceux qui se découvrent une volonté de faire "tout autre chose", ou de reprendre leurs études, et ceux qui après six mois commencent à t'expliquer qu'il va vite falloir doubler leur salaire sinon ils vont partir (généralement ils ont tort, mais ca n'arrange rien, parce qu'alors, on se retrouve à gérer des frustrés de 25 ans...), toutes ces histoires qu'on se repasse de recruteur en recruteur, c'est plutôt vis à vis des jeunes que le soupcon s'installe.
En fait, les grossesses sont un assez petit problème. Une grossesse, ca se connait à l'avance, donc ca se gère, et ça ne dure que quelques mois.
A mon avis, l'attitude dominante, c'est une méfiance vis à vis des jeunes, plus que des femmes... D'autant plus que la crise met sur le marché des personnes plus âgées, et souvent plus stables, à des tarifs comparables.
Francois
Salut,
le problème est le trop fort décalage entre les études et ce qui est demandé sur le marché du travail.
On fait étudier les chaines de markov aux jeunes miagistes et du coup ils attendent de leur métier qqch de vraiment excitant, le pb c'est que l'info de gestion ce n'est pas vraiment sexi alors après markov, ada, et j'en passe en miage, le choc est grand
Et je confirme entre le libellé du diplôme et les aspirations des jeunes, le décalage est parfois grand. Les salariés plus matures sont alors en effet plus sécurisants pour une entreprise (reste à voir quand même le pb de la rémunération, car les exigences des uns et des autres sont assez disparates).
A+
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