MAJ du 07.09.2009
Microsoft s'est enfin exprimé officiellement sur cette faille SQL et réfute en être à l'origine. L'entreprise se refuse donc a élaborer un correctif.
La firme américaine se dédouane totalement d'une quelconque responsabilité dans l'affaire, déclarant simplement que ce mode d'authentification est fortement déconseillé, en s'appuyant sur la 6ème loi immuable sur la sécurité informatique qu'elle avait publié en 2000 : "Un ordinateur n'est sécurisé que si son administrateur est digne de confiance".
Face à la passivité de Microsoft, Sentrigo a développé l'outil gratuit Passwordizer, permettant de chiffrer les mots de passe. Il est disponible en téléchargement
ici.
Source :
Le blog sécurité de Microsoft
Partager