Pour moi, on doit protéger le salarié quand un patron le licencie sans raison. Et c'est le travail des prudhommes. Il protège a postériori en attribuant une indemnité, ou en forçant la réintégration de l'employé.
Ici, on a une procédure préalable au licenciement, pour quelqu'un qui a été pris en faute / abus 3 fois en moins d'un an. Ca ne me parait pas enfreindre les droits du salariés de dire : OK, donc tu est viré en premier, et en second tu peux attaquer aux prud'homme si ca te parait injustifié.
Dans les deux cas, on a un juge qui s'en mêle, sauf que dans le second, le patron peut lancer la procédure, et épurer son service tout de suite, alors que actuellement, il a un salarié en place, qui subit un attaque en justice. Donc il le paye les nombreux mois de la procédure a ne rien faire(on ne l'imagine pas vraiment motivé).
La solution privilégié sera donc :
- pour une grosse boit / ou l'état : ne rien faire, après tout, c'est pas important l'argent des autres
- pour une petite structure : trouver la faute / pousser à la faute pour faire partir la personne et ne pas tenir compte du problème initial, que la personne confonde arrêts maladie et congés.
Par obliger à travailler, j'entends que quelqu'un qui prend des journées de maladie pour voir sa copine qui rentre de voyage ne travaille pas. Donc, si on l'attrape la main dans le sac, on lui demande de revenir travailler.
En plus, ce genre de comportement étant très contagieux dans une équipe /service, il suffit bien souvent d'un rappel à l'ordre pour que tout redevienne normal, et que les gens pose des congés ou des RTT quand ils veulent être en repos.
Partager