Pour les tearif des clients légers c'est un peu prohibitif c'est sûr, pour ce prix tu achètes des netbooks (voir meme gratuit si tu souscris a une offre 3G) et utilise le client via le navigateur, ça peut etre une bonne solution.
Pour les tearif des clients légers c'est un peu prohibitif c'est sûr, pour ce prix tu achètes des netbooks (voir meme gratuit si tu souscris a une offre 3G) et utilise le client via le navigateur, ça peut etre une bonne solution.
Dernière modification par Mejdi20 ; 13/04/2010 à 09h55.
Oui, et tu en profites pour le mettre le serveur directement chez le prestataire, et tu as une solution Cloud ! En plus de cette façon, il n'aura pas besoin de prendre rendez-vous pour administrer le serveur.
Tout d'abord, contrairement à ce que tu penses, tout le monde ne travaille pas sur informatique et n'a pas besoin de partager des fichiers en local. Il y a beaucoup d'entreprises qui n'utilise l'informatique que pour un seul logiciel.Quant au serveur, de toute façon, tu n'y coupes quasiment jamais, ne serait-ce que pour les espaces de travail locaux partagés sur le LAN (pour lesquels il serait vraiment crétin d'aller cloudifier).
De plus, même si tu as déjà un serveur en local, ça ne veut pas dire que ton nouvel applicatif pourra tourner dessus. Tu peux avoir un mec qui se débrouille avec un PC, qui installe un petit réseau local avec un serveur de fichier. Ça ne veut pas dire que tu veuilles lui laisser administrer ta paie ou ta comptabilité !
J'ai souvent vu des clients, installer des réseaux dissociés et totalement indépendants, en faisant appel à des prestataires différents, pour que les admins ne puissent pas accéder à la paie notamment, et connaitre le salaire du patron .
Je pense que tu dois être du genre à préférer garder tes économies sous ton matelat plutôt que de les confier à une banqueEn outre, avant que tous les applicatifs métiers se retrouvent cloudyfiables (et dans cloudyfiables, il y a fiables, ce qui reste à voir, ...
Pour la plupart des PME qui ne sont pas des spécialistes de l'informatique, un problème sur le cloud sera résolu bien plus rapidement que si le même problème était survenu en interne.
Une panne matérielle sur un serveur pourra être résolue très rapidement en cloud. Pour une PME, tu appelles la garanti du serveur, tu attends que le technicien passe, qu'il te dise qu'il n'a pas les pièces ou qu'il n'a pas pris le bon modèle. Et tu perds encore 24h.
Sans parler des sauvegardes qui ne sont jamais faites par les clients lambda, où dont tu te rends compte au moment de la restaurer qu'en fait la cartouche est illisible...
Ce sont autant de problèmes qui seront éviter en laissant de véritables professionnels administrés les serveurs.
Mais bien sûr, le could ne présente pas le même intérêt pour tout le monde. Autant ça me semble très indiqué par une PME, autant je n'en vois pas l'intérêt pour une grande boîte qui possède de toute façon son service IT.
C'est très répandu au contraire. Mais sous une forme différente : Les postes utilisateurs sont de vrai PC. Mais il s'agit de petites machines toutes identiques, matricées et toutes installées avec le même jeu d'applications de base.Des clients légers type Wise, donc ?
Mais cette technologie semble avoir du mal à percer ; elle existe depuis presque 15 ans dans le monde PC.
Ensuite chaque utilisateur se connecte sur un serveur TSE/Citrix pour utiliser ses applications métiers (pour celles qui ne sont pas en Web bien sûr).
Pour moi, ça ressemble plus à de l'ASP pur jus, version ante-cloud. Le cloud est supposé apporter en plus une atomisation des données avec une répartition totalement opaque entre sites de stockage, voire entre prestataires, notamment mais pas seulement par l'intégration de composants Saas divers et variés...
Confier mon application à un prestataire local (stockage compris s'entend) me dérangerait déjà moins.
Cela dit, je suis assez fondamentalement contre la perte de contrôle sur les données.
Les postes de production industrielle sont en effet peu équipés, bien que, les appli qualité envahissant peu à peu les ateliers, soit de moins en moins vrai.
En revanche, je ne connais pas une seule PME qui ne soit pas équipée d'ordinateurs aux postes administratifs et commerciaux.
D'ailleurs, je ne connais pas non plus beaucoup de TPE qui en soient dépourvues !
Dans la mesure où tu choisis ton appli en fonction de ton serveur, il est rare qu'elle ne tourne pas dessus, non !?
Pour les réseaux indépendants et dissociés je suppose que tu parles de l'architecture IP, et pas du câblage...
Cela dit, ça, je ne l'ai jamais vu. La plupart du temps, dans les petites structures, il y a 1 poste comptable et l'applicatif n'étant accessible à personne d'autre que le comptable, les données ont beau être sur le serveur, cela fait une belle jambe au reste des effectifs. C'est d'ailleurs rigoureusement transposable aux cas où il y a plusieurs comptables !
Par ailleurs, je n'ai jamais rencontré de patron suffisamment peu soucieux de l'utilisation de sa marge pour payer plusieurs fois la même chose : plusieurs prestataires, plusieurs réseaux, etc.
Que nenni...
Comprenons-nous bien : il y a des données qui sont générées chez les prestataires, et celles-là ont vocation à être accessibles à distance et à demeurer chez ces prestataires, même si elles te concernent (données bancaires, comptes commerciaux type Amazone, etc.).
Je parle ici des autres, de celles que TU produises dans ton métier, au jour le jour, et qui constituent l'expression même de ton métier (les données comptables en font partie, mais pas les données bancaires). Celles-là, il ne faut pas les externaliser. Il ne faut pas perdre leur contrôle.
Faut avouer, ce n'est pas faux. Mais j'ai l'impression que c'est plus une question d'éducation et de suivi déficients de la part des prestataires qu'autre chose.
Oui, mais au prix de la perte irrémédiable de ton indépendance informatique... sauf si ces professionnels administrent à distance (on tourne en rond, non ?)
C'est sûr que c'est attrayant, présenté comme cela.
Mais encore une fois, tu perds le contrôle sur tes données, sur le contenu fonctionnel de ton application, bref sur tout. Or de nos jours, le différentiel fonctionnel des applications informatiques est souvent un facteur crucial de compétitivité !
En outre, il semblerait que certains grands comptes ouvrent la voie dans ce domaine, comme toujours d'ailleurs.
Je parle très spécifiquement des clients léger, les vrais, sans une once d'intelligence embarquée : ceux-là ne sont pas répandus.
Un PC, ce n'est pas un client léger à proprement parler, et oui, je suis d'accord les postes TSE sont relativement répandus.
En fait, c'est un peu le problème qui a été précédemment évoqué : "qu'est-ce qu'on met derrière le mot "cloud" " : ASP; Cloud, Cloud privé, infogérence, processing... ce sont bien souvent beaucoup de termes qui désignent la même chose.
Pour moi, le cas dont tu parles est une forme de cloud. Mais il y en a aussi d'autres, et l'ASP classique en est une !
Je considère qu'on est en cloud dès lors qu'au lieu d'acheter un logiciel et du matériel pour l'utiliser, tu paies pour disposer d'un accès à un logiciel déjà installé et pouvoir l'utiliser : Au lieu d'acheter un logiciel, de devoir l'installer et suivre les mises à jour, l'éditeur te le met directement à disposition sur ses serveurs (voire en passant par un sous-traitant pour l'hébergemment). De ton côté, c'est bien un nuage puisque tu n'as pas besoin de savoir où se trouve le ou les serveurs, le DRP éventuel, comment sont stoquées les données et les sauvegardes...
Dans le premier cas, tu achètes un produit (Progiciel + serveurs) et tu paies quel qu'en soit ton usage, dans le deuxième cas, tu achètes un service et tu paies à la consomation (enfin, ça dépend du mode de facturation choisi par le fournisseur).
Le reste, ce n'est que du détail technique qui ne regarde pas vraiment le client.
Tu choisis les applis qui sont adaptés à tes besoins. Si tu peux les faire tourner sur les mêmes serveurs tant mieux, mais sinon tu ne vas pas prendre une appli qui ne fait pas ce que tu veux (ou pire : rien du tout), uniquement parce qu'elle ne s'installe pas en même temps qu'une autre sur le même serveur.Dans la mesure où tu choisis ton appli en fonction de ton serveur, il est rare qu'elle ne tourne pas dessus, non !?
Sans compter qu'elle peut avoir besoin d'un serveur dédié pour tenir la charge qu'on lui demande...
Dans la paie, on a affaire à de vrai paranoïaques. On a des clients qui nous demandent de chiffrer les données qui transitent sur le LAN pour que personne ne puisse écouter les données sur le réseau.Pour les réseaux indépendants et dissociés je suppose que tu parles de l'architecture IP, et pas du câblage...
Cela dit, ça, je ne l'ai jamais vu. La plupart du temps, dans les petites structures, il y a 1 poste comptable et l'applicatif n'étant accessible à personne d'autre que le comptable, les données ont beau être sur le serveur, cela fait une belle jambe au reste des effectifs. C'est d'ailleurs rigoureusement transposable aux cas où il y a plusieurs comptables !
D'autres qui veulent qu'on chiffre les données dans la base de données, pour que les Admins ne puissent pas les lire.
D'autres qui veulent qu'on chiffre les fichiers de la base de données pour qu'ils ne puissent pas être lisibles sur un autre serveur...
Il faut voir qu'on a des obligations de confidentialité très fortes. Lorsqu'un Expert comptable doit garantir la confidentialité des données de son client, que le client lui même doit garantir la confidentialité des données pour ses salariés, et que l'Expert va peut-être sous-traiter à son tour... A chaque intermédiaire, tu franchis une nouvelle étape dans la paranoïa.
Ça dépend de quel type d'applications on parle. Ton logiciel de paie n'est un outil de compétitivité que si tu es Expert comptable. Pour les autres, la paie est une activité obligatoire (au même titre que la compta), mais ce n'est pas elle qui développera ton chiffre d'affaire !C'est sûr que c'est attrayant, présenté comme cela.
Mais encore une fois, tu perds le contrôle sur tes données, sur le contenu fonctionnel de ton application, bref sur tout. Or de nos jours, le différentiel fonctionnel des applications informatiques est souvent un facteur crucial de compétitivité !
D'ailleurs, après le Cloud, l'étape suivante c'est l'offre de service complète. Au lieu de payer un accès à un logiciel pré-installé chez l'éditeur, tu le paies pour qu'il fasse aussi le travail à ta place !
Je pense que le Cloud n'est pas la solution miracle à tous les problèmes. Il y a des cas (cible client, type de logiciel) où il est parfaitement adapté, et d'autres où il n'a pas lieu d'être.
En fait, tout mon propos consiste justement à dire que si, cela devrait regarder le client !
Si tu sors de l'économie numérique, que tu regardes ce que "Le reste, ce n'est que du détail technique qui ne regarde pas vraiment le client" a donné dans le monde réel, puis que tu reviennes appliquer tes constatations au monde numérique, alors - normalement - tu devrais fuir le cloud comme la peste, que tu sois client, ou fournisseur.
Cela nous conduit tout droit à :
- la perte de contrôle sur les données des clients, à la fois en terme de propriété et en terme de contenu ;
- la perte des emplois des fournisseurs, ce qui impacte à terme l'économie globale du pays.
Le tout au profit des pays qui ne respectent pas les règles sociales et environnementales, et où l'on laisse les gens n'avoir d'éthique que leur profit personnel immédiat.
D'accord pour la charge, mais pour l'appli qui ne tourne pas sur un serveur, je demande à voir.
Dans quel genre de cas une appli pourrait-elle ne pas tourner sur les mêmes serveurs que ces petites camarades ? Il me semble bien qu'aujourd'hui, par exemple dans le monde Windows, tu trouves tout ce qu'il te faut. Bien sûr cela peut t'amener à changer le serveur qui ronronne depuis 10 ans dans le cagibi, sous l'escalier, mais où est le problème ?
Dans le modèle externalisé, il est faux que de croire que tu ne payes pas ton infrastructure, et soit l'application n'évolue pas et tu payes beaucoup trop cher quelque chose qui ne vaut plus rien, soit elle évolue, et avec elle les fermes de serveurs pour tenir l'augmentation de la charge par utilisateur, et tu payes les changements d'infrastructure d'une façon ou d'une autre...
Je ne connais pas ce domaine spécifique.
Tu parles ici d'entreprises de quelle taille ?
Ça dépend ; dans certains cas, le mode de calcul des primes peut être directement lié à ta compétitivité. Tu me diras, en général, ce n'est pas la même appli qui calcule les primes et qui établit le bulletin de salaire...
Ce modèle-là ne peut être mise en œuvre jusqu'au bout : quand tu as externalisé tout ton métier, comme je le disais plus haut, tu as tout perdu et tu es à la merci de tes fournisseurs qui ne se gênent pas pour devenir tes concurrents.
Et même si tu externalises tout, il faut bien que tu conserves la gestion des ordres donnés, et quand bien même tu aurais été prêt à abandonner tout le reste, ces informations-là constituent le cœur de ton nouveau métier, qu'il serait dangereux d'externaliser sur un cloud.
Tout à fait d'accord, et d'autant plus si l'on revient à "ta définition" du cloud dans laquelle tu laisses entrer des modèles qui restent sous le contrôle du détenteur des données, ce qui ne me semble pas correspondre à la démarche des tenants du concept actuel comme Google, Amazon, Facebook, etc.
C'est très simple, l'application A nécessite absolument le composant système X en version 1.
L'application B ne fonctionne pas si le composant X n'est pas installé en version 2. Si tu installes la version 2, elle remplace la version 1. Au final, tes deux applications sont incompatibles.
Même sans aller chercher des dépendances sur des composants systèmes, elles peuvent nécessiter des paramétrages différents incompatibles entre eux...
On peut certes dire que les applications en question sont mal écrites, mais c'est un cas très fréquent dès que tu sors des applications grand publique.
Ce sont généralement les Experts Comptables qui sont les plus exigants. Un "gros" expert, avec une cinquentaine d'utillisateurs en paie, peut traiter la paie de plusieurs milliers de petites entreprises.Je ne connais pas ce domaine spécifique.
Tu parles ici d'entreprises de quelle taille ?
Excusez-moi mais le Cloud je le vois comme le demon, satan aussi bien en developpeur qu'en utilisateur:
Voyez vous meme, mes données elles sont Ou? chez qui? le logiciel il n'est pas chez moi il est chez un autre et la question de savoir si le logiciel n'envoie pas des données confidentiel ne se pose plus car le dit logiciel n'est pas sur ma machine. J'ai pas confiance en les multinationnales, ce sont des gens de peu de crupules. Tout est bon pour gagner encore plus. Ça c'est le point de vu d'utilisateur.
Point de vu de développeur et/ou entreprise disons que si j'ai un produit je ne peux plus le vendre directement à mes clients car j'ai pas de client direct cf Apple store, je dois passer par un plus gros qui lui a son pourcentage et impossible de ne pas passer par lui car il a déjà tout fait pour bloquer, verouiller le système pour empêcher la naissance d'autres concurrents. Alors je dévoloppe pour qui? Pour moi meme, et encore si les OS aussi deviennent clouder??? On développle plus du tout si ce n'est au sein d'un boîte de cloudeurs.
Nein, c'est pas pour moi merci. Moi mes softs restent chez moi, mes données chez moi.
Petit lien vers mon premier jeux SDL2/C
http://store.steampowered.com/app/72..._Soul_Of_Mask/
la suite? ca vient,ca vient!
Mise à jour du 22.06.2010 par Katleen
Microsoft souhaite être "le meilleur" dans la sécurisation du Cloud, et affirme que la confidentialité est la principale cause des réticences à son adoption
La confidentialité des données a toujours été un souci majeur à l'adoption du Cloud Computing par les entreprises, à cause des inquiétudes qu'elle engendre.
En effet, les professionnels hésitent à faire sortir leurs informations confidentielles et/ou professionnelles des serveurs de l'entreprise ; par peur de pertes ou de fuites.
Microsoft s'est exprimé à ce sujet il y a quelques jours, déclarant que l'industrie informatique se devait de prendre tout cela en compte du fait de l'explosion des nouveaux modèles de stockage et de partage d'informations personnelles, d'entreprise et bancaires.
La firme cible la confidentialité comme préoccupation majeure et profonde des utilisateurs ; et ajoute qu'elle pourrait, dans le cadre du cloud, "augmenter les risques liés à la protection des données, et les problèmes juridiques".
Pour Microsoft, "la fiabilité est plus qu'un concept important dans ce monde où la croissance des flux de données est exponentielle. C'est un principe fondamental que les organisations doivent intégrer."
Il faut dire que les actualités récentes ne manquent pas d'exemples illustrant ce qui se passe lorsque cet avertissement n'est pas respecté (le mic mac des paramètres de Facebook, les données volées par les Google Cars, etc.).
Ces erreurs sont perçues comme des manquements par l'opinion publique, ce qui affecte sa confiance au Net et envers des services à distances comme le cloud.
Car dans le cloud, les informations sont hébergées par des professionnels qui possèdent des milliers de serveurs disséminés un peu partout sur la planète ; autrement dit, les données peuvent potentiellement se situer partout dans le monde.
Un "flou" et une distance qui inquiètent.
En tant que fournisseur de services Cloud Microsoft se sent concerné par ces problèmes.
A tel point que le CEO de la compagnie en personne, Steve Balllmer, a abordé ce sujet récemment en public (à l'Université de Washington début Mars) : "C'est une dimension du Cloud qui nécessite toute notre attention. En tant que grande entreprise, nous pensons que nous devons être les meilleurs au niveau de la confidentialité".
Mais l'enjeu est plus grand encore et concerne tous les acteurs du milieu. "Il s'agit réellement de problèmes collectifs, qu'aucune compagnie ou industrie ne peut régler seule.", explique-t-on à Redmond, avant de conseiller la mise en place de dialogues durables entre tous les concernés aux quatre coins du globe.
Source : Déclarations de Peter Cullen, Responsable de la stratégie confidentialité pour Microsoft, lors de la keynote d'ouverture de la conférence CFP (Computers, Freedom and Privacy) à San Jose
Pensez-vous que le cadre juridique soit suffisant pour de telles technologies ?
Question : imaginons que l'entreprise Dupond souscrit à une offre de cloud pour un ERP. Au début tout se passe bien, mais au bout de quelques années de bons et loyaux services Dupond décide de jeter un œil à la concurrence et se rend compte qu'un autre propose de meilleurs services pour moins cher.
Qu'est ce qu'il dit à son fournisseur actuel ? Je veux une copie de la BDD pour aller chez le concurrent ?
Comme d'habitude, le marketing s'empare d'un nouveau paradigme, le croit panacée (surtout commerciale, finalement) et au lieu de le cantonner à ce à quoi son application est indiscutablement pertinente voire nécessaire, se lance dans une démarche irréfléchie (techniquement) d'éradication du modèle précédent, alors qu'ils peuvent et doivent tous deux cohabiter...
Pour ma part, je suis ravi que Microsoft tente de faire contrepoids, même si, là encore, cela peut s'interpréter avant tout sous l'angle commercial de la volonté de préserver son ancien marché en sachant que l'on est retard sur le nouveau.
Peut-être faudra-t-il qu'un partenaire local d'un fournisseur de cloud prenne le contrôle de données, voire d'un centre de données pour que l'on se réveille enfin.
Malheureusement, l'affaire Alsthom pourrait ne pas servir d'avertissement : http://toutsurlachine.blogspot.com/2...it-pieger.html !
Le problème est le même pour les progiciels utilisés en interne. Si le mode de fonctionnement est fermé, changer de système est un vrai casse tête.
Et peu de fournisseurs font en sorte que ça soit simple, malgré les obligations.
J'ai eu le cas de bases de données d'autres progiciels à importer. L'ancien fournisseur m'avait juste indiqué dans quel dossier se trouvaient les fichiers Access, mais sans me donner les mots de passe, ni la structure .
Moi, je soutiens à 200% dvdbly. Il est catégoriquement impensable pour un particulier et une entreprise de n'importe quelle taille à laisser ses données à la merci de tous (et du premier pirate venu).
Pour le peu qu'internet plante, tu l'as dans l'os !!!
Après j'ai pu lire le problème pour le partage de données, en faisant appel à un prestataire réseau/admin, s'il connait son métier, ça ne sera pas dur pour lui de faire tout ce que le chef d'entreprise demande (notamment les payes).
(exemple tout bête: Je veux faire partager le dossier A à lui mais pas à lui, et bien sous l'OS, le prestataire fait de sorte à régler le partage réseau par utilisateur/mot de passe X sur ce dossier, un dossier B pour un/des autre(s) utilisateur/mot de passe Y sur ce dossier B.)
Puis faut pas rigoler, les ordinateurs de maintenant ne sont plus les ordinateurs des années 90->2006.... Un dual core est très abordable et virtualisable (pour les problèmes logicielles notamment).
Pour ce qui est de la panne informatique, les serveurs hébergés des clients "clouded" ne sont pas immunisés contre les crashs disques...
En faite le clouding peut servir pour les données non capitales uniquement.
Enfin, ce n'est que ma pensée, mais les entreprises et personnes qui mettent en jeu leurs données personnelles et professionnelles sont inconscientes, tout simplement. Pour moi le clouding c'est non, sans appel, re avoir un minitel plus performant cela ne sert pas à grand chose...
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