Richard Stallman va se pendre avec des arguments aussi minables
En 2014, si une organisation se fait vendre des logiciels payant, alors que l'on peut avoir des produits équivalent gratuit (reprenant les fonctionnalités dont elle se sert), et qui n'ont pas besoin d'être mis à jour nécessairement, c'est que le problème n'est pas lié au fournisseur, mais tout simplement au budget.
En fait cette organisation à besoin de conserver son budget et s'en moque de trouver de nouveaux outils. La gestion du changement pour une tribu de 20 rigolos, c'est facile : - " bon les gars ! ce soir on vous installe le truc et demain vous vous entraidé pour le comprendre".
Mais quand tu en as plus de 250, ce n'est plus pareil. Il faut penser formation !. Et là, aie, ça fait mal. Surtout que les formateurs enseignent vraiment que l'ultra essentiel devant un public généralement médusé et complètement étanche. Donc autant ne rien faire, mais çà encore faut il l'avoir déjà essayé.
Je me demande quand même si les arguments n'ont pas été complètement inventés de toutes pièces pour faire parler les forum'istes.
J'ai un peu du mal à imaginer une équipe commerciale, qu'il soit de Microsoft ou d’ailleurs sortir des arguments aussi fallacieux. Quoique...
Nouveau rebondissement sur le contrat « Open Bar »
Le 25 février 2014, Mme Joëlle Garriaud-Maylam interpelle M. le ministre de la défense sur ledit « contrat open-bar » concernant le renouvellement jusqu’en 2017 de son contrat-cadre avec Microsoft.
Mme Joëlle Garriaud-Maylam est sénatrice, elle est Secrétaire de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées, membre de la Commission des Affaires européennes et Vice-présidente de la Délégation aux Droits des Femmes et à l'Égalité des chances entre les Hommes et les Femmes...
Par rappel, au mois de décembre 2013, le ministère de la Défense a reconduit son contrat avec Microsoft Irlande. Ce nouveau contrat reste toujours aussi opaque que le précédent, le montant du contrat n'a pas été communiqué, mais on sait que cela porte sur environ 200 000 postes (voir 1er post).
En effet, cette dernière se demande pourquoi aucun appel d'offres n'a été fait, et elle souhaiterait des explications sur le choix qui a été fait. Elle souligne aussi que les produits Microsoft doivent avoir l'aval de la NSA pour être exportés, leur permettant d'introduire des portes dérobées ou « backdoors ». Et nombreuses sont les affaires d'espionnage...
Alors que la gendarmerie nationale a migré avec succès son parc informatique vers Linux, avec à la clé des réductions importantes des coûts, plusieurs institutions françaises semblent encore avoir du mal à franchir le cap, c’est notamment le cas des ministres qui hésitent encore.
Pourtant, Nombreuses sont les administrations qui y sont passées :
Source : http://www.joellegarriaud.com
Et vous ?
:fleche: Qu'en pensez-vous ?