Discussion :

[OR34a]

Bonjour à tous,

J'ai, avant les vacances, installé la version 1.6 (W32/W64) de Lazarus (sous W10). J'ai eu quelques difficultés à installer Zeos avant d'y arriver en installant la version 32 bits de Zeos. Je viens de reprendre un programme que j'avais fait il y a quelques mois pour y apporter une amélioration. Le travail n'est pas terminé mais, lorsque j'exécute le programme, il se lance convenablement mais j'ai deux messages curieux qui s'affichent.
Le premier qui m'annonce que l'accès à gdb.exe est impossible car le lecteur n'existe pas et le second qui m'annonce, dans la fenêtre message de Lazarus, que j'ai 154 unités dupliquées dont toutes semblent liées à Zéos (voir image jointe).
Je me demande d'où tout cela peut venir et est-ce que la solution ne serait pas de refaire une installation complète de Lazarus même si l'ajout des paquets additionnels est un peu "ennuyeux" ?

Merci de vos suggestions.

R. O.

[tintinux]

Bonjour

Il y a effectivement ce problème avec la version stable de ZEOSLib, qui vient semble-t-il de changements dans Lazarus postérieurs à sa sortie, et ne se produirait pas avec d'autres EDI.
Il n'a été corrigé que dans la version 7.2, qui n'est pas encore exempte de bug (mais que je vous encourage à tester si vous pouvez).

Pour l'éviter dans la version 7.1.4-stable, il faut modifier un peu les chemins d'accès dans les projets. Vous pouvez utiliser les fichiers joints pour remplacer ceux du dossier packages/lazarus.

[OR34a]

Bonjour,

J'accuse bonne réception de votre suggestion et vais la tester.

Merci

R. O.

[OR34a]

Bonjour,
je viens de désinstaller Zeos puis de le réinstaller en ayant changé les lpk ppar ceux fournis par Tintinux mais cela n'apas changé le message "unités dupliquées".
Pour l'instant, et comme cela ne semble pas gêner le déroulement du programme, je continue le développement sans modifier puis j'irai à la recherche de la version 7.2 de Zeos.

Merci

R.O.

[tintinux]

Bonjour
Il faut sans doute nettoyer les fichiers compilés dans les dossiers lib, sinon ça va continuer.