1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37
| <?xml version="1.0" encoding="utf-8"?>
<LinearLayout xmlns:android="http://schemas.android.com/apk/res/android"
android:layout_width="match_parent"
android:layout_height="match_parent"
android:orientation="vertical"
android:background="#FFFFFF">
<android.support.v4.widget.NestedScrollView
android:layout_width="fill_parent"
android:layout_height="match_parent"
android:layout_gravity="center">
<TextView
android:id="@+id/textView1"
android:layout_width="fill_parent"
android:layout_height="fill_parent"
android:layout_gravity="center"
android:layout_margin="20dp"
android:text=" législatives de janvier 2015
Principal artisan de la chute du gouvernement de coalition d'Antónis Samarás lors de de l'élection présidentielle anticipée de 2014, Alexis Tsípras permet à SYRIZA de partir favori dans les sondages pour les élections législatives de 2015.
Lors de ce scrutin, sa formation totalise 36,3 % des suffrages exprimés et 149 députés sur 300. Première force politique grecque, SYRIZA rate de deux sièges la majorité absolue au Parlement. Tsípras réussit néanmoins à former une coalition avec le parti de droite souverainiste des Grecs indépendants (AN.EL.) et à être nommé Premier ministre dès le lendemain des élections, le 26 janvier 2015, afin de pouvoir former un nouveau gouvernement.
Premier ministre
Comme premier acte officiel, Aléxis Tsípras rend hommage aux victimes de la Wehrmacht au mémorial de Kaisariani[20].
Comme premier acte officiel, Aléxis Tsípras rend hommage aux victimes de la Wehrmacht au mémorial de Kaisariani[20].
Aléxis Tsípras prête serment devant le président de la République, Károlos Papoúlias, le 26 janvier 2015 au cours d'une cérémonie civile, un événement inédit dans l'histoire de la République hellénique, où la prestation de serment d'un Premier ministre grec se déroule habituellement au cours d'une cérémonie religieuse orthodoxe.
Il forme son gouvernement dès le lendemain, le 27 janvier, après avoir constitué une coalition parlementaire en ralliant les Grecs indépendants (ANEL), un parti de droite souverainiste. Son gouvernement se compose en majorité de personnalités inédites, dont des universitaires. Le conservateur et nationaliste Pános Kamménos, leader des Grecs indépendants, est nommé ministre de la Défense nationale. L'exécutif ne comprend que douze ministres de plein exercice, dont aucune femme. Il est le premier chef de gouvernement dans l'histoire de la Grèce à refuser de jurer sur la Bible et devant un pope[21].
Après un premier semestre marqué par des négociations tumultueuses avec les créanciers de la Grèce, Tsipras annonce le 27 juin un référendum pour le 5 juillet où les citoyens grecs doivent décider s'ils acceptent ou non les propositions faites par ceux-ci[22]. Il appelle personnellement à voter « Non »[23], appel suivi par plus de 60 % des votants (malgré un taux d'abstention de 41 %)[24]. Le 13 juillet au matin, la Grèce et ses créanciers signent un accord comportant de nombreuses mesures d'austérité et de privatisations en Grèce, mais devant ouvrir à des crédits nouveaux pour le pays dans les mois suivants. Bien que s'affirmant en désaccord avec l'esprit des mesures proposées, le Premier ministre « assume la responsabilité d'un texte auquel [il] ne croi[t] pas, mais [il] le signe pour éviter tout désastre au pays »[25].
Il annonce sa démission le 20 août 2015 et propose de nouvelles élections pour le 20 septembre 2015[26],[27]."/>
</android.support.v4.widget.NestedScrollView>
</LinearLayout> |
Partager