Le truc, aussi, c'est la philosophie de codage qui va avec. Qui est hautement dépendante des outils disponibles. Un batch de mise à jour d'une base de données relationelle, dans un langage moderne, ça donnerai un programme simple, avec un gros ordre SQL au milieu. En cobol, on va décharger la base sur un fichier plat, faire un programme de traitement enreg par enreg, puis recharger l'intégralité de la base. Comment veux-tu comparer ça?
Oui, oui, j'ai vraiment une table qu'on droppe et qu'on recrée toutes les nuits dans son intégralité. Un langage moderne ne fait pas ça, pour plein de raisons très valables. Mon batch marche du tonnerre, pourtant, et les interfaces JAVA tapent avec bonheur sur ma base. Pendant la journée.
Sinon, +1 pour l'aspect "surprenant" du XML façon cobol. Il est plus efficace, parfois, de le gérer "à la main". Ce qui est assez déplorable, je suis d'accord. On avait fini par générer sous cobol un fichier plat, qui passait ensuite par une moulinette datastage, dont la seule fonction était de transformer tout ça dans un XML digne de ce nom.
Ah, et j'oubliais un aspect tellement pratique du COBOL : le niveau 88. Il parait qu'on peut faire à peu près pareil en C# avec des attributs, mais je n'y suis pas parvenu.
Et encore un : comme la mémoire est purement statique(à moins de jouer avec les pointeurs, mais j'en ai vu 1 en 12 ans, et encore, en lecture seule, c'est pas comme si c'était une pratique courante), les fuite mémoire sont impossibles. J'aime beaucoup les collections, mais elles sont dangereuses. L'exploitation aime les programmes à utilisation mémoire prédéfinie.
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