C'est le principe même de la compétition
On est dans une économie ou l'on doit dégommer le concurrent pour survivre.
La position de Google est dominante sur le search.
Et Google est une entreprise privée.
Dans la société de compétitivité, c'est celui qui à le plus d'argent et de moyens qui gagne.
L'Europe à voulu ce système, l'Europe prone ce système, elle l'a.
Il n'y a que 10 places sur la première page et tout le monde voudrait y être.
Oui mais tout le monde n'y est pas parce que ça devient de plus en plus concurrentiel.
Et il faut aujourd'hui acheter de la visibilité.
C'est le cas pour Google shopping.
Et comme les gens payent pour être visible sur Google shopping, c'est normal que Google l'affiche en premier.
Le système est pourri, il faut faire avec.
Et il faut apprendre à manipuler les résultats du search.
Une sanction financière contre Google?
Celui-ci pourrait se venger en infligeant une pénalité sur le référencement.
Je n'ose même pas imaginer les dégâts et le cauchemar pour des millions de ecommerçants et autres.
Les marchés vont passer aux entreprises hors d'Europe.
On est dans du n'importe quoi.
La commission Européenne ferait mieux de trouver un accord plutôt que de racketter.
La position de Google sur le search est incontournable et nous risquons de le payer cher.
Pour des petits entrepreneurs Google est la survie.
Antitrust : Google compte se conformer aux exigences de l'UE pour le cas Shopping
Antitrust : Google compte se conformer aux exigences de l'UE pour le cas Shopping
et a communiqué son plan à la Commission européenne
Citation:
Mise à jour le 11/09/2017 : Google dépose un recours pour annuler l’amende record de 2,4 milliards
Il y a deux semaines, Google a fait une proposition à la Commission de l'UE pour mettre fin aux pratiques anticoncurrentielles dénoncées dans le cas de l'affaire Google Shopping. Cela ne signifie pas pour autant que le géant de la recherche en ligne a décidé de se plier à l'amende record de 2,4 milliards d'euros qui lui a été infligée par le régulateur européen de la concurrence.
Google vient en effet de faire appel pour contester cette amende deux mois après que la sanction est tombée. D'après
Reuters, le Tribunal général de l'UE devrait prendre plusieurs années pour se prononcer sur le cas. Une porte-parole du tribunal déclare toutefois que Google n'a pas demandé un ordre provisoire pour suspendre la décision de l'Union européenne. Cela signifie que l'entreprise devra payer, mais pourra se faire rembourser si l'amende est revue à la baisse ou annulée. Google pourrait aussi offrir une garantie bancaire à la Commission, en mettant l'argent sur un compte bloqué dans une banque, jusqu'à ce que la décision finale tombe. Pour sa part, le régulateur européen de la concurrence dit être prêt à défendre sa décision devant le tribunal.
28/08/2017 : Accusé d’avoir favorisé son service de comparaison de prix (Google Shopping) dans ses résultats de recherche, Google a été lourdement sanctionné fin juin par le régulateur européen de la concurrence. La Commission a infligé une amende de 2,4 milliards d’euros au géant de la recherche en ligne, soit plus du double de l’amende record de 1,06 milliard prononcée pour Intel.
Dans un communiqué de presse publié après sa décision, la Commission européenne a expliqué que Google donne une place privilégiée à Google Shopping, en le plaçant en haut dans ses résultats de recherche. Pendant ce temps, les services de comparaison de prix des concurrents sont affichés beaucoup plus bas, là où les consommateurs ne les voient pas.
En prononçant sa décision, la Commission avait aussi donné un délai de 60 jours à Google pour lui dire comment l’entreprise comptait mettre fin aux pratiques dénoncées et 30 jours supplémentaires (soit 90 jours au total) pour mettre fin à ces pratiques. Les 60 jours expiraient ce mardi et d’après le quotidien Bloomberg, Google va se conformer aux exigences de la Commission européenne ; ce qui sera l’une des rares fois où le géant de l'Internet a accepté de s’incliner sous la pression des régulateurs européens pour éviter d'autres amendes.
Un porte-parole de l’entreprise a en effet déclaré que Google va, ce mardi, communiquer à la Commission européenne son plan pour cesser les discriminations contre les comparateurs de prix concurrents dans ses résultats de recherche. Il n’a toutefois pas donné de détails sur ce que compte faire le géant de la recherche en ligne. En ce qui les concerne, les comparateurs de prix concurrents demandaient que leurs services soient traités sur un pied d’égalité avec Google Shopping. Autrement dit, Google devrait appliquer les mêmes procédés et méthodes de placement et d'affichage sur ses pages de résultats.
Dans une déclaration par email faite ce mardi, la Commission européenne estime, quant à elle, que « l'obligation de se conformer est entièrement la responsabilité de Google », sans préciser ce que l'entreprise doit faire pour en plus favoriser son service au détriment de ceux des concurrents.
Quoi que Google ait décidé de faire, ces changements doivent être mis en place d'ici le 28 septembre. Sinon, le géant de la recherche en ligne s'expose à d'autres amendes. Si ce délai est passé sans que les mesures annoncées aient été mises en place, Google va se voir infliger à une amende de 5 % du revenu quotidien d’Alphabet pour chaque jour supplémentaire jusqu'à ce que l'entreprise mette fin aux pratiques dénoncées. Ce sera environ 12 millions de dollars par jour, sur la base du chiffre d’affaires de 90,3 milliards de dollars réalisé par Alphabet en 2016.
Source : Bloomberg
Et vous ?
:fleche: Qu'en pensez-vous ?
Quellle est la raison de l'accusion de l'UE ?
Citation:
Envoyé par
super_navide
Une politique encore débile de l'UE au lieux d'attaquer Google il n'ont cas investir comme pour airbus pour faire un géant de l'informatique et les états et les entreprises de l'UE utiliser en priorité utiliser
des produits venants de l'UE.
Non franchement on est nulle mais quand je vois developpez.com ou d'autre site de forums français je me dit c normal.
Avant de dire que c'est une politique débile, il faut prendre plus de recul et comprendre POURQUOI l'UE l'accuse.
Pour information, les USA ont également accusé Google. Peu importe de la nationnalité.
Il faut se demander le pourquoi l'UE l'accuse ? Pourrais tu me donner la vrai raison de ton point de vue STP ?
Je pense que tu pars d'une mauvaise réflexion.
On accuse en général pas sans raison, il y a bien une raison : la libre concurrence
1./ Si une entreprise E a monopole de près de 95% de marché mondial sur un secteur d'activité A
2./ SI cette entreprise développe sur un autre secteur d'activité B mais en s'appuyant sur le secteur d'activité A
3./ Est ce qu'il y a une libre concurrence dans le secteur d'activité B ?
4./ Est ce que les entreprises concurrents ont-elles les mêmes chances de propérer ? Pourquoi n'aurait elle pas le droit d'avoir les mêmes armes pour se développer que l'entreprise E ? Les entreprises concurrentes abandonnent ?
En Europe, il y a une régulation de la concurrence pour assurer une libre concurrence. Si ce n'est pas le cas, l'entreprise est en infraction. Une entreprise ne peut pas être au dessus des loins
Ce ,n'est pas le role de l'Europe de créer un moteur de recherche pour rééquilibre les parts de marchés.
Antitrust : Google propose un système d'enchères aux comparateurs de prix concurrents
Antitrust : Google propose un système d'enchères aux comparateurs de prix concurrents
pour se conformer à la demande de l'UE
Accusé d’avoir favorisé son service de comparaison de prix (Google Shopping) dans ses résultats de recherche, Google a été lourdement sanctionné fin juin par le régulateur européen de la concurrence. La Commission a infligé une amende de 2,4 milliards d’euros au géant de la recherche en ligne, soit plus du double de l’amende record de 1,06 milliard prononcée pour Intel.
En prononçant sa décision, la Commission avait donné un délai de 60 jours à Google pour lui faire des propositions visant à mettre fin aux pratiques dénoncées et 30 jours supplémentaires (soit 90 jours au total) pour mettre en œuvre ces propositions. Au terme des 60 premiers jours, le géant de la recherche en ligne a annoncé qu’il avait communiqué son plan au régulateur européen de la concurrence, mais aucune information n’a été donnée sur le contenu des propositions de Google.
D’après le quotidien Reuters, citant quatre sources anonymes, Google a fait une proposition qui ressemble à un compromis qui a été rejeté il y a trois ans. Les comparateurs de prix concurrents demandent que leurs services soient traités sur un pied d’égalité avec Google Shopping. Mais pour se conformer aux exigences antitrust de l’UE, Google propose d’afficher les résultats des comparateurs de prix de ses concurrents via un système d'enchères.
Selon les sources, la proposition consiste à permettre aux concurrents de faire une offre à n’importe quel endroit du service de shopping du moteur de recherche ; une offre connue sous le nom de Product Listing Ads.
« Dans le cadre de la proposition précédente visant à régler l’enquête ouverte par la Commission pour infraction aux règles de la concurrence, Google proposait de réserver les deux premières places pour ses propres publicités », rapporte Reuters. Mais « la nouvelle proposition […] verrait également Google fixer un prix plancher avec ses propres offres déduction faite des coûts d’exploitation. »
Quoi qu'il en soit, le compromis proposé par Google ne répond pas aux problèmes soulevés par les autorités de la concurrence de l’UE, ont indiqué les sources. « C'est pire que les engagements [pris par Google] », a déclaré l'une d’entre elles.
La Commission avait ordonné à Google d'accorder à la concurrence un traitement identique à celui réservé à son propre service. Et pour les comparateurs de prix concurrents, cela signifie que Google devrait appliquer les mêmes procédés et méthodes de placement et d’affichage sur ses pages de résultats. Reuters n’indique toutefois pas si la Commission a rejeté la proposition ou si elle continue de l’examiner avant de prendre une décision, ou encore si elle attend que ces mesures soient appliquées. Google a pour sa part jusqu’au 28 septembre pour mettre en œuvre sa proposition.
Pendant ce temps, le géant de la recherche a déposé un recours pour annuler l’amende de 2,4 milliards d’euros infligée par l’UE. Le Tribunal général de l'UE devrait prendre plusieurs années pour se prononcer sur le cas. Une porte-parole du tribunal a déclaré que Google n'a pas demandé un ordre provisoire pour suspendre la décision de l'Union européenne. Cela signifie que l'entreprise devra payer, mais pourra se faire rembourser si l'amende est revue à la baisse ou annulée. Google pourrait aussi offrir une garantie bancaire à la Commission, en mettant l'argent sur un compte bloqué dans une banque, jusqu'à ce que la décision finale tombe. En ce qui le concerne, le régulateur européen de la concurrence dit être prêt à défendre sa décision devant le tribunal.
Source : Reuters
Et vous ?
:fleche: Qu'en pensez-vous ?
:fleche: Vous attendiez-vous à ce que Google propose quelque chose de plus favorable aux concurrents ?
1 pièce(s) jointe(s)
Google Shopping pourrait être séparé du moteur de recherche pour satisfaire l'UE
Google Shopping pourrait être séparé du moteur de recherche pour satisfaire l'UE
Mais ses concurrents n’apprécient guère les solutions proposées
Afin de se conformer aux nouvelles directives de la Commission européenne visant à lutter contre les pratiques antitrust sur le marché des technologies d’Internet, il semble que Google, la filiale d’Alphabet, se soit décidée à remanier en partie le fonctionnement de sa plateforme de recherche en ligne. D’après les informations fournies par le média Bloomberg, la firme de Mountain View envisagerait désormais de séparer son service de shopping en ligne de son moteur de recherche en ligne afin de créer une nouvelle entité automne.
Pour ce faire, Google devrait mettre en place une division spécifique qui sera entièrement dédiée à la gestion des activités de comparaison des prix et de shopping en ligne. Cette division sera uniquement réservée au marché européen. Au vu de l'historique de la société technologique américaine, ce sera tout sauf une surprise. En effet, la multinationale Alphabet a été créée à l’occasion de la restructuration de Google, afin de recentrer les activités de l’entreprise liées à Internet tout en permettant l’exploration « avec un minimum de risques » d’autres domaines via des filiales au sein d’Alphabet. Cette initiative a permis de regrouper plusieurs marques indépendantes capables de fonctionner et de se gérer de manière autonome. L’entreprise Google en elle-même compte déjà plusieurs divisions comme YouTube, sa division Hardware, Android ou encore sa division dédiée au Cloud Computing Business qui opèrent indépendamment les unes des autres. Google pourrait se servir de la même recette pour mettre en place sa division européenne dédiée à la comparaison de prix et au shopping en ligne qui fonctionnera avec ses fonds propres.
Il faut rappeler qu’au terme d’une bataille juridique longue de plusieurs années, la Commission européenne a décidé d’infliger à la firme de Mountain View une amende record de 2,42 milliards d’euros pour abus de position dominante sur le marché des moteurs de recherche parce qu’elle favorisait son propre service de comparaison de prix en ligne (Google Shopping) au détriment des autres (ses concurrents). La Commission avait donné 60 jours à Google pour lui dire comment elle comptait mettre fin aux pratiques dénoncées et 30 jours supplémentaires pour mettre fin à ces pratiques. Passé ce délai de 90 jours, Google écoperait chaque jour d’une amende équivalant à 5 % du revenu quotidien d’Alphabet (environ 12 millions USD par jour) jusqu’à ce que l’entreprise se conforme aux recommandations de l’UE. Google avait jusqu’au 28 septembre 2017 pour se conformer aux demandes des régulateurs européens avant d’être frappée par les sanctions suscitées.
Plutôt que de s’afficher directement en tête de liste, Google propose que son service de shopping soit intégré dans un système d’enchères collectives avec les autres comparateurs de prix. La proposition consiste à permettre aux concurrents de faire une offre à n’importe quel endroit du service de shopping du moteur de recherche, une offre connue sous le nom de Product Listing Ads. Les enchères entre Google Shopping et ses concurrents concerneraient un bloc d’images (avec liens) au-dessus des résultats de recherche. Les emplacements prévus à cet effet devraient afficher les résultats pour différents comparateurs de prix en fonction du niveau des enchères. En principe, c’est celui qui proposera l’offre avec le prix le plus élevé qui devrait bénéficier d’une meilleure visibilité.
Le problème avec ce dispositif, c’est qu’il suffira qu’un service de comparaison des prix s’arrange à proposer les montants les plus élevés à chaque enchère pour qu'il puisse systématiquement être classé en tête de liste dans les résultats de recherche. Une solution qui permettrait probablement de limiter la généralisation de ce genre de dérive serait d'obliger le comparateur à reverser une part fixe de ces montants aux revendeurs. Il serait également intéressant de voir dans quelle mesure ce système pourrait être compatible avec la recherche du prix le plus bas sur Internet.
Les concurrents de Google Shopping qui ont soutenu la décision des autorités de régulations européennes contre la filiale d'Alphabet ne cachent pas leur appréhension vis-à-vis des solutions proposées par la firme de Mountain View. Selon Richard Stables, PDG de Kelkoo, cette solution serait pire que celle de 2013, permettant à des fournisseurs de contenus de ne plus apparaître dans Shopping, et levant quelques restrictions contractuelles. Le comparateur britannique Foundem estime qu’il s’agit du « retour de l’enchère mort-vivante ».
Source : Bloomberg
Et vous ?
:fleche: Qu’en pensez-vous ?
Voir aussi
:fleche: Antitrust : Google propose un système d'enchères aux comparateurs de prix concurrents pour se conformer à la demande de l'UE
:fleche: Comment pourraient évoluer les services de recherche de Google après les sanctions de la Commission européenne ?