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Envoyé par
seedbarrett
Non, il y a toujours des gens qui détestes les juifs parce qu'ils sont juifs.
Bon alors je reformule : avant 1945 quasiment tous les intellectuels étaient judéo critique.
Alors qu'aujourd'hui on ne peut plus critiquer la moindre personne juive.
Il y a au moins 2 livres important sur le sujet :
Le Monde contre soi (le livre du pote de Yann Moix)
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L'ouvrage se présente ainsi sous la forme d'un dictionnaire classique et actuel (les références contemporaines y sont nombreuses), classant par ordre alphabétique les antisémites célèbres et moins célèbres de l'antiquité égyptienne (première apparition d'un texte antijuif) à Garaudy, Dieudonné et Mel Gibson. Chaque nom est éclairé par une courte présentation expliquant la nature de son antisémitisme (un symbole fait la distinction entre les différents types d'antisémitisme qui sont expliqués en début d'ouvrage) et se voit illustré par une ou plusieurs citations dûment référencées, qui justifient leur présence dans l'ouvrage. Pour éviter tout mauvais procès, on note si ce personnage est revenu sur ses déclarations ou s'il les a nuancées dans d'autres écrits (Voltaire, Chateaubriand, Nietzsche, Victor Hugo, Hergé, par exemple). Ce dictionnaire se veut aussi un livre de révélations. Si l'on connaît l'antisémitisme de Kant, Wagner, Shakespeare ou de Goethe, on y apprend que Ronsard, d'Holbach, Rousseau, Chopin, Dickens, John Lennon, Gandhi, Caran d'Ache, Rembrandt, Freud, Simenon ou Marlon Brandon (et des centaines d'autres, a priori non suspects) n'ont pas échappé à cette terrible tentation. Une façon originale d'appeler le lecteur à la vigilance de chaque instant.
L'antisémitisme : Son histoire et ses causes
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"Je n'approuve pas l'antisémitisme, c'est une conception étroite, médiocre et incomplète, mais j'ai tenté de l'expliquer. Il n'était pas né sans causes, j'ai cherché ces causes. Ai-je réussi à les déterminer ? C'est à ceux qui liront ces pages d'en décider.
Il m'a semblé qu'une opinion aussi universelle que l'antisémitisme, ayant fleuri dans tous les lieux et dans tous les temps, avant l'ère chrétienne et après, à Alexandrie, à Rome et à Antioche, en Arabie et en Perse, dans l'Europe du Moyen Âge et dans l'Europe moderne, en un mot, dans toutes les parties du monde où il y a eu et où il y a des Juifs, il m'a semblé qu'une telle opinion ne pouvait être le résultat d'une fantaisie et d'un caprice perpétuel, et qu'il devait y avoir à son éclosion et à sa permanence des raisons profondes et sérieuses."
Bernard Lazare (Préface de L'Antisémitisme, son histoire et ses causes)
Comme là, il y a une image de Macron avec ses sponsors et vous voyez de l'antisémitisme !
Alors que l'image dit juste que Macron était soutenu par des types.
Il n'y a pas de généralisation sur une communauté.
Le point commun entre ces 3 personnes c'est Macron.
Une image antisémite aurait été de dessiner macron en méchant, qui porte une étoile de david et il faudrait qu'il soit en caricature de juif (ongles, oreilles, nez par exemple).
Là ça ne vise pas le judaïsme ça vise la finance.
Le judaïsme et la finance sont 2 concepts bien différents, être contre la finance ce n'est pas être contre les juifs.
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Envoyé par
seedbarrett
Il y a encore de nos jours en France des meurtres parce que untel est d'une religion X et l'autre Y.
Moi ce que je remarque c'est que toutes les religions ne sont pas traité de la même façon...
On s'en fout des agressions islamophobe ou christianophobe.
Mais alors par contre, quand qu'on pense qu'un juif a été agresser, alors là c'est l'apocalypse médiatique...
Le moindre fait divers prend des proportions astronomique.
À chaque fois qu'un juif se fait agresser les médias disent que c'est antisémite, alors que ce n'est pas forcément le cas... Déjà il est impossible de savoir qui est juif et qui ne l'est pas.
À chaque fois que la LICRA fait censurer un sketch c'est pour "antisémitisme" ce qui veut dire qu'on peut faire des blagues sur tout le monde sauf sur les juifs.
Il y a donc un gros problème.
Et sinon l’ancêtre du CRIF c'est l'UGIF :
Des juifs dans la collaboration. L'UGIF, 1941-1944 de Maurice Rajsfus.
Citation:
Des Juifs dans la Collaboration démontre notamment que de nombreux juifs ont participé activement à la déportation de leurs coreligionnaires pendant la guerre et rend caduque l’argument (dominant aujourd’hui) selon lequel l’État français est seul responsable de la déportation des juifs. Cette distinction entre d’un côté les juifs de France, et de l’autre l’Etat français (donc les Français non-juifs), distinction créée par Jacques Chirac le 16 juillet 1995 au Vel d’Hiv, n’a donc pas lieu d’être. Elle se révèle être ce qu’elle est : une nouvelle discrimination raciale, 50 ans après les faits, dans ce même Vélodrome d’Hiver. Avec, faut-il l’ajouter, l’assentiment officiel des représentants de la communauté juive, comme en 1942.
Aussi insupportable que cela puisse paraître, l’UGIF, ancêtre du CRIF (les juifs de France n’étaient pas représentés à l’échelon national auparavant), mis en place par Pétain et les nazis (l’UGIF était en relation directe avec la Gestapo), aida à constituer des listes de juifs à rafler et à déporter. Maurice Rajsfus témoigne autant qu’il relate les faits. Dans la préface, Pierre Vidal-Naquet explique très clairement que c’est parce qu’aucun historien (lui le premier) n’a voulu réaliser ce travail qu’un journaliste l’a entrepris.
Le livre, qui propose une somme impressionnante de documents d’archives, de témoignages et d’analyses, n’a jamais été réédité depuis 1980. Il n’a jamais été débattu dans les médias, par les politiques ou par la communauté juive. Et depuis qu’une bombe a explosé chez l’éditeur, EDI, l’auteur n’a plus jamais parlé de ce livre.