Une enquête prétend avoir trouvé la définition universelle du bon ingénieur logiciel en se bornant à demander à 59 personnes de chez Microsoft. << fin de la blague >> :roll:
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Une enquête prétend avoir trouvé la définition universelle du bon ingénieur logiciel en se bornant à demander à 59 personnes de chez Microsoft. << fin de la blague >> :roll:
Le bon ingénieur, c'est moi.
Je déconne, mais à moitié seulement. La plupart des gens qui vont répondre vont projeter l'image qu'ils ont d'eux mêmes sur l'image du développeur idéal. C'est humain. :aie:
On peut regarder le "jeune" sans pour autant être d'accord sur le fait que c'est jolie ! Le fait de présenter une solution "axé sur les données" nécessite un certain recule pour faire la part entre la passion et le besoin. Je m'insurge contre le pouvoir de la mode en informatique ! :mouarf:Citation:
« La technologie informatique, comparée à d'autres sciences ou technologies, est jeune et jolie. Chaque année, il y a de nouvelles technologies, de nouvelles idées. Si vous êtes seulement satisfait de choses que vous avez déjà apprises, alors vous trouverez probablement dans quelques années que vous êtes passé de mode…
Si je prend mon cas, passionné d'assembleur :aie:, ... je doit vraiment continuer ma phrase ?
Parce que tu penses que la plupart des gens ont une image positive d'eux-même ? :weird:
Je suis passé du côté obscur du management depuis bientôt 4 ans et je suis tjrs surpris du nombre de personnes qui se dévalorisent totalement lors des entretiens.
Au lieu d'axer leur bilan sur leurs réussites, ils se focalisent sur les échecs.
Vous êtes tous bizarre, la passion de quoi ?
Voici les différentes passion que j'ai rencontré dans le monde informatique:
- La passion du geek : Aime les jeux videos, les mangas, tous ce qui est bidouille
- La passion du beau code: Celui qui aime coder pour coder (en gros le pisseur de code)
- La passion de l'argent: Generalement des gens qui sont là que pour l'argent, vus pouvez appeler cela des carrieristes. Par fois des gens qui viennent de d'autre domaines et ont besoin de changer
- L'ingenieur: celui qui a fait une école d'ingénieur est comdamné à faire du code. Donc tu vas le voir dans les trucs comme C++, IOT mebbeded Programming, Jeux videos, ...
- La passion de la technologie: celui qui toujours dans la technologie, toujours au courant des derniers technos mais n'en maitrisent aucune. On peut dire l'artiste. Presque que pareil que la passion du code.
- La passion du deboggage: (vous jure que j'en ai croisé un) celui qui aime seulement debugger
- La passion du from scratch: Celui qui code des projets, celui qui va en projet en projet (l'artiste)
- La passion des normes: Celui qui va te faire bouffer des normes de codes à gauche à droite
- La passion de l'architecture: Celui qui va plus d'abstration qu'il va coder
- La passion du produit: Celui qui préfère produire pour produire quite à utiiser des technologies toute faites
De ce que j'ai vu dans l'ensemble, il faut de tout. Et je pense que la curiosité qui est numéro un est justifié. Celui qui est dans l'excès et qui ne peut pas faire de compromis entre ces différentes passion est un mauvais développeur. Les gens oublient très souvent qu'on code pour soi mais aussi pour les autres. L'informatique c'est pas que de la technologie c'est aussi l'art de l'utiliser.
Je suis en train de lire le livre Clean Coder qui est du même auteur que Clean Architecture et il utilise un terne qu'on oublie souvent qui est "Professionalism".
Tu te juge avoir une meilleur appréciation du métier car tu a lu des livres ???
Faire Pôle Emploi, bootcamp ou n'importe quel formation ne prouve rien non plus. Je fais aussi de la formation et connais plein de collègues qui font de la m… Cependant, je suis d'accord avec le début, je suis capable de former n'importe qui au code. Je l'ai fait. Et ? Ce n'importe qui sera content, il sera arrivé au bout de la formation et ne fera plus jamais de "code"… Ou en tout cas ne prétendra jamais au titre de "développeur" ou "ingénieur" dans ce domaine.Citation:
Crois moi je suis capable de prendre m'importe qui dans la rue et de le former au code. La preuve c'est ce que fais le bootcamp et Pôle Emploi.
C'est justement le rôle d'un "ingénieur". Sauf qu'aujourd'hui, on s'en fiche, "ingénieur" est juste un titre. Et la majorité des "développeurs" ne sont pas "ingénieurs"…
Et quand on me met 3 frameworks et qu'on tient à utiliser 9 design patterns pour faire un Hello World, on peut se vanter d'avoir de la connaissance, pas de la compétence.
Là aussi, on parle de "bon" ou "mauvais" quoi ?Citation:
PS: dans un contexte d'entreprise différent, un "mauvais" peut tout d'un coup se transformer en rockstar juste parce qu'il est bien coaché, soutenu, et valorisé. ABE...
La passion ? Surtout pas…*La passion de quoi ? Pour que ça soit efficace, la seule réponse possible est "la passion du projet". Or dans l'IT, la passion est rarement dans le projet mais dans l'activité et donc les passionnés en général ignorent le projet et la passion devient du caprice et de la frustration.
Le problème, c'est qu'on a cette culture en France…
:ptdr: Entièrement d'accord sur la liste. En ce qui concerne la curiosité, elle est tout à fait justifiée car un ingénieur se doit d'être innovant. Mais il doit aussi mener à bien le projet.
Et on ne code pas pour soi, on code pour mettre en prod' et pour celui qui fera évoluer/corrigera le logiciel. Ça, beaucoup de devs l'oublient.
cela n'empêche pas l'humilité....se dévaloriser n'est pas forcément synonyme d'humilité.
Les gens arrogants et imbus de leur personne ça pullule dans le monde de l'informatique, remarquez je fais certainement partie du lot aussi :aie:.
On a tellement de gens arrogants et certains de leur personne,que même les projets informatiques ils plantent :aie:
Pour ce qui est de l'exercice de l'entretien qui est un sujet à part ( quoique...) la critique majeure que j'en fais est qu'on donne une impression falsifiée et biaisée de ce que l'on est réellement ( à l'époque de la communication maitre de toute façon on est bien obligé)
Oui mais c'est pas de ma faute. C'est de la faute des autres membres de l'équipe qui sont incompétents, du patron/chef qui n'a pris que des mauvaise décisions et surtout des vilains actionnaires qui n'ont pas voulue investir.
De toute façon ce projet informatique ne servait à rien. Y'a trop d'humain sur la plante on ne fait que la détruire et c'est pas la vilaine europe et nos politiciens incompétents qui vont changer quoique se soit. Moi j'attends que que la bulle éclate et que l'€/$ ne valent plus rien.
Parce que moi je suis plus intelligent et je sais tous cela mieux que quiconque.
Voila j'ai fais une synthèse des commentaires que je lis de plus en plus sur ce site.
Mais humilité et dévalorisation sont deux choses différentes. L'humilité est en effet à opposé à l'arrogance (ou plus généralement ce que l'on trouvera dans le monde IT, orgueil et narcissisme). Oui la caricature de RyzenOC donne le ton.
Quand à ta critique de l'entretien annuel, c'est surtout une incompréhension (générale) de ce que doit être cet entretien. Un entretien, c'est un bilan et en général une définition d'objectifs et évaluation des objectifs passés. Une erreur classique est d'accepter des objectifs irréalistes et de ne pas convenir sur une métrique objective… Un sacré paradoxe quand tu a des équipes qui se vantent de leur excellence en agilité, Scrum, tout ça… :mouarf:. Ensuite, évidemment qu'il faut communiquer, et surtout savoir faire son bilan. Là aussi, une de mes critiques, c'est que le salarié n'est pas du tout formé à ça…
@martopioche je suis bien d'accord cependant c'est l'entretien d'embauche que j'évoquais :D
:koi: Alors ok, mais je cherche où est l'indice de quel entretien… Quand Saverok parle de management et de comportement en entretien, je comprends "entretien annuel", surtout si on parle de se focaliser sur les échecs ou réussites. Tu ne te focalise pas de tes échecs en entretien d'embauche…*;)
Un bon ingénieur, c'est tout simplement celui qui a réussi à négocier un meilleur salaire que ses collègues. :mouarf:
Allons plus loin : un bon ingénieur c'est celui qui se fait payer plus que ses collègues alors qu'il travaille moins bien.
Généralement c'est celui-ci qui est le plus susceptible de devenir chef.