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Nous nous trompions, naturellement. En fait, le virus se transmettait d’un corps à l’autre dans les dortoirs exigus où quelque 200 000 travailleurs étrangers sous-payés passent leurs nuits, font leur toilette et prennent leurs repas. La menace n’avait pas disparu, elle rongeait insidieusement la ville, depuis ses marges.
Cet article c'est n'importe quoi par contre (on devrait virer les clandestins, mais comme ils brûlent leur papiers on ne sait pas d'où ils viennent) :
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« Les travailleuses et travailleurs sans papiers sont en première ligne, comme les autres travailleurs précaires. Vulnérables parce qu'ils sont dépourvus d'autorisation de travail, ils sont, bien souvent, démunis des tenues et matériel nécessaires, pour les protéger et préserver leur santé. Ils risquent d'être expulsés de notre territoire, alors qu'ils participent avec les autres salariés à le faire vivre. Ils font partie intégrante de ce salariat qui permet la continuité des activités indispensables à notre vie à tous : le ramassage et le tri des déchets, la sécurité, la manutention, la mise en rayon dans les supermarchés, le nettoyage, l'aide à la personne, l'agriculture, etc. », souligne notre organisation.
Il faudrait avoir une logique "les français d'abord", c'est ce qu'on appelle un