l'algo a développé est en C :DCitation:
Envoyé par Emmanuel Delahaye
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l'algo a développé est en C :DCitation:
Envoyé par Emmanuel Delahaye
Salut concernant les dérivées :
dérivée directe : f'(x) = (f(x+h)-f(x))/h
dérivée rétrograde : f'(x) = (f(x)-f(x-h))/h
dérivée centrée : f'(x) = (f(x+h)-f(x-h))/(2h)
pb de bord dûs au fait q'il faut que x+h et x-h appartiennent à ton intervalle.
Si tu as une fonction du temps et de l'espace f(t,x,y,z) (écriture latex) :
dérivée temporelle : \dfrac{\partial f}{\partial t}(t,x,y,z) \approx (f(t+delta t,x,y,z)-f(t,x,y,z))/delta t
dérivée longitudinale : \dfrac{\partial f}{\partial x}(t,x,y,z) \approx (f(t,x+delta x,y,z)-f(t,x,y,z))/delta x
idem pour les dérivée en y et z
J'espère avoir été clair...
Comme l'indique Emmanuel, on est hors-sujet (le fait que l'algorithme soit implemente en C n'y change rien. Il pourrait etre en Fortran, ce serait la meme chose).Citation:
Envoyé par nickoko
Donc <HS>
Eumetsat n'est pas un satellite, c'est l'organisation europeenne qui s'occupe des satellites meteo europeens. Je suppose que tu travailles sur Meteosat ancienne generation (Seviri/MSG propose plusieurs canaux IR). Si tu veux appliquer ta methode, je rappelle qu'une derivee n'est qu'un delta. Donc il te suffis de calculer l'ecart-type de ta temperature de brillance (ou ta radiance, si tu travailles en niveau 1) sur une selection de pixels (disons sur un super-pixel de 3x3). Mais la temperature de brillance de la surface etant inconnue, tu vas avoir des problemes, car elle va contribuer a l'ecart-type.
</HS>
Je ne te parle pas de l'analyse de seuil (je t'ai parlé de NN), il y a eu au moins 10 propositions différentes dans le topic (qui d'ailleurs n'a rien a voir avec le langage C) et la seule chose sur laquelle ca a débouché c'est "je veux utiliser mes dérivées". Si tu veux les utiliser a tout prix vas-y et reviens poster tes problèmes de C, mais pas la peine de demander des idées pour ne pas les considérer.Citation:
donc l'analyse par seuil sur eumetsat est imprécise et il faut envisager une autre méthode. évite le spam.
oui bien sur, meteosat, je ne me suis pas relu...Citation:
Envoyé par DaZumba
ce sont des valeurs pixels que je recupère, difficilement convertibles en température ou radiance (enfin pas de facon précise).Citation:
Envoyé par DaZumba
je ne comprends pas bien ce que tu veux dire.
<HS>Citation:
Envoyé par nickoko
En general, on applique une chaine de traitement aux donnees satellitaires. Le niveau 0 est les comptes numeriques donne par le capteur CCD. L'etallonage de l'instrument permet de deriver les luminances (radiances) dans le canal en cours. En y ajoutant des donnees de geolocalisation (lat/lon), on parvient au niveau 1 - c'est en general la-dessus que travaillent les algorithmes scientifiques qui derivent les informations sur l'etat de l'atmosphere et de la surface pour produire des resultats de plus haut niveau (a valeur ajoutee, niveaux 2, 3, etc.).
Ici, tu me dis travailler sur du niveau de gris, ce ressemblerait a un niveau 1 projete sur une gamme de valeur reduite.
</HS>
d'accord. mais le principe de la dérivée te parait foireux?
c'est que j'ai un peu reçu la consigne de passer par ça...
<HS>Citation:
Envoyé par nickoko
Alors utilise la methode des derivees - en comprenant bien que tu n'as pas une fonction continue, mais bien des valeurs discretes. Une derivee dans ce cas est un simple rapport de differences (delta). Mais j'ai peur que la contribution de la surface soit compliquee a corriger.
</HS>
qu'est ce donc?Citation:
Envoyé par DaZumba
je vais essayer de toute façon et je verrais bien. on m'avait proposé sinon la morphologie mathématiques mais je trouvais ça moins adapté.
ce sont des valeurs discretes mais je pense que la forme de la courbe se rapprochera d'une fonction continue, on ne passe pas de 30 à 500 pui 80!
<HS>Citation:
Envoyé par nickoko
En general (et c'est valable dans l'infrarouge), le signal mesure par le satellite prend en compte les contributions de la surface (y compris celui d'un eventuel feu) et des divers composants atmospheriques (nuages, aerosols, molecules gazeuses). Si on ne s'interesse qu'a une de ces contributions (dans ton cas, la contribution d'un feu), il faut esperer que les autres ne contribuent pas trop fortement ou que leur contribution soit corrigeable (parce qu'on la connait theoriquement ou par des mesures, ou en employant des techniques de seuillage).
Fait aussi attention a la resolution spatiale. Si tu travailles sur un Meteosat centre sur (0,0) [genre Meteosat 7 et 8] et que tu t'interesses a l'Europe, la maille de la grille Meteosat est tres grande: la signature d'un feu risque d'etre noyee. Par contre, la maille est beaucoup plus fine pres de l'Equateur.
</HS>
pour la maille je suis au courant. je travaille pas mal sur le portugal et on se retrouve avec du 16km2 environ... c'est encore gérable si le feu est consequent.
pour les autres contributions je suis bien d'accord. mais meteosat n'est pas tres arrangeant de ce coté là. nous avons essayé de relier les feux à l'indice de végetation ou encore au co2 sans grande réussite.
par contre, je pensais utiliser encore la dérivée pour voir sur les canaux visibles la chute des valeurs dues à l'apparition de carbone. cela permettrait de corroborer les résultats obtenus sur l'infrarouge.
<HS>
Eh bien, bon courage - c'est un projet interessant en tout cas! C'est pour un produit operationnel (genre MODIS Rapid Fire)?
</HS>
hum non car cela a pris du retard. c'est pour mon école. mais ça doit répondre aux mêmes critères d'un produit industriel fini.
merci pour les conseils.
Que ce soit hs ou pas, c'est un sujet bien intéressant... :)