Facebook est soupçonné de manque de neutralité dans le traitement des informations politiques aux États-Unis

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Ce n'est pas en "martelant" un mensonge qu'il devient une vérité. Sais-tu seulement que ces "statistiques" ont d'imprécision, de manque de données quand ce n'est pas de la pure et simple falsification ? Va rechercher les témoignages et analyses des vrais climatologues et pas ceux du GIEC dont beaucoup, je te le rappelle, ont quitté cette organisation quand ils ont vu à quels tripatouillages elle se livrait.

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Je sais que ce n'est qu'un simple troll, mais je vais répondre tout de même car un visiteur non averti risque de tomber et de se laisser influencer par tes propos mensongers.
Le réchauffement climatique et ses conséquences sont validés unanimement par la communauté scientifique, à quelques exceptions de gens peu recommandables. Il y a même eu une équipe chargée par un lobby climatosceptique d'invalider la théorie qui a bien du se rendre à l'évidence de la réalité et publier des résultats en accord celle-ci.

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Envoyé par Saverok

Encore faut t'il définir ce qu'est l'impartialité et comment on présente l'information dite impartiale.
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Se soumettre à la "doxa" et à l'orthodoxie n'a jamais fait avancé les choses. Aurait-on fait une pétition, selon tes critères, sur les thèses de Galilée, il y aurait eu encore plus de réfutateurs (si ! le mot existe dans Le Littré, maudit correcteur Word) qu'avec les fariboles du GIEC. Et encore se serait-on adressé aux "savants" de l'époque. Plus près de nous la dislocation des continents de Wegener a eu des détracteurs farouches malgré tous les faits (micromagnétisme fossile, paléontologie). Au point qu'un paléontologue qui avait trouvé une concordance entre les fossiles marins du Vietnam et ceux de la Méditerranée (à l'époque il y avait une continuité océanique surnommée la Thétis) et qui osait le dire fut viré du Museum.

Le premier qui dit se trouve toujours sacrifié
D'abord on le tue
Puis on s'habitue
On lui coupe la langue on le dit fou à lier
Après sans problèmes
Parle le deuxième
Le premier qui dit la vérité
Il doit être exécuté.
(Guy Béart)

Pièce jointe 211019
Meuh non ! Ce n'est pas de cette Thétis là dont je parle (apportant son armure à Achille)

Bon, un petit ad hominem, de temps en temps, ça ne fait pas de mal.
@Chauve souris Ce n'est pas parce que tu cite un quelconque auteur ou bien que tu utilises des mots savants que tes propos en deviennent plus justes... Il parait que t'es au Paraguay en train de torcher le cul des lamas, je sais pas si c'est l'altitude mais j'ai l'impression de suivre un argumentaire de Tryphon Tournesol...

Et comme dirait l'autre :

Parler à un con
C'est un peu comme se masturber
avec une râpe à fromage,
beaucoup de souffrance
pour peu de résultat
(P. Desproges)

Citation:

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Envoyé par nchal

Et donc les gens ne voient pas [...] ce que l'Europe leur apporte mais ce qu'elle leur coûte.

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Oui et non. Encore une fois, les politiques sont largement à blâmer. D'un côté, ils mettent tout sur le dos de l'Europe et de sa législation lorsqu'on demande à nos Franchouillards certaines explications. Du genre "c'est pas notre faute, c'est l'Europe qui impose, on ne peut rien faire", alors qu'ils ont souvent des marges de manoeuvres. De l'autre, ils appellent à voter les députées européens, ç.à.d. pour leurs gueules, en criant en large et en travers "c'est important, faut voter!".
Pas étonnant que certains ne retiennent que le mauvais côté des choses.

L'Europe apporte beaucoup, notamment la stabilité contre la guerre. Mis à part la guerre du Kosovo, peu d'autres régions continentales peuvent se targuer d'avoir eu une période de paix aussi prolongée.
Ceci dit, on peut trouver beaucoup à redire sur la politique européenne, entre le déni du référendum français sur le traité de Lisbonne et la présidence houleuse de Juncker, un des plus grand activistes de l'évasion fiscale en son temps ministérielle luxembourgeois.
Il faut donc faire constamment attention à ce que l'Europe ne devienne pas un simple copié-collé des USA, surtout en terme d'idéologie.

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Envoyé par Sodium

Tu ferais mieux de garder ce genre de commentaires conspirationnistes simpliste pour toi.

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Ne t'en déplaise, ce n'est pas pour rien qu'il faut maintenant réaliser une véritable course d'obstacle pour se présenter à la présidentielle française. La montée du nombre de signature des maires à 500 fait suite à la peur bleue qu'on eu les politiques de Coluche, dont bien que la candidature paraissait facétieuse, avait déjà en son époque cristalisé toutes les déceptions du peuple français à l'égard des politiques.

Et oui, ça fait même d'avant Coluche qu'on nous bassine avec l'extrême-droite, d'abord par calcul politique, maintenant par une peur à peine masquée.

Citation:

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Envoyé par Sodium

mais cela ne vient absolument pas d'un raisonnement conscient sur le pour et le contre de leurs actions.

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Encore une fois, les gens sont moins cons qu'ils n'en ont l'air. Il suffit de voir le premier parti de France actuellement : l'abstension (qui mélange autant vote blanc que vrai abstention, certes).
L'extrême-droite ne monte pas vraiment en terme d'électeurs, mais surtout mathématiquement grâce à la régularité des votes de leurs électeurs et l'abstention des autres.

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Envoyé par Saverok

Encore faut t'il définir ce qu'est l'impartialité et comment on présente l'information dite impartiale.
Prenons le cas des pétitions par exemples.

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Mauvais exemple je trouve, mais je vois ce que tu veux dire.
L'impartialité a une définition claire et précise, qui est tout simplement la présentation de faits de manière aussi objective que possible. Cela inclut, comme tu le soulignes, des informations complètes, sans subjectivité ni sémantique biaisée et subtilement habillée.
Cela fait partie notamment de la déontologie d'un journaliste, au même titre que le recoupement des informations. Mais il est vrai que cette noble espèce se fait assez rare dernièrement :)


Bref, tout ça pour en revenir au sujet principal.
Oui, je vois la candidature de Donald Duck comme le test de QI des USA. Néanmoins, si le peuple décide de l'avoir comme président... hé bien advienne que pourra, c'est ce que l'on appelle une démocratie.
Si l'on décide qu'en fait non, le peuple n'a pas raison, on n'est plus dans une république démocratique. C'est une république aristocrate (par définition, des "choisis", des "éclairés" qui dirigent), ou oligarchique (les plus fortunés font la loi), mais pas une démocratie.

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Envoyé par vampirella

Oui et non. Encore une fois, les politiques sont largement à blâmer. D'un côté, ils mettent tout sur le dos de l'Europe et de sa législation lorsqu'on demande à nos Franchouillards certaines explications. Du genre "c'est pas notre faute, c'est l'Europe qui impose, on ne peut rien faire", alors qu'ils ont souvent des marges de manoeuvres. De l'autre, ils appellent à voter les députées européens, ç.à.d. pour leurs gueules, en criant en large et en travers "c'est important, faut voter!".
Pas étonnant que certains ne retiennent que le mauvais côté des choses.

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C'est une tentative d'humour ? Quel homme (ou femme) politique ayant été au pouvoir, ministre, premier ministre voire président, a un jour osé faire porter le chapeau de ses erreurs à l'Europe ? On nage en plein surréalisme.

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Envoyé par Grogro

C'est une tentative d'humour ? Quel homme (ou femme) politique ayant été au pouvoir, ministre, premier ministre voire président, a un jour osé faire porter le chapeau de ses erreurs à l'Europe ? On nage en plein surréalisme.

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L'Europe est plutôt vécue comme une fatalité aussi inévitable que la mort (le parallèle est bien intentionnel) et on ne peut, au mieux, que s'en accommoder avec les meilleurs soins palliatifs.

Quand ils ont voulu mettre en place l'euro (qui est, linguistiquement parlant un préfixe, tout seul il n'a pas de sens, il s'accompagne d'un nom racine, comme pré- dans préhistoire) le mot racine a été pudiquement omis. Il s'agissait, bien entendu du mark allemand, lequel de deutsche mark passait à euro mark en valant exactement le double de son prédécesseur. De la même façon que le franc CFA valait le double du franc français dans les pays africains d'obédience française. Ayant pas mal bourlingué dans ces pays d'Afrique de l'ouest où j'ai constaté que la vie y était bien plus chère que dans les pays n'utilisant pas cette monnaie, j'étais fort inquiet sur la suite en France au niveau du pouvoir d'achat. Bien sûr la suite m'a donné raison.

Mais mon propos, pour répondre au post précédent est sur la fatalité vécue de ce processus. Aux objections d'évidence qu'un pays qui n'a plus sa propre monnaie n'est plus vraiment un pays,le rapporteur Pascal Lamy n'a pu répondre que "on voudrait faire autrement que l'on ne pourrait pas".

C'est cette fatalité mortifère que nous voyons tous les jours, comme ce grand remplacement ethnique, programmé lui-aussi par l'Allemagne, qu'il faudrait contrer de la plus énergique façon. Mais s'il y a eu des résistants (pas beaucoup) dans les années 40, il n'y en a pratiquement plus aujourd'hui. Certains avançant même les bienfaits de cette nouvelle "collaboration", même si c'est "une main de fer dans un gant de velours" selon l'expression de Jean-Baptiste Bernadotte : « Il faut gouverner les Français une main de fer recouverte d’un gant de velours ». Expression qui conviendrait bien à la Chancelière Merkel.

Mais, dès fois, trop c'est trop. On l'a vu et on le voit encore avec la "loi travail" dont le but est de ratiboiser les dernières protections des travailleurs inscrites dans le Code du Travail. Mais, à cette protestation, il n'était plus question de "gant de velours", la répression policière était féroce. Comme ils n'osent pas dire "c'est la faute à l'Europe" ce qui donnerait raison à ceux qui profèrent "débarrassons-nous alors de cette Europe", ils parlent de "modernisation" nécessaire, arguant que les français sont trop "réfractaires aux changements". Arguments pitoyables, mais ça plait aux figaronautes et à tous ceux qui ont la mentalité du larbin.

A ceci près qu'on retrouve le même "consensus" contre les travailleurs (et parfois dans une version bien plus brutale) dans les papiers de l'OCDE ou de l'OMC.