Gaspillage de savoir faire !
"Je dirais plutôt que les informaticiens techniques se fond de plus en plus rare passé 35 ans"
On trouve bien sur pas mal de chef de projet, manager, ... mais plus on monte dans les ages, moins les techniques sont présents et recherchés."
"Je pense aussi que la carrière d'un informaticien technique est aussi courte que celle d'un footballeur de ligue 1 ... mais pas avec la même paye :aie:"
Bonjour,
Je viens de finir mes études (à 47 ans), et donc je suis un ingénieur informaticien technique débutant.
Malgré cela, on m'a dit que j'étais trop expérimenté ou surdimensionné... et je n'ai rien trouvé: même informaticien technique, aucun poste (même avant de parler de salaire) et un a priori sur mon age flagrant !
Donc misère :ptdr:
J'ai repris des Études pour un secteur qui se dit en pénurie: mensonge, car s'ils étaient en pénurie, j'aurai des propositions
Cordialement
Et oui, celà se confirme: fin de carrière à 30 ans
Bonjour,
Effectivement, la fin de carrière se fait vers les 30 ans.
A quelques exceptions: ceux qui sont en SSII depuis longtemps, et qui ont une expérience qui correspond.
Si non, aucun "cabinet" de recrutement ne prends le risque, de prendre quelqu’un de plus de 35 ans.
D'ailleurs, ils ne se font pas appelés "cabinets de recrutement" pour rien: ils camouflent ainsi leur présence en tant qu'intermédiaire.
La plus part n'y connaissent rien, et ils se fient uniquement à ce que tu as déjà fait.
D’ailleurs, sur certains postes, ils demandent des BTS, ou requalifient le poste d'Ingénieur en poste de technicien, pour gagner encore plus.
(ils vendent quand même un ingénieur à leu client !)
Je trouve que cette courte durée de carrière, ne laisse pas le temps d’acquérir un bon niveau: certains outils, quoi qu'on en dise, il faut entre 2 à 4 ans pour en faire un tour assez complet, et non pas se contenter d'une vision partielle et partiale.
D’ailleurs, les recruteurs, ne sont plus compétents pour avoir cette vue d'ensemble, sauf les petites SSII, ou les recruteurs sont des ingénieurs, et sous réserve qu'il aient une vision pragmatique des outils.
Ce qui est rare, car la partie logiciel est négligée, car trop souvent vue par des électroniciens ou ingé généralistes, qui se sont spécialisé sur un petit bout de la lorgnette.
Donc, on peut bien parler de pénurie, car ils limitent leur recherches d'un ingénieur à ce qu'ils connaissent uniquement. Pour eux, les autres sont des nuls.
Cordiialement
Mauvais choix et catastrophes en vue
Bonjour,
A travers un travail personnel, je me suis prouvé que bien utiliser les nouvelles technologies de développement, comme la POO, les Modèles de conception etc... il faut pouvoir travailler sereinement, et dans l'investissement dans des fonctionnalités factorisées.
Ma conclusion, confirmée par plusieurs rencontre de SSII qui développent, est que les "Éjectables" "pissent du code", plutôt que de construire dans le long terme. Ceci me parait logique, et j'en ferai de même, car au vue des délais et de l’intérêt d'investir dans le long terme, je les comprends.
En effet, je suis tombé sur des applications, dont le nombre de lignes de codes gigantesques, disproportionnées par rapport au Cahier des charges, avec par exemple quelques unes qui se rapprochent de la taille de source de systèmes d'exploitation.
Autrement dit, un nombre de lignes de codes bien au delà (de façon flagrante et hallucinante !!!) de ce que devrai faire l'application.
Cette comparaison cette faite avec des applications d’ailleurs réalisée elle de façon raisonnable par des éditeurs de logiciels, qui ont des ingénieurs "expérimentés" (en CDI au passage...) .
Ceci ne présage rien de bon, quand à la constitution d'un parc d'ingénieur expérimentés.
L'habitude de refaire et ne pas construire de façon globale, avec des bibliothèques de fonctions (ou objets en POO) ne présage rien de bon pour ces applications, et l'expérience de ceux qui auront fait plein de missions.
Les mauvaise habitudes cela s’acquière plus facilement que les bonnes.
Et il ne faut pas me faire croire, que dans une situation de travail temporaire, de forte concurrence entre les intervenants, tous le monde documente et factorise un maximum de chose.
Donc, par exemple, les failles de sécurité, resterons, car même si elles sont corrigées d'un coté, on ne saura plus ou le code a été répété ou s'il existe un autre code équivalent, qui présent la même faille.
Il y aura et je sais qu'il y a des usines à gaz, dont la construction des versions suivantes va croitre de façon exponentielle.
Cordialement