Vous répondez bien justement selon les critères marketing : plus ludique, plus de bibliothèques...
C'est un peu comme si l'éducation nationale remplaçait Balzac par Amelie Nothomb, Bach par Jean-Jacques Goldman, Shakespeare par Alfred Jarry... Jean-Jacques Goldman personnalité préférée indétrônable des français, choisissons le.
Mais pour avoir cela en considération et en conscience, il faut avoir la compétence technique de la conception d'un compilateur ou d'un interpréteur entre autres, sinon on rentre dans des choix tel vous raisonnez.
Le fait que l'education nationale ce choix ne peut qu'exacerber justement l'instauration de Python.
L'élaboration d'un langage, fait dans des conceptions telles celles que je revendiquais pour les langages normés, demande beaucoup de travail en amont : en cognitif, documentation, etc. Là le concepteur de Python, comme bien des projets libres, a voulu faire son truc rapidos à son crédit, en reprenant des concepts réfléchis par d'autres et en le faisant à "sa sauce", alors on ne peut pas dire que c'est du n'importe quoi ; tout comme moi-même je pourrais créer 413 langages nouveaux sans rien apporter de bien nouveau. Mais autant soutenir le travail fait dans les règles de l'art et dans des organisations faisant modèle.
NB : Turbo Pascal était la version du compilateur non orientée objet, Borland Pascal était le support supplémentaire de l'orienté objets. Il puisse y avoir eu dans certains cas des critiques en désassemblant le binaire produit par ce compilateur, comparé à d'autres compilateurs, est historiquement vrai, justifiant parfois d'avoir recours à du codage direct en assembleur dans du code Borland.
NB 2 : c'est peut être à la mode dans les concepts de l'éducation nationale, l'écologie : la sollicitation en CPU pour exécuter la même chose en compilé ou interprété n'est pas la même.

