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sortir de sa réserve
Ce qui m'étonne c'est d'affirmer que les capacités de stockages de l'or noir étaient à leur point de rupture : le principe est d'extraire d'un réservoir pour le placer dans un autre, dans le cas commun les acheteurs existent et mettent à la disposition du fournisseur ses infrastructures, son endettement augmente avec son stock qu'il se charge de vendre.
Dans l'autre cas c'est le fournisseur qui stocke et doit payer pour remplir une nappe et s'endetter pour entretenir ce réservoir. La double peine à un coût mais le prix ne devient négatif qu'à la condition où des investisseurs décident d'accepter la charge de la dette (comportement altruiste réservé aux états) mais ceci du fait de la marchandisation du pétrole (or noir).
Le pétrole serait considéré comme un outil de production (comme le cognac dans les chais du même nom), la spéculation serait déçue, les pétroliers deviendraient des sociétés industrielles et pas seulement des négociants.
Depuis Bretton Woods l'or n'est plus une valeur d'échange et permet de s'affranchir des réserves, sources de corruption (même l'or... ) mais le pétrole continu sa flambée...
Après cet épisode, il serait bon de réviser le statut de ce bien et cesser de le considérer comme une valeur propre et juger plutôt de l'avenir des entreprises (et leur gouvernance) qui en font le commerce...
Pour le récriture informatique v>=0 8-)
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pas très clair : mathématiquement un prix négatif veut dire que si tu prends du pétrole, on te donne de l'argent, quel est le problème ?