en fait c'est en effet un peu plus compliqué que cela, ce qu'il faut c'est que chacun joue son rôle. c'est une évidence mais c'est rarement le cas.
la direction peux très bien être moteur innovant avec des projets fous qui sont des projections vers ce que serait le projet idéal. Mais elle doit accepté que la réalisation soit plus réaliste ou moins ambitieuse que cela en fonction des compétences, de la charge de travail ou du temps accordé au projet. Mais dans ce cas c'est un société qui produit, et non une prestataire qui répond à la demande d'un client.
une direction exigeante qui pousse à l'excellence tout en reconnaissant la qualité et la compétence de ses développeurs et les respectant tant humainement que financièrement pourra probablement aller très loin.
En fait en relisant la news je me rends compte qu'elle est très mal rédigée:
:fleche: l'introduction commence par "un projet doit se plier à des contraintes de coût, de délai et de respect des exigences définies par le cahier de charges[...]les meilleurs projets sont ceux qui arrivent à terme avec un écart relativement faible par rapport à ces critères." Ce qui balaie toute notion de relation humaine.
:fleche: Quand on reprend les propos de Partho on trouve "l’implication", "cartographie des personnes [...]impliquées[...] que leurs besoins et fonctions ont bien été considérés", "délais plus réalistes", "très bonnes compétences", "motiver et inspirer", "maintenir le projet réel"
Finalement Partho ne parle ni de coût, ni de délai ni d'exigences du CdC mais au contraire invite à plus de considération et de réalisme :)
NB: je n'ai pas lu la source mais que l'article de DVP.