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sidewolf
Vous voyez, en nous lisant je m'apperçois qu'il y a du vrai dans chacun de nos propos, et c'est ce qui fait la complexité du sujet.
Je n'ai pas lu vos points de vues, à propos des conséquences que pourraient avoir une GPA. Je vous le écrit de nouveau pour que vous prenez conscience que ce n'est pas un simple oui ou non dans ce débat :
1 - Quid de l'enfant malade, prématuré, trisomique, maladie génétique, maladie orpheline, maladie nécessitant un don de moelle de la mère porteuse , né par GPA? Est ce que le couple ayant effectuer la "commande" d'un enfant par GPA pourrait se désister et donc refuser l'enfant suite à sa maladie ?
2 - Quid de l'enfant mort né ? Le couple ayant effectuer la "commande" d'un enfant par GPA attentera une action en justice contre la mère porteuse pour des chef d'accusation tels que : la négligence, meutre sans intention de la donner, on s'americaniserait dans ce domaine.
3 - Quid de ses mères porteuses ? Devront t elle prendre une assurance pour être assurer justement des complications éventuelles liées à une grossesse.
4 - Quid des couples demandeurs d'une GPA , devront t il prendre aussi une assurance en cas de prestation de service non satisfaisante ?
5 - Si la loi impose au couple de garder l'enfant malade né par GPA. Sera t il heureux ? Ne sera t il pas abandonné ?
6 - Si on autorise la GPA, sous quelle forme légale la GPA sera mis en place ? En tant qu'auto entrepreneur(se) (lol), des société de service de GPA, avec une base de données de femmes avec des critères sélectifs pour que les couples fassent leu choix ? Et combien coûterait cette prestation de neuf mois, sachant que ces sociétés doivent faire des bénéfices pour qu'elles vivent.
7 - Quel statue aurait ses femmes, un CDD, un CDI à mis temps ? Quel serait le temps de repos entre deux GPA ? Devrions nous limiter le nombre de GPA par femme (pas plus de deux pas exemple)
8 - Quid d'une Femme effectuant une GPA et qui attendent des vrais jumeaux alors que le couple ayant "commander un enfant" par GPA n'en souhaitait qu'un... Que faisons nous de l'autre enfant ?
la vérité est que ce débat ne se limite pas simplement un pour ou contre, c'est bien plus complexe que ça n'y parait