Bonjour, j'aimerai savoir comment un double s'écrit et se lit binairement.
cad que représente:
1100 1111 1011 1010 1100 1111 1011 1010 0011 0111 1111 1101 1111 0001 0000 1001
merci d'avance
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Bonjour, j'aimerai savoir comment un double s'écrit et se lit binairement.
cad que représente:
1100 1111 1011 1010 1100 1111 1011 1010 0011 0111 1111 1101 1111 0001 0000 1001
merci d'avance
Tu peux commencer par exemple par là: http://fr.wikipedia.org/wiki/IEEE_754
avec mes meilleures salutations
Thierry
Merci beaucoup:ccool:
Et si je veux savoir pour un double complex, je peux en déduire que c'est simplement 2x plus grand, avec comme 1er partie de 12 octets, la partie réel, et la 2e partie, la partie imaginaire ?
n'est ce pas ?
D'une part, depuis C99 il y a le type complex, à utiliser tel quel..
Cependant, et tu peux regarder la discussion sur la norme C11 ici, ce type est devenu optionnel (avec raison).
En général, dans les programmes de maths, on utilise des doubles que ce soit pour la partie réelle ou pour la partie imaginaire, sous forme soit de structures soit de 2 tableaux (plus généralement).
En effet, la plupart des calculs mathématiques faisant intervenir des nombres complexes agissent soit sur la partie imaginaire, soit sur la partie réelle,(par exemple les FFT) mais extrêmement rarement sur les 2 ensembles..
Sauf erreur, c'est organisé en mémoire comme un
struct
{
double val [2] ;
};
Ce n'est évidemment pas équivalent à un double complex parce la syntaxe utilisée est différente et qu'il y a des opérations définies pour les complexes autres que celles définies pour les struct et tableaux (J'ai néammoins encadré le tableau par un struct pour permettre au moins l'assignation).
@souviron34
?Citation:
En effet, la plupart des calculs mathématiques faisant intervenir des nombres complexes agissent soit sur la partie imaginaire, soit sur la partie réelle,(par exemple les FFT) mais extrêmement rarement sur les 2 ensembles..
Les FFT et plus généralement les DFT font intervenir les parties réelles et imaginaires des nombres (additions et multiplications entre deux complexes)
Mathématiquement oui, en code rarement :
http://en.wikipedia.org/wiki/Fast_Fourier_transform
Citation:
The Rader-Brenner algorithm (1976) is a Cooley–Tukey-like factorization but with purely imaginary twiddle factors
Et, du point de vue du code :Citation:
Alternatively, it is possible to express an even-length real-input DFT as a complex DFT of half the length (whose real and imaginary parts are the even/odd elements of the original real data), followed by O(N) post-processing operations.
http://paulbourke.net/miscellaneous/dft/
par exemple...
Ce que je voulais dire, c'est que la partie réelle et la partie imaginaire ont un sens chacune, et que l'utilité du type mathématique complex est très relative en code de calcul.. Et que les tableaux, comme montré dans le code de O'Rourke, suffisent très largement.
faut que je vois la lib de complex.h alors, voir si je ne trouve pas ce que je cherche, et confirmer ce que dis Diogène suppose, en regardant par exemple les fonctions permettant de retourner la partie imaginaire et réele du nombre.