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Bonjour,
j'ai entendu dire que la longueur d'un nom de table sur Oracle pouvait influer sur les performances? (plus le nom de table est long, plus les requêtes seront lentes)
Je n'ai pas trouvé de documentation à ce sujet. Quelqu'un peut-il confirmer ou infirmer ce dire?
Je suis assez étonné de cela.
Par avance merci.
Toute affirmation doit être argumentée.
Si "on" vous a dit ça, demandez à "on" de vous le prouver.
J’ai entendu dire que la Terre est plate.
J'aimerai bien, mais c'est présenté à prendre comme du pain bénit.
Je cherche donc de la doc éventuelle à ce sujet!
Merci
Sautez de la fenêtre du dixième étage, allez-y il n'y a pas de danger et vous êtes obligé de le faire.
Un peu de réflexion et de bon sens, que diable !
J'ai demandé une explication :
cela serait au niveau du parsing de la requête, cela serait moins performant avec des noms de colonnes et des noms de champs trop long car la requête elle même serait trop longue?!
Merci.
Rapprochez votre poste du travail de votre serveur, comme ça le câble réseau est plus court et vos temps de réponses seront meilleurs.
C'est à peu près du même niveau je pense.
L'image est belle !!! :mouarf:
Eh les rigolards, je trouve que vous en faites un peu beaucoup dans le sarcasme !
Cette affirmation est effectivement à confirmer ou à infirmer par des tests.
Sur le principe, je pense que ce n'est pas faux, mais que l'effet doit être extrêmement négligeable, compte-tenu du fait qu'un nom de table sous Oracle ne peut de toute façon pas dépasser 30 caractères.
Et une remarque générale : quand on dit que X pénalise les performances, il faut toujours préciser dans quelles circonstances exactes, et surtout il faut chiffrer cette dégradation.
Sinon, X n'est qu'une légende inexploitable.
Merci pour les réponses....
je pense également qui si pénalité il ya cela est négligeable.
On nous oblige à limiter le nom d'une table ou d'une colonne Oracle à 8 caractères dont 2 pris par un prefixe... miracle on va passer à 15 caractères.
Il faut bien justifier certaines décisions!
Désolé pour les sarcasmes, mais vraiment ce sont des règles d'un autre siècle et qui n'ont probablement jamais eu de justification technique.
Quel est l'âge de la personne qui vous impose cela ?
Pas de corrélation directe bien entendu.
À huit caractères, ça doit être sympa à relire et à maintenir les requêtes, je vous plains !
c'est généralement illisible.
Merci.
Ce n'était pas 8 la limite des noms de fichiers sous MS DOS ? Et vous savez, le mec a appris Dbase et dans Dbase chaque tables et chaque index c'était un fichier. Par ailleurs il lui arrive souvent de parler "fichier" à la place de "table" ?
Je pense que l'effet est tellement non-significatif que si on essaye de le mettre en évidence il sera perdu dans le "bruit" des autres effets.
Bonjour,
Alors la réponse est facile: si la performance de l'application dépends des quelques microseconde qu'il faut pour parser quelques octets en plus, alors le gros problème le l'appli ne vient pas de la longueur des noms de tables, mais du fait de parser beaucoup trop souvent.Citation:
Envoyé par julien29
Sur une appli bien faite, le temps passé à parser est négligeable par rapport au temps d'exécution: les requêtes courtes sont parsées une fois pour être exécutées de nombreuses fois et les requêtes longues (batch, décisionnel) ont de toute façon un temps d'exécution beaucoup plus long.
Cordialement,
Franck.
Dans le même ordre d'idée on peut lire dans L'essor vertigineux du trading algorithmique http://www.lemonde.fr/economie/artic...8594_3234.html:Citation:
Envoyé par Waldar
Concernant l'impact de la longueur des identifiants sur la performance des requêtes SQL, la discussion suivante sur OTN est aussi intéressante http://forums.oracle.com/forums/thre...art=0&tstart=0Citation:
Les opérateurs boursiers ont aussi compris leur intérêt. Progressivement, ils proposent à leurs membres de louer des serveurs à quelques mètres, voire quelques centimètres du cœur des échanges électroniques. C'est ce qu'on appelle la "co-location". On estime qu'à chaque centaine de miles (160 kilomètres) supplémentaire de distance du lieu de l'opération, 1 millième de seconde est ajoutée à celle-ci : ce qui peut faire perdre une opération ou gagner des millions.