Moi ? Mais moi, je ne signe pas pour une boite comme celle là…
Très honnêtement, pour moi en tant que salarié, l'ennemi qui permet le "chantage à l'emploi", ce n'est pas le patron mais les salariés… Et la conséquence, c'est le salarié qui dévalue la valeur du travail en acceptant ce "chantage", c'est avant tout ça qui favorise le déséquilibre en faveur de l'employeur.La dérégulation et le déplacement des décisions au niveau branche ou plus bas n'apportent aucune solution à ce niveau-là tant que le déséquilibre est en faveur de l'employeur qui possède un pouvoir de chantage à l'emploi (a fortiori si on lui facilite le licenciement) et que le contre-pouvoir des organisations de salariés est quasi nul.
Alors là, respect Habituellement, avec le forumeur moyen, on n'a pas besoin de s'embêter avec cette légère approximation car les chiffres en eux même, il s'en pêteEt 55% de tes 99,8% n'ont pas de salarié donc personne à licencier, ce qui les éloigne de cette discussion.
Mais même ainsi, ça concerne plus de 99 % des boites.
Je ne suis jamais allé dans une boite de ce type de plus de 50 salariés (bon, une faisait parti d'un groupe…) et les au quitté avant…Scoop : dans l'informatique, on a toujours le choix de ne pas aller dans une boite de plus de 250 salariés, surtout quand on débute
Je ne juge pas le beauf moyen…*Enfin, le français moyen…*( pop corn… ) mais réponds à la considération sur la notion d'offre et de demande. Il faut arrêter de croire que si les français n'ont pas de revenus, nos entreprises couleront.... et si ses revenus le permettent, il part aussi en vacances (majoritairement en France), consomme des loisirs sur le territoire, dépense pour son logement, etc. Il faut arrêter de faire croire que 100% des hausses de salaires s'il y en a vont aller dans de l'écran TV coréen. Et aussi de faire penser qu'un meilleur pouvoir d'achat passe forcément par du déficit public ou un plombage de la compétitivité des entreprises. Cela peut aussi venir d'une meilleure répartition des revenus capital/travail, de taxes sur lesdits produits asiatiques, etc.
Ces deux remarques sont complémentaires à ce que j'ai écris. Tout ce qui intéresse une SSII, c'est que la ressource ai la caractéristique correspondant à la demande du client et évidemment toute boite cherche la rentabilité (il faut arrêter avec la notion de "meilleur répartition", ou plutôt si, "meilleur répartition", pas "plus équitable", ça personne n'en veut et surtout pas les salariés). Donc oui avec ces 2 remarques.Non, c'est pire que ça. Ce que je dis, c'est qu'une nouvelle ressource pas compétente = une ressource expérimentée très compétente, et que quand on l'alerte sur les effets catastrophiques d'une telle politique sur la productivité et l'efficacité dans la boite, le management répond "on voit pas le problème" ou "pas notre faute". Ce qui est illogique et irrationnel sauf si on intègre le fait que les intérêts financiers à très court terme font caca sur la viabilité de la boite à moyen et long terme.
D'un autre coté, tu a fait la demande, si tu n'a pas demandé "expert" ou "productif" et que tu n'est pas capable de le qualifier, pourquoi est-ce que les achats choisiront le plus cher ???
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