Le client m'est maintenant pied et poings liés. Heureusement, il ne le sait pas encore
Mon concurrent reprend mes sources, fignole les deux trois détails qui manquent et vends mon produit à ma place.
Heu . . . Que répondre à ça . . .
Pour être plus constructif, il faut a mon avis séparer le modèle proprio en deux pour être pertinent dans nos argumentations :
1/ Le logiciel proprio vendu à tous, tel windows, office, photoshop, etc . . .
2/ Le logiciel proprio développé spécifiquement pour un client.
Il est clair quand dans le premier cas, le client à tout à perdre avec une telle solution. Elles marchent selon moi sur un coup de bluff (la vente lié, les formats proprios), mais aussi des fonctions qui ne se trouvent pas dans la concurrence. Ceci dit, a moins de se décaler vers une fourniture de service, tout en profitant du parc installé (ce que microsoft fait avec windows en ce moment), le libre rattrapera un jour son retard.
Dans le second cas, nous avons tout plein de cas particulier. Ici, tout dépend du contrat passé avec le client. Ici, si le contrat est bien ficelé, libre ou proprio ne change plus grand chose.
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