Pourrais-tu reformuler ta question? Je ne pense pas être le seul à ne pas comprendre ce que tu souhaites avoir comme informationEnvoyé par Hodaos
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Pourrais-tu reformuler ta question? Je ne pense pas être le seul à ne pas comprendre ce que tu souhaites avoir comme information
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Les égouts, je ne sais pas, mais je préfère mille fois être balayeur dans un zoo que directeur IT de la gare RER de Châtelet....et il faut bien quelqu'un pour le faire quand même. La surveillance de production est une activité qui peut être particulièrement rébarbative. Mais je préfère encore ça au nettoyage des egouts.....
Après réflexion, je prend aussi les égouts.
Bonjour
je suis actuellement en 1ère année de Master telecom & reseaux à Brest et je recherche une boite pour faire mon Master 2 en alternance (contrat de professionnalisation) l'année prochaine. Est ce que vous pensez qu'une SSII serait l'idéal ? A compter que je puisse trouver autre chose.
Merci
Je suis maintenant conseiller expert en Intelligence d'affaire, c'est écrit sur ma carte d'affaire!
J'ai débuté en informatique comme développeur dans une Banque, après quelques années à son emploi, celle-ci à décider de faire l'impartition de son informatique à une SSII. Je fus l'un des rares, sur 200 personnes d'informatique nous étions qu'une 20e à rester à l'emploi de la banque. Après 8 ans à l'emploi de la banque, j'ai eu besoin de changer d'air, j'ai donc accepté un emploi dans une grande SSII où en consultation.
Premier mandat d'une durée de 2 mois dans une entreprise pharmaceutique, fut très stimulant et j'ai adoré. Le travail consistait à échafauder, l'architecture de base pour mettre en place Cognos 8; sécurité, modélisation, ETL, configuration des serveurs... pour que les équipes internes puissent prendre le relais par la suite et d'avoir de bonne base de structure.
Second mandat fut désastreux, c'était dans une entreprise parapublique où l'on m'a carrément oublié pendant 10 mois. Le seul chose à faire était surfer pendant 7.5 heures par jour. Le rôle du mandat étant analyste et développeur Cognos mais le client n'ayant aucune amélioration à faire, j'ai eu quelques bugs qui sont apparu que j'ai corrigé. J'ai proposé au client mes autres compétences sur les technologies présentent dans l'entreprise et aussi les aptitudes que j'ai développé auquel je voyais la possibilité d'un besoin. Bref après avoir indiquer que je m'y connaissais bien en Oracle, VMS, scripting Unix, administration Windows, modélisation et processus ETL... J'avais toujours rien à faire! Après ce mandat j'ai été congédié pour manque de travail!!! Le pire c'est qu'ils ont payés une grosse prime au chasseur de tête pour m'embaucher!
Aujourd'hui je travail dans une très petite SSII moins de 7 employés, mes mandats sont des grands comptes comme des petits, celui que j'ai dans le moment est pour une entreprise financière de grande taille et je fais aussi des mandats pour de plus petit comptes, comme le précédent une petite firme d'ingénieurs. J'adore malgré qu'il a aussi des difficultés.
Je crois que le plus important pour être heureux dans son travail n'est pas la paye ou la nature du travail mais bien de sentir valorisé que ce que l'on accomplis chaque jour pour gagner notre pain est apprécié.
Kognos
sur ce point là... les clients nous donnent des retours positifs de temps en temps quand on travaille en plateforme ou plus régulièrement quand on bosse chez eux
par contre les managers, si ton boulot est ok, t'entends rien mais si t'as fait un truc de travers, là tu l'entends !
Ma première mission en SSII c'était un assez gros morceau. Techniquement assez pointu et les 3/4 des effectifs n'étaient que des bleus (entre stage et un an d'xp max) dont je faisais parti en tant que stagiaire (puis embauché).
Pas le temps de commencer qu'on était déjà à la bourre, tout le monde en permanence speed, ambience tendue. Un fois la partie technique ingurgitée, on était tous passé en mode "déconnexion cerveau activée - pissage de code on". Techniquement c'était bien, mais j'ai pas trouvé ça intellectuellement intéressant. Il me manquait un truc. J'adore programmer, mais il y avait tellement de taf qu'on passait nos journées à enchainer les lignes de codes sans se parler (ce qui a posé pb par la suite bien évidement). C'était impossible de ne pas bosser comme on a fait et de finir dans les temps qu'on nous avait fixé et quand on commence on a tendance à penser que si on ne respecte pas les délais c'est de notre faute. Aujourd'hui je dirai que si tout le monde est de bonne volonté (ce n'est psa toujours le cas), la faute vient plutôt "d'en haut". Bref tout ça pour dire : première mission. Pas mal techniquement mais c'était vraiment hardos en rythme de travail. J'ai pas encore eu d'équivalent.
Tout le monde me disait que c'était un bon projet pourtant (ambience mis à part). En tout cas moi je me suis fait chier. Alors que je me démerdais pas mal j'avais vraiment pas l'impression de progresser. Je me demandais vraiment si j'étais fait pour ce taf, je me suis fait une grosse remise en question.
Par la suite et autres affectation, je me suis rendu compte que ce qui me faisait surtout chier dans cette mission c'était que je travaillais sur un SI pour une application qui était assez éloignée du domaine métier dans lequel il s'inscrivait sur le papier (télécommunication).
voilou. Donc si on a une mauvaise première expérience, dans le sens où ça ne nous a vraiment pas plus, je pense qu'il faut se donner un petit temps de réflexion pour savoir ce qui nous a réellement pas plus (la boite, le projet, les technos, l'ambience, l'activité, le domaine métier, le client, ....) et ne pas tout rejeter en bloc.
Dans mon cas, je me suis rendu compte que programmer pour programmer c'est pas mon truc. J'aime bien programmer pour des applis où la connotation métier est vraiment très très importante et où on apprend des tas de trucs sur le métier final (et si le métier intéresse bien sur). Par ailleurs, je me suis aussi rendu compte que j'adorais travailler avec des personnes qui n'ont absolument pas le même profil que le mien.
Pour l'avoir lu il y a un petit moment (en stage) et pour l'avoir lu récément (3 ans après) ... il faut prendre ce doc pour ce qu'il est et surtout un peu de recul. C'est une expérience perso dans un environnement particulier qui n'est en aucun cas une généralité. L'auteur lui-même le dit en fin de bouquin.Cherche sur google le "livre noir du consulting" ça te donnera un aperçu de ce qui t'attend
Il y a de tout dans les SSII. Il y en aucune qui s'apparente à un bisounours ça c'est évident. Mais toutes ne sont pas comme celle qu'il décritlui-même le dit. Ce livre est un exemple d'une mauvaise expérience. Oui ça peut arriver. Mais ça n'arrive pas forcément.
la "tape sur l'épaule" de mon chef pour me dire "t'as fait du bon boulot" je l'ai souvent eu.. mais quand je me suis rendu compte que comme je ne m'étais pas vendu j'avais vraiment une grosse différence de salaire ... je l'ai prise très différement la "tape sur l'épaule". Pour moi pour vraiment être heureux dans son travail, il faut avoir le meilleur équilibre possible entre les 3 choses que tu cites. Pas besoin d'avoir un salaire qui plafonne (c'est toujours mieux) mais qui reste tout à fait correct sur une activité intéressante et avec des chefs qui reconnaissent mon taf, sans pour autant briller à leur yeux. Bien sur si on a un taf avec un excellent salaire, une activité qui nous intéresse vraiment et que notre taf est très bien reconnu par la hiérarchie forcément c'est toujours mieuxJe crois que le plus important pour être heureux dans son travail n'est pas la paye ou la nature du travail mais bien de sentir valorisé que ce que l'on accomplis chaque jour pour gagner notre pain est apprécié.Mais je ne céderai aucune composante pour en favoriser une autre.
concernant le salaire, y'a quand même un avantage à pas être en haut de la grille, c'est qu'il y a toujours une marge de progression et donc matière à être récompensé pour ses efforts. Quand on est au plafond... bah y'a plus qu'à attendre une augmentation générale. Alors si ça peut paraitre trivial d'avoir un gros salaire, faut aussi se méfier de la claque tous les ans sur une réponse du type : "bah ouais t'as super bien bossé mais t'es déjà au top du salaire"
Ah oui! Il faut faire attention au plafond!concernant le salaire, y'a quand même un avantage à pas être en haut de la grille, c'est qu'il y a toujours une marge de progression et donc matière à être récompensé pour ses efforts. Quand on est au plafond... bah y'a plus qu'à attendre une augmentation générale. Alors si ça peut paraitre trivial d'avoir un gros salaire, faut aussi se méfier de la claque tous les ans sur une réponse du type : "bah ouais t'as super bien bossé mais t'es déjà au top du salaire"
Lors de mon dernier entretient annuel, on a parlé gros sous, augmentation,...
Quand j'ai annoncé ce que je souhaitais comme augmentation, il a presque fallu appeler le SAMU
Suite à cela, mon employeur m'a vivement encouragé à passer des certifs, etc. pour qu'il puisse me reclasser dans la case du dessus.
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Je crois que je me suis mal exprimer, je rephrase donc!la "tape sur l'épaule" de mon chef pour me dire "t'as fait du bon boulot" je l'ai souvent eu.. mais quand je me suis rendu compte que comme je ne m'étais pas vendu j'avais vraiment une grosse différence de salaire ... je l'ai prise très différement la "tape sur l'épaule". Pour moi pour vraiment être heureux dans son travail, il faut avoir le meilleur équilibre possible entre les 3 choses que tu cites. Pas besoin d'avoir un salaire qui plafonne (c'est toujours mieux) mais qui reste tout à fait correct sur une activité intéressante et avec des chefs qui reconnaissent mon taf, sans pour autant briller à leur yeux. Bien sur si on a un taf avec un excellent salaire, une activité qui nous intéresse vraiment et que notre taf est très bien reconnu par la hiérarchie forcément c'est toujours mieux
Le salaire, l'environnement, les avantages sociaux, tes collègues, ton cubicule, les possibilités de travails à la maison, la machine à cafer gratuite, horaires variables, tâche intéressante et j'en passe sont toutes des choses importantes!!! Tu peux toutes les avoirs catégorie A1 mais que peut importe l'effort, il n'a jamais personne pour l'apprécier, un client, un collègue, un patron, un usager, un patient, un bénéficiare... et que tu travails pour une autre personne, c'est impossible d'être bien. Pensez-y!
Est-ce que tu avais une grande différence de sallaire avec des collègues équivalent à peu près même expérience et même compétence? ou avec le marché? Si c'est avec des collègues next*, si c'est avec le marché à toi de voir!
Pour le reste je suis d'accord, c'est important d'avoir un bon équilibre et si tu as la totale tant mieux travail fort pour garder le tout.
Kognos
* Quand un employeur te manque de respect comme de cette façon ça vaut pas la peine de s'acharner, changez d'emploi!
non mais j'avais bien compris
avec les deux. Clairement, j'avais un grosse différence de salaire. Et je change de boite pour cette raison le mois prochain (entre autre). C'est moi qui me suis très mal vendu. J'aurais du faire mieux, j'ai rien fait. Maintenant j'ai retenu la leçon. J'ai essayé plusieurs fois de rattraper le coup et j'ai pas vu de réel efforts en face.Est-ce que tu avais une grande différence de sallaire avec des collègues équivalent à peu près même expérience et même compétence? ou avec le marché? Si c'est avec des collègues next*, si c'est avec le marché à toi de voir!
Parce que justement, j'ai eu la reconnaissance de mes collègues, de mes supérieurs, de mes clients et des utilisateurs finaux quand j'ai pu bosser avec eux (qui à chaque fois ont remonté l'info) et malgré ça, après 3 ans de boite, j'ai un salaire de sorti de stage (à des gars de ma formation, ma boite propose mon salaire actuel en sortie de stage) alors que l'année dernière je me suis mangé un +10% d'augment. Mon boss a essayé de me récupérer, j'ai pas négocié, je lui ai dit que j'étais déterminé à partir. C'est ça la "tape sur l'épaule" dont je parle. On me tient un discours très flatteur mais qui débouche sur rien.
Bha oui ça me parait évident et je ne dis absolument pas le contraire. Ce que je dis c'est que pour moi les 3 composantes dans ton précédent post sont équipotentes pour moi. En plus, si tu me relis, je dis comme toi. Je préfère avoir un salaire normal et une bonne reconnaissance qu'un salaire qui plafonne et travailler pour un client qui s'en fout avec un chef qui m'a oublié. Mais je préfère également avoir un peu moins de cirage de pompe et un bon salaire que ce que j'avais dans ma précédente boite.Tu peux toutes les avoirs catégorie A1 mais que peut importe l'effort, il n'a jamais personne pour l'apprécier, un client, un collègue, un patron, un usager, un patient, un bénéficiare... et que tu travails pour une autre personne, c'est impossible d'être bien. Pensez-y!
un conseil change de branche
L ideal, comme tu es debutant, c est de trouver un poste hors SSII
Des SSII tu en as des biens comme des pourries.
Meme si a mon avis, tu as plus de marchands de viande qui vont t envoyer n importe ou pour faire n importe quoi du moment que ca fasse de la marge pour le commercial
Apparement c est exactement ce qu il t arrive
Le probleme en SSII c est que tu n a que peu d evolution possible
- les postes d encadrement sont rares car en general c est le client qui les fournit. On va te donner un titre pompeux mais c est tout
- une SSII n a pas d autres branche que l informatique, donc tu reste coince a moins de vouloir devenir commercial. C est un probleme car a terme, il y aura beaucoup moins de postes et de SSII pour cause d off shore/near shore
Donc conclusion, trouve toi une societe utilisatrice, fait toi embaucher par ton client (les clauses de non concurrence des SSII sont en general non applicables (doivent etre limite dans le temps/duree et prevoir une indemnisation (ie des €) pour toi)
Dernier conseils:
- SSII a eviter: altran (j y ai travaille, c est vraiment les pires)
Il y avait dans 01 un article sur les meilleurs et pires SSII (encore dispo sur internet ?). Dans la liste il y avait aussi cap et alten (pour alten, j y avait des collegues et ca ne m etonne pas)
- Si tu n as pas d atache familiales va en suisse ou en allemagne. C est nettement mieux paye et tu es mieux considere (enfin pour l allemagne, la suisse je sais pas)
Voici ma petite expérience en SSII, mais bon je suis un peu à part car après 5 ans dans l'industrie, j'ai décidé de tenter la SSII pour les raisons suivantes :
- possibilité de diversifier ses activités, je tourne vite en rond dans l'industrie vu que c'est toujours le même job sur le même type de projet avec souvent les mêmes bêtises
- possibilité de trouver de nouveaux secteurs (et de futurs employeurs ?)
Dans mon cas, ma recherche s'est faite uniquement sur des petites structures (< 50 emp.) :
- expertise dans un domine uniquement
- possibilité de pouvoir proposer facilement ses idées et innovation
- côté "humain"
Voilà 8 mois que, je suis arrivé en SSII avec le constat suivant par rapport à mes attentes :
- possibilité de diversifier ses activités > VRAI
- possibilité de trouver de nouveaux secteurs > VRAI (idem pour les employeurs)
- expertise dans un domine uniquement > FAUX ou plutôt je m'attendais à plus d'expertise de la part des collègues déjà en place
- possibilité de pouvoir proposer facilement ses idées et innovation > VRAI pour les proposer, +/- VRAI (en insistant) pour la mise en place
- côté "humain" > +/- VRAI
- salaire > pas de quoi pavoiser, simplement en dessous de ce qu'il devrait être
Finalement, une petite SSII n'a rien à envier à une grosse et inversement (comparativement avec d'autres collègues), on retrouve les même travers et avantages dans les 2, seules la clientèle ou plutôt la diversité des clients change.
Pour avoir, travailler dans divers industries, je dirais que la SSII n'est pas forcément pire que ce que l'on peut trouver ailleurs, seulement il est plus difficile d'avoir une vision de l'évolution (salaire, hierarchie, emploi...) au sein d'une SSII. Même en industrie on peut être pressé comme des citrons avec des salaires de misère sans reconnaissance hierarchique
Mon objectif 2 à 5 ans en SSII puis de tester le freelance avec un CV de 10 exp dans mon domaine et pouvoir faire "ce que je souhaite avec le salaire que je demande"
Ah oui, dernière précision, je fait du test logiciel ce qui fait que je suis dans un contexte légérement différent des développeurs
je ne suis pas d'accord, l'idéal c'est de commencer en SSII pour multiplier les expériences en travaillant chez plusieurs clients. Il vaut mieux s'orienter vers les plus grosses (Sopra, Logica, Cap Gemeni, etc...) qui travaillent avec de gros comptes ce qui valorise le CV
salut à tous,
je suis pas tout à fait d'accord, à mon avis, il n'y a pas de règle générale. On a vu qu'il y en avait pour qui la première mission se passait bien, d'autres pour qui c'est un échec etc. Une chose est sûre, que ce soit dans l'industrie ou dans le service, la découverte du marché de l'emploi reste le plus grand changement par rapport à l'école. Comme on peut effectivement passer d'un client à un autre, à mon avis, le monde du service incite à être proche du marché, tout du moins à l'écoute. Ce qui n'empêche pas dans certains cas de se mettre des oeillères ou de ne pas être à l'écoute du marché par simple passivité.
Juste pour reprendre le sujet initial, ma première expérience (en SSII) était sur une TMA pour un gros industriel allemand sur un sujet que je ne connaissais pas. Pour comprendre le fonctionnement du système, il y avait beaucoup de prérequis que je n'avais pas. Du coup, je me suis retrouvé à bosser sur des aspects plus "génériques" moins métiers, en l'occurence sur les bases de données et les services web. Je ne dénigre absoluement pas ces connaissances techniques. Ca n'a pas été facile au départ, car pendant 3 semaines personne pour m'encadrer ou m'expliquer un minimum les choses (j'ai commencé au mois d'aout), on m'avait prévenu que ce serait un peu galère comme date pour commencer, mais je voulais quand même commencer le plus tôt possible. Avec le recul, cette mission m'a permis d'acquérir une certaine rigueur dans le travail. J'ai découvert aussi la lourdeur des process de développement/validation d'un gros industriel... Je pense qu'ils sont tous plus ou moins obligés de structurer un minimum leur façon de travailler, mais là ça allait loin...
Bon bref, ce qui me gênait quand même dans cette mission c'est qu'en général c'était très calme, puis du jour au lendemain il y avait le feu, il fallait corriger un bug très rapidement. Une TMA en sorte... mais bon, à l'époque je ne savais pas ce que c'était... Un autre aspect négatif c'est que je n'ai rien appris sur l'aspect métier de cette application (télécom) si ce n'est quelques mots de vocabulaire à placer en haut sur un cv... et c'est un peu ce qui m'est resté en travers de la gorge sur cette mission.
Ceci dit j'ai travaillé sur d'autres projets pour la société de service en question qui avaient leurs avantages et leurs inconvénients. J'ai depuis changé de boîte. Mais il ne faut pas chercher d'eldorado dans l'informatique, il y a du boulot, le marché est porteur en ce moment, il faut en profiter.
d'autant plus que quand tu arrives en ss2i avec de l'expérience, tu ne fais pas "caca" (excuser moi l'expression) de l'informatique mais des trucs bien plus interessants.
L'idéal c'est de ne pas avoir peur de changer de boîte interne ou ss2i
Vive la Guadeloupe !!!!
Oui et quand en fixe cette expérience et ton quotidien pendant plusieurs mois, en SSII tu peux toujours demander à changer de projet
Bonjour tout le monde.
A moi d'ajouter ma pierre a cet édifice.
J'ai terminé mes études (bac +5, génie maths et infos, spé réseaux et télécoms à Avignon) en Juillet 2006 puis embauché jusque fin aout pour terminer mes projets de stage.
En octobre 2006, j'ai été contacté par une petite SSII parisienne. Ils cherchaient un admin Syst/Réseau pour leur client qui ouvrait une plateforme a Villeneuve d'Ascq : un profil jeune, dynamique, tout ça. Sauf que sans expérience, ben la résolution de problèmes prend trop de temps, pas le temps de faire de la veille techno, seul informaticien sur la plateforme, etc. Essai pas concluant.
Puis recherche d'emploi, entretien dans plusieurs SSII, toujours le même discours du "votre profil ne correspond pas exactement bla bla bla" (je trouve ma formation trop généraliste, alors que lors de mes entretiens, ils cherchaient plutôt des spécialistes);
Puis en octobre 2007, une grande SSII francaise me contacte, j'y vais en pensant que comme d'hab, j'aurais la réponse 3 mois plus tard et là on me dit que je vais signer une lettre d'intention d'embauche pour commencer à la fin du mois, chez leur client, une banque.
En premier lieu, je rejoins la cellule mise en œuvre web pour travailler sur WebSphere, que je ne connaissais absolument pas. Ça ne m'a pas vraiment plus et là, coup du sort, l'équipe mise en œuvre Business Intelligence qui comptait recruter quelqu'un début janvier m'a intégré suite à l'accident de moto d'un des membres de l'équipe.
Les outils : Business Objetcs, Datastage, Harry net Server, W4. Encore des trucs que je ne connais pas mais ca m'a plus plû. Je bosse pas mal sur UNIX AIX, développement de scripts, etc. L'ambiance est bien sympa, on rigole pas mal avec les potes, tout ça.
Certes ma copine travaille sur Lille et moi sur la région parisienne, mais comme notre boulot nous plaît à chacun, pour le moment on s'en contente, mais je commence à voir pour retourner sur Lille.
La SSII, c'est bon mangez en, parce que en même temps, rentrer en direct dans les boîtes c'est plus chaud. Je pourrais demander par exemple à rentrer dans la banque, mais j'ai pas encore l'envie.
Donc pour résumer :
- première expérience : un désastre mis à part les gens rencontrés avec qui j'ai gardé le contact
- deuxième expérience : très enrichissante, très bonne ambiance, très bonne expérience.
Bonne journée.
Ou le Luxembourg !!!
Avec un salaire d'entrée comme développeur supérieur à ce que touchent la l'immense majorité des chefs de projets en France, c'est un très bon début... Alors ensuite ...
De plus, et contrairement à la Suisse ou à l'Angleterre par exemple, le Luxembourg offre au minimum les même prestations qu'en France pour toutes les autres 'dépenses' (santé, retraite, ...) ; la voiture de fonction (Allemande) avec carte essence est quasiment la normalité. En bref, financièrement, c'est plus qu'intéressant (de l'ordre de +70% de pouvoir d'achat pour un job équivalent en France) ; par contre, faut aimer la banque/finance car il n'y a quasiment que ça (le mauvais temps et les bouchons aussi
My 2 cents.
Mon projet du moment: BounceBox, un jeu multijoueurs sur Freebox, sur PC et depuis peu sur smartphone/tablette Android.
je suis perdue
salut à tous je viens de m'inscrire sur le site et je voulais créer un nouveau poste mais je sais pas comment faire
voilà, je suis reçue pour un entretien dans une SSII pour un poste d'assistante commerciale... j'aurais aimé qu'on me détaille le poste, les missions confiées, et les tâches à réaliser sur word et excel car je vais avoir un test sur ces logiciels... que peut-on demander comme type de tableaux et autres, je ne sais pas si il y a des assistante co sur le site mais si celle de votre boîte veux bien se mettre en relation avec moi pour en discuter et préparer cet entretien ça serait vraiment super
j'ai besoin de ce poste
voici mon mail : samsam_64@hotmail.com
je compte vraiment sur votre aide
Bonjour,
chez nous, les assistantes commerciales, comme le nom de leur fonction l'indique, assistent les commerciaux. Ca consiste essentiellement à faire des mailing sous Word et à gérer des tableaux de prospect via un logiciel propriétaire (mais Excel pourrait faire l'affaire). Donc dans Word, il faut maîtriser le système de mailing et dans Excel, ben... rien de particulier, je pense.
Parfois, les assistantes commerciales sont également organisatrices d'événements où l'on invite les clients (match à Roland Garros, soirée casino, etc...): mais là, ce sont essentiellement les compétences de communication qui sont mises à l'épreuve.
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