Viré par votre hébergeur mutualisé ? Prenez un serveur dédié discount
Votre site est basé sur une application dynamique php/sql et votre hébergeur vous as viré de votre hébergement mutuatlisé sous prétexte que votre site utilise trop de CPU ?
Les hébergements mutualisés ne sont absolument pas fait pour les applications dynamiques (Exemple php/mysql).
Historiquement les offres mutualisées sont basées sur des sites statiques html.
Les hébergeurs ont finalement proposés php/sql pour etre concurrentiel, mais le principe des mutualisés n'est pas du tout adapté pour ce genre d'applications.
La licence est donc en vrai :
Citation:
Vous pouvez faire un site à base d'application dynamique, tant que comme pour la majorité des sites, c'est à dire plus de 99%, vous n'avez aucun visiteur. Si vous le culot de réussir à avoir des visiteurs vous serez viré de suite.
En clair le business des hébergeurs mutualisés est basé sur les sites statiques, ou les sites sans visiteurs (qui sont très très nombreux).
Solution : un serveur dédié discount :
:fleche: Kimsufit (OVH) 20 EU / mois
:fleche: Dédibox (Free) 30 EU / Mois
:fleche: Start (OVH) à partir de 29 EU / mois.
Un petit rajout au débat, un témoignage:
Bonjour,
J'ai une vingtaine de petits sites chez deux hébergeurs us en mutualisé.
Dont un site ou je traitais des images (en les splittant en x petites images pour un puzzle) sur imageMagic: On m'a suspendu l'accompte car consommant trop de CPU, j'ai abandonné l'application.
Un autre hébergeur m'a suspendu un compte, parce que le nombre d'inodes état trop important. Il y avait certes une dizaine de milliers d'images, mais moins de 500 visiteurs par mois, spiders compris!
Un autre propose des listes de diffusion multiples, mais n'accepte pas plus de 500 mails envoyés par jour ....
Conclusion, il est vrai que les hébergeurs surbookent les possibilités techniques de leur machines, puis tentent d'exclure les sites qui dans n'importe quel domaine, dépassent un certain quota.
Comme je suis un peu au-dessus des 10.000 visites mensuelles, je commence aussi à m'inquiéter de l'avenir.
Rodolphe