Bien sûr Zuckerberg n'est pas Hitler ...
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viper1094
Le point godwin est de trop. Comparer Zuckerberg et Hitler, c'est bof. Dans l'absolu, si tu faisais un procès d'intention et que tu disais : si Zuckerberg était dans la situation d'Hitler il ferait pareil ou pire, ok. Mais sinon c'est incomparable. 60 millions de morts, c'est pas rien tu sais :aie:
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Bien sûr Zuckerberg n'est pas Hitler et si tu as suivi le raisonnement je citais les dirigeants actuels qui sont catégorisés à l’extrême droite en oubliant l'Inde, la Chine et la Russie. Cela fait peu de place pour les quelques démocratie qui restent. Facebook dans tout cela, comme Google, Instagramme,... fait comme les autres, il capte le temps des personnes et notamment des adolescents en les isolant de ce qui se passe vraiment dans le monde, tout cela pour tirer des "profils" qu'il va vendre aux plus offrants et sans aucune déontologie.
Bien venue dans le "nouveau monde" merveilleux de Facebook et consorts...
Merci de m'avoir lu.
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Un projet de loi US propose de bannir les géants d'Internet comme Facebook de l'industrie financière
Un projet de loi US propose de bannir les géants d'Internet comme Facebook de l'industrie financière
Et de les empêcher d'émettre des cryptomonnaies
Les démocrates au Congrès étudient un nouveau projet de loi qui mettrait un terme aux ambitions de Facebook dans l’univers des cryptomonnaies. Le nouveau projet de loi, baptisé « Keep Big Tech Out of Finance Act » (ou règlement pour tenir les géants de la Tech à l’écart de la finance), interdirait explicitement aux grandes entreprises d’Internet de fonctionner comme des institutions bancaires ou d’émettre des monnaies numériques. Cette proposition de loi viserait directement la firme de Menlo Park et son projet Libra dévoilé le mois dernier. Le projet de loi propose une amende d’un million de dollars par jour pour violation de ces règles.
La proposition de loi n’a pas encore été présentée au Congrès. De ce fait, son contenu est loin d’être définitif, ont indiqué des sources proches du dossier. Néanmoins, cette affaire suscite déjà un intérêt certain auprès des régulateurs. Des représentants de l’entreprise de Zuckerberg ont comparu devant le House Banking Committee - la Commission financière de la Chambre des représentants - dans le cadre cette affaire.
Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale des États-Unis (FED), est monté aux créneaux la semaine dernière et a appelé Facebook à suspendre le projet Libra jusqu’à ce que les inquiétudes des régulateurs du marché financier soient complètement dissipées. D’après ce dernier, « Libra soulève de nombreuses et sérieuses préoccupations en ce qui concerne la protection de la vie privée, le blanchiment d’argent, la protection des consommateurs et la stabilité financière » et ces inquiétudes doivent être traitées « en profondeur et publiquement avant d’aller de l’avant ».
Le « Keep Big Tech Out Of Finance Act » définit une grande entreprise technologique comme une société offrant principalement un service de plateforme en ligne et dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur ou égal à 25 milliards de dollars. Il stipule que ce type de société ne peut en aucun cas « établir, maintenir ou exploiter un bien numérique destiné à être largement employé comme moyen d’échange, unité de compte, réserve de valeur ou toute autre fonction similaire, telle que définie par le Conseil des gouverneurs du Système fédéral de réserve ».
À ce propos, Donald Trump qui partage le point de vue des décideurs, banquiers et politiciens peu favorables aux cryptomonnaies a écrit sur Twitter : « Si Facebook et d’autres entreprises veulent devenir une banque, elles doivent rechercher une nouvelle charte bancaire et être soumises à toutes les réglementations bancaires, à l’instar des autres banques, nationales et internationales ». « Je ne suis pas un fan du Bitcoin et d’autres cryptomonnaies, qui ne sont pas de l’argent, et dont la valeur est très volatile et basée sur de l’air », a-t-il ajouté.
Les conséquences de l’adoption d’un tel règlement ne sont pas claires pour les sociétés financières axées sur la technologie à l’instar de PayPal ou Square. Mais les restrictions imposées aux géants de l’industrie technologique - Facebook en tête de liste qui a le soutien financier d’environ 28 sociétés des secteurs de la finance, du commerce électronique, des technologies et des télécommunications dans le cadre de son projet Libra – sont plus visibles.
Source : Reuters
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Un régulateur suisse présenté par Facebook comme garant de la protection de la vie privée sur Libra
Un régulateur suisse présenté par Facebook comme garant de la protection de la vie privée sur Libra
Affirme ne pas être en contact avec l’entreprise
Facebook a annoncé mardi que l’agence suisse de protection des données superviserait la protection des données et de la confidentialité de sa nouvelle cryptomonnaie Libra, si elle venait à voir le jour, et que l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers suisse (FINMA) serait le principal régulateur financier du projet. Alors que la seconde a confirmé à CNBC qu’elle était en contact avec les initiateurs du projet Libra, un porte-parole de la première agence a confié à CNBC que Facebook ne les a pas encore contactés.
Lors de son témoignage devant le Comité sénatorial des banques des États-Unis, le responsable du projet de monnaie numérique de Facebook, David Marcus (image ci-dessous), a affirmé que « le préposé fédéral à la protection des données et à la transparence (PFPDT) suisse sera l’autorité de régulation de la Libra Association en matière de protection des données et de la vie privée ».
Interrogé sur le rôle de l’agence dans la régulation du projet Libra, Hugo Wyler, responsable de la communication au PFPDT, a déclaré dans un communiqué à CNBC : « Nous avons pris note des déclarations de David Marcus, le responsable de Calibra, sur notre rôle potentiel en tant qu’autorité de supervision de la protection des données dans le cadre de Libra. Jusqu’à ce jour, nous n’avons pas été contactés par les promoteurs de Libra. Nous attendons de Facebook ou de ses promoteurs qu’ils nous fournissent des informations concrètes le moment venu. C’est alors seulement que nous pourrons examiner dans quelle mesure nos compétences en matière de conseil et de surveillance juridiques sont conférées. Dans tous les cas, nous suivons l’évolution du projet dans le débat public ».
Le projet de monnaie numérique de la firme de Menlo Park a déjà été accueilli avec scepticisme par les décideurs politiques et banquiers du monde entier. Aux États-Unis, le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin et le président de la Réserve fédérale (FED) Jerome Powell n’ont pas caché qu’ils avaient de « nombreuses et sérieuses préoccupations » concernant Libra en matière de blanchiment d’argent, de réglementation, de protection de la vie privée, de protection des consommateurs et de stabilité financière. Powell a appelé Facebook à suspendre le projet Libra jusqu’à ce que les inquiétudes des régulateurs du marché financier soient complètement dissipées.
Donald Trump qui partage le point de vue des « cryptosceptiques » a écrit sur son compte Twitter : « Si Facebook et d’autres entreprises veulent devenir une banque, elles doivent rechercher une nouvelle charte bancaire et être soumises à toutes les réglementations bancaires, comme les autres banques, nationales et internationales. Je ne suis pas un fan du Bitcoin et d’autres cryptomonnaies, qui ne sont pas de l’argent, et dont la valeur est très volatile et basée sur de l’air ».
Bon nombre des sénateurs qui ont interrogé Marcus ont également soulevé des préoccupations en matière de protection des données personnelles liées au projet Libra.
Source : CNBC
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« Les conditions ne sont pas remplies pour que la France accepte l’utilisation de Libra », a déclaré Le Maire
« Les conditions ne sont pas remplies pour que la France accepte l’utilisation de Libra »,
a déclaré Bruno Le Maire
Facebook a lancé en juin dernier Libra, sa cryptomonnaie qui devrait à terme permettre à ses deux milliards d’utilisateurs d’acheter des biens ou d’envoyer de l’argent aussi facilement qu’un message instantané. Libra doit introduire un nouveau moyen de paiement en dehors des circuits bancaires traditionnels et a pour ambition de devenir la pierre angulaire d’un tout nouvel écosystème financier sans la barrière des différentes devises. Cette initiative de Facebook a attiré l’attention des décideurs au niveau mondial, en particulier des banquiers et politiciens, et plusieurs analystes se sont penchés sur le sujet.
Depuis la présentation de Libra, les avis n’ont pas été tout à fait positifs pour Mark Zuckerberg et les siens. Du côté de la méditerranée, les avis ne se sont pas encore fait entendre, ou du moins jusqu’à ce matin. Aujourd’hui, en France, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire a conclu que toutes les conditions nécessaires n’étaient pas remplies pour que Libra soit acceptée comme monnaie dans le pays. Selon le ministre français de l’Économie, le projet Facebook sur la pièce de monnaie numérique Libra ne peut pas être exécuté tel qu'il a été présenté jusqu'ici. « Aujourd'hui, les conditions ne sont pas réunies pour que cette monnaie proposée par Facebook aille de l'avant », a déclaré Le Maire peu avant le début d'une réunion avec ses homologues du G7 à Chantilly, au nord de Paris.
Selon Reuters, Bruno Le Maire a également déclaré que la réunion du G7 serait décisive pour se mettre d'accord sur la manière de taxer les grandes entreprises de technologie en donnant le ton à des négociations plus larges entre les pays de l'OCDE, qui devraient se conclure l'année prochaine.
Il y a une semaine de cela, Jerome Powell, le président de la Réserve Fédérale des États-Unis (FED), a déclaré que Libra soulève d’importantes questions qui doivent être résolues en priorité. « Libra soulève de nombreuses et sérieuses préoccupations en ce qui concerne la protection de la vie privée, le blanchiment d’argent, la protection des consommateurs et la stabilité financière. Ces inquiétudes doivent être traitées en profondeur et publiquement avant d’aller de l’avant », avait-il précisé.
La FED redoute en effet que le potentiel d’adoption très large de la cryptomonnaie de Facebook, un réseau social qui compte plus de deux milliards d’utilisateurs, puisse à l’avenir constituer une menace pour le système financier en général et le dollar en particulier. Les régulateurs financiers américains semblent surtout craindre que Facebook parvienne à « établir un système parallèle de politique bancaire et monétaire pour rivaliser avec le dollar » par le biais de Libra. Le président de la FED a indiqué qu’il faudra impérativement faire preuve de « patience et prudence » lors de l’examen réglementaire de ce projet, reconnaissant que les règles existantes ne convenaient pas aux monnaies numériques.
Bien avant que la FED ne soulève ces questions de conformité liées à la fois au respect de la vie privée et au système financier existant, un expert en blockchain avait déclaré qu’il était convaincu que Libra n’est rien d’autre qu’une cryptomonnaie centralisée destinée aux riches. Selon lui, Facebook aurait donc menti sur son initiative. Sur Twitter, des experts ont décrit Libra comme étant un projet présenté de manière trompeuse. Comme à son habitude, Donald Trump également n’a pas manqué de participer aux débats. Il y a quelques jours, le président américain Donald Trump s’en est pris aux cryptomonnaies, en particulier à Libra de Facebook, en demandant à ce qu’elles soient soumises à la réglementation bancaire.
Afin de bien mener le projet Libra, Facebook a mobilisé le soutien financier d’environ 28 sociétés des secteurs de la finance, du commerce électronique, des technologies et des télécommunications autour du consortium, appelé Libra Association. Parmi ses membres, nous pouvons citer : les géants des cartes de crédit Visa Inc. et Mastercard Inc., la société de paiement numérique PayPal Holdings Inc. et Uber Technologies Inc. Aucune banque ne fait actuellement partie du groupe. Selon un rapport, l'argent collecté par les membres du consortium aidera à financer le lancement de la monnaie. Cet état de choses ne semble pas être du goût de Donald Trump, ce qu’il a fait savoir le jeudi passé.
Trump a exprimé son mécontentement envers l’initiative de Facebook et d’autres cryptomonnaies en demandant aux entreprises de rechercher une charte bancaire et de se soumettre à la réglementation américaine et mondiale si elles souhaitaient « devenir une banque ». « Si Facebook et d'autres entreprises veulent devenir une banque, elles doivent rechercher une nouvelle charte bancaire et être soumises à toutes les réglementations bancaires, à l'instar des autres banques, nationales et internationales. Je ne suis pas un fan du Bitcoin et d'autres cryptomonnaies, qui ne sont pas de l'argent, et dont la valeur est très volatile et basée sur de l'air », a écrit Trump sur Twitter.
Source : Reuters
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