Franchement repasser sous linux ces vieilles bécanes j'y crois plus trop,
l'un de mes pc sous ubuntu 11.04 vient de lacher, malgré que ce soit un quadcores intel atom de chez intel (une m___!) j'en était content, pour suivre la mode sur 2 pc corrects quelque part je suis passé à 18.4; un hp un acer, ben c'est ingérable, il y a tout un foutoir qui s'est rajouté et les 4 go de ram ne suffisent plus, ça passe sans arrêt en swap, comment voulez-vous passer des machines de 2004 sous linux alors que 2010 n'y arrive plus?
par mégarde sur celui de test j'ai installé snap, 700000 fichiers lus par l'anti virus, j'ai viré ça les développeurs sont partis dans de ces délires!
Je sais je devrais passer à d'autres linux plus raisonnables, mais le concept humanitaire d'Ubuntu ballade des valeurs qui sont les miennes, je vais rajouter de la ram pour que ça tourne, c'est du 64 bits pas de pb.
Mais ces vieux bouzins de 2004, je pense pas qu'on puisse rajouter de la ram, ça doit être de la ddr1 ou de la sd et la swap va se traîner.
C'est un upgrade, car je ne pense pas qu'en 2011, on trouvait des SSD.
Citation:
Envoyé par
Jon Shannow
Juste pour redire... Ce pc date de 2009. Je l'avais acheté avec Windows Vista. Je l'ai migré sous Seven, puis sous Windows 10 (oui, j'ai sauté Windows 8 :lol:). Ce pc n'a jamais été reformaté, et fonctionne de façon fluide depuis qu'il est passé sous Seven (c'est vrai que Vista n'était pas optimisé).
C'est d'ailleurs ce qu'a fait archqt pour faire tourner son Linux
C'est un upgrade, car je ne pense pas qu'en 2011, on trouvait des SSD.
Pour ma part, je n'ai fait que rajouter 2go de RAM, le passant de 2 à 4Go. Donc, pour ma part, Windows fonctionne très bien.
Maintenant, je ne dis pas que Linux ne fonctionne pas. C'est juste qu'il ne faut pas raconter n'importe quoi.
ben si j'ai un ocz la meilleure marque de l'époque qui faisait tourner mon pc qui tournait sous ubuntu 10.04 donc acheté entre 10.04 et 11.04 toujours en marche mais plus de 100€ pour 64 go, sinon avant ça j'avais déjà fait tourner des pc avec des cartes compactflash des 600x ce que j'appelle des pseudo ssd, sur un portable, ça avait son intérêt c'était anticasse. 2010 c'est l'arrivée des ssd mais des prix stratosphériques. 256 go pour 2000€
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Microsoft de nouveau abandonné pour l'open source en Allemagne ? Hambourg suit les traces de Munich
Microsoft de nouveau abandonné pour l'open source en Allemagne ?
Hambourg suit les traces de Munich
La tendance à l'utilisation de logiciels libres sur les ordinateurs du gouvernement s'accélère en Allemagne. Au cours des négociations de coalition dans la ville-État de Hambourg, les responsables politiques ont déclaré qu'ils étaient prêts à commencer le remplacement des logiciels de Microsoft par des logiciels open source dans la fonction publique. Cette déclaration s'inscrit dans le cadre d'un accord de coalition de 200 pages entre le parti social-démocrate et le parti Vert. Elle définira la manière dont Hambourg sera gérée pour les cinq prochaines années.
La déclaration a été présentée le 02 juin dernier, mais n'a pas encore été signée. Les partis politiques en charge à Hambourg sont les mêmes que ceux de Munich, qui ont récemment accepté de revenir aux logiciels open source de cette ville.
« Avec cette décision, Hambourg rejoint un nombre croissant d'États et de municipalités allemands qui se sont déjà engagés sur cette voie. La décision de Hambourg est néanmoins remarquable, car la ville a toujours été très fortement orientée vers Microsoft », a déclaré Peter Ganten, président de l'Open Source Business Alliance (OSBA) basé à Stuttgart. Il fait référence à des décisions similaires prises dans le Schleswig-Holstein, en Thuringe, à Brême, à Dortmund et à Munich.
« A l'avenir, nous aspirons à avoir plus de logiciels open source dans les systèmes de gestion numérique et nous voulons également développer notre propre code, qui restera ouvert. Hambourg veut être un exemple de premier plan en matière d'indépendance numérique » , a écrit le responsable de la branche locale des Verts de Hambourg-Mitte, Farid Mueller, sur son site Internet.
« Les fonctionnaires municipaux veulent également essayer de mieux comprendre les logiciels proprietaires, soit par des moyens légaux, soit dans le cadre d'appels d'offres du conseil municipal », a ajouté Mueller. Pour son parti écologiste, cette étape est particulièrement importante, car elle permet de mieux analyser la consommation d'énergie des services numériques.
« Les autorités de Hambourg pourraient également développer leurs propres versions de l'intelligence artificielle. Mais cela aussi doit rester ouvert. Tout le monde, des fonctionnaires au grand public, doit savoir comment elle fonctionne », a déclaré Mueller lors d'une interview fin mai, après les négociations de la coalition.
Ceci pourrait bien impliquer l'introduction d'un système de bureautique open source basé sur le cloud appelé Phoenix pour l'usage du parlement local de Hambourg. Tout changement sera d'abord volontaire.
Selon l'OSBA, « ce n'est pas une mauvaise approche que de commencer lentement. Mais à long terme, pour des raisons de coûts, d'acceptation des utilisateurs et de synchronisation, Hambourg devrait s'appuyer sur un environnement informatique plus uniforme pour la plupart des employés », affirme Ganten.
Dans un avenir proche, la préférence pour l'open source devra être inscrite dans les appels d'offres publics, et Hambourg devra également coordonner ses efforts avec d'autres municipalités et États afin de « ne pas réinventer la roue encore et encore, comme cela s'est produit occasionnellement dans le passé », note Ganten.
Le logiciel Phoenix dont parlent les politiciens de Hambourg est fourni par Dataport, une institution à but non lucratif qui fonctionne sous mandat du gouvernement pour créer des logiciels libres pour la fonction publique allemande.
Un porte-parole de Dataport, Britta Heinrich, explique que Phoenix se présente sous la forme de plusieurs modules différents. Jusqu'à présent, les modules de messagerie et de vidéoconférence sont utilisés dans une poignée d'établissements d'enseignement à Hambourg et dans l'État du Schleswig Holstein, où se trouve le siège de Dataport.
Phoenix est basé sur un système de cloud privé qui peut être exécuté à partir des propres serveurs de Dataport ou des systèmes internes d'un utilisateur. Le développement et le déploiement d'autres modules conviviaux pour le bureau ont été retardés en raison de la pandémie du COVID-19, explique Heinrich. Phoenix inclura à terme le traitement de texte, la comptabilité et les calendriers.
« Nous envisageons cependant que les choses vont se poursuivre pendant le reste de l'année. L'une des idées de base de Phoenix est la coopération entre les différentes autorités. La survie de la plate-forme dépendra du nombre de personnes qui l'utiliseront et la développeront. Et c'est ce qui fait la particularité de cette décision de Hambourg », poursuit Heinrich.
Un porte-parole de Microsoft a déclaré au site technologique allemand Heise que l'entreprise ne considérait pas le désir d'avoir plus de logiciels libres comme une attaque contre elle-même. Microsoft utilise et développe actuellement de nombreux logiciels open source et se félicite de la concurrence loyale, ajoute le porte-parole.
Sources : NDR, Twitter, Farid Mueller
Et vous ?
:fleche: Que pensez-vous de la décision des autorités de la ville de Hambourg ?
:fleche: Pensez-vous que Hambourg ira jusqu’au bout de son initiative et cette déclaration qui découle de l’accord de coalition sera signé ?
:fleche: Quelle est votre opinion sur les questions de passage des solutions logicielles propriétaires à celles dites libres ?
Voir aussi :
:fleche: Les Pays-Bas vont-ils accorder la priorité aux logiciels libres dans les marchés publics ? La FSF observe, et entend obtenir que les softs financés par le contribuable soient libres
:fleche: Le parti d'Angela Merkel veut que les logiciels développés avec l'argent public soient accessibles au public, en tant que logiciels libres et apporte son soutien à une initiative de la FSFE
:fleche: Après Munich, la Basse-Saxe, un État fédéré d'Allemagne, annonce l'abandon de Linux pour Windows afin de standardiser ses systèmes informatiques
:fleche: Les logiciels libres ne seront plus prioritaires dans l'Éducation Nationale, ils seront envisagés mais plus préférés aux solutions propriétaires
Ca peut réduire un peu la dicotomie entre ceux qui gèrent le système et les utilisateurs
Ben oui en gros la gestion globale du système serait plutôt sous 1 linux ,les utilisateurs lambda plutôt sous windows, maintenant ils vont choisir ce qui leur convient le mieux, perso un système lent à démarrer, des mises à jour intempestives, des gestions d'impression difficiles son amour des virus sous windows m'ennuieraient franchement, mais Windows a des qualités indéniables rien que l'expérience des gens, réapprendre pour un employé de bureau passé 45 ans est une galère, on le comprend bien.