Envoyé par
Hinault Romaric
Commotion bénéficie également d’une subvention de 2 millions de dollars de la part du département d’État. Un problème pour l'indépendance et la crédibilité du projet ? Non, à en croire Sascha Meinrath, à la base de l'aventure. « Parmi les responsables de Washington, il y a encore des gens formés pendant la guerre froide, qui rêvent de tout bloquer et de tout surveiller, mais il y a aussi des jeunes arrivés avec Obama, qui sont partisans de la transparence et de la liberté d'expression ».