Mise à jour du 20/05/10
Microsoft Forefront élu meilleur anti-spam du marché
Par Virus Bulletin pour la cinquième fois consécutive sort en versions d'évaluation gratuite
Microsoft Forefront, la ligne de produits de sécurité et d’identité pour serveurs d'entreprise de Microsoft, vient d'être élu meilleur anti-spam du marché par Virus Bulletin.
C’est la 5ème fois de suite que cette technologie remporte ce classement mondial.
Virus Bulletin note ainsi que Forefront Protection 2010 for Exchange Server a intercepté 99,93% de spams.
Une bonne nouvelle pour Microsoft qui vient par ailleurs de proposer des versions d'évaluations gratuites.
Chacune concerne un domaine bien particulier : Forefront Client Security est une solution de sécurité pour les postes de travail tandis que d'autres sont destinées - par exemple - aux environnements de messagerie de type Exchange (Forefront Protection 2010 for Exchange Server) ou aux serveurs de collaboration (Microsoft Forefront Protection for SharePoint) en passant par les messageries instantanées (Forefront Security for Office Communications Server) et la protection des informations confidentielles (Active Directory Rights Management Services).
Toutes les version d'évaluation de ForeFront sont téléchargeables depuis cette page.
Source
Et vous ?
Etes-vous satisfaits de votre anti-spam ?
MAJ de Gordon Fowler
Mise à jour du 07/12/09
Microsoft complète sa toute nouvelle suite de sécurité ForeFront
Avec deux nouvelles applications pour les serveurs et les entreprises
Alors que trois administrateurs sur quatre ne feraient pas confiance à leur antivirus (lire par ailleurs ci-dessous), Microsoft a décidé de prendre le taureau par les cornes.
Forefront est un ensemble de produits destinés à renforcer la protection, les accès et le management des entreprises. Des solutions qui, pour reprendre les mots de la société, seraient "au cœur de la nouvelle stratégie de Microsoft".
Microsoft Forefront propose ainsi une ligne de produits de sécurité et d’identité qui vise spécialement les serveurs d'entreprise.
Deux nouvelles applications viennent de compléter cette offre.
Forefront Threat Management Gateway (TMG) 2010 qui vient juste de sortir. Et Forefront Unified Access Gateway (UAG) 2010, qui ne sera offciellement disponbile qu'en 2010 mais qui est annoncé en RTM – c'est dire si sa sortie est imminente.
TMG permet de filtrer les accès à Internet pour protéger les utilisateurs des sites malicieux (phishing, etc.). Le nouvel outil permet également de contrôler – et de banir – certains usages du Net comme le pari en ligne, les jeu, etc.
TMG est le premier produit de Microsoft à s'intégrer avec Microsoft's Reputation Services, une base de données qui recense les risques, base de donnée alimentée en temps réel et hébergée en ligne sur le modèle du Cloud Computing.
Pour mémoire, DirectAccess est une technologie pour sécuriser les accès mobile – l'équivalent des VPN cryptés en quelques sortes. DirectAcces est une des nouveautés de Windows 7. L'application fontionne avec Windows Server 2008 R2.
La version d'évaluation de Forefront est d'ores et déjà disponible.
Ces deux nouveaux produits ne devraient pour leur part pas tarder à y être intégrés.
Lire aussi :
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L'antivirus gratuit Microsoft Security Essentials provoque une guerre de communication
Et vous ? :
Pensez-vous que ce type de réponse aux attentes des professionnels de la sécurité d'entreprise soit pertinente ? Pourra-t-elle améliorer leur confiance en leurs outils ou au contraire cette nouvelle suite ne changera rien ?
Mise à jour de Gordon Fowler
Enquête : Trois administrateurs sur quatre ne feraient pas confiance à leur antivirus
Dans une étude récente, il a été demandé à 226 administrateurs, directeurs informatiques ou spécialistes de la sécurité ce qu'ils pensaient des solutions antivirus à base de signature et de liste noire. Trois administrateurs sur quatre pensent que la solution « entreprise » qu’ils utilisent n’est pas fiable. Pour les attaques « zero-day » en particulier, deux tiers des personnes interrogées ne croient pas que les produits antivirus standards les ont aidés à contrer les attaques.
L'étude a été commandée par CoreTrace, qui conçoit des produits de sécurité qui utilisent le principe des listes blanches pour décider si une application peut être exécutée ou non. Les utilisateurs sont seulement en mesure d'exécuter des programmes préalablement définis, de sorte qu'il n'est pas possible d'exécuter les pièces jointes exécutables ou les programmes infectés à partir des clés mémoire USB. Vista utilise un mécanisme de protection similaire, qui s’appelle « politique de restriction logicielle » (SRP) mais la fonction d'administration au travers de la console de management Microsoft (MMC) est quelque peu rudimentaire. Microsoft a rendu SRP plus configurable dans Windows 7, mais l'administration continue d’exiger l'utilisation de la console MMC.
Néanmoins, 89% des personnes interrogées dans l'étude CoreTrace continuent d’utiliser un produit antivirus, la moitié d’entre eux disant quand même pour se justifier que c'est « mieux que rien ». L'autre moitié quant à elle, utilise un produit antivirus pour rester conforme aux règles de leur entreprise. Environ 40% ont quand même déjà pensé à se débarrasser de leur antivirus, notamment parce qu'il réduit les performances du système.
Selon ce sondage, 40% des utilisateurs n'étaient pas au courant des alternatives aux approches traditionnelles par listes noires et base de signatures. 43% considèrent l'absence d’analyse avec une approche de type liste blanche comme un facteur positif. Toutefois, 66% avaient des inquiétudes concernant l'ajout de nouvelles applications pour les utilisateurs qui souhaitent que ce processus soit aussi rapide et aussi simple que possible.
Les éditeurs de logiciels antivirus traditionnels travaillent également sur l'ajout de solutions à base de listes blanches dans leurs produits existants. Le flot quotidien de virus et de leurs variantes rend la production et la distribution des bases de signatures de plus en plus irréaliste. Comme autre remède, de nombreux fournisseurs ont mis en œuvre des solutions à base de « cloud computing » en calculant les hash des fichiers et en vérifiant si ce fichier n’aurait pas déjà été reconnu comme malicieux sur un autre système.
Source : http://www.coretrace.com/
Et vous, que pensez vous de votre solution antivirale :
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