
Envoyé par
Le figaro
Ce changement soulève toutefois des inquiétudes. La première d'entre elles est la préservation de l'indépendance de l'Agence *France-Presse vis-à-vis de l'État qui deviendrait son actionnaire unique. «Les salariés de l'AFP voient d'un mauvais œil que l'agence dépende directement et structurellement de l'État. Même si on instaure des règles pour préserver l'indépendance, nous ne nous faisons guère d'illusion : si l'État est notre patron, l'indépendance sera limitée», explique Thierry Masure, délégué suppléant CGT au comité d'entreprise.
Partager