IdentifiantMot de passe
Loading...
Mot de passe oublié ?Je m'inscris ! (gratuit)
Navigation

Inscrivez-vous gratuitement
pour pouvoir participer, suivre les réponses en temps réel, voter pour les messages, poser vos propres questions et recevoir la newsletter

  1. #1
    Chroniqueur Actualités

    Homme Profil pro
    Administrateur de base de données
    Inscrit en
    Mars 2013
    Messages
    9 494
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Canada

    Informations professionnelles :
    Activité : Administrateur de base de données

    Informations forums :
    Inscription : Mars 2013
    Messages : 9 494
    Par défaut La « pire » conjoncture pour les jeunes diplômés : l’IA grignote les emplois de début de carrière
    Diplômes universitaires à l'ère de l'IA : la génération Z estime qu'ils ont été une perte de temps et d'argent,
    tandis que l'IA s'infiltre de plus en plus sur le lieu de travail

    L'arrivée massive de l'intelligence artificielle dans les entreprises bouleverse profondément le rapport de la génération Z à l'éducation supérieure. Une étude récente révèle une tendance inquiétante : un nombre croissant de jeunes diplômés estime désormais que leur parcours universitaire a été une perte de temps et d'argent, face à une IA toujours plus compétitive sur le marché du travail.

    Ces diplômés, appartenant à la génération Z (nés entre 1997 et 2012), expriment un désarroi croissant. Initialement encouragés par leurs parents et enseignants à poursuivre des études supérieures coûteuses, ils constatent aujourd'hui avec amertume que leurs compétences durement acquises peuvent être rapidement surpassées par des systèmes d'intelligence artificielle sophistiqués, capables d'effectuer des tâches complexes à moindre coût et en moins de temps.


    Quatre années de cours, des milliers de dollars de frais de scolarité et un diplôme fraîchement obtenu... tout cela pour être surpassé par un chatbot.

    Alors que l'intelligence artificielle envahit le monde du travail, près de la moitié des demandeurs d'emploi de la génération Z affirment que leurs diplômes ont déjà été rendus obsolètes par la montée en puissance d'outils d'IA générative tels que ChatGPT - et ils se demandent pourquoi ils se sont donné la peine d'étudier.

    C'est une perte de temps et d'argent, selon les personnes interrogées dans le cadre d'un nouveau rapport d'Indeed, qui révèle que 49 % des demandeurs d'emploi de la génération Z pensent que leur formation universitaire a perdu de sa valeur sur le marché du travail en raison de l'IA. Seul un tiers des milléniaux est de cet avis, et seul un baby-boomer sur cinq éprouve des regrets similaires, comme l'indique un rapport de CIO Dive.

    La marée technologique n'est pas près de s'inverser. Les entreprises adoptent l'IA plus rapidement que vous ne pouvez dire « réécriture de CV », et les jeunes travailleurs - en particulier ceux qui viennent de terminer leurs études - sont ceux qui ressentent le plus la pression.

    Le rapport d'Indeed, réalisé par Harris Poll et basé sur les réponses de 772 travailleurs et demandeurs d'emploi américains ayant au moins un diplôme universitaire, révèle un fossé générationnel dans la confiance en la carrière.

    Les jeunes candidats sont beaucoup plus susceptibles que leurs aînés de penser que l'IA a rendu leurs compétences - et leurs études - inutiles.

    Pire encore, les diplômes universitaires perdent rapidement leur priorité dans les offres d'emploi. Alors que les entreprises abandonnent de plus en plus l'exigence des quatre années d'études, la moitié des membres de la génération Z déclarent aujourd'hui que l'université a été un mauvais investissement.

    Nom : higher.png
Affichages : 427226
Taille : 83,2 Ko

    « Chaque poste actuellement affiché sur le tableau d'affichage des offres d'emploi d'Indeed sera probablement exposé à un certain niveau à l'IA générative et aux changements qu'elle représente », a averti Linsey Fagan, conseillère principale en stratégie des talents d'Indeed.

    Et les employeurs ne recherchent pas seulement des personnes diplômées, mais aussi des personnes qui savent comment travailler avec les machines.

    « Pour qu'une organisation réussisse avec l'IA, chaque employé doit avoir une compréhension de base de l'IA et de la manière dont son entreprise l'utilise », a déclaré Linsey Fagan. « Les dirigeants jouent un rôle crucial dans ce changement en évaluant leurs équipes, en écoutant les besoins individuels et en soutenant leur développement. »

    La pression pour s'adapter est réelle. Des postes de débutants aux postes de direction, l'IA transforme non seulement la façon dont les gens travaillent, mais aussi ce sur quoi ils travaillent, comment ils sont payés, et même qui est embauché.

    Certains employeurs réagissent en proposant des programmes de perfectionnement, tandis que des fournisseurs de technologie comme Microsoft et Google déploient des outils de formation publics pour préparer les travailleurs à l'IA - et les aider à le rester.

    La plateforme d'enseignement en ligne O'Reilly a fait état d'une forte augmentation de la demande d'outils d'apprentissage de l'IA l'année dernière, avec quatre fois plus de professionnels s'inscrivant à des cours sur l'apprentissage automatique, l'ingénierie rapide et d'autres compétences autrefois réservées à une niche.

    « Pour vraiment libérer le potentiel de l'IA, les organisations doivent investir dans leur personnel, en offrant des formations, des expériences pratiques et des possibilités d'explorer de nouveaux outils dans un environnement favorable », a déclaré Fagan.

    « Les organisations ont besoin que les employés soient motivés pour essayer ces outils et qu'ils veuillent les appliquer dans leur travail quotidien. »

    Cela signifie qu'il est préférable d'apprendre la technologie, ou de se laisser distancer.

    Diplômes Universitaires à l'Épreuve de l'IA : la génération Z se sent flouée

    « Pourquoi passer quatre ans et s'endetter lourdement alors qu'une IA peut apprendre mon métier en quelques secondes ? », s'interroge Léa, fraîchement diplômée en marketing digital. Ce sentiment est loin d'être isolé. Les témoignages abondent, notamment dans les domaines du journalisme, du droit, du marketing et de la finance, secteurs particulièrement affectés par l'émergence rapide de ChatGPT, Midjourney et d'autres IA génératives.

    Selon un rapport du Forum Économique Mondial, près de 44% des compétences actuelles seront obsolètes d'ici 2027 à cause de l'IA et de l'automatisation. Cette perspective renforce l'idée chez de nombreux jeunes diplômés que leurs années d'études auraient pu être mieux investies dans l'apprentissage de compétences pratiques ou directement liées à la gestion et au développement technologique.

    La désillusion pousse certains jeunes à reconsidérer leurs choix professionnels. On observe ainsi une hausse notable de l'intérêt pour des formations courtes, ciblées sur des compétences techniques directement applicables, telles que la programmation, la gestion de projets technologiques ou la cybersécurité. D'autres envisagent même de quitter les voies traditionnelles pour explorer des opportunités d'entrepreneuriat numérique où l'adaptabilité prime sur les diplômes formels.

    Face à cette situation, les institutions éducatives sont interpellées : doivent-elles repenser profondément leurs cursus pour intégrer davantage les compétences numériques avancées et les capacités à collaborer avec l'intelligence artificielle ? L'urgence est palpable, car le risque est grand de voir une génération entière perdre confiance dans la valeur d'une éducation supérieure traditionnelle.

    Pourtant, tout n'est pas perdu. Des experts suggèrent que la clé réside dans la réorientation des formations vers des compétences humaines difficiles à automatiser : esprit critique, empathie, créativité et prise de décision stratégique. Ces compétences, couplées à une bonne maîtrise des outils numériques avancés, pourraient offrir aux jeunes diplômés un avantage décisif dans un marché du travail dominé par l'IA.

    La génération Z fait ainsi face à un carrefour décisif : s'adapter rapidement ou risquer de se retrouver dépassée par la vitesse fulgurante des évolutions technologiques.

    37 % des employeurs préfèrent embaucher une IA plutôt qu'un jeune diplômé de la génération Z

    Selon une enquête de la Hult International Business School, environ 37 % des employeurs ont déclaré qu'ils préféraient embaucher l'IA plutôt qu'un jeune diplômé. Dans le cadre de l'étude, 1 600 employeurs ont été interrogé et 96 % d'entre eux ont déclaré que la plupart des formations universitaires ne préparent pas du tout les gens à leur travail.

    Au total, 89 % d'entre eux ont déclaré qu'ils évitaient d'embaucher des jeunes diplômés.

    Ce sentiment reflète un décalage croissant entre les études universitaires et les compétences dont les employés ont besoin pour réussir en début de carrière. Dans l'enquête de Hult, 77 % des jeunes diplômés ont déclaré avoir appris davantage en six mois de travail qu'au cours de leurs quatre années d'études.

    L'enquête a également révélé que les entreprises, malgré leur recours privilégié à l'IA, peinent à trouver des talents. La quasi-totalité des dirigeants, soit 98 % d'entre eux, ont déclaré que leur organisation avait du mal à trouver des talents.

    En ce qui concerne les raisons pour lesquelles ils ne veulent pas embaucher de jeunes diplômés, 60 % d'entre eux déclarent que les travailleurs n'ont pas d'expérience pratique et 55 % qu'ils ne travaillent pas bien au sein d'une équipe.

    En réfléchissant à leur propre expérience universitaire, 94 % des jeunes diplômés regrettent leur diplôme et 43 % se sentent condamnés à l'échec parce qu'ils n'ont pas choisi le bon diplôme.

    Les juniors n'ont pas les connaissances essentielles pour créer des logiciels sécurisés

    De nombreux rapports indiquent que les employeurs se plaignent de l'état déplorable des connaissances informatiques des employés de la génération Z. Un rapport publié en février 2024 par la Linux Foundation Research et de l'Open Source Security Foundation (OpenSSF) indique que de nombreux développeurs n'ont pas les connaissances et les compétences essentielles pour développer efficacement des logiciels sécurisés. Près d'un tiers des développeurs logiciels ne sont pas familiers avec les pratiques de développement de logiciels sécurisés. Le rapport indique que l'éducation et la formation sont requises.

    Nom : facteur.png
Affichages : 156830
Taille : 40,0 Ko

    Par ailleurs, selon une étude publiée en 2023 par Dell Technologies, les membres de la génération Z estiment que l'école ne leur donne pas les compétences nécessaires pour survivre dans un monde numérique. Ils reconnaissent la nécessité de développer des compétences numériques pour leur future carrière, mais les membres de la génération Z sont frustrés par le fait que leur éducation ne les ait pas suffisamment préparés au monde du travail.

    Selon le rapport, 37 % des répondants à l'étude ont déclaré que l'enseignement scolaire ne leur a pas permis d'acquérir les compétences technologiques dont ils avaient besoin pour la carrière qu'ils envisageaient. Environ 44 % des répondants pensent que les entreprises doivent travailler plus étroitement avec le secteur public, principalement avec le secteur de l'éducation, pour répondre à leur soif d'apprentissage, notamment autour des compétences numériques.

    Les cadres interrogés par Intelligent dans le cadre de son enquête ont également déclaré que les jeunes diplômés doivent renforcer leurs compétences techniques et leur éthique de travail. En outre, alors qu'ils rencontrent des difficultés pour faire décoller leurs carrières, les travailleurs de la génération Z se tournent vers ChatGPT pour obtenir des conseils sur le sujet. Une grande partie d'entre eux considèrent d'ailleurs que les conseils de ChatGPT sont meilleurs.

    Selon une enquête menée par Intoo et Workplace Intelligence, près de la moitié (47%) des employés de la génération Z disent obtenir de meilleurs conseils de carrière de ChatGPT que de leurs managers sur le lieu de travail. Les membres de la génération Z perçoivent leurs managers comme trop occupés, trop focalisés sur leur propre carrière, ou pas assez compétents ou intéressés pour aider leurs subordonnés à se développer professionnellement.

    Sources : rapport de Hiring Lab, rapport de CIO Dive

    Et vous ?

    Que pensez-vous de ces rapports ? Les trouvez-vous crédibles ou pertinents ?

    Les diplômes universitaires traditionnels sont-ils encore pertinents à l'ère de l'IA ? Quelles compétences devraient désormais être privilégiées dans les cursus universitaires pour répondre à l'intégration croissante de l'IA dans le monde professionnel ?

    Les universités doivent-elles s'associer davantage aux entreprises technologiques pour anticiper les besoins réels du marché du travail ? Comment l’éducation supérieure peut-elle évoluer pour préserver la valeur du diplôme face à l'automatisation croissante ?

    Est-il nécessaire de repenser complètement le modèle d'éducation supérieure pour mieux préparer les étudiants à travailler avec l’IA ? Les formations courtes spécialisées peuvent-elles réellement remplacer les diplômes universitaires complets dans le contexte actuel ?

    Quels risques courent les jeunes diplômés qui délaissent trop rapidement les filières traditionnelles pour des formations exclusivement techniques ?

    Les universités doivent-elles enseigner systématiquement comment collaborer efficacement avec l'intelligence artificielle ?

    Comment rétablir la confiance de la génération Z dans la valeur économique et sociale de leur parcours universitaire ? Quelles sont les responsabilités des gouvernements dans l'adaptation rapide des systèmes éducatifs face à l'avancée rapide de l'IA ?
    Contribuez au club : Corrections, suggestions, critiques, ... : Contactez le service news et Rédigez des actualités

  2. #2
    Membre confirmé
    Homme Profil pro
    Architecte réseau
    Inscrit en
    Février 2024
    Messages
    257
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 45
    Localisation : Allemagne

    Informations professionnelles :
    Activité : Architecte réseau

    Informations forums :
    Inscription : Février 2024
    Messages : 257
    Par défaut
    La génération Z a raison. Les cols blancs incapables de "battre l'IA" sont voués à disparaitre. Les métiers d'avenir sont plombier, chauffagiste, carreleur, etc...

    D'ailleurs on accuse l'IA. Mais le vrai problème est qu'il y a déjà plusieurs générations de suiveurs à la paresse intellectuelle manifeste sur le marché du travail.

  3. #3
    Membre du Club
    Homme Profil pro
    Développeur informatique
    Inscrit en
    Avril 2025
    Messages
    16
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Creuse (Limousin)

    Informations professionnelles :
    Activité : Développeur informatique
    Secteur : High Tech - Éditeur de logiciels

    Informations forums :
    Inscription : Avril 2025
    Messages : 16
    Par défaut
    l'avenir des diplômés c'est leur absence.

    On peut revenir à une scolarité classique pour obtenir un certificat d'un niveau général. Puis, pour les secteurs concurrentiels des épreuves pratiques prenant place dans un concours pour intégrer une formation, un stage, un emploi, puis un autre concours pour la formation suivante si nécessaire, etc. C'est une mise en concurrence globale et ça doit obligatoirement coexister avec une forme améliorée d'éducation populaire qui peut être identifier par des lieux.

    Régurgiter des informations pour obtenir un papier c'est terminé, c'était déjà pas terrible car ça sanctionnait majoritairement l'intellect au sens raisonnement logique ce qui, je pense, pas mal de gens en conviendront ici n'en fait aucunement une intelligence globale. Combien de projets ce sont perdus dans les limbes de la fabuleuse logique d'un dev égotique au détriment de la simplicité, de l'utilisateur et de la connaissance métier ? On devra être multitâches certainement, pour te rejoindre après tout pourquoi pas Développeur Couvreur à mi-temps.

    Ça peut en effrayer certains mais ça me semble plus fluide tout ça.

  4. #4
    Membre expérimenté
    Avatar de GLDavid
    Homme Profil pro
    Head of Service Delivery
    Inscrit en
    Janvier 2003
    Messages
    2 889
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 48
    Localisation : France, Seine Saint Denis (Île de France)

    Informations professionnelles :
    Activité : Head of Service Delivery
    Secteur : Industrie Pharmaceutique

    Informations forums :
    Inscription : Janvier 2003
    Messages : 2 889
    Par défaut
    Bonjour

    Beaucoup de choses ont été dites sur la GenZ. Après de là à en faire une généralité...
    Ma vue est que de plus en plus, la tendance sera "Laissons faire l'IA, elle, elle sait".
    Ma crainte, deviendra-t-on mou du bulbe ? Je le crains. Sans prendre du recul sur ce que nous dira l'IA, de double-check, nous perdrons toute objectivité.
    Peut être même nous complairons-nous avec un salaire universel, à regarder des plate-formes de VOD ou les derniers chanteurs à la mode auto-tunés avec des paroles et musiques générés par l'IA, une bouffe livrée par drones, une histoire révisée, ...
    Bon j'arrête, le futur à ce point, non merci.

    @++
    GLDavid
    Consultez la FAQ Perl ainsi que mes cours de Perl.
    N'oubliez pas les balises code :tagcode: ni le tag :resolu:

    Je ne répond à aucune question technique par MP.

  5. #5
    Membre éclairé
    Inscrit en
    Mai 2006
    Messages
    381
    Détails du profil
    Informations forums :
    Inscription : Mai 2006
    Messages : 381
    Par défaut
    Citation Envoyé par GLDavid Voir le message
    Bonjour

    Beaucoup de choses ont été dites sur la GenZ. Après de là à en faire une généralité...
    C'est l'avantage de faire partie de la GenX, on nous oublie tellement qu'on nous fiche la paix :p

    Ma vue est que de plus en plus, la tendance sera "Laissons faire l'IA, elle, elle sait".
    C'est ce qui me fait peur, quand chatGPT est sorti j'ai vu passer des suggestions : "Pourquoi on laisse pas une IA gérer la politique ?" Alors qu'autant ça me gène pas si une IA aide pour l'écriture d'un texte, il ne faut pas qu'elle en soit l'origine et encore moins que les gens s'imaginent que parce que c'est fait pas une IA c'est objectif.

  6. #6
    Membre averti
    Homme Profil pro
    Collégien
    Inscrit en
    Novembre 2020
    Messages
    57
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 59
    Localisation : France, Gironde (Aquitaine)

    Informations professionnelles :
    Activité : Collégien

    Informations forums :
    Inscription : Novembre 2020
    Messages : 57
    Par défaut
    Je suis un vieux, 60 ans.
    Au CP, c'était plume et encre violette... La bille était mauvaise pour l'écriture, patatra au CE1 c'est devenu autorisé.
    La calculatrice était un objet du diable jusqu'en troisième.
    L'ordinateur, les commandes numériques... Je n'en ai vu qu'après une licence !
    l'IA est simplement un OUTIL, ça ne produit aucune intelligence car si vous réfléchissez ce n'est pas le plus probable qui sera/est génial. Même l'état de l'art, n'est pas certain avec ChatGPT, un comble pour un zinzin qui a toute la connaissance de monde. A oui, on a oublié : garbage in, garbage out... Une thèse a autant de valeur qu'un tweet !
    Les ChatGPT ne contrôlent pas que la question est dans le périmètre d'apprentissage, c'est de la bêtise crasse. Il y a une faille intellectuelle béante. Il ne connait pas son périmètre de compétences.
    Les hallucinations, les biais sont présentées comme fun, c'est masquer le non-professionnalisme des entreprises qui font des milliardaires.
    Qui achèterai une voiture qui va probablement freiner ? Vous ?

    PS : les ChatGPT font des textes sans faute, la fonction basique 'correcteur' de mon téléphone n'est pas capable de corriger mes fautes... Amusant, non ? Je ne vous parle pas de dictée, il part en vrille une fois sur deux !

  7. #7
    Nouveau membre du Club Avatar de GlouGlouLaGirafe
    Homme Profil pro
    Technicien réseaux et télécoms
    Inscrit en
    Avril 2021
    Messages
    6
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 47
    Localisation : France, Var (Provence Alpes Côte d'Azur)

    Informations professionnelles :
    Activité : Technicien réseaux et télécoms
    Secteur : High Tech - Électronique et micro-électronique

    Informations forums :
    Inscription : Avril 2021
    Messages : 6
    Par défaut
    Personnellement je pousse mon gamin à faire des études super en mathématiques ai ou pas.
    L'ai est à la mode, mais dans 10 où 15 ans on commencera à s'en mordre les doigts pour x raison et la les 🎓 seront devenus une denrées rares.

  8. #8
    Chroniqueur Actualités

    Homme Profil pro
    Administrateur de base de données
    Inscrit en
    Mars 2013
    Messages
    9 494
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Canada

    Informations professionnelles :
    Activité : Administrateur de base de données

    Informations forums :
    Inscription : Mars 2013
    Messages : 9 494
    Par défaut La « pire » conjoncture pour les jeunes diplômés : l’IA grignote les emplois de début de carrière
    La « pire » conjoncture pour les jeunes diplômés : l'ombre grandissante de l’IA qui grignote les emplois de postes juniors,
    quelles compétences cultiver pour rester pertinent en début de carrière ?

    La conjoncture économique actuelle présente un défi de taille pour les jeunes diplômés entrant sur le marché du travail. Selon plusieurs analyses, les promotions actuelles de diplômés se heurtent à des difficultés sans précédent pour décrocher leurs premiers emplois, marquant ainsi le pire marché de l'emploi de niveau d'entrée depuis des années. Cette situation est exacerbée par une série de facteurs économiques, mais l'ombre la plus préoccupante est sans aucun doute l'intelligence artificielle et la perspective imminente qu'elle finisse par automatiser de nombreuses tâches actuellement dévolues aux employés débutants. Mais tout n’est pas perdu. En adoptant une stratégie adaptée à cette nouvelle donne, les jeunes talents peuvent non seulement rebondir, mais aussi tirer profit de la mutation en cours.

    Contexte

    Historiquement, les postes de niveau d'entrée ont servi de tremplin, permettant aux jeunes professionnels d'acquérir une expérience précieuse, de développer leurs compétences et de construire leur réseau professionnel. Ces rôles offrent souvent une introduction aux opérations commerciales, aux interactions avec les clients et aux aspects fondamentaux d'un secteur donné. Cependant, le paysage de l'emploi évolue rapidement, et l'émergence de l'IA est en train de redéfinir la nature même du travail de niveau d'entrée.

    L'IA, avec ses capacités d'apprentissage automatique et de traitement des données, est de plus en plus capable d'accomplir des tâches répétitives, basées sur des règles et nécessitant peu d'autonomie décisionnelle. Ces types de tâches correspondent précisément à une grande partie du travail traditionnellement confié aux jeunes diplômés. De la saisie de données et du service client de base à l'analyse préliminaire et à la gestion de documents, l'IA peut potentiellement effectuer ces tâches plus rapidement, avec une plus grande précision et à un coût potentiellement inférieur pour les entreprises.

    Les conséquences pour les jeunes diplômés sont multiples. La raréfaction des postes de niveau d'entrée signifie une concurrence accrue pour ceux qui restent disponibles. Les employeurs peuvent se permettre d'être plus sélectifs, exigeant parfois des compétences et une expérience que les nouveaux diplômés ne possèdent pas encore. Cette situation peut entraîner des périodes de chômage prolongées ou le recours à des emplois sous-qualifiés, freinant la progression de carrière et la stabilité financière des jeunes.

    La situation des jeunes diplômés

    Le taux de chômage des diplômés âgés de 22 à 27 ans a atteint 5,8 % au début du printemps, selon les données de la Banque fédérale de réserve de New York, son niveau le plus élevé depuis environ quatre ans, et bien au-dessus de la moyenne nationale.

    Les entreprises ont réduit le nombre de diplômés de l'enseignement supérieur qu'elles prévoyaient d'embaucher ce printemps ; il est désormais plus difficile de décrocher un poste de débutant dans l'une des grandes banques que d'entrer à l'université de Harvard. (Chez Goldman Sachs Group Inc, le taux d'acceptation pour la promotion de stagiaires de 2024 n'était que de 0,9 %). En fait, selon Oxford Economics, depuis le milieu de l'année 2023, 85 % de la hausse du taux de chômage est due aux nouveaux arrivants sur le marché du travail.

    Pour ceux qui commencent leur carrière, même une courte période sans travail peut avoir des effets à long terme. Selon le Center for American Progress, un organisme de recherche sur les politiques publiques, une personne qui connaît six mois de chômage à l'âge de 22 ans peut s'attendre à gagner environ 22 000 dollars de moins au cours de la décennie suivante. C'est un moment délicat pour une cohorte qui a déjà vu des années clés de son éducation perturbées par la pandémie de Covid-19.

    « J'ai été totalement déconcerté par le marché de l'emploi », déclare Jack McDonagh, 21 ans, diplômé de l'université Fordham le mois dernier et à la recherche d'un poste dans le domaine du marketing à New York. « Vous ne pouvez pas comprendre à quel point le marché est compétitif tant que vous n'avez pas postulé à 50 emplois et que vous n'avez reçu aucune réponse ». Les entreprises d'un grand nombre de secteurs, y compris la société énergétique Chevron, le fabricant de chaussures Nike et les géants de la technologie Microsoft et Amazon.com ont licencié des employés ; le gouvernement fédéral a fait de même.

    Toutes les filières ne sont pas touchées de la même manière. Le taux de chômage parmi les diplômés de l'enseignement supérieur qui ont étudié les services de construction, par exemple, n'était que de 0,7 % selon les données les plus récentes ; pour les sciences de la nutrition, c'est un taux impressionnant de 0,4 %, selon les données de la Fed de New York. Toutefois, les diplômés en génie informatique, qui figuraient autrefois parmi les spécialités les plus recherchées, affichent le troisième taux de chômage le plus élevé pour les jeunes diplômés, soit 7,5 %, après les diplômés en anthropologie et en physique. Et si l'emploi dans les domaines de l'informatique et des mathématiques pour les plus de 27 ans a augmenté de 0,8 % depuis 2022, selon Oxford Economics, il a chuté de 8 % pour les diplômés plus récents.

    Nom : new.png
Affichages : 40238
Taille : 82,9 Ko

    L'IA : un « briseur » d'emplois de premier échelon

    L'IA y est pour quelque chose. Dans une récente enquête menée auprès de cadres sur LinkedIn, plus de 60 % d'entre eux ont déclaré que l'IA finira par prendre en charge certaines des tâches actuellement assignées aux employés débutants, en particulier les rôles les plus banals et les plus manuels. Des PDG comme Dario Amodei d'Anthropic prévoient que l'IA pourrait éliminer jusqu'à la moitié de tous les emplois de bureau de premier échelon, entraînant une augmentation du chômage de 10% à 20% dans les cinq prochaines années. Pour sa par, Mark Zuckerberg, président-directeur général de Meta Platforms Inc., a parlé publiquement de l'utilisation d'ingénieurs en IA pour effectuer une grande partie du codage de base, de niveau intermédiaire, dès cette année.

    Concrètement, l'IA prend en charge des tâches qui étaient traditionnellement le pain et le beurre des jeunes recrues :
    • Service client et support : les chatbots et assistants virtuels gèrent de plus en plus les requêtes initiales.
    • Saisie et traitement des données : ces rôles sont fortement automatisés.
    • Débogage de code simple et révision de documents : dans le domaine de la tech et du droit, l'IA accélère considérablement ces processus.
    • Mises à jour de tableaux et recherches de données financières : les juniors analystes à Wall Street voient leurs tâches répétitives assumées par l'IA.

    Cela signifie que les entreprises peuvent désormais faire effectuer des tâches qui nécessitaient auparavant plusieurs employés juniors par un seul expert ou un outil d'IA. Pour les nouveaux diplômés, cela réduit les opportunités de « faire ses preuves » et d'acquérir les compétences de base nécessaires pour progresser.

    Anna Steinmeyer, 23 ans, pense que les progrès de l'IA expliquent en partie pourquoi elle a du mal à trouver un emploi à temps plein. Cette native de Chicago, diplômée de l'American University au printemps 2024, postule chaque semaine à 10 ou 20 offres d'emploi, mais n'arrive presque jamais à l'étape de l'entretien. La plupart des emplois qu'elle recherche sont des postes d'assistante administrative ou des postes dans des agences de marketing. Bien qu'elle ait espéré obtenir un emploi dans le domaine de la production théâtrale, elle a élargi ses recherches, car « beggars can’t be choosers » (ceux dans le besoin n'ont pas le luxe de choisir), dit-elle. « La croissance et l'évolution de la technologie ont rendu certaines de ces tâches obsolètes », explique Steinmeyer. « Il est plus facile d'utiliser la technologie que de payer une personne ».


    37 % des employeurs préfèrent embaucher une IA plutôt qu'un jeune diplômé de la génération Z

    Selon une enquête de la Hult International Business School, environ 37 % des employeurs ont déclaré qu'ils préféraient embaucher l'IA plutôt qu'un jeune diplômé. Dans le cadre de l'étude, 1 600 employeurs ont été interrogé et 96 % d'entre eux ont déclaré que la plupart des formations universitaires ne préparent pas du tout les gens à leur travail.

    Au total, 89 % d'entre eux ont déclaré qu'ils évitaient d'embaucher des jeunes diplômés.

    Ce sentiment reflète un décalage croissant entre les études universitaires et les compétences dont les employés ont besoin pour réussir en début de carrière. Dans l'enquête de Hult, 77 % des jeunes diplômés ont déclaré avoir appris davantage en six mois de travail qu'au cours de leurs quatre années d'études.

    L'enquête a également révélé que les entreprises, malgré leur recours privilégié à l'IA, peinent à trouver des talents. La quasi-totalité des dirigeants, soit 98 % d'entre eux, ont déclaré que leur organisation avait du mal à trouver des talents.

    En ce qui concerne les raisons pour lesquelles ils ne veulent pas embaucher de jeunes diplômés, 60 % d'entre eux déclarent que les travailleurs n'ont pas d'expérience pratique et 55 % qu'ils ne travaillent pas bien au sein d'une équipe.

    En réfléchissant à leur propre expérience universitaire, 94 % des jeunes diplômés regrettent leur diplôme et 43 % se sentent condamnés à l'échec parce qu'ils n'ont pas choisi le bon diplôme.

    Les juniors n'ont pas les connaissances essentielles pour créer des logiciels sécurisés

    De nombreux rapports indiquent que les employeurs se plaignent de l'état déplorable des connaissances informatiques des employés de la génération Z. Un rapport publié en février 2024 par la Linux Foundation Research et de l'Open Source Security Foundation (OpenSSF) indique que de nombreux développeurs n'ont pas les connaissances et les compétences essentielles pour développer efficacement des logiciels sécurisés. Près d'un tiers des développeurs logiciels ne sont pas familiers avec les pratiques de développement de logiciels sécurisés. Le rapport indique que l'éducation et la formation sont requises.

    Par ailleurs, selon une étude publiée en 2023 par Dell Technologies, les membres de la génération Z estiment que l'école ne leur donne pas les compétences nécessaires pour survivre dans un monde numérique. Ils reconnaissent la nécessité de développer des compétences numériques pour leur future carrière, mais les membres de la génération Z sont frustrés par le fait que leur éducation ne les ait pas suffisamment préparés au monde du travail.

    Selon le rapport, 37 % des répondants à l'étude ont déclaré que l'enseignement scolaire ne leur a pas permis d'acquérir les compétences technologiques dont ils avaient besoin pour la carrière qu'ils envisageaient. Environ 44 % des répondants pensent que les entreprises doivent travailler plus étroitement avec le secteur public, principalement avec le secteur de l'éducation, pour répondre à leur soif d'apprentissage, notamment autour des compétences numériques.

    Les cadres interrogés par Intelligent dans le cadre de son enquête ont également déclaré que les jeunes diplômés doivent renforcer leurs compétences techniques et leur éthique de travail. En outre, alors qu'ils rencontrent des difficultés pour faire décoller leurs carrières, les travailleurs de la génération Z se tournent vers ChatGPT pour obtenir des conseils sur le sujet. Une grande partie d'entre eux considèrent d'ailleurs que les conseils de ChatGPT sont meilleurs.

    Selon une enquête menée par Intoo et Workplace Intelligence, près de la moitié (47%) des employés de la génération Z disent obtenir de meilleurs conseils de carrière de ChatGPT que de leurs managers sur le lieu de travail. Les membres de la génération Z perçoivent leurs managers comme trop occupés, trop focalisés sur leur propre carrière, ou pas assez compétents ou intéressés pour aider leurs subordonnés à se développer professionnellement.

    Les jeunes diplômés ne sont pas condamnés à l’invisibilité

    Alors que l’intelligence artificielle redéfinit les contours du monde du travail, les jeunes diplômés se retrouvent face à un défi inédit : les postes d’entrée de gamme disparaissent progressivement, absorbés par l’automatisation et la rationalisation. Mais tout n’est pas perdu. En adoptant une stratégie adaptée à cette nouvelle donne, les jeunes talents peuvent non seulement rebondir, mais aussi tirer profit de la mutation en cours.

    Adopter une posture proactive et construire son employabilité

    Avec moins de postes de niveau d'entrée traditionnels, il faut être proactif :
    • Projets personnels et freelancing : créez vos propres projets ou proposez vos services en freelance. Cela permet non seulement d'acquérir de l'expérience et de construire un portfolio, mais aussi de démontrer votre autonomie et votre capacité à résoudre des problèmes.
    • L'entrepreneuriat : l'IA réduit les barrières à l'entrée pour la création d'entreprise. Les jeunes peuvent utiliser des outils d'IA pour développer des produits, des services ou des plateformes innovantes à moindre coût et avec plus de rapidité.

    Développer des compétences "anti-IA" et "pro-IA"

    L'erreur serait de chercher à concurrencer l'IA sur son propre terrain. Au lieu de cela, les jeunes doivent se concentrer sur ce que l'IA ne sait pas (encore) faire et sur la manière de travailler avec elle :
    • Compétences humaines inimitables : Cultivez la pensée critique, la créativité, l'intelligence émotionnelle, le leadership, la résolution de problèmes complexes et la communication interpersonnelle. Ces compétences sont essentielles pour des rôles qui exigent du jugement, de la stratégie et de l'interaction humaine.
    • Maîtrise des outils d'IA : Apprenez à utiliser l'IA comme un outil puissant. Cela inclut la compréhension des principes de base de l'IA, l'utilisation de logiciels et de plateformes basés sur l'IA, l'analyse de données générées par l'IA, ou même la programmation de prompts efficaces pour les modèles génératifs. Savoir "parler" à l'IA et interpréter ses résultats sera une compétence précieuse.
    • Compétences hybrides : Visez les domaines où les compétences techniques (souvent renforcées par l'IA) rencontrent des compétences humaines. Par exemple, un spécialiste du marketing qui sait analyser des données IA pour affiner une stratégie créative, ou un ingénieur qui utilise l'IA pour optimiser des processus de conception.

    Adopter l'apprentissage continu comme philosophie de vie

    Le diplôme n'est plus la fin de l'apprentissage, mais le début. Les jeunes doivent s'engager dans un apprentissage tout au long de la vie :
    • Formation constante : suivez des cours en ligne (MOOCs), obtenez des certifications dans des domaines émergents (cloud computing, cybersécurité, science des données, gestion de l'IA), et participez à des ateliers ou des bootcamps.
    • Veille technologique : restez informés des dernières avancées en matière d'IA et de leurs applications dans votre secteur. Lisez des articles, suivez des experts et participez à des conférences.
    • Développer des compétences transversales : ne vous enfermez pas dans une seule niche. La capacité à s'adapter à de nouvelles technologies et à de nouveaux secteurs est cruciale.

    Source : données sur le marché du travail

    Et vous ?

    La situation est-elle pareille dans votre pays ?

    Quelles compétences conseillez-vous aux jeunes diplômés de cultiver pour rester pertinent en début de carrière ?

    Comment les systèmes éducatifs (universités, écoles techniques) devraient-ils adapter leurs programmes pour préparer efficacement les jeunes aux emplois de l'ère de l'IA ? Faut-il privilégier les compétences techniques, les compétences humaines, ou une combinaison des deux ?

    Comment les entreprises peuvent-elles être encouragées à investir dans la formation de leurs employés débutants, plutôt que de simplement automatiser les tâches, afin de garantir un vivier de talents qualifiés pour l'avenir ?

    Au-delà des aspects économiques, quelles sont les implications sociétales à long terme d'un marché du travail où les opportunités de niveau d'entrée se raréfient ?
    Contribuez au club : Corrections, suggestions, critiques, ... : Contactez le service news et Rédigez des actualités

  9. #9
    Membre confirmé
    Homme Profil pro
    Architecte réseau
    Inscrit en
    Février 2024
    Messages
    257
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 45
    Localisation : Allemagne

    Informations professionnelles :
    Activité : Architecte réseau

    Informations forums :
    Inscription : Février 2024
    Messages : 257
    Par défaut
    L'IA a bon dos. Le vrai problème, c'est que le système éducatif produit des bac+3 et des bac+5 alors que la majorité des emplois disponibles est à niveau Bac.

  10. #10
    Membre éprouvé
    Avatar de calvaire
    Homme Profil pro
    .
    Inscrit en
    Octobre 2019
    Messages
    2 038
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 43
    Localisation : Singapour

    Informations professionnelles :
    Activité : .
    Secteur : Conseil

    Informations forums :
    Inscription : Octobre 2019
    Messages : 2 038
    Par défaut
    a moins d’être bien renseigné sur les salaires réels, l'évolution possible et les débouchés, je déconseille de partir dans des études longues bac+3/+5. Je vois pas l’intérêt de faire 5ans d'études pour galérer à trouver un 1er job et en France d’être payé au mieux 1800€ net voir au smic avec certains bac+5.
    j'ai encore vu hier un freelance en it en france se brader à 200€ de tjm, a ce tarif autant être salarié


    pendant ce temps un simple cap plomberie/électricité peut rapporter beaucoup plus.

    de toute façon en 2025 faire un bac+5 n'a rien de rare, et des jeunes sortie d'école sans compétences/experience (autre que les enseignements et projet d'école) c'est encore moins rare, ce qui n'est pas rare ne vaut pas grand chose dans le monde de l'entreprise.

    la douche froide va être violente pour certains: bac+5 payé au smic, vivant dans une vielle voiture (ouf plus de zfe)/en colloc et une retraite de 900€ à 75ans (+100€ de minimum vieillesse car l'état et trop bon).

    il existe quelques domaine encore porteur: Médecine / Santé spécialisée, Finance de marché / banque d’investissement (attention a bien se renseigné et pas payer un hec 60000€ pour avoir un salaire au smic à la sortie), Notariat / Avocat d’affaires...
    La France est un pays qui redistribue tout sauf de l'espoir.

  11. #11
    Membre éprouvé Avatar de kain_tn
    Homme Profil pro
    Inscrit en
    Mars 2005
    Messages
    1 859
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : Suisse

    Informations forums :
    Inscription : Mars 2005
    Messages : 1 859
    Par défaut
    Citation Envoyé par calvaire Voir le message
    a moins d’être bien renseigné sur les salaires réels, l'évolution possible et les débouchés, je déconseille de partir dans des études longues bac+3/+5. Je vois pas l’intérêt de faire 5ans d'études pour galérer à trouver un 1er job et en France d’être payé au mieux 1800€ net voir au smic avec certains bac+5.[...]
    C'est un horrible conseil à donner! Dans un marché concurrentiel où justement les juniors se "bradent", comment une personne avec un simple BAC pourrait-elle encore trouver un emploi??

  12. #12
    Membre éprouvé
    Avatar de calvaire
    Homme Profil pro
    .
    Inscrit en
    Octobre 2019
    Messages
    2 038
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 43
    Localisation : Singapour

    Informations professionnelles :
    Activité : .
    Secteur : Conseil

    Informations forums :
    Inscription : Octobre 2019
    Messages : 2 038
    Par défaut
    Citation Envoyé par kain_tn Voir le message
    C'est un horrible conseil à donner! Dans un marché concurrentiel où justement les juniors se "bradent", comment une personne avec un simple BAC pourrait-elle encore trouver un emploi??
    non ce n'est pas ce que je dis:
    Je vois pas l’intérêt de faire 5ans d'études pour galérer à trouver un 1er job et en France d’être payé au mieux 1800€ net voir au smic avec certains bac+5.
    quelle intérêt de faire des études qui débouche sur rien derrière ? J’appelle juste a être très vigilant avant de se lancer sur les débouchés après les études et les salaires réels (pas les salaires surgonflés donné par l'école qui a pour but de remplir toutes les places ou les profs qui n'y connaissent rien)

    Les études, un diplôme ne donne aucune garantie d'un salaire. Il faut bien étudier le marché du travail et en prédire les tendances d'ici 5ans.
    On peut faire des études plus courte dans d'autres domaine bien plus rémunérateur (cap électricien par exemple)

    Le bac+5 dans la tech n'est plus un eldorado tranquille désormais, le secteur et en crise et faut bien réfléchir post bac a aller ou pas dans la tech.
    La France est un pays qui redistribue tout sauf de l'espoir.

  13. #13
    Membre éprouvé
    Homme Profil pro
    Développeur
    Inscrit en
    Août 2003
    Messages
    1 489
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Âge : 39
    Localisation : France, Charente Maritime (Poitou Charente)

    Informations professionnelles :
    Activité : Développeur

    Informations forums :
    Inscription : Août 2003
    Messages : 1 489
    Par défaut
    Je rejoins en partie calvaire, à ce jour, s'orienter dans des filières tertiaires est moins rémunérateur qu'avant et le marché est généralement saturé (développeurs, RH, architecte, commerce, ...). Sinon, je dirais qu'il faut être à l'aise avec l'anglais et éventuellement une autre langue pour avoir de meilleures opportunités.

    Les salaires étant bas, autant faire un CAP ou un bac pro voire aller jusqu'à bac+2 sont des filières +/- manuelles (génie électrique, maintenance industrielle, mécanique, ...)... car au final, le tangible a besoin de mains pour être fait.

  14. #14
    Expert confirmé
    Avatar de popo
    Homme Profil pro
    Analyste programmeur Delphi / C#
    Inscrit en
    Mars 2005
    Messages
    2 961
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Homme
    Localisation : France, Rhône (Rhône Alpes)

    Informations professionnelles :
    Activité : Analyste programmeur Delphi / C#
    Secteur : High Tech - Éditeur de logiciels

    Informations forums :
    Inscription : Mars 2005
    Messages : 2 961
    Par défaut
    S'il y a bien un point sur lequel, je suis d'accord avec l'article, c'est que ce qu'on enseigne à l'école ne prépare pas vraiment à la réalité du monde du travail.
    C'était déjà le cas lorsque j'ai terminé mes études mais j'ai l'impression que plus le temps passe, plus le gap devient important.

    J'ai récemment eu un alternant (arrivé à bac +4, reparti après l'obtention de son bac +5), et j'ai été choqué de constater que même les reflex de bases (comme le nommage) n'étaient pas acquis.
    J'ai du batailler plusieurs mois pour lui faire prendre le pas.

    A l'époque où je passais juste le bac, le prof m'enlevais des points pour cela.
    A croire que cela ne se fait plus, et c'est bien dommage.

    Le conseil que je donnerai à un jeune (en tout cas pour le domaine de la technologie) serait de privilégier l'alternance.
    Il est important de se confronter aux réalités du monde du travail car, d'après ma propre expérience, la différence entre la théorie et la pratique est assez large.

  15. #15


    Femme Profil pro
    Étudiant
    Inscrit en
    Avril 2022
    Messages
    6
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Femme
    Localisation : France, Haute Savoie (Rhône Alpes)

    Informations professionnelles :
    Activité : Étudiant

    Informations forums :
    Inscription : Avril 2022
    Messages : 6
    Par défaut pas que les jeunes sur la terre!
    Partout, on ne s'inquiète QUE des jeunes. Aussi /protection, autant les couches pour enfant, on veille à faire très attention à l'état cutané des bébés, on renouvelle +++, etc. Autant, les personnes âgées, alors qu'elles, elles sont conscientes et ont le soucis de leur continence, de ne pas être mouillées, etc., ben on leur dit d'attendre que la protection soit saturée...

    Juste pour info: on sera tous un jour à leur place...

    Pour en revenir aux emplois et à l'IA: toutes les personnes qui se trouvent accidentées en un sens, mais pas suffisamment pour justifier une pension d'invalidité (et y'en a + qu'on ne croit, pour ce qui concerne la France), /autrefois, ne peuvent plus se reconvertir correctement: les offres de reconversion sont pris d'assaut par les trentenaires... qui ne laissent plus ou guère de place aux + âgés, quelque soit l'état de ces derniers.

    Ensuite, si les séniors arrivent malgré tout à se reconvertir, ils sont en compétition avec ces jeunes juniors, donc les premières victimes de l'IA ne sont absolument PAS les jeunes mais les séniors. Ceux qui n'ont pas atteint l'âge de la retraite, pas atteint l'âge de l'indemnité rallongée (qu'on a repoussé, pas innocemment du tout), et qui se retrouvent au RSA ou ASS, et qu'on n'aide PAS. Souvent les + motivés à trouver un emploi, mais qu'on ne prend pas. Et on les a utilisés d'ailleurs pour pouvoir réduire le salaire des séniors (ceux en emploi) de 30%.
    Ce qui va faire que la retraite à venir de ces personnes va chuter.
    La génération d'avant a profité de tout: l'après-guerre et innovation, de peu d'écologie, de consommer tout +++, de tas d'offres pour un candidat, d'une retraite très correcte.
    Ceux qui arrivent derrière, on a déjà réduit peu à peu leurs emplois, licenciement à répétition, usés, salaires qui chutent (passage à l'euro, etc.) et qu'on va priver de retraite ou fortement la réduire.
    Les + à plaindre ne sont pas les jeunes et jeunes à venir car ils savent ce qu'ils les attendent et peuvent s'organiser à l'avance. Ce sont ceux qui ont actuellement la cinquantaine qu'on piétine +++.
    En tout cas pour la France.

  16. #16


    Femme Profil pro
    Étudiant
    Inscrit en
    Avril 2022
    Messages
    6
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Femme
    Localisation : France, Haute Savoie (Rhône Alpes)

    Informations professionnelles :
    Activité : Étudiant

    Informations forums :
    Inscription : Avril 2022
    Messages : 6
    Par défaut
    Citation Envoyé par popo Voir le message
    S'il y a bien un point sur lequel, je suis d'accord avec l'article, c'est que ce qu'on enseigne à l'école ne prépare pas vraiment à la réalité du monde du travail.
    C'était déjà le cas lorsque j'ai terminé mes études mais j'ai l'impression que plus le temps passe, plus le gap devient important.

    J'ai récemment eu un alternant (arrivé à bac +4, reparti après l'obtention de son bac +5), et j'ai été choqué de constater que même les reflex de bases (comme le nommage) n'étaient pas acquis.
    J'ai du batailler plusieurs mois pour lui faire prendre le pas.

    A l'époque où je passais juste le bac, le prof m'enlevais des points pour cela.
    A croire que cela ne se fait plus, et c'est bien dommage.

    Le conseil que je donnerai à un jeune (en tout cas pour le domaine de la technologie) serait de privilégier l'alternance.
    Il est important de se confronter aux réalités du monde du travail car, d'après ma propre expérience, la différence entre la théorie et la pratique est assez large.
    Normal. Comme je tente et ai tenté de me reconvertir sans succès... et suis en compétition pour les candidatures à la formation... Je sais ce qu'il se passe.
    Autrefois, on ne cherchait pas tant que ça le capitalisme à outrance et avoir le beurre... ET l'argent du beurre. On acceptait le "OU".
    En fait, si de leur côté les entreprises ne veulent pas vraiment former... ni payer... etc., les organismes de formation sont pareils!

    On m'avait envoyé dans un "DAQ coloré industrie 2.0" "en amont de la qualification". PAYE PAR LA REGION.
    Alors, déjà, que 5 personnes à prendre en charge...et, malgré ça, j'ai été discriminée (Française, senior, diplômée, pas une délinquante à surveiller et essayer de convaincre de changer, etc.).
    Ensuite, j'ai vu le niveau des intervenants. A part 2 qui s'y connaissent dans leur domaine, le reste en savait peu et n'avait absolument RIEN à m'apporter.
    On semble recruter ceux qui baratinent, voir mentent le + et qu'on peut payer au lance-pierre et qui ne risquent pas de critiquer ni vouloir améliorer et, à l'heure de la procrastinisation, de menacer leur propre emploi...

    A part peut-être les Compagnons, pour les autres, chacun considère qu'en fait, c'est à l'autre de former...

    J'ai récemment tenté d'entrer dans une formation accélérée de BTS dans le numérique, et, on m'a reprochée de ne pas avoir DÉJÀ les connaissances prévues dans le programme...
    Et d'ailleurs, dans leurs tests, ils ne vérifiaient ni la probité de la personne, sa capacité d'analyse, etc. mais UNIQUEMENT ces connaissances/ce qui est sensé être enseigné dans le programme. Ils recherchent des personnes qui relèvent d'une VAE non d'une formation.

    En même temps, leur jeter la pierre? Ils font comme tout le monde dans cette société: plus personne ne veut se mouiller, tout le monde veut tirer un maximum de profit, tjrs et tjrs +, avec une indifférence totale de ce qui finit au caniveau, qu'on considère qu'ils ont dû le chercher.

    Donc on récolte ce qu'on sème...

    Le progrès et narcissisme de chaque époque (péchés capitaux qui ne nous préoccupent plus trop, ou qu'on règle par des formes de sacrifice, ou extrêmes: comme plus de milieu, certains vont vers une des extrêmes et les autres vers l'autre...), font que l'on ne prête pas assez attention à l'Histoire et ce qu'elle enseigne... Toutes ces civilisations disparues, dites avancées et que impressionnant ce qu'elles étaient parvenues déjà à faire à l'époque et comment??? et qui a souvent survécu en grande partie aux aléas du temps et climat (contrairement aux ouvrages + récents...), on a PERDU leur savoir... On tente d'ailleurs de le deviner. De comment...
    Les fables de La Fontaine destinées au roi Louis XIV, si on les relit ou se les rappelle... sont encore tellement vraies... APRES la révolution...!

    Constat que le programme de médecine s'est détérioré et qu'on a jugé ceux de l'homéopathie etc. comme non-avenue... Le résultat? Ce que les appareils ne parviennent pas à expliquer, les médecins non plus. Ils ont besoin d'analyses pour se faire une idée, or les analyses coûtent cher... Autrefois? Les bons médecins vous regardaient, touchaient, palpaient et ils avaient déjà bcp d'éléments que nombreux déjà d'il y a quelques années, mais aussi d'aujourd'hui, ne voient et ne savent pas. Ausculter se résume à écouter la respiration, prendre la tension etc. (avec un appareil). Ils ne savent plus rien voir, à part des très rares exceptions. Et on en est qu'au début...😅

    Quand j'avais tenté de faire un CS pour me reconvertir dans le conseil... (mais loupé, car le but de ce CS n'était en fait pas de bien nous former mais, comme ils nous l'ont montré à la fin, que l'organisme rentre dans ses sous et maintiennent leurs propres postes d'emploi... A nous avoir fait signer des actes de présence quand en réalité cours et TP annulés pour s'occuper des salariés d'une entreprise et donc percevoir double revenu: ceux de l'Europe + ceux de l'entreprise qui nous piquaient la place. Un peu comme procède aussi aujourd'hui le BTP avec les chantiers: ils prennent + qu'ils ne sont en mesure à en gérer en salariés-intérimaires, ils débutent les travaux, puis les stoppent et alternent d'un chantier à l'autre...), une des enseignantes en exploitation/production, m'avait demandé de m'occuper exceptionnellement de ces BTS, ceux qui allaient avoir le diplôme que je possédais déjà. Sans rien me dire de +, alors qu'ils allaient passer avant la fin de semaine leur épreuve finale.
    Donc j'ai eu le réflexe de leur poser des questions comme celles que j'avais eues quand moi-même à passer mon BTS: pourquoi vous faites ça? Et si je modifie tel paramètre, ça provoque quoi? Vous réajusteriez comment?
    Ils m'ont tous regardée comme choqués, et à me dire qu'on ne leur demande jamais d'être en mesure de répondre à de telles questions.
    J'ai re-discuté derrière avec leur enseignante et elle m'a dit "tu vois? C'est dingue quand même..."
    Le BTS actuel équivaut à un Bac pro d'autrefois au grand maxi. Whaou.

    Et les personnes comme moi, on refuse aujourd'hui de les former...

    Si quelqu'un d'une autre planète venait me dire que ma civilisation, mais cette fois mondiale... venait à finir comme les Incas, Aztèques, Mayas, Chinois d'autrefois, Egyptiens d'autrefois, etc. (Atlantes?) Je ne serais nullement surprise. Vraiment.
    A chaque fois, notre narcissisme, vanité, etc. nous a fait mépriser nos anciens, tout virer plutôt que trier et conserver l'avant en + du maintenant (un supermarché qui a une panne d'électricité durable est totalement bloquée... elle n'a aucun plan B d'autrefois... et où elle pourrait ensuite, dans le "temps libre" réécrire derrière ce qui a été vendu..., etc.)
    On ne sait ou ne saura plus ET programmer etc. et traire une vache, faire un fromage manuellement, calculer de tête, reposer une division, etc. Ou très peu (ceux qui aiment pouvoir avoir le tout et ses pieds et une voiture qu'il a le permis pour)

    On le paiera. Probablement pire car on a atteint la mondialisation et on suit tous le même chemin.

    On peut tjrs dire. Je ne vois pas pourquoi, à chaque civilisation, génération, il n'y aurait pas eu des personnes pour alerter... et qu'on n'écoute, au fond, jamais, car dépourvu d'humilité, d'esprit de prudence.

    En +, aujourd'hui, on évalue... les connaissances... (disque dur) l'intelligence (processeur)... comme pour les robots. Mais la sagesse?

    Bonne journée et bonne continuation à vous.

  17. #17


    Femme Profil pro
    Étudiant
    Inscrit en
    Avril 2022
    Messages
    6
    Détails du profil
    Informations personnelles :
    Sexe : Femme
    Localisation : France, Haute Savoie (Rhône Alpes)

    Informations professionnelles :
    Activité : Étudiant

    Informations forums :
    Inscription : Avril 2022
    Messages : 6
    Par défaut
    Citation Envoyé par calvaire Voir le message
    non ce n'est pas ce que je dis:


    quelle intérêt de faire des études qui débouche sur rien derrière ? J’appelle juste a être très vigilant avant de se lancer sur les débouchés après les études et les salaires réels (pas les salaires surgonflés donné par l'école qui a pour but de remplir toutes les places ou les profs qui n'y connaissent rien)

    Les études, un diplôme ne donne aucune garantie d'un salaire. Il faut bien étudier le marché du travail et en prédire les tendances d'ici 5ans.
    On peut faire des études plus courte dans d'autres domaine bien plus rémunérateur (cap électricien par exemple)

    Le bac+5 dans la tech n'est plus un eldorado tranquille désormais, le secteur et en crise et faut bien réfléchir post bac a aller ou pas dans la tech.
    Disons que, parfois, les connaissances peuvent ouvrir l'esprit. C'est d'autant + intéressant quand on picore un peu dans tout. On réalise (malheureusement quelque part) + de choses.

    Les études: c'est vrai que la base électrique est intéressante. Mais il faut aussi pouvoir physiquement. L'avantage du numérique, c'est qu'il ne demande pas forcément un physique, et la personne peut être autonome dès le départ, sans doute + qu'un électricien.

    Côté électrique: à moins que fait exprès, y'a des progrès à faire, vu le nombre d'incendies dûs à des dispositifs électriques pourtant pas ancestraux. Certains + anciens à moins déclencher d'incendie (aussi surprenant que ça puisse paraitre) que des + récents où, justement, des personnes sont intervenues...!!!

    Quand aux tarifs: les prix sont parfois sont si réhibitoires que sans doute moins de chantier que ce qui pourrait être!

Discussions similaires

  1. Réponses: 4
    Dernier message: 10/03/2020, 16h16
  2. BiblioISSATS : Gestion d'une bibliothèque universitaire
    Par Chatbour dans le forum Vos contributions VB6
    Réponses: 3
    Dernier message: 25/10/2010, 17h40
  3. formation universitaire bac+5 et formation ingénieur
    Par Spacy_green dans le forum Etudes
    Réponses: 6
    Dernier message: 18/09/2007, 15h42
  4. Inscription universitaire tardive
    Par Ryadus dans le forum Etudes
    Réponses: 1
    Dernier message: 20/11/2006, 21h37
  5. [MCD] Gestion des inscriptions en cité universitaire
    Par alichek dans le forum Schéma
    Réponses: 3
    Dernier message: 30/09/2005, 12h45

Partager

Partager
  • Envoyer la discussion sur Viadeo
  • Envoyer la discussion sur Twitter
  • Envoyer la discussion sur Google
  • Envoyer la discussion sur Facebook
  • Envoyer la discussion sur Digg
  • Envoyer la discussion sur Delicious
  • Envoyer la discussion sur MySpace
  • Envoyer la discussion sur Yahoo