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  1. #41
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    Citation Envoyé par virginieh
    C'est l'avantage de faire partie de la GenX, on nous oublie tellement qu'on nous fiche la paix :p
    Et que dire de la génération d'avant, celle que l'on nomme babyboomer ? Nous sommes encore là, nous n'avons pas disparu.
    Et le pire, on est soi-disant responsable de tout ce bordel !

    Citation Envoyé par GlouGlouLaGirafe
    Personnellement je pousse mon gamin à faire des études super en mathématiques ai ou pas.
    L'ai est à la mode, mais dans 10 où 15 ans on commencera à s'en mordre les doigts pour x raison et la les ?? seront devenus une denrées rares.
    Je suis du même avis que toi, mais il faudrait être encore capable de faire des études car les IA vont provoquer un chomage de masse où plus personne n'aura les moyens de vivre décemment.

    La situation est-elle pareille dans votre pays ?

    C'est une situation qui va se généraliser, comme on commence à le voir en Chine où des usines fonctionnent sans personnel avec que des IA et des robots. L'humain est devenu obsolète, c'est une certitude !

    Quelles compétences conseillez-vous aux jeunes diplômés de cultiver pour rester pertinent en début de carrière ?

    De faire des métiers manuels.

    Comment les systèmes éducatifs (universités, écoles techniques) devraient-ils adapter leurs programmes pour préparer efficacement les jeunes aux emplois de l'ère de l'IA ? Faut-il privilégier les compétences techniques, les compétences humaines, ou une combinaison des deux ?

    Les systèmes éducatifs ne vont servir à rien du tout car il n'y aura plus de travail pour les humains.

    Comment les entreprises peuvent-elles être encouragées à investir dans la formation de leurs employés débutants, plutôt que de simplement automatiser les tâches, afin de garantir un vivier de talents qualifiés pour l'avenir ?

    Tout est une question de rentabilité, donc pourquoi invertir dans le personnel quand une IA qui coute moins cher fait la même chose et en mieux ?

    Au-delà des aspects économiques, quelles sont les implications sociétales à long terme d'un marché du travail où les opportunités de niveau d'entrée se raréfient ?

    La conséquence qui se profile est justement un désastre économique. Rentabiliser une entreprise est en principe une bonne chose. Mais il faut comprendre qu'une entreprise qui n'arrive à rien vendre, et pour cause puisque les gens susceptibles d'acheter n'ont plus les moyens de le faire, est disons contre productif. Mais allez leur faire comprendre qu'embaucher des IA est un contre-sens, je peux vous assurer que ce n'est pas gagner. Ce fut exactement la même chose avec les délocalisations en Chine où ces mêmes entreprises reviennent en Europe car croyant faire d'énorme profit, ce sont retrouvés spoliés que ce soit sur leur savoir faire ou sur le bénéfice qu'ils n'ont justement pas le droit de transférer pécuniairement hors de Chine. En fait, ces chefs d'entreprises sont tellement obnubilés par les profits qu'ils ne voient pas le désastre qu'ils sont en train de commettre. La crise mondiale ne fait que commencer, avec un déséquilibre qui sera à l'avantage de ceux qui auront encore la main mise sur un savoir faire. Qui va sortir gagnant est difficile à savoir car les enjeux peuvent impliquer la survie de l'humanité.


    Pour les générations qui viennent, il n'y a plus d'avenir pour eux. Entre le changement climatique, le chômage de masse, le sida et le covid-19, la dette française, la réforme des retraites, la fin du mois, la faillite des entreprises, et je ne sais quoi d'autre, le mieux est de partir à l'étranger dans des pays où il y a encore la possibilité de faire des progrès. Il y a de quoi être pessimiste, non ?

  2. #42
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    Je suis d'accord avec vous, les universités d'aujourd'hui sont dépassées, ce ne sont que des usines à diplômes. Mais si le problème ne venait pas de l'enseignement lui-même, mais plutôt du contenu ? Puisque l'IA va prendre les tâches techniques et routinières, il faut que l'éducation se concentre sur des compétences différentes.

  3. #43
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    Par défaut Marché de l'emploi pour la génération Z : 1,2 million de diplômés se disputent seulement 17 000 postes
    Marché de l'emploi pour la génération Z : 1,2 million de diplômés se disputent seulement 17 000 postes dans un contexte d'essor de l'IA et des emplois fantômes, une grave crise de l'emploi au Royaume-Uni

    Marché de l'emploi pour la génération Z : 1,2 million de diplômés se disputent seulement 17 000 postes dans un contexte d'essor de l'IA et des emplois fantômes. Une grave crise de l'emploi touche la génération Z au Royaume-Uni, causée par l'IA et l'essor des emplois fantômes.

    La génération Z est confrontée à une « apocalypse de l'emploi » alors que les entreprises privilégient l'IA plutôt que les nouvelles recrues et accélèrent l'intégration de l'IA pour réduire les coûts au détriment des postes de débutants, selon un rapport du BSI. Selon l'étude, près d'un tiers des cadres déclarent que leur entreprise envisage désormais des solutions d'IA avant d'embaucher de nouveaux employés, tandis que 39 % admettent que les postes de débutants ont déjà été réduits ou supprimés en raison de la rationalisation de l'IA.

    La concurrence entre les jeunes diplômés universitaires au Royaume-Uni a atteint des niveaux sans précédent, avec 1,2 million de candidatures pour seulement 17 000 postes ouverts dans le cycle 2023/2024. Cette statistique alarmante, soulignée par Rob Breare, PDG du Malvern College International, met en évidence une grave « crise de l'emploi » pour la génération Z, amplifiée par des forces disruptives telles que l'intelligence artificielle (IA) et l'essor des « emplois fantômes ».

    Souvent qualifiés de désengagés ou de peu ambitieux, les diplômés de la génération Z feraient en réalité preuve d'une immense détermination à lancer leur carrière. Cependant, ils sont confrontés à un marché du travail de plus en plus hostile. L'avènement de l'IA automatise rapidement de nombreuses tâches traditionnelles de niveau débutant, remplaçant ainsi les postes historiquement occupés par les nouveaux diplômés. À ce défi s'ajoutent les « emplois fantômes », des postes publiés qui n'existent pas ou qui ne sont pas destinés à être pourvus, et qui servent uniquement à améliorer la réputation de l'entreprise ou à collecter des données sur les candidats. Cet environnement instable a même poussé les responsables de l'éducation à tirer la sonnette d'alarme.


    S'exprimant lors du Fortune Global Forum, Breare a mis en évidence le déséquilibre flagrant : « Il y a aujourd'hui beaucoup de diplômés qui sortent des universités, ce qui signifie qu'il y a nécessairement plus de personnes diplômées que d'emplois disponibles. » Il a également cité les « statistiques plutôt choquantes » de l'Institute of Student Employers (ISE), qui révèlent un écart monumental entre 1,2 million de candidatures et seulement 17 000 postes pour diplômés au Royaume-Uni. Ce chiffre, a fait remarquer Breare, « commence à donner une idée de la compétitivité croissante de ce marché », marquant un tournant décisif pour les jeunes professionnels qui cherchent à entrer sur le marché du travail.

    L'influence croissante de l'IA sur l'emploi ne se limite pas à remodeler les industries ; elle oblige également les établissements d'enseignement supérieur à réévaluer leurs programmes et leurs systèmes de soutien. Alors que les agents IA prennent en charge de plus en plus de tâches autrefois réservées aux nouveaux employés, les universités sont sous pression pour doter les diplômés de compétences plus avancées et d'une compréhension plus approfondie des paysages technologiques en constante évolution. Cette dynamique en pleine évolution signifie que les diplômés d'aujourd'hui font les frais d'un système éducatif qui peine à s'adapter suffisamment rapidement au rythme des changements technologiques et aux exigences du marché.

    La crise de l'emploi de la génération Z au Royaume-Uni est un défi multiforme, combinant une concurrence intense, des bouleversements technologiques et des pratiques trompeuses sur le marché du travail. Loin d'être un manque d'ambition, elle met en évidence un problème structurel où le nombre de diplômés qualifiés dépasse largement les opportunités disponibles, poussant les jeunes diplômés dans une lutte sans précédent pour entrer dans la vie active. Pour y remédier, il faudra que les éducateurs, les employeurs et les décideurs politiques collaborent afin de combler le fossé qui se creuse entre l'offre et la demande de talents.

    Pourtant, Sam Altman, le PDG d'OpenAI, a relativisé les préoccupations concernant les pertes d'emplois causées par l'IA, suggérant que les emplois supprimés ou transformés par l'IA pourraient ne pas être considérés comme du « vrai travail » à long terme. Il a comparé cette évolution aux changements industriels du passé, affirmant que, tout comme les agriculteurs considéraient autrefois le travail intellectuel comme « n'étant pas du vrai travail », les générations futures pourraient percevoir les emplois actuels de la même manière, à mesure que l'IA redéfinit la notion de travail utile.


    Source : Rob Breare, PDG de Malvern College International

    Et vous ?

    Pensez-vous que cette analyse est crédible ou pertinente ?
    Quel est votre avis sur le sujet ?

    Voir aussi :

    Plus de 20 000 offres d'emploi de Développeur ou en Informatique

    Diplômés et désabusés à l'ère de l'IA : la génération Z estime que les diplômes universitaires ont été une perte de temps et d'argent , tandis que l'IA s'infiltre de plus en plus en entreprise

    37 % des employeurs préfèrent embaucher une IA plutôt qu'un jeune diplômé de la génération Z, selon un rapport qui estime que l'enseignement traditionnel ne prépare pas suffisamment pour le monde du travail

    Les employeurs déplorent le manque de motivation et d'initiative des jeunes diplômés de la génération Z, et des rapports indiquent que les juniors en informatique n'ont pas les compétences techniques requises
    Publication de communiqués de presse en informatique. Contribuez au club : corrections, suggestions, critiques, ... Contactez le service news et Rédigez des actualités

  4. #44
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    Ce n'est pas ces "générations Z" qui sur ce forum même se vantaient il y a encore quelques mois qui si leur employeurs ne voulaient pas les laisser en télétravail dans leur salon, ils changeraient d'entreprise vu que les acteurs du marché de l'emploi se battaient pour les engager quelques que soient leur exigences???

  5. #45
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    Cela ne fait que commencer. Il y aura de plus en plus de diplômés mais pas que ceux là, qui vont se retrouver sans emploi.
    Un chômage de masse, pas de travail, une dette faramineuse, un changement climatique, ... la fin de notre monde, tel que nous le connaissons.

    Dites merci à l'IA.

  6. #46
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    Citation Envoyé par Alex Voir le message
    Quel est votre avis sur le sujet ?
    Il y a parfois un décalage entre les métiers recherché à un instant T et les métiers recherché 5 ans après.

    Il y a trop de jeunes niveau BAC ou équivalent qui ont dit "je vais étudier 5 ans pour faire un job qu'on recherche aujourd'hui" et des métiers ont saturés.
    J’espère qu'il n'y a pas de trop de jeunes qui se sont endettés pour faire leurs études, si ils ont une dette et pas de job, ça craint.

    Parfois c'est l'inverse, par exemple pour le nucléaire en France aujourd'hui.
    Des tas de jeunes se sont dit "j'adorerais devenir un ingénieur dans le nucléaire, mais il semblerait que ce ne soit pas un choix judicieux compte tenu de la politique énergétique de ces dernières décennies".
    Et maintenant il est difficile de trouver des gens capable de travailler dans ce domaine.

    Il y a des diplômes avec plus d'avenir que d'autres et c'est souvent des BAC Pro.

    Citation Envoyé par Anselme45 Voir le message
    si leur employeurs ne voulaient pas les laisser en télétravail
    Ce n'est pas un truc de "génération", des trentenaires, des quarantenaires, des cinquantenaires aimeraient faire un peu de télétravail (genre 60% ou 80% du temps).

    Il existe des gens plus efficace en télétravail, l'entreprise aurait intérêt à leur permettre de travailler depuis chez eux.
    Arf, de toute façon, il y aura bien une autre épidémie avec des autres confinements.

  7. #47
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    1,2 million de diplômés se disputent seulement 17 000 postes
    diplômé dans quoi ?
    d'apres le rapport UK "Engineering the 2025" 20 % de la main-d’œuvre d’ingénieurs partira à la retraite dans les 5 prochaines années et le Royaume-Uni pourrait être en déficit d’environ 1 million d’ingénieurs d’ici 2030.

    Et sinon pourquoi ne pas tenter l'aventure de l'international ?
    Il y'a des pays qui recrutent des ingénieurs, la Norvège ou le Japon par exemple.

    coté Emerging Markets:
    Le secteur technologique indien estime qu’il aura besoin de plus d’un million d’ingénieurs à compétences avancées (IA, big data, cybersécurité, etc.) dans les prochaines années.
    En Chine, le secteur des véhicules à énergie nouvelle connaît une très forte demande en ingénieurs, avec une estimation de plus d’un million de professionnels manquants dans certaines chaînes métier cette année.


    Il y'a je pense surtout un gros décalage entre la demande des entreprises et les études. Beaucoup trop de place ouverte dans des études bidons sans job à la fin (philo, science humaine, art, histoire, staps...) et peu dans les sciences dures.
    Dans mon secteur, fintech a singapour on recrute, mais il y'a une pénurie de candidats (Data scientist, cybersécurité, blockchain, DevSecOps...)
    La France est un pays qui redistribue tout sauf de l'espoir.

  8. #48
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    Citation Envoyé par Calvaire
    le Royaume-Uni pourrait être en déficit d’environ 1 million d’ingénieurs d’ici 2030.
    En France, j'entends cette rengaine depuis les années 1980. Ce n'est pas nouveau, mais il faudrait encore savoir pourquoi il en manque tellement ?

    Citation Envoyé par Calvaire
    Il y a, je pense, surtout un gros décalage entre la demande des entreprises et les études.
    Ce décalage a toujours existé. C'est encore plus flagrant dans les universités où l'enseignement est plutôt théorique que dans les grandes écoles où elle est professionnalisante. C'est d'ailleurs pourquoi en France, on recrute plus facilement dans les entreprises quelqu'un sortant d'une grande école que de l'université.

    Citation Envoyé par Calvaire
    Beaucoup trop de place ouverte dans des études bidons sans job à la fin (philo, science humaine, art, histoire, staps...) et peu dans les sciences dures.
    Je rappelle que l'on ne nous impose pas de faire telle ou telle étude, mais que l'on choisit ce que l'on veut faire. Oui, il y a un désintérêt pour tout ce qui est science fondamentale depuis plusieurs années, au profit des métiers dits IT.

    Sauf que nous ne sommes plus dans l'informatique des années 1970-1990 où l'on recherchait des développeurs sur gros systèmes. Mais maintenant plutôt dans la cybersécurité, l'IA et data science, réseau et système ... Parfois la reconversion n'est pas possible, même en informatique.

  9. #49
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    Citation Envoyé par Artemus24 Voir le message
    Je rappelle que l'on ne nous impose pas de faire telle ou telle étude, mais que l'on choisit ce que l'on veut faire. Oui, il y a un désintérêt pour tout ce qui est science fondamentale depuis plusieurs années, au profit des métiers dits IT.
    Il serait bon justement d'imposer un peu plus et de limiter les places dans les secteurs bouchés.
    je vois pas l’intérêt de faire 5 années d'études pour finir caissier dans un supermarché. Étant donné qu'en France c'est le contribuable qui finance les études, il est normal d'y avoir un retour sur investissement: c'est à dire des gens qui bossent après leurs études (et paye des impôts). Donc d'imposer les filières et les quotas par rapport aux besoins réels des entreprises.
    Limiter les places à la fac de droit/psycho/histoire de l'art dont on sait tous pertinent que y'a trop de candidats la dedans.

    Et finalement si y'a au globale moins besoins d'étudiant bac+5, il serait bon de limiter les places de manière globale, de sélectionner sur les résultats au lycée et les autres iront vers des filières manuels. Technicien avec bac +2/+3 ou bac pro.
    Finalement peut être qu'on donne un peu trop facilement un bac +5 en occident et à un peu trop de monde.

    Après faut voir aussi si y'a assez de demande dans les métiers nécessitant moins d'études.... auxquels cas c'est un probleme structurel au pays et il doit se réformer pour attirer d’avantages les investisseurs et les entreprises.
    y'a des leviers: baisse d'impots/charges, simplification administrative, restrictions du permis de travail pour les étrangers pour donner la priorités aux locaux (ce qui est le cas et la norme en asie par exemple), la france accueil chaque années +350000 immigrés, le pays a t'il réelement besoin d'autant de travailleur ?
    Le UK a signé un deal avec l'inde pour importé massivement pleins de travailleurs, le uk a t'il réelement besoin de ces gens la et n'a pas de locaux pour faire ces jobs ?
    La France est un pays qui redistribue tout sauf de l'espoir.

  10. #50
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    Citation Envoyé par Artemus24 Voir le message
    En France, j'entends cette rengaine depuis les années 1980. Ce n'est pas nouveau, mais il faudrait encore savoir pourquoi il en manque tellement ?
    Mais cette pénurie n'existe pas, mon cher Artemus!!!

    Ce qu'il faut savoir c'est que les besoins en emploi sont estimés en comptabilisant les annonces publiées!!!

    Et une annonce de job publié N'EST pas un poste à pourvoir. Pourquoi?

    1. Depuis que les annonces de job ne sont plus publiées dans les journaux mais sur des sites internet, une annonce ne coûte plus rien. Tu te paies un abonnement annuel, tu peux publier un nombre infini d'annonces pour le même prix... Quand tu devais payer 1 000 euro pour publier une annonce dans le journal du coin, tu ne publiais pas des annonces bidon!

    2. Un vrai poste à pourvoir génère des centaines d'annonces de job issues des différents intermédiaires qui sont actifs dans le placement de personnel

    3. Les sociétés publient des annonces de job bidon pour faire parler d'elles... C'est moins cher que de publier des vraies publicités pour le même résultat

    4. Les SSii et autres sociétés de placement publient des annonces sans poste à la clé pour enrichir leur dossiers de candidats au cas où

    5. And last but not the least, il y a les annonces qui ont pour seul but d'attirer des candidats que l'on peut interviewer à l'envie pour connaître l'état du marché ou mieux pour connaître les petits secrets de ses concurrents (c'est fou comme un candidat parle quand il cherche un nouveau poste )


    Au final, ce n'est pas ce genre de communication médiatique qui donne la situation du marché, mais le monde réel!!!

    En Suisse, il y a 30 ans que les médias nous annoncent "il manque 30 000 ingénieurs... Il manque 40 000 informaticiens" et quand notre société cherche à engager, on a jamais eu d'autre problème que de devoir trier des centaines de dossiers de candidats

  11. #51
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    Citation Envoyé par Anselme45 Voir le message
    Mais cette pénurie n'existe pas, mon cher Artemus!!!

    Ce qu'il faut savoir c'est que les besoins en emploi sont estimés en comptabilisant les annonces publiées!!!

    Et une annonce de job publié N'EST pas un poste à pourvoir. Pourquoi?

    1. Depuis que les annonces de job ne sont plus publiées dans les journaux mais sur des sites internet, une annonce ne coûte plus rien. Tu te paies un abonnement annuel, tu peux publier un nombre infini d'annonces pour le même prix... Quand tu devais payer 1 000 euro pour publier une annonce dans le journal du coin, tu ne publiais pas des annonces bidon!

    2. Un vrai poste à pourvoir génère des centaines d'annonces de job issues des différents intermédiaires qui sont actifs dans le placement de personnel

    3. Les sociétés publient des annonces de job bidon pour faire parler d'elles... C'est moins cher que de publier des vraies publicités pour le même résultat

    4. Les SSii et autres sociétés de placement publient des annonces sans poste à la clé pour enrichir leur dossiers de candidats au cas où

    5. And last but not the least, il y a les annonces qui ont pour seul but d'attirer des candidats que l'on peut interviewer à l'envie pour connaître l'état du marché ou mieux pour connaître les petits secrets de ses concurrents (c'est fou comme un candidat parle quand il cherche un nouveau poste )


    Au final, ce n'est pas ce genre de communication médiatique qui donne la situation du marché, mais le monde réel!!!

    En Suisse, il y a 30 ans que les médias nous annoncent "il manque 30 000 ingénieurs... Il manque 40 000 informaticiens" et quand notre société cherche à engager, on a jamais eu d'autre problème que de devoir trier des centaines de dossiers de candidats
    a l'inverse tu ne comptes pas les embauches sans offre d'emplois. J'ai jamais postulé a une annonce d'emplois, 100% de mes changement de postes ont jamais été publié publiquement, ca sait passé en interne via mon réseau et j'avais (pas de preuve de ce que j'affirme juste des oui dire de recruteur) vu que c'était en une grosse du marché du travail comme ca.

    Pour ca que je recommande de se faire un réseau (de qualité) très rapidement, des la 1ere année dans les études supérieur.
    Et plus le temps passe et je trouve que la communication et le réseau sont les qualités les plus importante, 80. Être en relation/contacter les bonnes personne, savoir se vendre c'est 80%, les 20% restant sont les compétences.
    J'ai eu un job juste en discutant avec quelqu'un d'un autre service à un afterwork, il m'a donné son nom teams, 2 mois après j'ai monté en grade et je suis partie dans son département.
    Ne pas négliger les events dans sa spécialité, de belles opportunités a pourvoir car tous ceux qui y assistent sont généralement des boites en croissance et donc qui recrute/vont recruter.
    La France est un pays qui redistribue tout sauf de l'espoir.

  12. #52
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    Citation Envoyé par Calvaire
    je vois pas l’intérêt de faire 5 années d'études pour finir caissier dans un supermarché.
    Il ne faut pas croire que la finalité des études est une voie sans issue. Que fais tu de la culture générale ? cela permet d'ouvrir la porte à plein de métiers. Il faut attendre que l'opportunité se présente et cela peut prendre du temps.

    Donc non, je ne suis pas d'accord avec ta vision des choses où l'on impose sans résoudre les problèmes inhérents au marché du travail.

    Citation Envoyé par Calvaire
    Étant donné qu'en France c'est le contribuable qui finance les études, ...
    N'importe quoi. Mais de quoi parles tu ? J'étais en école privée et je peux t'assurer que l'état ne finance rien du tout. Idem pour les grandes écoles où la scolarité est cher puisque l'on s'endette pour plusieurs années.

    Citation Envoyé par Calvaire
    ... il est normal d'y avoir un retour sur investissement: c'est à dire des gens qui bossent après leurs études (et paye des impôts).
    Je serais d'accord à la condition de pouvoir se faire embaucher à la fin de ses études. Et tu fais comment pour résoudre cela ? Il y a de moins en moins d'offres d'emplois. Je crois deviner que ton objectifs serait pour les femmes caissières et les hommes, techniciens de surface. Sauf que là aussi, on n'aura plus besoin d'eux : les caisses vont devenir automatiques, et des robots font faire le travail de ces techniciens de surface. D'ailleurs, est ce que ce sont de vrais métiers ?

    Citation Envoyé par Calvaire
    Limiter les places à la fac de droit/psycho/histoire de l'art dont on sait tous pertinent que y'a trop de candidats la dedans.
    Et tu veux limiter cela comment ? En imposant un coût pour faire des études. D'accord, donc il n'y aura que les riches qui feront des études. Est-ce un retour à la classe dirigeante du 19ième siècle ?

    Faire des études est une avancée majeure de nos sociétés dites occidentales. C'est aussi l'éducation qui permet à tout le monde de savoir lire, écrire, compter ... Donc non, je suis contre toute proposition pour limiter l'accès aux études dans le sens le plus général.

    Citation Envoyé par Calvaire
    Et finalement s'il y a au globale moins besoins d'étudiant bac+5, il serait bon de limiter les places de manière globale, de sélectionner sur les résultats au lycée et les autres iront vers des filières manuels. Technicien avec bac +2/+3 ou bac pro.
    Finalement peut être qu'on donne un peu trop facilement un bac +5 en occident et à un peu trop de monde.
    Tu fais le même raisonnement avec le clausus numerus pour les médecins ou les 35H de Mme Martine Aubry. On voit le résultat de ce genre de connerie.

    Citation Envoyé par Calvaire
    Il y a des leviers: baisse d'impots/charges, simplification administrative, restrictions du permis de travail pour les étrangers pour donner la priorités aux locaux (ce qui est le cas et la norme en asie par exemple), la france accueil chaque années +350000 immigrés, le pays a t'il réellement besoin d'autant de travailleur ?
    Ton slogan est priorité aux nationaux. Je vois la tendance politique qui se dégage derrière ton idée. Je ne dis pas que le problème est facile à résoudre, tout au contraire, mais comment changer les habitudes tout en conservant les meilleurs sans créer une fracture sociale ? Trop de contraintes comme pour les médecins, et le résultat est qu'ils font leur étude à l'étranger et restent sur place pour travailler.

    Citation Envoyé par Calvaire
    Le UK a signé un deal avec l'inde pour importé massivement pleins de travailleurs, le uk a t'il réellement besoin de ces gens la et n'a pas de locaux pour faire ces jobs ?
    C'est comme aux états-unis, les métiers sont faits sur des critères d'éthnies ou raciaux (racialized division of labor). Et bien sûr, ces travailleurs n'ont pas la possibilité d'exercer un autre métier que ceux qu'on leur impose. Ou comme en Inde avec les castes. Non, désolé mais je ne cautionne pas du tout à cette vision d'une forme de ségrégation.

    Citation Envoyé par Calvaire
    Pour ca que je recommande de se faire un réseau (de qualité) très rapidement, des la 1ere année dans les études supérieur.
    Oui, je suis d'accord mais cela va engendrer des déçus, ceux qui n'appartiennent à aucun réseau. Tu as raison sur ce point car c'est ainsi que les embauches vont se faire dans l'avenir, par relations.

  13. #53
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    @ Anselme45 : oui et non car si je prends comme exemple mon ancien métier, chef de projet COBOL sur gros système BULL & IBM, il n'y avait plus de formation pour accéder à ce genre de poste car les études ont privilégié le WEB et surtout la micro informatique. D'où un manque de candidat sur le marché du travail pour ce type d'emploi que l'on considère comme non valorisant. Le pire est que j'ai aussi travaillé en assembleur IBM 370, là, on est dans une niche que personne ne veut exercer. D'où des hauts salaires, mais dans une voie sans issue.

    Il y a bien une mouvance, je dirais même inadéquation entre les offres et les demandes et tout va trop vite aujourd'hui pour répondre à chacun. Je pense que les besoins ne reflètent pas toujours la réalité du marché du travail et qu'il y a souvent une exagération dans la demande. Je me rappelle quand je travaillais avoir répondu à des offres d'ingénieur où quand je demandais de détailler le poste, ce n'était qu'un travail de technicien. Qui peut le plus, peut le moins.

    Je ne dis pas que tu as tort, mais je ne te rejoins pas trop sur ton approche car la demande fluctue en fonction des besoins qui peuvent ne pas correspondre à la réalité du marché du travail.

  14. #54
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    Citation Envoyé par Artemus24 Voir le message
    N'importe quoi. Mais de quoi parles tu ? J'étais en école privée et je peux t'assurer que l'état ne finance rien du tout. Idem pour les grandes écoles où la scolarité est cher puisque l'on s'endette pour plusieurs années.
    N'importe quoi. Mais de quoi parles tu ? J'ai fait une école d'ingénieur en France (Polytech) et en alternance sur les 2 dernières années, gratuite et 100% financé par les impôts des travailleurs français.
    J'aurais pu aussi faire un master en université, 100% gratuit aussi.
    Alors oui faut payer le logement et la nourriture, mais bon faut pas abuser non plus, j'étais autosuffisant avec le salaire de l'alternance en plus.

    Tu as des écoles privés et payante en France, je n'ai rien à dire à cela, tu paye, l'école peut bien vendre à la fin n'importe quels "diplômes" comme "bachelor" et formations bidons ou pas. En France les écoles payante sont en majorité bidons, surtout dans l'informatique. A la rigueur, le top 3 des écoles de commerce (hec...) ou tu payes pour accéder au réseau (pas pour la formation en soit).
    Polytech, Ensimag, INSA, les plus prestigieuse en France sont absolument gratuite.

    Je suis d'ailleurs assez effaré de voir des gueux se ruiner pour rien à HEC, le diplôme délivré à la fin n'ouvrira guère plus de porte qu'un master de commerce à la fac. Ce qui donne le 1er poste et le salaire c'est le réseau (de papa souvent).
    Si tu es une femme, à la rigueur tu peux séduire un mâle qui a papa bien placé, à voir si la belle famille accepte cette relation dans le temps par contre...
    Étant moi même un gueux, mes gosses sont dans les meilleurs écoles de Singapour entourer de millionnaires, c'est très dur d’être accepter et d'entrer dans leur cercle. Ce n'est pas qu'une question d'argent d'ailleurs (millionnaire est assez banal en 2025) car même chose avec les nouveaux riches, il faut que se bâtir un nom et une réputation avant.
    Juste pour accéder au club de tennis de ce milieu, y'a 2ans d'attente + un parrainage, pour le golf même pas possible d'y entrer, tu seras à peine toléré au practice.
    La France est un pays qui redistribue tout sauf de l'espoir.

  15. #55
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    @ Calvaire : je veux bien, mais nous ne jouons pas dans la même cours. Tu fréquentes les millionnaires, moi pas.

    Citation Envoyé par Calvaire
    J'ai fait une école d'ingénieur en France (Polytech) et en alternance sur les 2 dernières années, gratuite et 100% financé par les impôts des travailleurs français.
    Par Polytechnique, tu voulais dire X ? Là, je suis impressionné !
    Peut-être que c'est gratuit, mais ce n'est pas le cas de toutes les écoles d'ingénieurs.
    Mon école est moins prestigieuse que la tienne puisque j'ai fait l'ESI et c'est payant.

    Citation Envoyé par Calvaire
    Polytech, Ensimag, INSA, les plus prestigieuse en France sont absolument gratuite.
    Tout le monde ne peut pas faire ces écoles, sinon, il n'y aurait pas beaucoup d'ingénieurs en France.

    Nos expériences ne sont pas les mêmes et en entreprise, je n'ai jamais connu l'IA.

  16. #56
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    Citation Envoyé par Artemus24 Voir le message
    @ Calvaire : je veux bien, mais nous ne jouons pas dans la même cours. Tu fréquentes les millionnaires, moi pas.


    Par Polytechnique, tu voulais dire X ? Là, je suis impressionné !
    Vous êtes "impressionné" pour rien!!!

    Qui dit "polytechnique" ne dit pas X!

    Vous avez par exemple l'École polytechnique universitaire de Grenoble-Alpes (Polytech Grenoble) qui n'a strictement rien à voir avec X!!!

    N'ayez aucune crainte, avec l'habitude de Calvaire à se donner en exemple, si il avait fait X, il l'aurait déjà crié sur tous les toits en mentionnant le terme X en caractère gras et pas simplement "polytechnique" qui est d'ailleurs un terme qui n'est pas protégé par un quelconque copyright, n'importe qui et n'importe quoi peut se qualifier de "polytechnique"!

  17. #57
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    Citation Envoyé par Artemus24 Voir le message
    @ Calvaire : je veux bien, mais nous ne jouons pas dans la même cours. Tu fréquentes les millionnaires, moi pas.


    Par Polytechnique, tu voulais dire X ? Là, je suis impressionné !
    Peut-être que c'est gratuit, mais ce n'est pas le cas de toutes les écoles d'ingénieurs.
    Mon école est moins prestigieuse que la tienne puisque j'ai fait l'ESI et c'est payant.


    Tout le monde ne peut pas faire ces écoles, sinon, il n'y aurait pas beaucoup d'ingénieurs en France.

    Nos expériences ne sont pas les mêmes et en entreprise, je n'ai jamais connu l'IA.
    non pas X, j'ai fait une polytechnique de province, "sans prétention" et j'ai eu une carrière assez banale en province (jamais bossé à paris). Tous les masters sont gratuit, et la majorité des écoles d'ingénieurs sont gratuite. On est pas obligé de payer en France, tu aurais pu faire un master sinon dans une université.
    Dans 99% des cas ça ne change de toute façon rien à sa carrière l'école.

    Mon seul mérite c'est de réseauter, d'avoir beaucoup changer de boite en début de carrière pour vite monter en salaire et responsabilité et d'avoir bien bossé l'anglais pour viser un poste a l'international et surtout d'avoir fait pleins de tentative.
    J'ai eu pleins d'échecs, en début de carrière je visais un gafam aux usa (microsoft), puis un poste de manager chez aramco, une tentative de monter ma startup, finalement j'ai atterrit dans la fintech à Singapour, ce qui sera surement l’apogée de ma cariere.


    Citation Envoyé par Anselme45 Voir le message
    Vous êtes "impressionné" pour rien!!!

    Qui dit "polytechnique" ne dit pas X!

    Vous avez par exemple l'École polytechnique universitaire de Grenoble-Alpes (Polytech Grenoble) qui n'a strictement rien à voir avec X!!!

    N'ayez aucune crainte, avec l'habitude de Calvaire à se donner en exemple, si il avait fait X, il l'aurait déjà crié sur tous les toits en mentionnant le terme X en caractère gras et pas simplement "polytechnique" qui est d'ailleurs un terme qui n'est pas protégé par un quelconque copyright, n'importe qui et n'importe quoi peut se qualifier de "polytechnique"!
    J'aimerais bien que tu cite une fois sur ce forum un endroit ou je me vante de mon école ou de mes capacités intellectuels ou de mes compétences en informatique.
    Je me vante de forcer le destin, de pas me contenter de ce que j'ai et de tenter des choses.

    j'ai horreur des pleurnicheuses qui se contente de dire "je trouve pas travail", alors que la personne n'a rien fait a part balancer des cv à la chaines sur linkedin à des boites dans son secteur géographique.
    Aucune remise en question de ces compétences et de ce qu'il vaut sur le marché, aucune remise en question sur sa situation (géographique, reconversion,...).
    100% de ceux que je connaissent qui sont partis avec un permis de travaille en Australie/Nouvelle Zélande ont considérablement améliorer leurs condition de vie par la suite. La majorité ont pu monter un capitale, la plupart sont meme rester sur place par la suite, d'autre on pu directement atterrir à des postes internationaux avec des bons salaires à paris/dans le monde entier.

    Je connais des magrébins studieux qui vivent dans leurs pays de merde (tunisie, maroc), sont en train de monter des dossiers pour avoir une bourse en Corée du sud pour y faire leurs études supérieurs et sortir de leurs conditions (bon diplôme reconnu ensuite dans le monde entier). La corée du sud manque de jeune étudiants et travailleurs, les conditions y sont donc favorable en ce moment pour y aller bosser, y compris pour les européens.
    Le taux de natalité y est très bas et les jeunes fuient le pays aux usa car ils en ont marre de bosser autant.
    Évidement ce sera pas facile, c'est pas les 35h cool cool de la France.
    Il vaut mieux bosser 50h la bas et avoir un salaire digne, que d’être sdf ou au rsa en France, y faire 1-2ans et ensuite croyez moi ce sera très facile de revenir en France ou en Europe et avoir un taff encore mieux payer et avec moins d'horaire.
    La France est un pays qui redistribue tout sauf de l'espoir.

  18. #58
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    @ Anselme45 : merci pour cette précision. j'avais quand même un doute à son sujet.

    @ Calvaire : peu importe que cela soit payant ou pas, le problème n'est pas là. Le diplôme ne fait pas tout. Combien de fois j'ai vu des gens hyper-diplômés se faire embaucher, ne pas savoir travailler correctement et se faire ensuite virer. Mettre les mains dans le cambouis est formateur ! Sauf que ces hyper-diplômés ne veulent pas se salir les mains et avoir de suite, des postes à responsabilités sans savoir comment s'y prendre.

    Ne vous sentez-vous pas trop dépaysé à Singapour ?

  19. #59
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    Il y a de nombreuses écoles d'ingénieur gratuites en France sur concours quand même.

  20. #60
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    Sur le marché du travail, les bac + 5 ne peuvent plus jouer les difficiles
    « La dégradation de l’insertion professionnelle amorcée en 2024 devrait se poursuivre en 2025 », indique l’étude « Jeunes diplômés d’un bac + 5, une insertion difficile et au prix de concessions importantes », réalisée sur la base du dispositif InserSup, qui mesure l’insertion professionnelle des sortants de l’enseignement supérieur, complété d’un sondage mené en juin auprès de quelque 1 500 bac + 5 âgés de 20 à 30 ans. En effet, le taux d’emploi salarié des bac + 5 baisse de promotion en promotion. Les entreprises ont beau avoir du mal à trouver la perle rare, elles recrutent toujours moins de cadres débutants : 16 % de moins en 2025, après un premier recul de 19 % en 2024.
    Il y a forcément des BAC+5 qui acceptent des jobs payé 1600€ net/mois.
    Parce qu'il faut bien acquérir de l’expérience niveau BAC+5, être mal payé c'est mieux que de ne pas avoir de job et de finir au RSA.

    En amont du Salon international du nucléaire civil, du 4 au 6 novembre, le Groupement des industriels français de l’énergie nucléaire, le syndicat professionnel du secteur, annonce un besoin de 100 000 recrutements d’ici à 2035. Il leur faudra tenir les échéances, car au-delà, les candidats pourraient devenir plus exigeants.
    Il faut bien viser, parce que ce serait dommage de faire la formation trop tard.
    Quelque part c'est cool de savoir qu'un domaine va recruter dans le futur, il y a moyen d'anticiper.

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