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Jeff Geerling : « Je refuse de connecter mon lave-vaisselle à ton stupide Cloud »

  1. #1
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    Par défaut Jeff Geerling : « Je refuse de connecter mon lave-vaisselle à ton stupide Cloud »
    « Je refuse de connecter mon lave-vaisselle à ton stupide Cloud » : Jeff Geerling prend position contre la connectivité Cloud contraignante
    de nos appareils du quotidien

    L'Internet des objets (IdO) est en pleine expansion, transformant notre quotidien avec des objets connectés qui vont des réfrigérateurs intelligents aux thermostats automatiques, en passant par des lave-vaisselles connectés. Mais derrière l'attrait de ces gadgets modernes, une question essentielle se pose : pourquoi devrions-nous connecter chaque appareil de notre maison à internet, et surtout à des serveurs externes ? C’est précisément cette interrogation qui a poussé un utilisateur a nous livrer une réflexion critique sur l'IdO et la tendance croissante des fabricants à connecter des appareils ménagers à des services cloud.

    Dans I Won't Connect My Dishwasher To Your Stupid Cloud, Jeff Geerling nous livre une réflexion critique sur l'Internet des objets et la tendance croissante des fabricants à connecter des appareils ménagers à des services cloud. Après avoir remplacé son vieux lave-vaisselle GE défectueux par un modèle Bosch 500 Series, Geerling s'est retrouvé confronté à une exigence surprenante : pour utiliser certaines fonctionnalités de l'appareil, comme le cycle de rinçage ou l'éco-mode, il fallait télécharger une application et connecter l'appareil au Wi-Fi.

    Geerling exprime son mécontentement vis-à-vis de cette tendance, soulignant que des fonctionnalités qui étaient auparavant accessibles directement via le panneau de contrôle de l'appareil sont désormais bloquées derrière un service cloud. Selon lui, cela illustre la tendance à la planned obsolescence, où les appareils sont conçus pour ne plus être fonctionnels ou pour devenir obsolètes plus rapidement, incitant ainsi les consommateurs à acheter de nouveaux produits.

    Citation Envoyé par Jeff Geerling
    Je l'ai donc allumée et j'ai tout de suite détesté le nouveau capteur tactile dont elle est équipée. L'ancien GE avait des boutons : vous les enfoncez, ils cliquent et vous savez que vous avez appuyé sur un bouton. Avec le capteur tactile, vous le touchez en quelque sorte et le micrologiciel - comme ce nouveau lave-vaisselle - prend du temps à démarrer ! J'ai dû le réinitialiser trois fois et ma femme, entre-temps, se moquait de moi : « Regardez ce type qui fait de la technique et qui n'arrive même pas à trouver comment changer le cycle de l'appareil ».

    Cela a pris environ cinq minutes, malheureusement. Mais j'ai fini par sortir le manuel parce que je me suis dit... « C'est vraiment déroutant. » Les choses devraient se passer ainsi : Je touche le bouton et il passe à ce mode ! Mais ce n'était pas comme ça que ça fonctionnait.

    Je voulais lancer un cycle de rinçage pour m'assurer que l'eau entrait, que l'eau sortait par le puisard et que tout fonctionnait après l'installation. Mais je n'ai pas trouvé le moyen d'effectuer un cycle de rinçage sur le panneau de commande.

    J'ai donc consulté le manuel et j'ai trouvé cette note :

    Nom : DE.png
Affichages : 6942
Taille : 322,0 Ko

    Il indique que les options marquées d'un astérisque, notamment Rinçage, Entretien de la machine (autonettoyage), Demi-charge, Eco et Démarrage différé, sont « disponibles uniquement via l'application Home Connect et en fonction de votre modèle ». Le modèle de la série 500 que j'ai acheté n'est pas assez haut de gamme pour disposer d'un écran à 7 segments comme celui de la série 800, plus chère de 400 $, de sorte que ces modes fantaisistes sont cachés derrière une application et un service en nuage.

    Je me suis dit : « D'accord, je vais chercher cette application et voir si je peux l'utiliser via Bluetooth ou localement ou autre. » Non ! Pour utiliser l'application, vous devez connecter votre lave-vaisselle à votre Wi-Fi, ce qui permet au lave-vaisselle d'accéder au service Home Connect sur Internet. Vous devez créer un compte sur Home Connect, installer l'application Home Connect sur votre téléphone, puis vous pouvez contrôler votre lave-vaisselle via Internet pour lancer un cycle de rinçage.

    Cela n'a aucun sens pour moi.

    Une application ? Je veux dire que je peux comprendre que l'on puisse ajouter des fonctions pratiques pour ceux qui le souhaitent. Par exemple, mon nouveau réfrigérateur - que j'ai choisi de ne pas connecter au WiFI - dispose d'une application qui me permettrait de surveiller la température intérieure ou de consulter plus facilement les codes d'entretien. Si je voulais ces fonctions supplémentaires, que mon ancien réfrigérateur n'avait pas, je pourrais les obtenir.
    L'auteur dénonce également la pratique de rendre ces fonctionnalités disponibles uniquement via des applications et services externes, ce qui semble déconnecté de l'usage traditionnel et fonctionnel de l'appareil. Il soulève des questions sur la sécurité des données personnelles, la dépendance à des services externes pour des tâches simples et la question du coût des services de cloud computing, qui peuvent à terme entraîner des frais supplémentaires pour les consommateurs.

    Geerling conclut qu'il refuse d'accepter cette évolution et plaide pour une plus grande autonomie des appareils, soulignant l'importance de garder des contrôles locaux et accessibles sans avoir à passer par des plateformes cloud. Pour lui, il est essentiel que les consommateurs résistent à cette "cloudification" excessive de leurs appareils du quotidien.


    L'appel à la résistance

    Le refus de connecter des appareils à des plateformes en ligne a émergé comme une forme de résistance face à une société toujours plus interconnectée. L'expression en question symbolise un rejet du modèle de "cloudification" des appareils domestiques. Ce modèle consiste à connecter des objets du quotidien à internet, permettant aux entreprises de collecter des données sur les utilisateurs, de mettre à jour les appareils à distance, et parfois même de vendre des services supplémentaires.

    Mais ce système n'est pas sans ses inconvénients. L’un des arguments majeurs contre cette tendance est la question de la vie privée. De nombreux utilisateurs ne sont pas pleinement conscients des données collectées par ces appareils, qui peuvent inclure des informations personnelles sensibles. Par exemple, un lave-vaisselle connecté peut transmettre des informations sur les habitudes de consommation d’eau et d’énergie de l’utilisateur, voire d’autres détails sur son emploi du temps.

    Le Cloud et la sécurité

    L’argument de la sécurité est également central dans ce débat. Les appareils connectés sont vulnérables aux cyberattaques. Le "cloud", qui est essentiellement un ensemble de serveurs distants utilisés pour stocker des données et exécuter des processus, est un terrain de jeu privilégié pour les pirates. En connectant un lave-vaisselle, une caméra de sécurité ou même un thermostat au cloud, nous ouvrons une porte d'entrée potentielle à ces menaces. Et même si de nombreuses entreprises affirment que les données sont chiffrées et sécurisées, l'histoire récente nous montre que des failles de sécurité existent toujours. Les brèches de données dans des entreprises comme Facebook ou même des géants de la technologie comme Google ont montré que la sécurité des données personnelles reste un défi majeur.

    L'argument de l’obsolescence programmée

    Derrière cette opposition se cache également une critique de l’obsolescence programmée. De nombreux consommateurs s'inquiètent du fait que l'ajout de la connectivité internet à un appareil comme un lave-vaisselle puisse accélérer sa dégradation. Lorsqu'un appareil devient obsolète en ligne, par exemple en raison de la fin de son support logiciel ou de mises à jour qui cessent, il perd de sa fonctionnalité, ou pire, il devient inutilisable. Ce phénomène est particulièrement préoccupant pour les appareils qui ne sont plus pris en charge après quelques années, une situation qui se présente de plus en plus avec les objets connectés. Il devient alors difficile, voire impossible, de réparer ou de maintenir l’appareil sans recourir à des services supplémentaires, souvent coûteux, voire inaccessibles.

    Le respect de la vie privée et la décentralisation des données

    Le refus de connecter des objets au cloud relève également d'un désir de préservation de la vie privée et de contrôle sur ses propres données. L’une des critiques majeures de l’IdO est la centralisation des données personnelles dans les mains d’un petit nombre d’entreprises qui détiennent ces informations et les utilisent pour leurs propres fins commerciales, telles que le ciblage publicitaire ou la création de profils détaillés. En refusant cette connectivité, les consommateurs cherchent à garder un contrôle direct sur leurs données, en rejetant l’idée que des entreprises extérieures puissent avoir accès à des informations privées sans leur consentement explicite.

    La décentralisation des données, comme alternative, est une solution que beaucoup préconisent. Dans ce modèle, les appareils pourraient fonctionner de manière autonome, avec des données stockées localement sur des dispositifs personnels comme des serveurs domestiques ou des réseaux privés. Ce système pourrait permettre de conserver la sécurité des informations tout en réduisant les risques d’intrusion. Il ouvrirait également la voie à une consommation plus responsable et durable des objets connectés.

    L'avenir des appareils connectés

    Si l’Internet des objets semble irréversible, il est encore possible d’imaginer un avenir où les consommateurs garderont un pouvoir de contrôle plus important sur leurs appareils et leurs données. Les entreprises pourraient offrir des solutions plus transparentes et sécurisées, où les utilisateurs pourraient choisir de ne pas connecter leur lave-vaisselle (ou tout autre appareil) au cloud. Cela inclurait des options de désactivation du cloud ou de stockage local des données, ainsi que des garanties sur la durée de vie des produits et le soutien continu.

    L’acceptation des objets connectés dépendra probablement de l’évolution de la législation et des attitudes sociétales à l’égard de la vie privée et de la sécurité des données. Dans ce contexte, des labels de certification, une meilleure transparence des pratiques des entreprises, et une réglementation plus stricte sur la collecte de données pourraient jouer un rôle clé dans la définition des standards de l'IoT pour les années à venir.

    Conclusion

    Le refus de connecter des appareils comme un lave-vaisselle au cloud n'est pas seulement un caprice technologique, mais une prise de position sur la gestion des données personnelles, la sécurité, et la durabilité des objets. Il incarne un appel à la responsabilité dans la conception des objets du quotidien, à une meilleure gestion des données et à un respect plus grand de la vie privée des utilisateurs. Face à un futur où tout semble connecté, la question que pose "I Won't Connect My Dishwasher To Your Stupid Cloud" est d'autant plus pertinente : devons-nous accepter de sacrifier nos libertés et notre autonomie au nom de la commodité technologique ?

    Source : billet Jeff Geerling

    Et vous ?

    La connectivité cloud des appareils ménagers est-elle vraiment nécessaire pour améliorer l'expérience utilisateur ? Peut-on imaginer un modèle où les appareils restent fonctionnels sans avoir besoin d'une connexion Internet constante ?

    Quels sont les risques réels associés à la collecte et au stockage de données personnelles par les fabricants d'appareils connectés ? Jusqu'où peut-on accepter que nos données personnelles soient collectées et utilisées par des entreprises tiers ?

    L'Internet des objets pourrait-il encourager la consommation durable, ou mène-t-il plutôt à l'obsolescence programmée des produits ? Est-ce que la mise à jour constante des appareils via le cloud contribue à leur durée de vie ou accélère leur remplacement ?

    Les entreprises devraient-elles être tenues légalement responsables si des appareils connectés compromettent la sécurité des données personnelles des utilisateurs ? Comment peut-on garantir que les données collectées par ces appareils sont protégées de manière adéquate contre les cyberattaques ?

    La connectivité des appareils ménagers à des services cloud pourrait-elle être bénéfique dans certains cas ? Par exemple, pour des fonctionnalités de maintenance à distance ou des mises à jour de sécurité ? Y a-t-il des situations où le cloud pourrait réellement améliorer l'utilisation d'un appareil tout en respectant la vie privée de l'utilisateur ?

    Voir aussi :

    Faut-il vraiment redémarrer sa brosse à dents ? Un ex-employé de Microsoft critique la complexité inutile des objets connectés. Quand la technologie transforme les objets du quotidien en casse-têtes logiciels

    Près de la moitié des projets IoT ne testent pas la sécurité des logiciels, malgré que 73,6 % des personnes interrogées considèrent la sécurité comme importante, d'après GrammaTech

    L'IoT est un danger pour la vie privée, une technologie à risque accordant peu de place aux logiciels libres, d'après Richard Stallman
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  2. #2
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    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    L'Internet des objets pourrait-il encourager la consommation durable, ou mène-t-il plutôt à l'obsolescence programmée des produits ? Est-ce que la mise à jour constante des appareils via le cloud contribue à leur durée de vie ou accélère leur remplacement ?
    Sérieusement?? TOUT ce qui donne du pouvoir à un producteur sur le consommateur mène à des abus!!!

  3. #3
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    Ca devient la mode : frigo, lave vaisselle, machine à laver, imprimante, TV, ...

    Limite un jour on va avoir des capsules constructeur pour lave vaisselle et machine à laver vendu à un prix exorbitant car ça aura copié les constructeurs d'imprimantes et/ou les machines à café Nespresso.
    Arguments de vente, ça lave mieux, il n'y a pas de risque de mise à la bouche pour les enfants, ...

  4. #4
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    Citation Envoyé par smarties Voir le message
    Limite un jour on va avoir des capsules constructeur pour lave vaisselle et machine à laver vendu à un prix exorbitant car ça aura copié les constructeurs d'imprimantes et/ou les machines à café Nespresso.
    Arguments de vente, ça lave mieux, il n'y a pas de risque de mise à la bouche pour les enfants, ...
    C'est dans les cartons depuis 2022 Haier (marque chinoise avec Haier, Candy et Hoover) Avec WashPass, Haier révolutionne l’utilisation du lave-linge et de la lessive, articles lesnumeriques du 12/09/22

    Difficile d'innover dans un secteur aussi rodé que celui du lave-linge. Haier et Candy tentent un concept encore inédit. Lors de l'IFA, ils ont présenté un lave-linge en location longue durée doté d’un système de dosage de la lessive un peu particulier.

    Quand on parle d'innovation dans le monde du soin du linge, il s'agit souvent plus d'une évolution que d'une révolution. Mais le concept WashPass dévoilé par le groupe Haier (détenteur de l'italien Candy, entre autres) fait pourtant penser à une nouvelle façon de considérer l'acquisition et l'utilisation d'un lave-linge.
    En quelques mots, WashPass est un abonnement qui permet d'acquérir un nouvel appareil en location longue durée et de se procurer la lessive directement auprès du fabricant avec, là aussi, un système de souscription.
    Ce système existe déjà chez certaines enseignes ; on n'achète plus son équipement, on le loue en réglant une mensualité dont le montant comprend le coût de l'appareil en lui-même mais aussi tout ce qui concerne l'entretien et les éventuelles réparations.

    Mais ce premier abonnement en comprend un deuxième, orienté vers la lessive et celui-ci est bien plus original. L'idée n'est pas d'acquérir une recharge de lessive traditionnelle déjà mélangée, mais plutôt des bidons de principes actifs composant le produit lessiviel ; on retrouve le principe des cartouches d'imprimantes contenant les encres de différentes couleurs.
    L'analogie avec une imprimante est des plus frappantes.

    Cette innovation exige une architecture un peu particulière de l'appareil pour accueillir les différents bidons. Pour l'instant, le lave-linge WashPass n'a pas de nom. Sur le stand Haier, celui-ci était incarné par un modèle Candy Rapido Pro noir, mais la forme finale sera peut-être tout autre.
    On sait cependant que l'emplacement des quatre cartouches se situe derrière une façade pivotante sur le hublot.
    La technologie WashPass est compatible avec les lave-linge standards.

    Selon les officiels présents sur le stand Haier, le fait de décomposer la lessive permet d'adapter la formule en fonction du type de textile à laver, de son degré de salissure ou du poids de la charge.
    Par exemple, sur du linge de maison blanc, le lave-linge serait capable d'ajouter un surplus d'agents blanchissants pour conserver l'éclat des textiles.
    En cas de charge peu sale, l'algorithme limiterait l'apport de formule lavante. Et pour une demi-charge, la quantité de détergents pourrait être adaptée au plus juste.
    De nombreux autres mélanges sont bien sûr possibles. Toujours selon Haier, cette technologie aurait non seulement l'avantage de préserver les fibres textiles, mais aussi nos portefeuilles et surtout la nature en limitant le rejet de formules chimiques inutiles.
    Est-il nécessaire de préciser que derrière ces mélanges se cachent une intelligence artificielle et une technologie de deep-learning afin que les formules soient les plus efficaces possible ?
    Le recours à l’IOT devrait aussi être de la partie car, même sur les modèles les plus sophistiqués, les bandeaux de commandes actuels des lave-linge sont, somme toute, très limités.
    Il y a donc fort à parier qu'une connexion à un smartphone sera obligatoire pour profiter de l'abonnement WashPass, ne serait-ce que pour recevoir les alertes en cas de recharge bientôt vide ou pour pouvoir en commander une.
    Bien évidemment, cette solution est aussi intéressante pour le constructeur qui s'attache la fidélité de son client via la location du lave-linge, bien sûr, mais aussi en le fournissant en consommables.
    En effet, même si le lave-linge WashPass (en tout cas, celui qui était présenté) dispose toujours d'un bac à lessive traditionnel qu'on peut remplir avec n'importe quelle marque du commerce, le but est que l'utilisateur achète en priorité les bidons propriétaires.
    Pour l'instant, le système WashPass n'a pas encore de prix. On ne sait même pas si celui-ci sera finalement commercialisé. Sa présentation lors de l'IFA visait surtout à prendre la température du public.

  5. #5
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    L'idée de décomposer les ingrédients de lessive n'est pas mauvaise en soi.

    Il faut juste voir comment elle sera adaptée. Si c'est comme pour les imprimantes (avec la détection d'un élément spécifique qui serait la "marque" du fabricant et le passage en mode dégradé si les éléments ne proviennent pas du fournisseur) alors, c'est à bannir et oublier tout de suite.

    Pour ce qui est de l'IOT, pour ma part, si je peux passer à coté, je le fais et le ferais aussi longtemps que possible. Entre deux appareils, un connecté et un non connecté, mon choix ira vers le non connecté.

    Si tous les gens faisaient de même (ou au moins une majorité), ces "merdes" connectées disparaitraient d'elles-mêmes. Comme disait Coluche : "Quand on pense que si on achetait pas, ça se vendrait pas !"

  6. #6
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    Citation Envoyé par foetus Voir le message
    C'est dans les cartons depuis 2022 Haier (marque chinoise avec Haier, Candy et Hoover) Avec WashPass, Haier révolutionne l’utilisation du lave-linge et de la lessive, articles lesnumeriques du 12/09/22
    Encore des commerciaux en manque de bonus qui tentent de nous refiler de l'abonnement là où on n'en a pas besoin.
    Le futur s'annonce radieux...

  7. #7
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    J’ai eu le même pb avec une bar de son LG, si l’info avais été affiché, j ‘en aurai acheté une autre, pour passer outre, j’ai crée un compte bidon sur Google, j’ai démarré ma bar sur le wifi partagé de mon phone, puis, une fois la config de la bar terminée, j’ai désactivé mon partage wifi et supprimé le compte Google…

    Ce qui faut pas faire pour essayer de garder le contrôle de sa vie privée quand même !

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