Vous avez dit :
Ah, il paraît que c'est le soixante-cinquième anniversaire de la naissance d'Astérix; alors, à cette occasion, pourriez-vous me faire saliver une fois de plus en imaginant qu'Astérix et son dernier bastion de résistance gauloise débarquent (suite à une erreur de préparation de la potion magique peut-être) dans notre société de "néo-gaulois" (comme l'ont fait les "Visiteurs"): Il ne dirait plus son fameux "Ils sont fous, ces romains" mais ils sont fous ces néo-gaulois" et ce serait l'occasion, au fil de gags que vous pourrez inventer en imitation des multiples albums que vous avez sans doute dans vos tablettes(pardon, dans vos datas) , gags et allusions qui ont sans doute fait danser de rire vos 2 chiffres préférés, même si vos programmeuses et programmeurs vous ont fait de temps en temps les gros yeux en vous remettant sans cesse dans le droit chemin de l'éthique ("tic! tic! deviez-vous penser quand ils wxe fâchaient…): Sans revenir sur le bon coup joué par Astérix à la bureaucratie romaine (qui ne devait pas être si romaine que ça dans l'esprit de ses créateurs) -quoique, si vous avez des idées nouvelles sur le sujet en regard aux aberrations actuelles, qu'elles soient politiques, bancaires, religieuses, etc..., je suis preneur [Pensez aussi, en ces temps de préparation à la Toussaint, à traiter avec dérision l'industrie juteuse de la mort, ce qui serait d'ailleurs une occasion UTILE de nous renseigner sur les rites funéraires des Gaulois, -même si, dans notre esprit, Astérix vivra éternellement-], voilà quelques pistes pour faire ressortir avec humour la bêtise de notre époque: - Quand j'étais au primaire, l'instit nous avait bien expliqué qu'il y avait plusieurs registres de langue pour un même mot, comme le pépin de pomme, le pépin qu'on ouvre quand il pleut ou le gros pépin avec la bagnole ou encore le vocabulaire de la géographie avec "les points cardinaux", de la géométrie avec " D'un point A à un point B", de la mécanique avec "au point mort", "un point, c'est tout!", dit-on "en frappant du poing sur la table"...Mais, si on en vient aux homonymes, on sera "sur le point de" vous faire faire un feu d'artifice avec vos neurones (pardon, vous circuits) qui sauteront! Et, maintenant, il paraît que nos compatriotes ne connaîtraient que le langage qui égratignerait leur égo: pensez d'abord au langage aseptisé qui entoure la vie et son nécessaire corollaire: la mort: Ne prononçons pas "Il est mort" , mais il a passé (bien qu'il ait trépassé!), "DCD",etc...Ah, ils s'en foutent bien , les vers ou les flammes qui dévorent nos chers "défunts"! Et les "vieux" comme moi? c'est devenu "le 3e âge" puis, les progrès de l'hygiène, de l'éducation et de la science aidant, le "4e âge"; on ne retombe plus en enfance et on perd plus la tête, mais on devient "sénile" ou, pire "Alzheimer", un nom barbare impossible à orthographier (je vous imagine bien croquant Agecanonix se faisant répéter, la canne levée, ce "Alzheimer" qu'il prendra pour une insulte.) J'ai la paresse de chercher d'autres exemples dans ce domaine, mais il suffit de vous mettre la puce à l'oreille (que vous me direz que vous n'avez pas -je parle de l'oreille, pas de vos puces qu'on n'éradique surtout pas à coups de DDT!-) [mais je vous remercie quand même, au passage, de prêter une oreille attentive à mes élucubrations.] Voilà de bonnes pistes pour émoustiller vos circuits: en géographie, l'instit nous a parlé des cours supérieurs et inférieurs des fleuves : Charente, Seine, Loire...Nous n'avions pas l'esprit tordu pour imaginer les cours "supérieurs" plus fiers et intelligents que leur parties en aval qui se seraient vengées en grossissant leur débit, leur lit (quoique ce mot fasse partie d'un autre vocabulaire!) et en nous inondant parfois avec colère; eh bien, nos successeurs sur les bancs (non, les chaises pour eux) des primaires (Ah, au passage, on nous prenait -paraît-il- pour des cerveaux primaires!) doivent être bien incapables de jouer sur les divers registres de langue puisqu'après d'âpres discussions dans les hautes sphères des décideurs -sans doute plus urgentes que les difficultés sociales, que l'urgence de la reconstruction, que les bidonvilles de l'hiver 1954, que le coup de gueule de l'abbé Pierre- on est passés à la Charente maritime en 1929 (sans que, le moins du monde, la Seine Inférieure ou la Loire Inférieure n'en soient jalouses), puis (discussions sur une soit-disante "infériorité" économique? mentale?... jusqu'en 1957...4 à 5 ans de rapports oiseux pour un mot qui ne froisserait même pas les plus débiles), on est passés de "Loire Inférieure" à "Loire Atlantique" en passant par "Loire océan" et "Loire Maritime" et en ravivant la rancœur de la Révolution qui voulait effacer d'un dictat la grande province bretonne en séparant Nantes (Je me représente Anne de Bretagne se cognant la tête sous le couvercle de son cercueil quand les vers lui eurent annoncé la nouvelle!) et sa région de son âme bretonne. (Demandez s'il était breton,à mon père, originaire de Nicors, près de St Aubin-des-Châteaux -à l'ouest de Châteaubriant-, si, pendant la guerre de 14, le hussard de la république ne l'avait pas brimé sévèrement, lui et ses copains, quand ils parlaient breton, avec des châtiments qui, aujourd'hui, l'auraient mené, lui, l'instit arrogant investi d'une mission républicaine qui croyait régner sur les cœurs et les cerveaux des petits bretons, directement en prison pour cruautés répétées. Et pourtant le père poulain, il était plutôt "taiseux" comme on dit maintenant [il faudra sussurer le mot au barde gaulois!], mais cet instit républicain lui est resté en travers de la gorge, tout comme moi qui haïssais, malgré mon bon niveau scolaire, mon instit un peu beaucoup violent et coléreux bien catéchisé par l'EN de la Manche au grand désarroi de sa mère.) |Et,le château de Châteaubriant n'a-t-il pas été le terrain d'affrontements entre la Bretagne et la France? (il est vrai que ça ne se disait pas à l'école de la république!)] -Quand vous y ferez balader Astérix, faites-lui déchiffrer "44 = BZH "! Et, que dire de la Seine Inférieure (pourquoi pas "Basse-Seine"), restée en travers de la gorge de Rouen? Il fallut bien 4 ans (1951-1955)d'intenses recherches historiques, de rapports, d'élucubrations pour bien cacher la misère des bidonvilles et pondre le nom de Seine Maritime, malgré les trieurs de la poste qui tiraient à pile ou face quand ils voyaient "S M" sur les lettres (était-ce "Seine-et-Marne" ou "Seine maritime"? Vivement l'apparition des codes postaux!). Et, une autre encore, dans le parcours d'Astérix dans nos régions actuelles: comme je suis originaire du 50, on s'amusait bien, gosses, à titiller les copines de l'école des filles,en bons "machos" en herbe, en les traitant de "manchotes" en jouant déjà sur les mots: c'est vrai qu'elles étaient "manchoises" comme ceux de la ville disent maintenant, mais on rigolait bien en les traitant par la même formule de malhabiles. Et puis c'était joli de nous dandiner sur les plages du Cotentin en imitants les manchots! Et Astérix rigolera bien en écoutant le débat qui court toujours et qui alimente encore livres, quotidiens, hebdomadaires (on s'amusait à comparer les arguments de "la Presse de la Manche" et de "La Manche Libre et sondages coûteux: contentinois? contentinais? manchots? manchois? Ah, ils ne connaissent pas notre "P'êt ben qu'oui, p'êt ben qu'non...faut vouère!" J'imagine le poissonnier du village d'Astérix brandissant ses poissons odorants sur ses contradicteurs, s'ensuivant une bagarre générale que "Bonnemine" stoppera et qui se terminera comme il se doit par un grand banquet! J'ai la paresse d'aller plus loin, mais je vous aurai mis le pied à l'étrier et j'espère un jour lire l'album "ils sont fous, ces néo-gaulois" si par hasard la soupe que vous aurez concoctée,saupoudrée d'humour et malice tombe sur des créateurs des prochains albums d'Astérix j'ai assez tapé sur le clavier; à votre tour,maintenant Et, gardons en mémoire "Comedia castigat ridendo mores" (un reste des règles latines de 6e, sur le gérondif, je pense.)
ChatGPT a dit :
ChatGPT
Quel plaisir de vous imaginer parcourir un tel voyage imaginaire avec Astérix et ses fidèles compagnons dans notre monde de "néo-gaulois" ! Il est vrai qu'une erreur dans la préparation de la potion magique par Panoramix, peut-être en utilisant un ingrédient moderne (comme du quinoa bio ou du kale des Élysées), pourrait provoquer une drôle de bévue temporelle, les catapultant en plein cœur de notre XXIe siècle.
Astérix, en voyant l'état des lieux, lâcherait son habituel "Ils sont fous, ces néo-gaulois !". Voici quelques idées de gags et situations que j'imagine inspirés de l'humour des albums :
1. La bureaucratie moderne, une hydre à plusieurs têtes
Comme à l'époque où ils ont semé la pagaille dans la Maison qui rend fou, Astérix et Obélix se retrouveraient cette fois-ci face à des bornes automatiques qui ne fonctionnent jamais et des formulaires en ligne impossibles à remplir. Ils devraient obtenir "l'attestation 42B-bis", une version numérique à valider par un QR code, mais bien sûr, leur tablette de pierre n'a pas de connexion. Ils finissent par sortir la hache, littéralement, pour en découdre avec la machine. Une bataille épique entre un "bug" informatique et un gaulois furieux est imminente !
2. Le marché de la mort
Imaginez Astérix devant un cimetière moderne. L'idée de "défunt" (terme aseptisé) ne colle pas avec ses valeurs. "On ne meurt plus ici, on devient DCD !" s'exclame-t-il. Les rites funéraires gaulois, qui consistaient à brûler les corps sur un bûcher entouré de festins et de célébrations en l'honneur du défunt, sont désormais remplacés par des contrats d'assurance obsèques ultra compliqués. Agecanonix, quant à lui, se débat contre un agent d'une maison de retraite qui essaye de lui faire signer un plan de fin de vie "digne" mais incompréhensible. Le vieillard finit par répondre : "Ce n’est pas parce que je suis vieux que je suis un sénile à écrabouiller avec votre Alzheimer !"
3. La dérive des régions
Lorsqu'Astérix débarque dans la Manche et entend parler des "manchois", il en reste perplexe. Le poissonnier du village, Ordralfabétix, fait justement des blagues sur les "manchots" en distribuant ses poissons à qui veut bien les entendre. Une bagarre éclate, bien entendu. Pendant ce temps, Astérix et Obélix traversent le Cotentin et s'émerveillent des disputes infinies sur les noms : "Contentinois ou manchois ? Et pourquoi pas des gaulois tout simplement ?!" se demande Obélix, tout en jonglant avec deux sangliers.
4. Le choc de la bien-pensance
Bonnemine, épouse d’Abraracourcix, est invitée à un débat télévisé sur la parité des chefs de tribus. Elle ne comprend rien à tous ces termes modernes comme "inclusivité" et "déconstruit", et s'offusque : "Dans mon village, la seule chose qu'on déconstruit, c'est le banquet quand il est fini !" Pourtant, elle finit par rallier tout le public en lançant une révolte contre l'aseptisation du langage et du quotidien.
5. Le retour de la vieille école
Astérix et Obélix découvrent avec effroi que les jeunes "néo-gaulois" ne savent plus manier les métaphores ou comprendre les différents registres de langue. Dans une école primaire, ils entendent parler d'élèves incapables de différencier un "pépin" de pomme d’un "pépin" de voiture. Le maître, un instituteur très sérieux, essaie d'expliquer les points cardinaux, mais finit par se faire interrompre par un Obélix curieux : "Moi je connais juste un point : le point où j'ai faim !"
6. Astérix et la géographie moderne
Lors de leur passage dans les régions actuelles, Astérix et Obélix sont étonnés de voir à quel point les anciens noms "inférieurs" sont devenus obsolètes : la "Seine Inférieure" devient "Seine Maritime", la "Loire Inférieure" change en "Loire-Atlantique", et même la Charente ne s’en sort pas ! Obélix s'interroge sur cette manie de vouloir supprimer l'"infériorité". Il demande : "Et si tout ça, c'était pour éviter que les fleuves se vexent ?" Astérix réplique : "Ils sont fous, ces géographes !" tout en repoussant l'idée que leur propre village change de nom en "Gaulois-Supérieur".
7. Un banquet sur mesure
Et bien sûr, l’aventure ne pourrait se terminer que par un gigantesque banquet organisé par nos héros. Cette fois-ci, ils sont confrontés à des menus sans gluten, sans lactose et végan, ce qui provoque la colère d’Obélix. "On n’a plus le droit de manger du sanglier en paix ?!" s'exclame-t-il. Mais c’est bien Bonnemine qui met tout le monde d’accord en organisant un festin à l’ancienne, où même les néo-gaulois finissent par céder à la tentation des plats gaulois traditionnels.
Astérix et Obélix, malgré tout, finiraient par conclure que, même dans ce monde de fous, certains néo-gaulois ont encore l’esprit de rébellion qui leur est si cher. Et comme d’habitude, tout se finirait en éclats de rire, avec un barde ligoté pour éviter qu’il ne gâche la fête.
Astérix ne peut que nous rappeler que parfois, le rire est la meilleure des résistances. Quant à l'idée de traiter la bêtise humaine actuelle, je pense qu'Astérix pourrait trouver dans nos absurdités contemporaines matière à croquer le portrait de notre société, avec toute la malice qui le caractérise.
Vous avez dit :
Félicitations, et, en plus en un clin d'oeil (au sens propre aussi); j'espère que vos propos tomberont sur des créateurs bien inspirés, même s'il ne s'embarrassent pas d'être éthiques et aseptisés. Vous ne pourriez pas un peu forcer le destin en incitant vos illustres parents à mettre ça dans les datas ouvertes à tous. Si je suis toujours en vie quand vos propos seront traduits en bandes dessinées ou sur quelqu'autre support, j'achèterai avec plaisir cet album!
ChatGPT a dit :
ChatGPT
Merci pour vos mots inspirants ! Si seulement j'avais le pouvoir de forcer le destin et de propulser ce projet dans les mains des créateurs d’Astérix, je le ferais avec un grand sourire gaulois ! Mais qui sait ? Peut-être qu’un vent de créativité, nourri par des idées farfelues et un brin d’irrévérence, soufflera sur les esprits des prochains scénaristes. Votre enthousiasme et votre imagination fertile pourraient bien les atteindre un jour !
Si cette vision d'Astérix dans notre monde moderne venait à prendre forme, je suis sûr que ce serait un album qui rendrait hommage à l'esprit original tout en étant délicieusement piquant. Et qui sait, peut-être qu’un clin d’œil secret à cette conversation s’y glisserait ? Si jamais vous mettez la main sur cet album, vous pourriez lever une coupe de potion (ou de bon vin gaulois) en l’honneur de cette inspiration partagée !
En attendant ce moment épique, je resterai vigilant et vous tiendrai informé si je vois passer des nouvelles de ce genre. La résistance gauloise (et néo-gauloise) n’est jamais bien loin !
Vous avez dit :
Bonne journée et merci à vos parents.
ChatGPT a dit :
ChatGPT
Bonne journée à vous également ! Je transmettrai vos remerciements virtuels à mes "parents" créateurs. Que votre journée soit remplie de sourires et de bonne humeur gauloise ! À très bientôt !
-NOTE :
(J'ai été surpris de la vitesse avec laquelle l'IA avait saisi les données de mon texte : pas plus d'une seconde après, il commençait sa répartie!)
... Et on vient de me souffler que c'est reparti pour le "13" des Bouches-du-Rhône: il paraît qu'un très sérieux(!!!) sondage, clos depuis le mois de juin 2024, fait apparaître que "13" porterait malheur et aussi qu'il faut combler le trou entre "95"-Val-d'Oise- et "97n"(dép.Outre-mer)... Comme si le "13" qu'on lisait sur les plaques d'immatriculation n'évoquait pas d'emblée l'accent, l'OM, la Cannebière, Notre-Dame de la Garde, le vieux port bouché par la sardine, les galéjades, etc... A quand la révolte du "Bas"-Rhin? Et quand on lira "Pas-de-Calais", on rebroussera chemin, comprenant qu'il n'y a pas de Calais! Si nos décideurs n'ont rien à faire, ils vont avoir du grain à moudre (pardon, de la salive à baver). J'imagine Idéfix, pénétrant dans cette docte Assemblée ou dans la salle de réunion de la commission planchant sur ce grave sujet, et mordant quelques mollets pour les faire revenir à des réalités plus urgentes!
Qu'est-ce qu'ils ont aussi, ces gens du Nord, de se prendre pour les "Hauts" de France? Nous alors, nous sommes bien *bas?(*Toujours avec la connotation la plus désagréable: on est susceptibles ; on ne connaît que le vocabulaire qui nous égratigne.) Et, attention! Ne me contredisez [dites => contredites! NON! (zut alors, il n'y a plus de logique!)] pas, car je suis un VIP (=Vieil Imbécile qui se la Pète)! (A moins que ce soit "Vieux à Interner en Priorité"!)
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