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Intelligence artificielle Discussion :

Une étude suggère que les outils d'IA de génération de texte et d'image émettent moins de CO2 que les humains


Sujet :

Intelligence artificielle

  1. #1
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    Par défaut Une étude suggère que les outils d'IA de génération de texte et d'image émettent moins de CO2 que les humains
    L'adoption croissante de l'IA aura des effets dramatiques sur le changement climatique, avertissent les écologistes.

    Le monde de l'IA a réellement touché tous les secteurs, avec des outils tels que ChatGPT qui ont pris le monde professionnel à bras-le-corps. Mais qui aurait pu penser que les effets de l'IA étaient encore plus inattendus ? En effet, l'adoption croissante de l'IA pourrait avoir des conséquences dramatiques sur l'environnement. C'est la raison pour laquelle les écologistes tirent la sonnette d'alarme.

    Des rapports précédents expliquaient que l'IA plane littéralement sur l'économie mondiale. En outre, elle supprime de plus en plus d'emplois à un rythme plus rapide que ce que beaucoup d'entre nous avaient imaginé. Il pourrait s'agir de nos vies personnelles, du monde de l'enseignement et des relations amoureuses. Il en va de même pour la création artistique. Mais ce que la plupart d'entre nous ont tendance à oublier, c'est que ces énormes systèmes nécessaires pour alimenter le monde de l'IA ouvrent en fait la voie à une pollution climatique accrue par le biais d'émissions massives.

    Aujourd'hui, l'industrie des technologies de l'information, autrefois applaudie pour son comportement écologique, produit davantage de déchets, utilise près de 10 % des sources d'électricité mondiales et produit également jusqu'à 5 % des émissions de carbone. Ces statistiques ont été récemment dévoilées par le Parlement européen. Ces chiffres ne sont pas immuables et on s'attend à ce qu'ils augmentent de 14 % au cours des deux prochaines décennies, voire moins.

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    Dans le même temps, des chercheurs de l'université du Massachusetts évoquent les énormes quantités d'énergie consommées pour l'entraînement des modèles d'intelligence artificielle. Un seul test d'un grand modèle de langage peut produire près de 626 000 livres de dioxyde de carbone. Cela correspond à 300 allers-retours entre San Francisco et New York. Mieux encore, cela équivaut à cinq fois les émissions totales d'un véhicule moyen pendant sa durée de vie.

    Le monde de l'IA a déjà été salué comme étant la meilleure solution pour résoudre la crise climatique, grâce au groupe d'experts des Nations unies lors de la conférence sur le changement climatique de cette année, qui affirme que la technologie peut améliorer l'efficacité énergétique. Cela favoriserait l'adoption de sources d'énergie renouvelables, mais il est vraiment difficile de visualiser son véritable effet sur l'environnement.

    Un rapport publié précédemment indique que ChatGPT consomme près d'une bouteille d'eau fraîche, car l'eau froide est nécessaire pour que les serveurs infatigables puissent travailler jour et nuit et pour que la température reste à un niveau optimal. Lorsque des experts ont interrogé ChatGPT sur la consommation d'énergie et l'empreinte carbone qu'elle laissait derrière elle, l'entreprise a déclaré qu'elle se limiterait à l'énergie consommée par les PC et leurs serveurs respectifs. Le chiffre exact dépend de facteurs tels que l'énergie utilisée pour alimenter les PC et leurs centres de données respectifs.

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    Alors que certaines grandes entreprises technologiques tentent toujours de lancer des alternatives plus écologiques pour mieux lutter contre cet impact sur l'environnement, les critiques estiment que l'on n'en fait pas assez sur ce front. En outre, il ne semble pas y avoir suffisamment de stratégies de marketing créatives en place pour vraiment repousser les effets négatifs du changement climatique. Google a parlé de remplacer 120 % de toutes les sources d'eau qu'il utilise, tandis que Microsoft veut être neutre en carbone dans les sept prochaines années.

    Comme on peut le constater, des efforts ont été déployés, mais il est clair qu'il faut aller beaucoup plus loin si nous ne voulons pas être confrontés aux conséquences désastreuses que le changement climatique fait peser sur nous tous. L'accent est également mis sur la durabilité, mais la question est de savoir ce qu'il faut de plus pour apporter un changement positif.

    Source : MIT Technology Review, Energy and Policy Considerations for Deep Learning in NLP

    Et vous ?

    Pensez-vous que cette inquiétude est crédible ou pertinente ?
    Selon vous, l'IA est-elle une solution pour l'environnement ou un problème supplémentaire ?

    Voir aussi :

    La course à l'outil de recherche s'appuyant sur l'IA entre Google et Microsoft aura un impact sur l'environnement en raison d'une augmentation des émissions mondiales de gaz à effet de serre

    L'IA aide et nuit à l'environnement, le meilleur nouveau scientifique du monde pourrait être une IA. Stanford présente l'édition 2023 de son rapport annuel AI Index

    88 % des entreprises affirment que la durabilité environnementale a une influence importante ou modérée sur leur approche du traitement des données en fin de vie (EOL data) selon Blancco Technology

  2. #2
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  3. #3
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    Par défaut Alors oui, mais non
    Ce qu'on compare là c'est la conso. électrique de l'entrainement du modèle GPT-3, pas de son utilisation.
    Ca se fait une fois, sur une période d'environ 1 mois avec un bon millier de cartes graphiques.

    Et entrainer un modèle se fait qu'une seule fois, c'est ponctuel. Si on compare à la conso totale de l'aviation, c'est dérisoire, c'est un pet de mouche.
    Oui ça consome, mais voir que c'est l'équivalent de la conso escence de 6 voitures sur leur durée de vie, ca me rassure plus que m'alerte sur le fait qu'on va tous mour.

    Et autre chose, la conso électrique n'est pas le problème en soi, mais sa production. Donc

    L'article est dispo ici : https://arxiv.org/pdf/1906.02243.pdf
    Il annonce une conso en kWh de 656 347 pour l'entrainenemnt du modèle d'IA. C'est vériafiable par les calculs, Et ui j'ai vérifié, faut bien que je justifie mes 35h de bullshit job.
    Sauf qu'ils ont rajouté le PUE moyen des datacenters de 1.58, ce qui leur permet de multiplier, out of nowhere, la conso électrique, mais bien sûr sans prendre en compte l'énergie grise utilisée pour le cyclede vie d'une voiture ou d'un avion.
    Sans ce PUE multiplié, on obtient 414 836 kWh, ce qui reste énorme (30 minutes de production énergétique d'un centrale nucléaire à 900 MW et 17 minutes pour celles à 1450 MW.

    On peut aller plus loin et dire que ces 6 gorillion de tonnes de Co2 émises pour train GPT-3 sont bien investis car elles nous serviront à trouver et mettre en place des solutions innovantes afain de réduire les émissions de gaz à effet de serre.

  4. #4
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    Par défaut Une étude suggère que les outils d'IA de génération de texte et d'image émettent moins de CO2 que les humains
    Une étude suggère que les outils d'IA de génération de texte et d'image émettent moins de CO2 que les humains pour les mêmes tâches
    mais elle est controversée et divise les experts en IA

    Une étude publiée au début de l'année par des chercheurs américains semble remettre en cause l'hypothèse selon laquelle l'adoption croissante de l'IA pourrait avoir des effets dramatiques sur l'environnement en raison de consommation d'énergie. L'étude, qui compare les émissions de CO2 des systèmes d'IA à celles des humains, conclut que l'utilisation de l'IA peut permettre de générer du texte et des images ou accomplir plusieurs activités importantes avec des émissions nettement inférieures à celles des humains. Cependant, elle est fortement controversée et a suscité la semaine dernière une vive discussion parmi les chercheurs et les experts en IA de renom.

    Les systèmes d'IA générative généreraient moins d'émissions que les humains

    L'IA a fait incursion dans tous les secteurs de l'activité de l'homme au cours de ces dernières années. Et le récent essor des outils d'IA générative a déclenché une ruée vers cette technologie qui avait auparavant du mal à convaincre le grand public. Mais la démocratisation et l'adoption croissant des outils d'IA générative a soulevé une préoccupation majeure : la consommation d'énergie de l'IA et son impact sur l'environnement. Les données disponibles jusqu'à présent montrent que l'IA est vorace en énergie et que cette consommation est en hausse. Ainsi, les experts estiment que l'adoption croissante de l'IA pourrait avoir des effets dramatiques sur le climat.

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    Bien que la question ne soit pas encore complètement tranchée, cette hypothèse semblait faire office de consensus dans l'industrie. Mais une étude publiée au début de l'année par des scientifiques de l'université de Californie-Irvine et du MIT a semblé remettre en cause cette hypothèse. L'étude s'est concentrée sur les modèles d'IA générative - tels que ChatGPT, Midjourney, BLOOM et DALL-E 2 - qui sont couramment utilisés pour produire du texte et des images. Elle suggère que l'IA peut produire des textes et des images utiles tout en émettant 3 à 4 ordres de grandeur de moins de CO2 qu'un humain travaillant manuellement ou avec l'aide d'un ordinateur.

    Plus précisément, l'article révèle que lors de la production d'une page de texte, un système d'IA tel que ChatGPT émet 130 à 1 500 fois moins d'équivalents de dioxyde de carbone (CO2e) qu'un être humain. En outre, dans le cas de la création d'une image, un système d'IA tel que Midjourney ou DALL-E 2 émet 310 à 2 900 fois moins de CO2e. Pour mener l'étude, les chercheurs disent avoir analysé les données existantes sur l'impact environnemental des systèmes d'IA, des activités humaines et de la production de textes et d'images. Elles ont été collectées à partir d'études et de bases de données étudiant l'impact de l'IA et de l'homme sur l'environnement.

    Par exemple, ils ont utilisé une estimation informelle en ligne pour ChatGPT - basée sur un trafic de 10 millions de requêtes générant environ 3,82 tonnes de CO2e par jour - tout en amortissant l'empreinte de la formation de 552 tonnes de CO2e. En outre, à des fins de comparaison, les auteurs ont inclus des données provenant d'un grand modèle de langage (LLM) à faible impact appelé BLOOM. Chez les humains, ils ont utilisé les empreintes carbone annuelles d'une personne moyenne aux États-Unis (15 tonnes métriques) et en Inde (1,9 tonne métrique) pour évaluer les émissions par habitant associées à la génération de texte ou à la création d'images.

    Dans leur rapport, les universitaires ont souligné l'importance de mesurer les émissions de CO2 provenant de différentes activités humaines, y compris de l'IA. Selon eux, en comprenant l'impact environnemental de l'IA, les décideurs politiques peuvent prendre des décisions éclairées sur les questions de durabilité. « Sans une telle analyse, nous ne pouvons pas prendre de décisions politiques raisonnables sur la manière de guider ou de gouverner l'avenir de l'IA. Nous avons besoin d'informations fondées, de données à partir desquelles nous pouvons passer à l'étape suivante », a déclaré Don Patterson, professeur à université de Californie-Irvine.

    La complexité de l'analyse environnementale et une étude controversée

    Le rapport de l'étude a attiré l'attention de la communauté cette semaine lorsque Yann LeCun, chef de la division consacrée à l'IA chez Meta, a publié un graphique sur son compte social X et a mis en légende : « l'utilisation de l'IA générative pour produire du texte ou des images émet 3 à 4 ordres de grandeur "moins" de CO2 que si on le faisait manuellement ou avec l'aide d'un ordinateur ». Cette affirmation a attiré l'attention d'autres éminents experts en IA et suscité des réactions négatives de la part des détracteurs de la méthodologie utilisée dans l'étude pour comparer les émissions de carbone des humains à celles des modèles d'IA.

    Si les résultats de l'étude en ont surpris plus d'un, les critiques ont soulevé des préoccupations valables quant à la méthodologie utilisée pour comparer les émissions de CO2 des modèles d'IA et des humains. Sasha Luccioni, chercheuse en IA et responsable des questions climatiques chez la startup d'IA HuggingFace, a souligné que l'attribution directe de l'empreinte carbone totale d'un individu à sa profession est erronée. De plus, la comparaison des empreintes humaines avec les évaluations du cycle de vie ou les empreintes énergétiques serait trompeuse. Luccioni a fait valoir que les êtres humains ne peuvent être comparés à des objets.

    « On ne peut pas simplement prendre l'estimation de l'empreinte carbone totale d'un individu pour toute sa vie et l'attribuer à sa profession. C'est la première chose fondamentale qui n'a pas de sens. Ensuite, comparer l'empreinte humaine à l'évaluation du cycle de vie ou à l'empreinte énergétique n'a pas de sens, car on ne peut pas comparer des êtres humains à des objets », a déclaré Luccioni. Elle a ajouté que l'analyse du cycle de vie nécessite des données exhaustives qui sont souvent exclusives et cachées, ce qui rend impossible l'estimation précise de l'empreinte carbone. Les entreprises d'IA sont réticentes à rendre ces données publiques.

    Le principal problème semble être donc le manque de transparence des entreprises technologiques. « Sans accès aux détails clés concernant l'utilisation du matériel, la consommation d'énergie et les sources d'énergie, les estimations de l'empreinte carbone sont impossibles. S'il manque l'un de ces trois éléments, il ne s'agit pas d'une estimation de l'empreinte carbone. Nous ne disposons d'aucune donnée sur les émissions de gaz à effet de serre. Nous ne disposons d'aucune de ces données pour GPT. Nous ne connaissons pas sa taille. Nous ne savons pas où il fonctionne. Nous ne savons pas combien d'énergie il consomme », a fait remarquer Luccioni.

    « Nous ne savons rien de tout cela. Sans un partage ouvert des données, l'impact de l'IA sur le carbone restera incertain », a-t-elle ajouté. Elle a également noté, de manière peut-être un peu ironique, que les chercheurs ont utilisé son travail pour évaluer les émissions de carbone du modèle BLOOM. Les critiques ont insisté sur la nécessité d'adopter une approche transparente et scientifique de ces questions complexes, plutôt que de faire des affirmations non fondées. De leur côté, les auteurs de l'étude ont reconnu la possibilité d'effets de rebond, où l'efficacité accrue des modèles d'IA pourrait conduire à une plus grande utilisation.

    Ce qui pourrait ensuite compenser les réductions d'émissions. Andrew Torrance, chercheur invité à la Sloan School of Management du MIT, a souligné l'imprévisibilité des systèmes complexes et la nécessité de prendre en compte les interactions entre le climat, la société et l'IA. Leur conclusion selon laquelle l'IA pourrait réduire les émissions peut sembler surprenante pour beaucoup de personnes. Toutefois, dans le contexte de ces trois systèmes complexes en collision, les chercheurs suggèrent qu'il est tout à fait raisonnable que les gens aient pu deviner de manière erronée la réponse. Une affirmation contestée par de nombreux critiques.

    L'étude intitulée est "The Carbon Emissions of Writing and Illustrating Are Lower for AI than for Humans" et examine de près deux tâches populaires de l'IA : l'écriture et l'illustration par l'IA. Elle émane d'auteurs de l'université de Californie-Irvine, du MIT, de la faculté de droit de l'université du Kansas, etc.

    Source : Rapport de l'étude

    Et vous ?

    Quel est votre avis sur le sujet ?
    Que pensez-vous des conclusions de l'étude ?
    Que pensez-vous de la méthodologie utilisée par les chercheurs pour estimer les émissions des systèmes d'IA ?
    La méthodologie est-elle fondée ? Que pensez-vous des critiques à l'égard de cette méthodologie ?
    Comment peut-on analyser efficacement l'empreinte carbone des systèmes d'IA ?

    Voir aussi

    L'IA aide et nuit à l'environnement, le meilleur nouveau scientifique du monde pourrait être une IA. Stanford présente l'édition 2023 de son rapport annuel AI Index

    L'adoption croissante de l'IA aura des effets dramatiques sur le changement climatique, avertissent les écologistes

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  5. #5
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