Des IA pourraient remplacer les élus corrompus
Des IA pourraient remplacer les élus corrompus
Macron est le meilleur leader de l'histoire de France !!!
J'espère que le constitution sera modifiée pour qu'il puisse se représenter en 2027
Macron a déja 100 millios d'euro balancé poures voiture électrique dont personne ne veut et qu'il ne peut pas rembourser alors l'IA... Vraiment ça part en couille de tout les côté avec lui.
Bonne idée ! Le premier poste où je verrais bien de l'IA, c'est au sein du gouvernement: on dégage tous les ministres et leurs sous-fifres, et on les remplace par de l'IA. Le résultat ne pourra pas être pire.Emmanuel Macron affiche à nouveau sa volonté de faire de la France un leader incontesté en matière d'IA, qu'elle diffusera partout et pour tous
La France en tête du classement des pays d'Europe où les startups d'IA générative ont levé le plus de fonds avec 2,29 milliards de dollars
tandis que Londres compte le plus grand nombre de startups d'IA
Un nouveau rapport de la société de capital-risque Accel Partners révèle que la France est le pays qui abrite les startups d'IA générative les mieux financées d'Europe. Les startups d'IA basées en France (Mistral AI, Hugging Face, Owkin, etc.) ont bénéficié d'un financement total estimé à 2,29 milliards de dollars. Par contre, c'est à Londres que l'on trouve le plus grand nombre de startups d'IA générative. Le rapport révèle également que la plupart des entreprises d'IA générative les mieux financées d'Europe ont été fondées par des entrepreneurs ayant acquis de l'expérience chez des géants américains de la technologie, soit un quart des startups d'IA prises en compte.
Les startups françaises d'IA générative attirent les plus gros financements en Europe
Accel a analysé le paysage des entreprises d'IA générative en Europe et en Israël et en a tiré des conclusions pour le moins intéressantes. L'étude, réalisée en partenariat avec Dealroom, porte sur 221 entreprises d'IA générative en Europe et en Israël. La France apparaît comme le chef de file du financement de l'IA générative en Europe et en Israël, devançant d'autres acteurs clés de la région. Selon les auteurs de l'étude, l'augmentation des investissements et du nombre de startups dans la région témoigne d'une évolution notable vers l'exploitation de l'IA pour trouver des solutions transformatrices dans divers secteurs d'activité.
Le rapport révèle que la France est le pays qui abrite les startups d'IA générative les mieux financées en Europe et en Israël. Les startups basées dans l'Hexagone ont attiré un financement total estimé à 2,29 milliards de dollars ; Mistral AI arrive en tête avec 1,1 milliard de dollars, suivi par Hugging Face (396 millions de dollars), Owkin (335 millions de dollars) et The "H" Company (235 millions de dollars). Mistral AI, dont le siège est à Paris et qui est largement considéré comme un rival européen d'OpenAI, a levé la semaine dernière 600 millions d'euros (644 millions de dollars), ce qui porte sa valorisation à 5,8 milliards d'euros.
Hugging Face, le référentiel open source pour les modèles d'IA, a levé 235 millions de dollars en août 2023. Par ailleurs, une nouvelle organisation axée sur la recherche appelée Kyutai, basée à Paris, serait elle-même armée de centaines de millions d'euros pour faire des vagues dans le domaine des modèles d'IA open source. Les startups d'IA génératives basées en France sont suivies par leurs rivales basées au Royaume-Uni (Stability AI, Synthesia et PolyAI sont parmi les plus grands acteurs de la région). Selon Accel, les startups d'IA générative du Royaume-Uni ont récolté un financement total estimé à 1,15 milliard de dollars.
Les startups d'IA générative basées en Israël ont récolté 1,04 milliard de dollars, grâce à des startups comme AI21 et Run:AI, acquises récemment par Nvidia. La récolte des startups basées en Allemagne a atteint 636 millions de dollars, le tour de table de 500 millions de dollars d'Aleph Alpha l'année dernière représentant la majeure partie de ce montant. D'autres pays de la région ont recueilli moins de 160 millions de dollars chacun, parfois beaucoup moins, certains pays d'Europe n'ayant obtenu qu'un financement global à sept chiffres. Cependant, la France n'est pas le pays européen avec le plus de startups d'IA générative.
Ensemble, l'Europe et Israël représentent quelque 45 % de l'ensemble des financements annuels à risque, mais si l'on transpose ce chiffre à la sphère spécifique de l'IA, la proportion tombe à moins de la moitié de ce chiffre ; les financements sont encore plus faibles dans le domaine de l'IA générative. Selon les analystes, on peut y voir le signe que l'Europe et Israël sont à la traîne sur le marché. Ou, de manière plus optimiste, cela signifie que nous assisterons à un certain nombre de développements intéressants dans les mois et les années à venir, à mesure que la région rattrapera son retard.
Les Big Tech américains sont attirés par le vivier de talents en IA produits en France
C'est à Londres que l'on trouve le plus grand nombre de startups d'IA générative. Sur les 221 entreprises prises en compte dans l'étude, quelque 27 %, soit près d'un tiers du groupe, sont basées à Londres. Tel-Aviv occupe la deuxième place avec 13 %, Berlin (12 %) et Amsterdam (5 %). Il est intéressant de noter que, bien que Paris soit la ville dont tout le monde parle depuis un certain temps comme étant un foyer de développement à fort potentiel pour l'IA, elle se retrouve au milieu du classement des villes, avec 10 %. Mais ces startups parisiennes ne manquent pas de punch, à en juger par les sommes qu'elles récoltent.
Pour Harry Nelis, partenaire général d'Accel, ces chiffres reflètent l'emplacement de certains des meilleurs établissements d'enseignement, qui produisent de nombreux talents techniques, ainsi que les grandes entreprises technologiques qui développent leurs propres activités pour exploiter ces talents. Nelis explique : « vous pouvez voir l'importance d'un investissement réel et à long terme dans l'éducation qui produit beaucoup de fondateurs à Paris. Il en va de même pour Londres, qui se nourrit d'écoles comme Cambridge, Oxford et l'UCL ». Ce vivier de talents attire les grandes entreprises technologiques.
Le rapport souligne que les startups d'IA générative les mieux financées en Europe et en Israël ont toutes un point commun : l'expérience des grandes entreprises technologiques. En effet, si les startups peuvent se sentir comme le creuset du développement de l'IA, les Big Tech ont un rôle majeur à jouer dans l'alimentation des flammes. En examinant la longue traîne des startups d'IA générative en Europe et en Israël, les analystes ont constaté qu'environ 25 % d'entre elles ont des fondateurs qui ont travaillé auparavant chez Alphabet (DeepMind ou Google), Apple, Amazon, Meta ou Microsoft. (Ce groupe porte l'acronyme MAAMA.)Envoyé par Extrait du rapport d'Accel et Dealroom
Et plus on monte dans la hiérarchie, plus le club devient prestigieux. Parmi les 10 premières startups d'IA générative, par moins de 60 % des fondateurs proviennent de l'un des MAAMA. Mais encore, une entreprise en particulier, notamment Google, se distingue par sa capacité à créer des fondateurs de startups d'IA, dépassant même certaines des universités les plus prestigieuses du monde une fois que l'on compte les personnes. Il ne s'agit pas d'un message brillant destiné aux outsiders et aux marginaux, bien que cela aussi soit susceptible d'évoluer et de s'étendre au fur et à mesure que le domaine mûrit et se développe.
Selon Accel, Google est le principal producteur de nouvelles startups d'IA générative en Europe et en Israël, avec 11,3 % des entreprises d'IA générative dont les fondateurs ont une expérience passée chez le géant de la recherche en ligne. DeepMind, qui appartient également au groupe Alphabet, est en deuxième position, produisant 5 % des entreprises d'IA générative. Meta est en troisième position, avec 4,1 %. Dans le cas de Mistral AI, les cofondateurs Timothée Lacroix et Guillaume Lample ont tous deux travaillé chez Meta. (Les mêmes tendances semblent s'observer dans le cas des startups d'IA générative aux États-Unis.)
Quant à la startup d'IA française H, soutenue par Amazon, elle a été cofondée par deux anciens chercheurs de DeepMind, Laurent Sifre et Karl Tuyls, et par un ancien étudiant de l'université de Stanford, Charles Kantor. Les universités britanniques sont la destination d'étude la plus populaire pour les créateurs de startups d'IA générative. L'université de Cambridge produit le plus grand nombre d'entreprises d'IA générative, 7,9 % des fondateurs ayant étudié dans cette université. L'École polytechnique de Paris est la deuxième usine à fondateurs universitaires en Europe, avec 7 % des entrepreneurs en IA générative qui y ont étudié.
Source : Accel
Et vous ?
Quel est votre avis sur le sujet ?
Pourquoi les startups françaises d'IA générative raflent-elles la mise en matière de financement en Europe ?
Pourquoi la France semble-t-elle si attractive pour l'implantation de startups d'IA en Europe ?
L'attrait des géants de la Tech pour les diplômés français signifie-t-il que la France produit des talents en IA de qualité supérieure ?
Comment la France peut-elle exploiter son vivier de talents pour devenir un leader mondial dans le domaine de l'IA ?
Les investissements de la France dans le domaine de l'IA sont-ils à la hauteur comparativement à ceux des États-Unis et de la Chine ?
Les universités françaises sont-elles en mesure de maintenir ce niveau de compétitivité à long terme ? Quels sont leurs atouts ?
Le rapport reflète-t-il la réalité ? Les Big Tech sont-ils attirés par les talents ou par les facilités fiscales et le faible niveau des salaires par rapport aux États-Unis ?
Voir aussi
Emmanuel Macron affiche à nouveau sa volonté de faire de la France un leader incontesté en matière d'IA, qu'elle diffusera partout et pour tous, son plan d'action tient sur cinq axes prioritaires
217 emplois supprimés et remplacés par l'IA en France, l'entreprise de veille médiatique Onclusive va supprimer ces emplois au profit de l'intelligence artificielle
Mistral AI : la start-up française qui défie OpenAI lève 105 millions d'euros pour développer et démocratiser son IA générative open source
Il faut vite rajouter des taxes et de la réglementation!!!!
C'est injuste que ce domaine soit privilégié par rapport aux autres.
[Mode TROLL]
Tout dépendra des résultats des logislatives, certains partis sont plus fan de taxes que d'autres ...
[/Mode TROLL]
Les progrès de l'Europe en matière d'IA sont "insuffisants" pour concurrencer les États-Unis et la Chine, un rapport souligne le "pouvoir hégémonique" des États-Unis en matière d'IA et les risques pour l'Europe
La réglementation de l'Union européenne en matière d'intelligence artificielle (IA) est « insuffisante » pour rivaliser avec les progrès réalisés par les États-Unis et la Chine dans l'exploitation de cette technologie, ont déclaré des législateurs français. Un récent rapport souligne le « pouvoir hégémonique » des États-Unis en matière d'IA et les risques que cela représente pour l'Europe.
Ces révélations font suite à la publication, en mars 2024, d'une liste de recommandations par la Commission française de l’IA pour faire de la France un leader mondial de l'IA. La Commission a notamment proposé six axes majeurs d’action comprenant, entre autres, le lancement immédiat d'un plan de sensibilisation et de formation de la nation ; la réorientation structurelle de l'épargne vers l'innovation et la création d'un fonds « France & IA » ainsi que la promotion d'une gouvernance mondiale de l'IA.
Dans la même perspective, le président français Emmanuel Macron a également affiché, en mai 2024, sa volonté de faire de la France un leader incontesté en matière d'IA. Son plan d’action tient sur cinq axes prioritaires dont la formation de la ressource humaine et la revue à la hausse des financements dans la filière. Ces initiatives se multiplient et soulèvent la question de savoir quelles sont les raisons pour lesquelles l’Europe et la France continuent d’être à la traîne face aux entreprises américaines dans le domaine de l'IA.
Ce mois de décembre 2024, un nouveau rapport de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), un organisme indépendant au sein du Parlement, a mis en lumière la situation de la France et d'autres pays européens en matière d'IA.
« L'enjeu est celui de la souveraineté numérique, pour éviter de devenir une simple colonie numérique », a déclaré Corinne Narassiguin, sénatrice du Parti socialiste et l'un des trois rapporteurs du rapport, lors d'une conférence de presse.
« L'Union européenne se concentre actuellement sur la régulation de l'IA, mais cela reste insuffisant face à la taille et aux progrès des puissances américaine et chinoise », a-t-elle ajouté.
« La souveraineté numérique face à la domination américaine appelle au développement d'acteurs français et européens puissants ».
Le rapport précède un sommet d'action sur l'IA qui se tiendra en France en février 2025 et qui vise à rassembler autant de « parties prenantes de l'écosystème de l'IA que possible, de tous horizons », selon la page de l'événement.
Les législateurs notent dans le rapport qu'« aucune puissance n'est aujourd'hui en mesure de contrôler l'ensemble de la chaîne de valeur sur son seul marché domestique », ce qui leur donnerait « une véritable souveraineté dans le domaine de l'IA ».
Les deux tiers des puces informatiques utilisées aux États-Unis, par exemple, proviennent de Taïwan, indique le rapport.
Toutefois, les entreprises européennes sont absentes de certaines parties de la chaîne d'approvisionnement, telles que la fabrication d'unités de traitement graphique ou de semi-conducteurs.
Le rapport fait également état d'une fuite des cerveaux des pays européens au profit des entreprises américaines.
Bien qu'il existe quelques acteurs européens notables, comme la société d'intelligence artificielle Mistral basée en France, les États-Unis « sont actuellement la puissance hégémonique de l'intelligence artificielle ».
Néanmoins, les parlementaires ont également déclaré que l'UE pouvait être considérée comme offrant « une plus grande confiance » aux modèles grâce à sa réglementation en matière d'IA.
Recommandations en vue du sommet sur l'IA
L'Office prévoit de présenter ses conclusions et recommandations au gouvernement français, actuellement plongé dans une crise politique.
Le pays doit organiser un sommet dans trois mois, après le sommet sur la sécurité de l'IA qui s'est tenu l'année dernière au Royaume-Uni. L'événement portera sur la construction d'un secteur de l'IA qui soit dans l'intérêt du public, selon l'Elysée.
En amont de l'événement, le groupe parlementaire français a formulé plusieurs recommandations sur l'IA, dont l'une consiste à regrouper les multiples projets de gouvernance mondiale au sein d'une organisation unique.
Les auteurs suggèrent de les placer sous l'égide des Nations unies.
« L'importance et la spécificité (de l'IA) appellent à la création d'une nouvelle institution spécialisée dans le cadre du système (des Nations unies), dont le champ d'action s'étendrait de la coordination internationale de la réglementation de l'IA à la lutte contre la fracture numérique mondiale », indique le rapport.
Une autre recommandation au niveau international est de lancer un projet européen sur l'IA qui inclurait la France, l'Allemagne, les Pays-Bas, l'Italie et l'Espagne.
Cette idée n'est pas nouvelle et a été envisagée depuis 2017, précisent les auteurs, mais n'a pas été mise en œuvre concrètement.
Il est toutefois important de rappeler que l'AI Act, le nouveau règlement en matière d'IA de l'Union européenne (UE), est entré en vigueur le 1er août 2024. Cette législation vise à encourager le développement et l’adoption de systèmes d’IA sûrs et fiables sur le marché unique de l’UE, tant par les acteurs privés que publics.
Elle s’efforce également de garantir le respect des droits fondamentaux des citoyens de l’UE tout en stimulant les investissements et l’innovation dans le domaine de l’intelligence artificielle en Europe.
Et vous ?
Quel est votre avis sur le sujet ?
Trouvez-vous les conclusions de ce rapport de l'OPECST crédibles ou pertinentes ?
Voir aussi :
Les législateurs européens adoptent la première loi importante pour réglementer l'IA dans le monde, mais elle pourrait potentiellement rendre le marché européen peu attrayant pour l'IA
Les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Union européenne signent le premier traité juridiquement contraignant sur l'IA visant à promouvoir le progrès tout en gérant les risques potentiels de l'IA
La nouvelle loi européenne sur l'IA est menacée par le lobbying intense des grandes entreprises technologiques, elles font pression pour retirer "les modèles de base" de la réglementation
Contribuez au club : corrections, suggestions, critiques, ... Contactez le service news et Rédigez des actualités
Les réglementations de l'Union européenne , sont les pires boulets, pour chaque pays membre de l'Union européenne .
Quelque soit le domaine
Si tu veux avancer.
être libre .
Il faut sortir de l'Union européenne !!!
Aujourd'hui .
Même les Polonais commencent a ressentir ce goût d'amertume !!!.
Eux aussi rêvent de liberté d'avancer !!!
Comme nous!!!
Ne pas savoir n’est pas une faute si l’on cherche à combler ses lacunes.
"Il n'y a pas d'obstacles infranchissables , il y a des volontés plus ou moins énergiques voilà tous" Jules Vernes
La solution pour l'IA serait de créer une nouvelle taxe et une nouvelle réglementation.
Tu a mieux a proposer comme coups de génie ?mith06
Le 11/12/2024 à 8:43
La solution pour l'IA serait de créer une nouvelle taxe et une nouvelle réglementation.
Ou ...
C'est bonne blague de ta part ?
Ne pas savoir n’est pas une faute si l’on cherche à combler ses lacunes.
"Il n'y a pas d'obstacles infranchissables , il y a des volontés plus ou moins énergiques voilà tous" Jules Vernes
Partager