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  1. #1741
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    Citation Envoyé par petitours Voir le message
    Pas que. Nos lois n'autorise pas de manipuler les gens
    S'il y a infraction de la loi, la justice fera son travail. En attendant, il y a surtout du bruit côté exécutif (bonjour la séparation des pouvoirs). Et quand bien même il y aurait entorse légal, on ne pourrait pas reprocher au concerné de vouloir museler la liberté d'expression, quand c'est son utilisation même qui le condamnerait .

    Citation Envoyé par petitours Voir le message
    C'est donc de fait une limite sociétale à la "liberté" d'expression que Musk doit respecter comme tout un chacun est sensé respecter les autres en société.
    Et c'est donc bien notre société qui a une liberté d'expression toute relative, et non la démarche de Musk. Le problème est de mélanger jugement de valeur et définition. Nous sommes dans un système dans lequel la liberté d'expression est limité.

    Citation Envoyé par petitours Voir le message
    comme il a acheté le réseau pour faire de la politique pour le bien de ses activités commerciales il n'y a évidement pas liberté d'expression mais juste promotion de ce qu'il veut.
    Il a sûrement acheté pour faire de la politique, et peut être il en sera de même bientôt pour Tiktok. Mais la non plus je ne vois pas pourquoi c'est différent d'autres milliardaires qui s'achètent divers médias. C'est juste l'époque qui change et donc les médiums également.
    Mais le rapport avec le business, pour le moment je ne vois pas trop. Qu'il veuille transformer X en un service fourre tout oui, mais pour l'instant ses prises de position lui valent des boycotts de Tesla, de la part de pigeons ( ils se reconnaîtront) qui l'ont encensé quand il était du bon côté.
    Sur spaceX, il n'y a pas beaucoup d'utilisateur qui ont un poids sur un recours ou non à ses services !

  2. #1742
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    Par défaut Liberté et liberté

    LIBRE : État de celui, qui n'a pas d'entrave, qui n'est soumis à aucune contrainte, ni matérielle ni humaine, donc qui n'a pas de maître.



    Deux points (dans un monde parfait, bien entendu):

    1) la Liberté dans et de l’État
    -Qu'un État souverain, au travers de ses représentant ÉLUS, réclame la documentation d'une entreprise privée, si sa sécurité en dépend, c'est naturel, c'est l'expression de son pouvoir régalien de protection du Peuple dans la Nation.

    -Que l'administration non élue d'une entité géographique pluripolitique car pluriétatique, réclame de la documentation à une entreprise étrangère pour empêcher cette dernière d'avoir de l'influence sur la politique intérieure de l'entité, c'est bien naturel semble-t-il... Sauf que cette administration n'a pas le mandat du peuple, que les États adhérents étant encore souverains, il leur revient de faire cette demande.

    Donc, pour ma part, si l'UE veut cette doc, ce sont les États qui devraient désigner qui doit en faire la demande. Le cas qui nous intéresse est bien plus l'expression d'un État fédéral, or, cet État fédéral, en l'occurrence, n'existe pas (encore) pour l'UE, c'est donc un abus de pouvoir de l'administration de l'UE. On pourrait dire que l'UE s'arroge des pouvoir qu'elle n'a pas en les volant aux États.

    Je ne suis pas économiste, cependant, je sais que l'économie selon J.M.Keynes implique le contrôle de l’État sur l'économie afin de réguler cette dernière (régulation des cycles économiques pour le "bien" du peuple).
    -Si la touche de l'Etat reste l'émission de la monnaie et une régulation détachée de ladite économie, on est en économie libérale (il y a des riches, il y a des pauvres, les riches sont riches, les pauvres sont pauvres, mais par leur acharnement, ils ont la possibilité de s'enrichir...).

    -Si la touche de l’État est lourde, d'une part elle continuera à s’alourdir, le système deviendra socialiste (étatisation totale) d'autre part la richesse ne sera plus créé puisque pour réguler l'économie, l’État puise et épuise d'abord l'entrepris puis le peuple par l'impôt (il y a des riches, il y a des pauvres, les plus riches fuient s'ils le peuvent, les autres riches sont ruinés, les pauvres reste pauvres, mais, les proches du système en profitent et les commités Théodule et autres structures étatiques s'épanouissent à outrance, il faut bien caser les copains)

    Je sais que la communisation d'une Nation passe par sa socialisation, c'est à dire par la confiscation de tous les pouvoirs par l’État. C'est ce que l'UE fait. Corolaire de la chose, des LOIS et encore des NORMES, tout doit être régulé par l’État, c'est du Keynésianisme extrème.

    Puisque l’État confisque les droits à coup de lois, il n'y a plus de Liberté, et, à minima il ne reste au ¨Peuple et à la Nation", que la volonté de l'UE.

    Conclusion l’Étatisme à privé le Peuple de sa Liberté, et se faisant, par sa socialisation, il a rejeté la sienne propre : l’État devient communisant.

    2) La liberté et les contraintes d'opinion
    X a, comme TikTok, un pouvoir bien réel sur les prises de décision des gens.
    On connait depuis le années 1950 l’effet des images subliminales ou de la publicité cachée (bien que non prouvées scientifiquement, l'image subliminale reste employée par la publicité, les dessins animés, ou encore les politiques... CF la toile. Par contre ne pas y mêler le rock.... faudrait pas non plus exagérer sauf peut être pour le metal... mais c'est un autre sujet) )
    On sait, en publicité, qu'une campagne projetant n x tel sujet sur l'écran va créer un intérêt pour celui-ci. Il en va de même pour la musique, les radio passent 100 fois par jour une horreur, "c'est donc de la bonne"... Peut importe, au moins cela attire des annonceurs et donc de l'argent.

    J'imagine mal qu'une redondance d'images présentant telle Personne politique, proposée comme un héro Libre devant l'ogre européen, n'ait pas un impacte sur les votants, et, particulièrement, sur cette génération qui croient plus qu'elle ne connait, offrant là un terreau de qualité à l’orientation des opinions: puisqu'on ne voit que Lui ou Elle "c'est forcément bien !"

    //je dis "croient", parce que cette génération ne considère plus l'environnement de l'information, elle n'en a pas ou plus le temps. La vérité ne lui est pas utile puisqu'elle la possèdera avec son opinion (croyance)
    Du coup, ce à quoi les autres adhèrent, on y adhère aussi, on ne veut pas être différent de la masse.
    Il n'y a jamais personnalisation de l'Individu, parce que l'Individu doit faire partie de la ruche.
    Aussi si la ruche dit ceci est vrai, peut importe la réalité de cette opinion, la personne se doit d'y adhérer.
    La Vérité, le Réel n'a plus de sens, pas plus que le fond de l'idée...
    S'il y avait personnalisation de l'Individu, alors la Personne Humaine, l’Être Unique, deviendrait un trouble fête dans la ruche et en serait immédiatement éjecté, rejeté, exclus, voir désigné comme cible (on voit cela dans las cas extrêmes de narcissisme et harcèlement)

  3. #1743
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    Par défaut Tandis qu'Elon Musk met des fonctionnaires au chômage, il réclame sa rémunération de 56 Mds $ chez Tesla
    Alors qu'Elon Musk met des milliers de fonctionnaires au chômage, il réclame sa rémunération de 56 milliards de dollars chez Tesla
    faisant appel à la Cour suprême pour invalider une décision de justice qui la bloque

    Elon Musk tente une nouvelle fois d'obtenir le rétablissement de sa rémunération de 56 milliards de dollars versée à Tesla en faisant appel à la Cour suprême du Delaware. Dans les documents judiciaires, l'équipe juridique de Musk affirme que la juge Kathaleen McCormick de la cour de chancellerie du Delaware a commis de multiples erreurs juridiques lorsqu'elle a annulé son plan de rémunération, d'abord en janvier 2024, puis plus tard dans l'année, après que les actionnaires de Tesla eurent voté pour le rétablir. La situation est exacerbée par une autre controverse : la suppression massive d'emplois fédéraux aux États-Unis qu'il a enclenché en usant de ses pouvoirs au sein du DOGE de Trump.

    En vertu d'un accord conclu en 2018, largement considéré comme un coup de pub parce qu'il frise le ridicule, Elon Musk ne gagnerait rien de son travail à moins que la capitalisation boursière de Tesla ne passe de 53 milliards de dollars à 650 milliards de dollars. Bien qu'improbable, cette somme a culminé en novembre 2021 à 1,24 billion (billion étant 1000 milliards) de dollars, alors qu'elle s'élève aujourd'hui à 780,77 milliards de dollars.

    En contrepartie, Musk se verrait attribuer des options massives d'une valeur nominale de 56 milliards de dollars à l'époque.

    Mais la Cour de chancellerie du Delaware a décidé de l'annuler en janvier 2024 après qu'un actionnaire a allégué qu'elle était excessive. Le tribunal a estimé que la rémunération avait été approuvée illégalement en raison des liens étroits que Musk entretenait avec le conseil d'administration et de l'influence considérable qu'il exerçait sur l'entreprise de voitures électriques.

    Argumentant sa décision, la juge McCormick a déclaré :

    « Avec une valeur maximale de 55,8 milliards de dollars et une juste valeur à la date d'attribution de 2,6 milliards de dollars, le plan est la plus grande opportunité de rémunération potentielle jamais observée sur les marchés publics, et ce de plusieurs ordres de grandeur : 250 fois plus que le plan de rémunération médian contemporain des pairs et plus de 33 fois plus que la comparaison la plus proche du plan, qui était le plan de rémunération précédent de M. Musk ».

    En juin, Tesla a organisé un vote lors de son assemblée annuelle, demandant aux actionnaires de « ratifier » le plan de rémunération 2018, et s'est appuyé sur ce résultat pour contester la précédente décision du juge. « Si la Cour devait tolérer la pratique consistant à permettre aux parties défaites de créer de nouveaux faits dans le but de réviser les jugements, les procès deviendraient interminables », a écrit la chancelière Kathaleen McCormick dans son avis où elle a annulé la décision prise par les actionnaires.

    Répondant à un internaute sur X, Musk a qualifié la décision de « corruption absolue ». Voici le message de l'internaute :

    La juge activiste du Delaware Kathaleen McCormick refuse de rétablir le plan de rémunération d'Elon Musk pour Tesla, passant une fois de plus outre le conseil d'administration de l'entreprise et plus de 72 % de ses actionnaires. Au lieu de cela, elle a ordonné aux actionnaires de Tesla de payer 345 millions de dollars en frais de justice aux avocats représentant le plaignant, qui ne possédait que neuf actions de la société.

    La juge McCormick s'est déjà prononcée contre @elonmusk lors de l'acquisition de Twitter.

    Avant d'être nommé à la tête de la Cour de chancellerie du Delaware, McCormick a travaillé au sein du cabinet d'avocats Young Conaway, dans le Delaware. Depuis des décennies, ce cabinet et ses employés sont d'importants donateurs du président Joe Biden.

    En 2016, Hunter Biden a organisé un événement de la campagne du gouverneur pour le membre du Congrès John Carney dans les bureaux de Young Conaway à Wilmington, dans le Delaware. Le vice-président de l'époque, Joe Biden, était présent en tant qu'orateur invité. Carney, un ami proche de Joe Biden depuis plus de 40 ans, est devenu plus tard gouverneur et a nommé Kathaleen McCormick, alors associée chez Young Conaway, à son poste actuel à la Cour de la chancellerie du Delaware.

    Dans un courriel de mars 2018, Hunter Biden a affirmé qu'il avait des liens personnels avec chaque juge de la Cour de la chancellerie du Delaware. Il a écrit : « Je porterai plainte devant la Cour de la chancellerie du Delaware - qui, comme vous le savez, est mon État d'origine et j'ai le privilège d'avoir travaillé avec chaque juge de la Cour de la chancellerie et de les connaître. »

    Après qu'Elon Musk a acheté Twitter dans le but déclaré de promouvoir la liberté d'expression, le président Biden a publiquement demandé une enquête fédérale sur Musk. Par la suite, le ministère de la Justice, la Securities and Exchange Commission et la Federal Trade Commission de l'administration Biden ont lancé des enquêtes et des actions en justice visant Tesla, SpaceX et X.

    Cette dernière décision du juge McCormick, qui a des liens avec les principaux donateurs de Biden et qui a été nommé à la Cour par un proche allié de Biden, est un autre exemple de l'utilisation du système juridique par l'administration Biden et ses alliés « démocrates » pour cibler les opposants politiques.
    Le service juridique d'Elon Musk revient à la charge tandis que Musk participe à la suppression massive d'emplois fédéraux

    « Madame McCormick a eu tort d'annuler la rémunération record de Monsieur Musk en tant que PDG en estimant que le processus était injuste pour les investisseurs », ont déclaré les avocats de Tesla à la plus haute juridiction du Delaware, affirmant que ces investisseurs avaient bénéficié de son « leadership motivé et exceptionnel ».

    « Ce résultat contre-intuitif défie les principes établis de la loi du Delaware, de la bonne gouvernance d'entreprise et du bon sens », ont-ils insisté.

    Dans leur requête auprès de la Cour suprême du Delaware, les avocats de Musk ont argué que c'est le juge McCormick qui avait tort :

    « La cour de chancellerie a appliqué le critère onéreux de l'équité totale parce qu'elle a conclu que Musk contrôlait le conseil d'administration pendant la transaction », a déclaré l'équipe de Musk dans le document, qualifiant l'application de ce critère d'erreur juridique. « Musk possédait moins d'un quart des actions de Tesla, n'avait pas le pouvoir de dicter les conditions au conseil d'administration et n'a rien fait pour dominer ou contraindre les administrateurs pendant la transaction ».

    Les avocats de Musk affirment que le juge McCormick a mal appliqué la norme juridique en suggérant que Musk aurait pu accepter un plan de rémunération inférieur, si on le lui avait proposé, malgré « l'absence de preuves prouvant qu'il aurait accepté moins ».

    L'équipe d'Elon a également fait valoir que l'annulation du plan de paiement était également une erreur juridique car « ni Musk ni Tesla ne pouvaient être ramenés à leur position de 2018 - avant que Musk ne fasse croître l'entreprise de près de 1 400 % en espérant qu'il serait rémunéré dans le cadre du plan », et a également fait valoir que le vote des actionnaires pour réapprouver le plan aurait dû être suffisant pour annuler la décision de la Cour de chancellerie.

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    Un contraste saisissant : austérité publique et opulence privée

    En parallèle, nommé par le président Donald Trump à la tête du Département de l'Efficacité Gouvernementale (Department of Government Efficiency - DOGE), Elon Musk s'est vu confier la mission de rationaliser les dépenses fédérales et d'éliminer les inefficacités bureaucratiques. Cependant, les mesures entreprises ont rapidement pris la forme de licenciements massifs touchant des milliers de travailleurs fédéraux. Ces actions ont été perçues par beaucoup comme une attaque frontale contre la fonction publique, mettant en péril des services essentiels pour la population.

    Les critiques pointent du doigt une approche expéditive et déshumanisée des licenciements, souvent réalisés sans justification claire ni évaluation préalable des performances. Des employés avec des évaluations exemplaires ont été remerciés sous prétexte d'une inadéquation avec les « besoins actuels » de l'agence. Cette méthode rappelle tristement les pires pratiques en matière de gestion des ressources humaines, où l'absence de transparence et de respect des procédures légales est flagrante. ​

    De plus, la demande adressée à tous les employés fédéraux de justifier leurs activités hebdomadaires sous peine de licenciement a été perçue comme une manœuvre coercitive visant à instaurer un climat de peur et de soumission. Plusieurs agences, dont le Département de la Défense et le Département de la Santé et des Services sociaux, ont conseillé à leurs employés de ne pas répondre à cette injonction, soulignant ainsi le caractère abusif de la démarche.

    Le contraste entre les mesures d'austérité imposées aux employés fédéraux et la quête d'un package de rémunération astronomique chez Tesla est frappant. D'un côté, des milliers de travailleurs sont licenciés au nom de l'efficacité gouvernementale, souvent sans considération pour leur contribution ou leur bien-être. De l'autre, un dirigeant cherche à sécuriser une rémunération qui dépasse l'entendement, malgré les controverses entourant sa légitimité.​

    Cette dichotomie soulève des questions sur la responsabilité des leaders envers leurs employés et la société en général. Elle interroge également sur les valeurs qui guident les décisions à haut niveau, où l'efficacité économique semble primer sur l'humanité et la justice sociale.

    Sources : avocats d'Elon Musk, Tesla

    Et vous ?

    Le package de rémunération de 56 milliards de dollars est-il justifié par les performances de Tesla, ou représente-t-il une dérive du capitalisme de la Silicon Valley ?

    Comment éviter que des PDG exercent une influence excessive sur leur propre rémunération dans les entreprises qu’ils dirigent ?

    Une telle somme est-elle économiquement viable pour Tesla, ou risque-t-elle de fragiliser l’entreprise à long terme ?

    Réduire les effectifs fédéraux est-il une démarche nécessaire pour rendre l'administration plus efficace, ou s'agit-il d'une manœuvre autoritaire menaçant la stabilité du service public ?

    Au lieu de licenciements massifs, quelles autres stratégies pourraient être mises en place pour améliorer l’efficacité des agences gouvernementales ?
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  4. #1744
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    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    Le package de rémunération de 56 milliards de dollars est-il justifié par les performances de Tesla, ou représente-t-il une dérive du capitalisme de la Silicon Valley ?
    Sa rémunération est bien entendu pas du tout justifié, d'autant plus que les marchés ne lui font pas confiance. Le cours de Tesla a dégringolé, -38% depuis le début de l'année
    https://www.zonebourse.com/cours/act...A-INC-6344549/

    Je ne comprends pas comment on demandait une telle rémunération quand les marchés sont contre lui, qui ont perdu confiance suite à une forte baisse des ventes.
    Si Musk obtient une telle rémunération, je ne pense pas que cela s'arranger sur le cours. Musk ne peux pas l'ignorer.


    A la différence de Microsoft et de Google avec des clients extrèmement fidèles, permettant à ces 2 boites d'avoir une marge de maneuvre sans être trop à l'écoute de ses clients, pour Tesla, c'est tout autre. Beaucoup de clients sont partis.


    Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
    Une telle somme est-elle économiquement viable pour Tesla, ou risque-t-elle de fragiliser l’entreprise à long terme ?
    Si les clients sont partis et ne sont plus fidèle à Tesla, si le cours baisse, il est certain qu'une telle somme va fragiliser l'entreprise.

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