Je serais peut-être un peu plus cynique sur ce sujet.
Je ne penses pas que le mouvement est initialement institutionnel mais l'œuvre d'une minorité qui joue avec la "culpabilité blanche" de certaines institutions Américaine pour les pousser au changement.
Institutions qui vont ensuite vendre leur "innocence" à coup de pink washing.
Une sorte de down-top-down.
Le cynisme de cette démarche est que les institutions vont faire le maximum et donc plus que de raison pour être sûr d'être chat perché.
C'est là où les choses ne sont pas évidentes. La société est divisée en catégories donc le féminisme ou l'antiracisme avant le "wokisme" n'ont pas créé les divisions ils les ont constatées. Par contre c'est un amplificateur qui est parfois malheureux.
Je penses par exemple que l'immense erreur des wokiste Twitter consiste à faire opposer les "dominants" des "discriminés" alors qu'ils ont souvent un pied dans chaque catégorie et que ça les rend parfois antiwoke dans leurs propos.
Les groupes ne sont pas si arbitraires que ça (en général, ne vous penchez pas sur les derniers groupes de la longue chaine de LGBTQetc), ils correspondent à la façon dont on t'identifie dans la rue. Ce qui fait que je suis un homme cis quand je me balade en rue en général mais devient homo quand je me balade avec des potes homos ou trans. (Et oui il m'arrive de subir de l'homophobie malgré mon hétérosexualité)
Leur politique est vexatoire parce qu'ils dénoncent un "système" mais combattent des actes individuels. Du coup tout le monde se sent plus ou moins visé et ils génèrent une levée de bouclier générale.
Je suis relativement sur d'avoir lu des articles sourcés qui quantifiait une partie des disparités entre personnes cis et trans. Je n'avais pas lu les sources mais les avaient ouvertes et parcouru, ça avait l'air chiant comme une étude scientifique.
Mais je reconnais aussi facilement qu'une grande partie des choses que je lis la dessus est surtout l'illustration d'évènement vécu individuellement.
Juste pour se rendre un petit peu compte du caractère institutionnel du wokisme, voici un extrait d'interview d'Amy Gallagher (en anglais, désolé) dans l'affaire qui l'oppose à l'administration hospitalière anglaise:
J'attire l'attention sur le fait qu'il ne s'agit évidemment que de la version d'une des parties, mais c'est suffisant pour se rendre compte de la virulence de la réponse institutionnelle quand une employée (infirmière) ose désapprouver un cursus sur la théorie critique de la race.
Coupler sarcasmes, insultes et politique. Quel homme... Et tout ça pour finir sur une conclusion d'insulte mi-molle qui démontre par A + B que tu n'as même pas lu ce que j'ai écris.
Honnêtement, j'aurais pu t'insulter ou te manquer de respect aussi, mais tu le fais déjà mieux que moi
Twitter a maintenant du mal à payer certains employés en Europe à temps,
après les départs massifs qui ont touché son service des salaires
Twitter enquête sur les raisons pour lesquelles certains employés en Europe n'ont pas reçu leur salaire de novembre en temps opportun dans un contexte de réduction du personnel et de licenciements massifs dans l'entreprise depuis la prise de contrôle d'Elon Musk.
Le personnel de Twitter au Royaume-Uni a reçu un e-mail juste avant 13 heures, heure de Londres, le 25 novembre, leur indiquant que leur date de paiement serait le 28 novembre. Parallèlement à l'e-mail, envoyé par l'équipe de paie EMEA, le personnel a reçu ses fiches de paie mensuelles habituelles. Cependant, le personnel au Royaume-Uni et en Allemagne ne semble pas avoir été payé à temps.
« Il a été porté à notre attention que certains d'entre vous n'ont peut-être pas encore reçu votre salaire de novembre 2022 sur votre compte bancaire », lit-on dans un e-mail envoyé au personnel actuel et ancien. « Les paiements sont passés par notre compte bancaire Twitter, et comme d'habitude, sans changement dans le processus ».
L'e-mail indique que cela « pourrait être un retard dans le règlement interbancaire », mais ajoute que la société « enquête activement [sur le sujet] avec notre banque et vous tiendra au courant ».
Quatre sources indépendantes au Royaume-Uni et en Allemagne ont déclaré qu'elles n'avaient pas reçu de paiement le matin où leurs salaires étaient dus. Les sources comprenaient des employés actuels et anciens, ces derniers devant toujours être payés selon les conditions de leur libération de l'entreprise.
Habituellement, le personnel de Twitter est payé le 28 de chaque mois. Si la journée tombe un lundi, le personnel voit généralement son salaire comme un paiement en attente le vendredi qui est finalement passé dans les comptes à minuit le samedi.
Twitter a déjà été critiqué par d'anciens membres du personnel pour ne pas avoir payé leurs dépenses à temps. Les anciens employés de Twitter qui ont engagé des dépenses tandis qu'ils travaillaient pour l'entreprise doivent des milliers de dollars qui s'affichent sur leurs comptes bancaires personnels.
Alors que le personnel au Royaume-Uni et en Allemagne n'a pas été payé, ceux aux Pays-Bas et en Irlande l'ont été, ce qui suggère que le problème est un problème de personnel et de fonctionnement, plutôt qu'un refus systématique de payer les travailleurs. « L'entreprise n'est tout simplement pas bien gérée », a déclaré un ancien membre du personnel britannique concerné.
Des services considérablement réduits, voire inexistants
Une grande partie de l'organisation financière de Twitter, y compris son service de paie, a quitté l'entreprise en réponse à un ultimatum d'Elon Musk qui s'est visiblement retourné contre lui. Outre le service de la paie, l'équipe de Twitter chargée de la fiscalité américaine et l'équipe chargée de l'information financière ont également démissionné, ont déclaré deux personnes au fait de la question. Ces trois segments de l'entreprise font partie de l'organisation financière et comptable de Twitter. Bien que la comptabilité ait été « moins touchée » par les démissions, cette partie de l'organisation est également plus petite maintenant, a déclaré l'une des personnes.
La perte des employés du service des salaires et d'autres services financiers s'inscrit dans le cadre d'une démission massive des employés de Twitter qui ont refusé de s'engager dans le projet de Twitter 2.0 proposé par Musk. Dans un courriel, le milliardaire a déclaré que la plateforme sera désormais un lieu de travail « extrêmement hardcore » et axé sur l'ingénierie. Il a donné une fenêtre d'un peu plus de 24 heures à l'ensemble de l'entreprise pour décider si elle souhaitait s'engager à travailler avec cette culture d'entreprise. Ceux qui voulaient poursuivre l'aventure devaient manifester leur approbation en cliquant sur un lien inclus dans l'e-mail. Ceux qui n'ont pas cliqué sur le lien, qui ne comportait qu'une option "oui", étaient alors considérés comme démissionnaires et devaient recevoir trois mois de salaire à titre d'indemnité de départ, a expliqué Elon Musk.
Les implications
Un ancien employé de Twitter a partagé des captures d'écran de son compte bancaire montrant que son salaire non payé l'avait poussé à un découvert. L'ancien membre du personnel est également redevable des dépenses de l'entreprise encourues pendant qu'il y travaillait. « D'abord, on vous dit [sic] you are out [vous n'êtes plus dans l'équipe], mais nous allons essayer de sauver votre emploi », a déclaré l'ancien employé. « Ensuite, on vous dit que vous serez payé, donc vous ne pouvez pas commencer à travailler [ailleurs] ou être payé pour un [autre] travail, sinon vous êtes viré. C'est maintenant le jour de paie et les prélèvements automatiques commencent à être prélevés sur un compte pratiquement vide ».
« J'ai honte d'avoir fait confiance aux paroles des cadres supérieurs qui ont maintenant tous reçu leur argent et en profitent avec joie, tandis que nous autres souffrons comme ça. C'est une façon très dure de pousser les gens à démissionner plutôt que d'attendre leurs indemnités de départ ».
Hier, à midi, heure du Royaume-Uni, certains membres du personnel ont signalé qu'ils étaient payés avec une référence de paiement atypique de la façon dont Twitter paierait habituellement leurs salaires – bien qu'un ancien employé ait estimé qu'environ 80% des travailleurs n'avaient pas été payés vers 13 heures, heure du Royaume-Uni, sur la base de conversations tenues dans un groupe Slack contenant des employés anciens et actuels.
Un ancien membre du personnel a partagé une capture d'écran montrant qu'un paiement avait été effectué, puis annulé, hier matin. Un autre ancien employé de Twitter a déclaré qu' « au moins 20 personnes ont dû appeler leurs fournisseurs de prêts hypothécaires en raison d'un manque de fonds, car leur salaire n'est pas arrivé à temps » .
À 18 heures, heure du Royaume-Uni, certains membres du personnel au Royaume-Uni n'avaient toujours pas été payés, selon ceux qui avaient accès au groupe. Certains ont reçu un e-mail suggérant que les banques réceptrices faisaient l'objet de contrôles antifraude.
D'autres ont rapporté que les paiements provenaient de différentes banques que Twitter n'utiliserait généralement pas pour payer les salaires, contrairement aux affirmations antérieures de Twitter au personnel selon lesquelles les choses se passeraient « comme d'habitude, sans changement du processus ».
Et vous ?
Une situation qui était prévisible ?
Quelle lecture en faites-vous ?
Les licenciements et des démissions ont vidé l'équipe de Twitter chargée de la sécurité des enfants,
alors que Musk a déclaré que la lutte contre les abus envers les enfants est sa principale priorité
Il y a quelques semaines, Elon Musk, PDG de Twitter, a demandé à ses employés restants de faire preuve de loyauté en les incitant à cliquer sur un lien "oui" dans un courriel. En cliquant sur "oui", les employés disaient à Musk qu'ils étaient d'accord pour travailler plus longtemps, s'ils pouvaient garder leur emploi. C'était la façon dont Musk voyait qui, dans son équipe existante, était vraiment prêt à s'aligner sur ses efforts "hardcore" pour construire Twitter 2.0. Musk a rapidement compris à quel point son offre était peu attrayante lorsqu'un nombre écrasant d'employés n'ont pas cliqué sur le bouton "oui". Parmi ceux qui ont rejeté les conditions sévères de Musk, il y avait apparemment près de la moitié de l'équipe mondiale de Twitter dédiée à la prévention de l'exploitation sexuelle des enfants sur la plateforme.
Il ne reste plus qu'un seul employé de Twitter au sein d'une équipe chargée de supprimer les documents relatifs aux abus sexuels sur les enfants au Japon et dans la région Asie-Pacifique, a rapporté Wired. Twitter employait auparavant au moins quatre employés chargés de la sécurité des enfants dans ces régions, a découvert Wired sur LinkedIn. Ces employés étaient basés à Singapour, le siège asiatique de Twitter, mais trois d'entre eux ont publiquement quitté Twitter en novembre. Des sources ont déclaré que cela ne laissait qu'un seul employé à temps plein en Asie-Pacifique pour s'attaquer au problème massif du CSAM (child sex abuse material : exploitation sexuelle des enfants) sur Twitter. La région Asie-Pacifique abrite 60 % de la population mondiale, soit environ 4,3 milliards de personnes. Le Japon n'arrive qu'en deuxième position derrière les États-Unis pour le nombre d'utilisateurs de Twitter, avec 59 millions, selon les données de Statista.
Parallèlement, trois personnes connaissant bien les effectifs actuels de Twitter ont déclaré à Bloomberg que lorsque 2022 a commencé, Twitter comptait 20 membres de l'équipe chargés d'examiner et de transmettre à l'échelon supérieur les rapports sur les documents relatifs à l'exploitation sexuelle des enfants. Aujourd'hui, après les licenciements et les démissions, il y a moins de 10 spécialistes formant ce que Bloomberg a décrit comme « une équipe squelettique débordée ». « Musk n'a pas créé un environnement dans lequel l'équipe voulait rester », ont déclaré des sources à Bloomberg.
Le personnel que Musk a perdu, selon Bloomberg, comprenait des experts en sécurité des enfants et d'anciens agents des forces de l'ordre aux États-Unis, en Irlande et à Singapour. Les sources ont déclaré que cette équipe travaillait déjà plus longtemps (avant que Musk ne demande aux employés de s'engager à faire plus d'heures) juste pour essayer de suivre le flux constant de rapports d'utilisateurs et de demandes légales.
Ces personnes ont supprimé les CSAM, ont aidé les enquêtes des forces de l'ordre et en se basant sur le raisonnement humain plutôt que sur l'intelligence artificielle ont identifié les comptes qui préparent des mineurs ou promeuvent l'attirance pour les mineurs comme étant sains.
Bien que Twitter ait récemment supprimé certains hashtags connus utilisés pour diffuser les CSAM, cette mesure n'était pas une solution complète ou permanente, car les hashtags changent, tout comme le langage codé que les abuseurs utilisent pour contourner la suppression automatique du contenu. Comme la suppression de ces hashtags a eu lieu après la prise de contrôle de Musk, il est facile de lui attribuer la décision et d'y voir son engagement à bloquer les CSAM. Cependant, des sources ont déclaré que la décision de supprimer les hashtags avait été prise avant l'arrivée de Musk à bord.
Il ne reste donc qu'un seul membre de l'équipe chargée de la sécurité des enfants pour traiter tous les rapports provenant de la région Asie-Pacifique. Cela signifie que Twitter dispose d'un expert qui comprend à la fois les lois régionales pour assurer la coordination avec les forces de l'ordre et les mots de code évolutifs utilisés dans les langues autres que l'anglais dans cette région pour échapper à la détection.
L’impact de l’absence de ces équipes sur la capacité de Twitter à s'attaquer au CSAM
L'impact des licenciements et des démissions sur la capacité de Twitter à s'attaquer au CSAM est « très inquiétant », déclare Carolina Christofoletti, chercheuse sur le CSAM à l'université de São Paulo au Brésil. « Il est illusoire de penser qu'il n'y aura pas d'impact sur la plateforme si les personnes qui travaillaient sur la sécurité des enfants au sein de Twitter peuvent être licenciées ou autorisées à démissionner », dit-elle.
Les experts en sécurité des enfants de Twitter ne luttent pas seuls contre le CSAM sur la plateforme. Ils reçoivent l'aide d'organisations telles que l'Internet Watch Foundation (Royaume-Uni) et le National Center for Missing & Exploited Children (États-Unis), qui effectuent également des recherches sur Internet pour identifier les contenus de ce type partagés sur des plateformes telles que Twitter. L'IWF (Internet Watch Foundation) indique que les données qu'elle envoie aux entreprises technologiques peuvent être automatiquement supprimées par les systèmes de ces dernières, sans qu'une modération humaine soit nécessaire. « Cela permet de garantir que le processus de blocage est aussi efficace que possible », explique Emma Hardy, directrice de la communication de l'IWF.
Mais ces organisations externes se concentrent sur le produit final et n'ont pas accès aux données internes de Twitter, explique Christofoletti. Elle décrit les tableaux de bord internes comme essentiels pour analyser les métadonnées afin d'aider les personnes qui rédigent le code de détection à identifier les réseaux CSAM avant que le contenu ne soit partagé. « Les seules personnes capables de voir ces [métadonnées] sont celles qui sont à l'intérieur de la plateforme », dit-elle.
Musk risque des amendes si l'équipe chargée de la sécurité des enfants de Twitter, déjà débordée, est dépassée
La suppression de l'exploitation des enfants est la "priorité n°1", a déclaré la semaine dernière le nouveau propriétaire et PDG de Twitter, Elon Musk. C'est une responsabilité qu'il ne peut pas esquiver. Contrairement au blocage des discours haineux et des fausses informations qui peuvent, dans certains cas, violer les règles de Twitter, Musk est légalement tenu de bloquer les CSAM sur sa plateforme.
Cela signifie que sa promesse de « liberté de parole, pas de liberté d'accès » (qui prévoit de contenir les discours et informations haineux non criminels simplement en ne les promouvant pas auprès des utilisateurs de Twitter) n'est pas une stratégie acceptable pour faire face au CSAM. En Europe notamment, les législateurs sévissent contre le CSAM, et de nouvelles lois dictent la manière dont les plateformes abordent la sécurité des enfants en ligne. Musk pourrait continuer à perdre de l'argent sur Twitter s'il risque des amendes, qui pourraient atteindre 10 % des revenus de Twitter, pour avoir enfreint les lois sur la sécurité des enfants. Le projet de loi britannique sur la sécurité des enfants en ligne menace même de bloquer les plates-formes au niveau régional dans les cas graves où le CSAM ne peut être contrôlé de manière adéquate.
Musk semble également savoir qu'il ne peut pas se permettre de voir Twitter être exclu de l'App Store d'Apple, ce que Yoel Roth, ancien responsable de Twitter Trust & Safety, a écrit dans le New York Times et qui pourrait se produire si Twitter ne donne pas la priorité à la protection des enfants sur la plateforme.
Des experts ont déclaré à Wired que les organisations de protection de l'enfance aident les plateformes de médias sociaux comme Twitter à détecter et à supprimer automatiquement beaucoup de CSAM, mais la technologie ne peut pas remplacer les modérateurs humains qui ont accès à plus de données que les organisations extérieures. En septembre, lorsque Twitter avait encore un porte-parole, Celeste Carswell a déclaré que Twitter « investissait davantage de ressources consacrées à la sécurité des enfants, notamment en recrutant de nouveaux postes pour rédiger des politiques et mettre en œuvre des solutions ».
Twitter a également été contraint de retarder son projet de monétiser la communauté des adultes consentants et de devenir un concurrent d'OnlyFans, car il craignait que cela ne risque d'aggraver le problème de CSAM de la plateforme. « Twitter ne peut pas détecter avec précision l'exploitation sexuelle des enfants et la nudité non consensuelle à l'échelle », peut-on lire dans un rapport interne datant d'avril 2022. En septembre, nous avons rapporté que certaines marques abandonnaient Twitter spécifiquement parce que Twitter plaçait leurs publicités à côté de CSAM. David Maddocks, le président de la marque Cole Haan, a résumé les préoccupations des annonceurs en disant : « Nous sommes horrifiés ».
Les chercheurs s'inquiètent de la manière dont Twitter va s'attaquer au problème du CSAM sous son nouveau propriétaire. Ces préoccupations n'ont été qu'exacerbées lorsque Musk a demandé à ses followers de « répondre dans les commentaires » s'ils voyaient des problèmes sur Twitter qui devaient être abordés. « Cette question ne devrait pas être un fil de discussion sur Twitter. C'est la question même qu'il devrait poser à l'équipe de sécurité des enfants qu'il a licenciée. C'est là toute la contradiction », déclare Christofoletti.
Sources : Bloomberg, Wired
Et vous ?
Quel est votre avis sur le sujet ?
Voir aussi :
Twitter a maintenant du mal à payer certains employés en Europe à temps, après les départs massifs qui ont touché son service des salaires
Un cadre supérieur de Twitter a obtenu une injonction du tribunal pour empêcher Elon Musk de la licencier. La VP pour les politiques publiques refuse la culture de travail "extrêmement hardcore"
Des centaines d'employés refusent de faire partie de l'équipe Twitter à la culture de travail "extrêmement hardcore", Musk met au défi les managers d'approuver le télétravail à leurs propres risques
heu... comment dire... admettons que le nombre de 4 personnes soit sous évalué pour diverses raisons, ça reste que pour la zone asie-pacifique ça ne faisait déjà pas des masses à l'époque, mais bon on va dire que l'ancienne équipe dirigeante c'était les gentils et que donc c'était normal...
Faudrait pas trop sous-estimé le pouvoir de ce mouvement, surtout au état unis. Ils ont l'oreille des université(ils polluent la recherche en sociologie), d'Hollywood(le plan marketing des certains films tiennent de plus en plus compte des idées woke) et de certain politique(même si c'est par pure opportunisme et non par conviction).
Et faut pas oublié que même le nazi à leurs début n’étaient pas pris au sérieux.
Woke est devenu synonyme de débilités pour leur irrationalité (de gauche par leur tonalité). Leur brillante analyse "des privilèges systémiques" est vaine dans la mesure où dès que l'on se réfère à une élite, cela implique de facto une société de caste et donc inégalitaire. D'ailleurs, aucune société ne semble pouvoir exister sans discriminations.
Bonjour.
Ce sont aux états de prendre en charge la protection des enfants. Enfin si tous les votants sont d'accord pour payer des impôts pour cela.
Si l'on considère qu'une société privée nuit à la protection des enfants, elle doit juste disparaître. Enfin si c'est dans la constitution. Il y a quand même des lois à la con pour que de telles aberrations perdurent.
Normalement, la protection des enfants, ça devrait être dans la constitution. En fait merde, ça y est pas... Par contre l'avortement, ça risque d'y être... Bande de demeurés.
C'est peut-être là que je me suis mal exprimé, j'ai deux exemples américains documentés (que je ne souhaite pas partagé pour éviter de donner du grain à moudre à certains) où un groupe de clients/bénéficiaires a fait pression sur l'institution avec des arguments du type "vous n'êtes quand même pas en train de dire que moi représentant afro-américain/LGBT est volontairement discriminé par votre système alors que ma vie est si dure".
Institution qui, par peur, a voulu faire du "pink washing" et est devenu plus "wokiste que le wokisme".
Je n'ai que des cas américains mais je ne suis pas vraiment surpris que certaines institutions dérivent aussi en Angleterre ou en Europe.
Je n'ai pas regardé toute la vidéo mais de ce que j'en ai perçu (une personne ouvre le débat sur une théorie - qui est remise en cause aussi par une partie des militants "inclusifs" - et est mise au pilori) est symptomatique de ce genre de situation : l'institution ne comprend pas ce qu'elle défend mais s'approprie une théorie qu'elle est incapable de défendre et donc va condamner quiconque la remet en cause.
Et je trouve la théorie critique de la race très intéressante parce que c'est une étape par laquelle quasiment tout le monde passe dans son "parcours inclusif" jusqu'au moment où il se rend compte que cette théorie dessert la cause qu'il veut défendre. Mais s'arrêter à celle-ci est bien confortable.
Les deux devraient y être.
Mais la protection des enfants à quel prix? Je trouve que c'est un vrai sujet délicat.
J'ai un ami qui est vraiment prêt à mettre une puce GPS à tout le monde au nom de la protection des enfants. Ce n'est pas mon cas.
Le premier point c'est que les enfants ne devraient pas avoir accès à twitter. Les parents sont irresponsables de laisser leurs enfants sur une plateforme comme celle-ci.
Quand je vois des commentaires sur les wokes, dans un sujet qui touche la protection des enfants, on comprend très vite à quel genre individu dangereux on a à faire.
Twitter n'applique plus sa politique visant à lutter contre la désinformation liée au Covid,
une décision qui suscite la colère des uns, mais semble marquer le début de la fin de la censure pour les autres
Twitter Inc a annulé une politique qui visait à lutter contre la désinformation liée au COVID-19 sur la plate-forme de médias sociaux, se prêtant au risque d'une augmentation potentielle des fausses déclarations alors même que les cas augmentent en Chine et dans certaines parties du monde.
Cette décision intervient également dans un contexte d'inquiétudes quant à la capacité de Twitter à lutter contre la désinformation après avoir licencié environ la moitié de son personnel, y compris ceux impliqués dans la modération de contenu, sous le nouveau patron Elon Musk.
« À compter du 23 novembre 2022, Twitter n'applique plus la politique d'information trompeuse COVID-19 », selon une mise à jour sur sa page de blog.
Mais certains se réjouissent de ce tournant : « Cette politique a été utilisée pour faire taire les personnes du monde entier qui remettaient en question le récit médiatique entourant le virus et les options de traitement », estime le Dr Simon Gold
Sous la direction du milliardaire Elon Musk, la plate-forme de médias sociaux Twitter a abandonné ses efforts pour empêcher la propagation de fausses informations sur le COVID-19 sur sa plate-forme. Consternés, des experts disent que des informations de santé fausses et trompeuses peuvent nuire aux individus et mettre des vies en danger.
Depuis le début de la pandémie de COVID-19, les réponses de santé publique ont été gravement entravées par un fléau de désinformation, souvent dans les espaces numériques.
Fin 2020, l'Organisation mondiale de la santé a lancé un appel à l'action pour lutter contre ce qu'elle a appelé « l'infodémie » [ndlr. l’infodémie est la propagation rapide et large d'un mélange d'informations à la fois exactes et inexactes sur un sujet. À mesure que les faits, les rumeurs et les craintes se mélangent et se dispersent, il devient alors difficile d'obtenir des informations essentielles sur un problème], qui visait à « atténuer les dommages causés par la désinformation sur la santé » qui peut causer de la confusion, de la méfiance, des comportements à risque nocifs et peut prolonger et intensifier les épidémies. L'OMS a lancé une campagne de démystification pour tenter de lutter contre la désinformation, en produisant des avis précisant que les masques médicaux ne provoquent pas de privation d'oxygène et que boire de l'eau de Javel n'empêche pas d'attraper le COVID-19 mais nuira certainement à votre santé.
Lors d'un point de presse plus tôt cette année, Katherine O'Brien, directrice du Département de l'immunisation, des vaccins et des produits biologiques de l'OMS, a noté que les informations fausses et trompeuses sur les réseaux sociaux ne sont pas anodines : « Ce n'est pas seulement une question de bavardage sur les réseaux sociaux », a déclaré O'Brien. « Cela a vraiment un impact sur ce que les gens font, ce qu'ils choisissent de faire, ce qu'ils choisissent de faire pour eux-mêmes, pour leurs enfants, pour leur famille. C'est donc quelque chose que nous prenons très au sérieux ».
En septembre, une nouvelle analyse de l’OMS a montré qu’une interprétation incorrecte des informations relatives à la santé, plus fréquente en cas de flambée épidémique ou de catastrophe, influence souvent négativement la santé mentale des individus et augmente la réticence face aux vaccins, et peut retarder l’apport de soins de santé. Les auteurs ont conclu que les effets de l’infodémie et de la désinformation en ligne sur la santé peuvent être déjoués grâce à l’élaboration de politiques réglementaires, l'organisation et la promotion de campagnes de sensibilisation, de meilleurs supports d’informations relatives à la santé dans les médias de masse et l’amélioration de la littératie numérique et de la littératie en santé.
« Twitter, Facebook, YouTube et Instagram sont essentiels à la propagation rapide et à grande échelle de l'information », explique-t-on dans l'analyse systématique. Les répercussions de la désinformation sur les médias sociaux englobent des effets négatifs tels « qu'une intensification de l’interprétation erronée des connaissances scientifiques, une polarisation de l’opinion, l’escalade de la peur et de la panique ou un accès moins fréquent aux services de santé ».
La propagation accrue de fausses informations dans le cadre d’une situation d’urgence sanitaire est accélérée par un accès facile à un contenu en ligne, en particulier sur les smartphones. « Pendant les crises telles que les flambées de maladies infectieuses ou les catastrophes, la surproduction de renseignements provenant de multiples sources, le degré de qualité de l’information et la vitesse à laquelle de nouvelles informations sont diffusées provoquent un impact social et sanitaire. »
Les auteurs constatent que les médias sociaux ont propagé des informations sanitaires de qualité médiocre pendant les pandémies, les crises humanitaires et les situations d’urgence sanitaire, à un rythme croissant. « Une telle propagation de données non fiables sur des thèmes de santé amplifie la réticence face à la vaccination et favorise les traitements expérimentaux », observent-ils.
Effets de la désinformation en ligne sur les comportements de la population en matière de santé
« La promotion et la diffusion d'informations fiables sur la santé sont indispensables pour que les pouvoirs publics, les autorités de la santé, les chercheurs et les cliniciens puissent contrebalancer les informations fausses ou trompeuses diffusées sur les médias sociaux », indique le document d'analyse. Celui-ci souligne que les canaux des médias sociaux peuvent également être utilisés pour contrer les informations fausses ou trompeuses, mais que d’autres études pourraient être nécessaires pour évaluer quel serait le meilleur format de cette communication et déterminer quels canaux sont les plus appropriés pour les différents groupes de population, emplacements géographiques et contextes culturels.
Dans le cadre de cette analyse systématique, il a été observé que les individus éprouvaient de la détresse sur le plan mental, social, politique et/ou économique à cause d’informations trompeuses et fausses sur la santé, diffusées sur les médias sociaux pendant les pandémies, les situations d’urgence sanitaire et les crises humanitaires.
Toutefois, les médias sociaux n’ont pas eu que des effets négatifs pendant la pandémie de COVID-19. Huit études ont constaté des résultats positifs, et certaines ont montré que plusieurs plates-formes de médias sociaux amélioraient sensiblement les connaissances et induisaient une plus grande prise de conscience, un meilleur respect des recommandations et des comportements plus positifs en matière de santé chez les utilisateurs que les modes traditionnels de diffusion de l’information.
L’analyse globale reconnaît le rôle des médias sociaux pour la communication et la gestion de crise pendant les urgences sanitaires, mais relève la nécessité de contrer la désinformation sur ces plates-formes. Des efforts et des études supplémentaires sont nécessaires à l’échelle locale, nationale et internationale.
« Les études futures devraient permettre d’analyser l’efficacité et la sécurité de mesures correctives et d’interventions par l’informatique contre la désinformation dans le domaine de la santé, et d’adapter des moyens de diffuser des informations sanitaires sur les plates-formes des médias sociaux sans déformation du message ».
Un changement de direction avec Elon Musk
Au début de la pandémie, Twitter a mis en place un certain nombre de mesures, notamment des étiquettes et des messages d'avertissement sur les tweets contenant des informations contestées sur la crise sanitaire et un cadre permettant aux utilisateurs de supprimer les tweets qui avançaient de fausses allégations nuisibles liées aux vaccins. Une mesure qui va dans le sens des recommandations de l'OMS qui estime que, pour contrer la monter en puissance de la désinformation, « les contre-mesures sont notamment des campagnes de sensibilisation pour les patients et les professionnels des soins de santé, des plates-formes avec des informations fondées sur des bases factuelles, l’inclusion de preuves scientifiques dans le contenu relatif à la santé dans les médias de masse, et les efforts visant à accroître la connaissance des médias et la littératie en santé ».
Facebook, propriété de Meta Platforms Inc (META.O), et les services YouTube d'Alphabet Inc ont utilisé des mesures similaires, qui sont actuellement en place.
En juillet, Meta a demandé l'avis de son conseil de surveillance indépendant sur les changements apportés à son approche actuelle compte tenu de l'amélioration des sources d'informations authentiques et de la sensibilisation générale autour de COVID.
Au début de cette année, Twitter a déclaré que depuis mars 2021, il avait cessé d'appliquer une « politique d'intégrité civique » liée aux mensonges sur l'élection présidentielle américaine de 2020.
Le milliardaire Musk a repris Twitter le 27 octobre, contre 44 milliards de dollars, et a agi rapidement pour initier un certain nombre de changements au produit et au personnel. Musk a déclaré le 29 octobre qu'il mettrait en place un conseil de modération de contenu avec « des points de vue très divers », pour se rétracter plus tard en accusant des militants d'avoir fait pression sur les annonceurs pour qu'ils quittent la plate-forme malgré une supposée entente que les militants ont vite fait de nier.
Quoi qu'il en soit, sous Musk, les priorités de l'entreprise ont clairement changé. Musk lui-même a une relation trouble avec la désinformation sur la santé liée au COVID. En mars 2020, il a tweeté que « la panique du coronavirus est stupide », puis que les enfants sont « essentiellement immunisés » contre le COVID-19. Cependant, il a ensuite tweeté soutenir les vaccins.
Musk a provoqué une escarmouche avec Apple après avoir affirmé que le géant de la technologie avait « presque arrêté » la publicité sur Twitter et menacé de retirer l'application Twitter de son App Store. Musk a accusé Apple de détester la liberté d'expression et de « censure » après qu'un utilisateur de Twitter a allégué qu'Apple avait filtré les termes de recherche d'applications liés au COVID-19.
La décentralisation du contenu et du discours crédibles sur Twitter est susceptible de susciter encore plus d'inquiétude de la part des responsables de la santé face à la désinformation sur les plates-formes de médias sociaux.
« Quand quelqu'un atteint une position dans la vie où il a autant d'influence potentielle sur la façon dont l'information est partagée avec les communautés, il assume une énorme responsabilité », a déclaré Mike Ryan de l'OMS plus tôt cette année, faisant référence à la prise de contrôle de Twitter par Musk qui était encore à venir. « Nous souhaitons bonne chance à M. Musk dans ses efforts pour améliorer la qualité des informations que nous recevons tous ».
Twitter met fin à sa politique visant à lutter contre la désinformation liée au COVID-19
Twitter a déclaré qu'il n'appliquerait plus sa politique de désinformation de longue date sur Covid, un autre signe de la façon dont Elon Musk prévoit de transformer la société de médias sociaux qu'il a achetée il y a un mois.
En 2020, Twitter a élaboré un vaste ensemble de règles visant à interdire la « désinformation nuisible » sur le virus et ses vaccins.
Entre janvier 2020 et septembre 2022, Twitter a suspendu plus de 11
000 comptes pour avoir enfreint les règles de désinformation de Covid et supprimé près de 100 000 éléments de contenu qui enfreignaient ces règles, selon les statistiques publiées par Twitter. La politique a été acclamée par les professionnels de la santé : dans un avis aux plates-formes technologiques, le chirurgien général des États-Unis, le Dr Vivek Murthy, a cité les règles de Twitter comme un exemple de ce que les entreprises devraient faire pour lutter contre la désinformation.
Twitter n'a pas semblé annoncer officiellement le changement de règle. Au lieu de cela, certains utilisateurs de Twitter lundi soir ont repéré une note ajoutée à la page du site Web de Twitter qui décrit sa politique Covid.
« À compter du 23 novembre 2022, Twitter n'applique plus la politique d'information trompeuse COVID-19 », lit-on dans la note.
Musk a promis de restaurer de nombreux comptes Twitter précédemment suspendus dès cette semaine. Il est possible que parmi les comptes restaurés figurent certains des 11 000 suspendus en vertu des anciennes règles de désinformation Covid de Twitter.
Fin de la censure, selon certains
Si la fin de la politique suscite l'indignation des uns, elle est acclamée par les autres, à l'instar de la Dre Simone Gold qui déclare : « Twitter a cessé d'appliquer sa politique de désinformation COVID-19 depuis le 23 novembre. Cette politique a été utilisée pour faire taire les personnes du monde entier qui remettaient en question le récit médiatique entourant le virus et les options de traitement. Une victoire pour la liberté d'expression et la liberté médicale ! »
Depuis qu'Elon Musk a pris la direction de l'entreprise, il a considérablement réduit les effectifs et Twitter a cessé de répondre aux demandes de la presse (il semble d'ailleurs que l'équipe de communication a été touchée par cette vague de licenciements et de départs volontaires), laissant les propres tweets de Musk, des messages sur le blog d'entreprise ou des messages comme celui-ci (voir ci-dessous) comme seuls endroits pour confirmer ce qu'il fait.
Quoiqu'il en soit, bien qu'il ne soit pas clair pourquoi Twitter a abandonné l'application de la politique COVID-19, il y avait beaucoup de nuances dans la façon dont cela pourrait être interprété (ainsi qu'une gamme d'actions qui pourraient être appliquées par Twitter, y compris la mise d'étiquettes contextuelles ou d'avertissement sur tweets ; la réduction de la visibilité et le blocage de partage ; l'exigence de la suppression du tweet ; et, pour les récidivistes, la suspension des comptes).
Sources : Twitter (1, 2), Elon Musk (1, 2, 3), OMS (1, 2), Simone Gold
Et vous ?
Que pensez-vous de cette décision de Twitter ?
La politique qui était en vigueur constituait-elle, selon vous, une censure ? Dans quelle mesure ?
La politique actuelle est-elle susceptible de laisser proliférer la désinformation ? Pourquoi ?
Bonjour,
Il y a trop de problèmes avec cette réflexion pour être sérieuse.
Qui ça "on" ? Un consensus ? Un organisme ? Un individu ? Un CEO ? Qui a cette autorité de faire disparaître une multinationale d'un claquement de doigt?
Comment savoir ? Qu'est-ce que la "Protection des enfants" ? Est-ce que "Protection" est utilisé à la place de "Bien être" par manque de vocabulaire ? On peut tout mettre là derrière.
Pourquoi ? N'y a-t-il pas d'autres moyens ? Et doit-on ramener encore une fois l'argument d'interdire les couteaux parce qu'une petite partie se blesse avec ?
Alors là, certainement pas. L’État n'arrive pas à se gérer lui même, ce serait de l'inconscience pure et dure de confier aveuglément la sécurité des enfants.
La sécurité et l’éducation des enfants incombe aux parents.
Je préfère en toute honnêteté que mes impôts financent des choses que je ne peux pas faire moi-même, que de financer un programme créé et géré par des gens qui n'y comprennent absolument rien, aussi efficace et couteux qu'HADOPI surtout vu le résultat nul.
Autant la plupart du temps, je râle auprès des législateurs, mais heureusement que vous êtes là pour rappeler qu'ils sont pas si nuls que ça, finalement. Ça veut tout et rien dire "la protection des enfants", on peut donner littéralement n'importe quelle interprétation à un concept aussi vague et mal défini.
En revanche pour le coup, le droit à l'avortement (qui est dans la constitution) concerne un acte défini bien particulier et sans ambiguïté. Ce serait presque comme si cette loi avait été faite par des professionnels qui travaillent en connaissance de cause, et pas par Bébert du PMU dont les idées arriérées du siècle dernier déteignent sur sa logique.
Macron lui-même a une relation trouble avec la désinformation sur la santé liée au COVID. En mars 2020, il est allé au théâtre avec Brigitte pour inciter les français à sortir malgré le Coronavirus.
L'art de glisser subtilement ce qui est bien et ce qui est mal sur des faits bancales.
C'est très bien.
Twitter n'a pas à jouer le rôle du ministère de la vérité.
C'est un truc de dictature de dire "ça c'est la vérité", "ça c'est un mensonge".
En principe on a le droit de pensez ce qu'on veut et dire ce qu'on veut. (tant que ça n'incite pas à la violence)
Les journaux comme The Lancet, les gouvernements comme celui de Macron, les laboratoires pharmaceutiques comme Pfizer mentent régulièrement.
Il faut arrêter d'avoir une confiance aveugle en eux.
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