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Discussion :
Pourquoi prendre le risque de saboter un produit alors que EM s'en sort très bien tout seul!
La je me demande quel gafa va embaucher 500 ingé de twitter avec l'objectif de refaire la même chose en ayant appris des erreurs.
Je verrai très bien Microsoft se lancer la dedans.
En plus la synergie avec linked in paraît réalisable.
Bonjour,
Le communisme l'esclavage de l'homme par l'homme et le capitalisme c'est l'esclavage de l'homme par l'homme. Chapeau blanc et blanc chapeau.Envoyé par totozor
Et si Linkedin se cassait le figure ? Je suis pas vraiment optimiste pour ce site web . Monster par exemple on en entend plus vraiment parler ... Beaucoup de pub pour indeed jusqu'à quand ?
Si tu parles de Microsoft, alors c'est GAFAM
Monster ce n'est qu'un site d'annonce comme des dizaines. En plus presque exclusivement avec des offres d'esn.
Et si Linkedin se cassait le figure ? Je suis pas vraiment optimiste pour ce site web . Monster par exemple on en entend plus vraiment parler ... Beaucoup de pub pour indeed jusqu'à quand ?
Ça existait il y a 15 ans... C'est plus tout jeune.
Linked in reste un réseau. Pas toujours super intéressant mais qui est assez central parce qu'il répond à un besoin d'afficher son CV en ligne.
Bref je pensais surtout a Microsoft parce que c'est bien dans son adn de réprendre des produits bon, mais mal vendus, pour les industrialiser.
C'est un peu le stade où twitter reste coincé depuis 5 a 8 ans.
Bon là ça parait clair qu'il veut juste détruire Twitter de l'intérieur (pour le bien de l'humanité ?)
Son "Twitter 2.0" c'est du vent, il ne va pas pouvoir recruter 1000 développeurs/techs pro-Musk en quelques mois pour reprendre le code existant et l'infra système...
Il s'est cru dans la série "Silicon Valley" avec son "New Twitter" ?
À lire les retranscriptions, on a l'impression que ces gens se font maltraiter.
Ils sont libre de partir, certes avec un goût amère et une impression de grand gâchis mais ils ne sont pas non plus otages (salaire à 6 chiffres pour tous les devs, ils ne sont pas à la rue)
Avec la pénurie actuelle de main d'œuvre en Amérique du Nord, c'est faux. Tous les niveaux de travailleurs ont les moyens de négocier avantageusement leur condition de travail.
Linkedin est tranquillement en perte de vitesse, surtout à cause de ses tarifs exorbitants. Mais il y a une bonne poignée de sites prêts à prendre la relève comme indeed par exemple.Et si Linkedin se cassait le figure ? Je suis pas vraiment optimiste pour ce site web . Monster par exemple on en entend plus vraiment parler ... Beaucoup de pub pour indeed jusqu'à quand ?
Ceux qui partent ont trois mois de salaires comme indemnités de départ, ce qui est un beau cadeau plutôt inusité aux USA.
Linked in c'est twitter bis avec des aw qui racontent leur vie et leur parcours de vie, ils s'auto congratulent, en fait ça regroupe les employés toxique des entreprises pas une grosse perte si ce site ferme. Par contre certains risquent de mal le vivre et de retourner sur twitter et ça serait dommage il y a déjà assez de golems comme ça.
J'en suis à souhaiter le départ de tous le monde, et un gros bug dans twitter. Imaginez la scène, le service down, avec juste musk au milieu des bureaux vides, froid et sombre, a tenter de réparer seul son jouet.
Je crois pas qu'il s'agissent de ça le fond du problème.
Un bon salarié, c'est un salarié qui aime sont boulot, son projet, et ces collègues.
Quand tu bosses plusieurs années dans cette boite, et étant passionnée, c'est dur moralement de voir un abruti débarqué, racheter la boite virer tous le monde et saboter le projet.
Oui ils peuvent se barrer, mais ils peuvent aussi tenter de faire entendre raison au nouveau patron...
C'est un peu comme l'argument que j'entends souvent, si tu te considère mal payé, démissionne et change de boite. Perso j'ai fait cela toute ma vie, et a chaque fois ça m'a permis d'avoir 15-30% de salaire en plus.
Mais je comprends aussi ceux qui reste et se batte en se syndiquant, mieux encore je les admire, c'est eux qui ont le plus de courage et moi qui me résigne et me casse.
L'image me fait sourire !
Il y a quelques mois, j'ai posté une offre d'emploi sur LinkedIn, en deux semaines, j'ai eu quasiment 200 développeurs à avoir postulés et auxquels j'ai fait passer les tests de recrutements (sans parler des cabinets de recrutements, des ESN, ... qui se sont jetté sur l'offre comme des vautours).
Donc 1000 développeurs, en quelques mois, à l'échelle de Twitter ... ils les ont en quelques jours.
Quand je vois les stats de LinkedIn, et l'utilisation que j'en ai au quotidien, je dirais l'inverse.
LinkedIn est clairement entrain de prendre de l'ampleur, il y a 5 ans, j'étais obligé de faire le tour des salons pour trouver des clients, qui entre temps, avaient étés pris d'assaut par des ESN ou des boites peu scrupuleuses qui leurs promettaient monts et merveilles et, notamment de faire mieux que ma boite, en moins cher et plus rapide (ce qui bien sûr est faux dans 100% des cas), et ces gens là, dupent, y croient et se font avoir (et moi je les laisses se faire avoir ...)
Alors qu'aujourd'hui, 95% de mes clients viennent de LinkedIn (Microsoft, Google, des Licornes, ...), clients que je n'aurais jamais pu avoir autrement.
Indeed, Monster, ... tout ça, c'est voué à disparaitre, il n'y a plus d'offre sérieuse là dessus, que les relants de vieilles boites moisies du type ESN qui cherchent le salarié le moins cher à qui ils vont demander de tout faire.
Concernant le prix de LinkedIn, les premiums représentent un faible pourcentage et ce prix, il est vrai, élevé (1000 euros par an), est totalement justifié pour ceux qui en ont une utilisation réelle, compte tenu de ce que tu peux faire avec un compte prémium et donc, de ce que ça rapporte.
Mais pour ça ... il faut savoir s'en servir, et les 4/5ièmes de ceux qui vomissent LinkedIn, sont avant tout des gens qui ne savent pas s'en servir, n'ont pas de réseau, ont les mauvaises personnes dans leur contacts et j'en passe.
Je ne bosse pas pour LinkedIn et si ils étaient moisis, je serais le premier à leur vomir dessus, mais force est de constater que non, ça fonctionne très bien, mais linkedIn est avant tout un réseau fait pour les professionnels, donc forcément, ceux qui se sont pris pour des youtubeurs (les copywritters et autre bullshit), viennent rager et ne comprennent pas pourquoi ça ne marche pas.
Tu peux potentiellement avoir le boss d'une grosse boite mondiale dessus qui te propose un contrat en Freelance, c'est pas fait pour ceux qui veulent combler leur égocentrisme, forcément que ces gens là se retrouvent à la porte.
C'est un site fait pour ceux qui ont fait des études supérieures.
Le seul truc que je reproche à linkedIn, c'est que certains n'ont pas compris ça et continuent de donner de la visibilité à des gens qui sont de vrais cancers et postes de la merde tout les jours à coups de "tu vas y arriver", "quand je recrute un salarié, je ne le fais pas pour ses compétences, car elles s'acquiert en entreprises", "quand j'avais 15 ans, ma mère m'a mise à la rue", "mon fils est trisomique" et autre trucs qui n'ont rien à foutre sur ce site.
D'un point de vu français, c'est possible, linkedin a quasiment 10 ans de retard au niveau de son utilisation en France. En Amérique du Nord, Indeed monte en flèche et linkedin est moins incontournable qu'il y a 5 ans par exemple. Bon, Monster s'écroule sous le poids de ses spams organisés depuis longtemps.
Après pour la partie média sociale de Linkedin, ça vire de plus en plus au bizarre, comme sur developpez.com d'ailleurs, mais je ne vais jamais dans cette partie là comme bien du monde, je me cantonne à la partie emploi.
Oui si son but est de recruter n'importe comment, tu intègres pas autant de personnes en si peu de temps. Les compétences internes ont été perdues par ces 3 vagues de départs massifs.
Surtout que je crois que le service RH de Twitter a été décimé aussi...
Il va falloir repartir de presque zéro, dans l'idée il créé une nouvelle startup avec sa propre équipe, mais pourquoi avoir payé 44 milliards pour cela?
Oui c'est sûr qu'on ne recrute pas une armée de dev, spécialisé dans les technos de Twitter en claquant des doigts, mais reprendre Twitter et, analyser son architecture, ... pour l'améliorer, itérer dessus, ... et, trouver les devs compétents pour dev sur Twitter, sont deux choses différentes.Oui si son but est de recruter n'importe comment, tu intègres pas autant de personnes en si peu de temps. Les compétences internes ont été perdues par ces 3 vagues de départs massifs.
Surtout que je crois que le service RH de Twitter a été décimé aussi...
Il va falloir repartir de presque zéro, dans l'idée il créé une nouvelle startup avec sa propre équipe, mais pourquoi avoir payé 44 milliards pour cela?
Si le filtre des batteries de tests est correctement fait, ça peut enchainer des centaines de candidatures par jours.
Des devs compétents, prêt à bosser chez Twitter, il y en a des milliers à travers le monde, ça va postuler un max, c'est sur et certain.
Là ou je vous rejoins, c'est le différentiel qu'il va y avoir entre les devs compétents qui vont être recruté et ceux qui vont être des taupes, qui finalement ne vont pas faire l'affaire, ...
Effectivement à sa place j'aurais eu une stratégie radicalement différente, ne serait-ce que parce que j'estime que le télétravail est l'avenir, mais difficile au jour d'aujourd'hui de savoir pour le moment si Twitter va avoir un nouvel élan ou va vers une réelle catastrophe.
Il va falloir attendre au moins 1 ou 2 mois.
De mon point de vue, l'humain va être amené à travailler de moins en moins dans l'avenir et donc tenir un discours ou l'on veut que les gens bossent 50h par semaines alors que le monde tend à avoir de moins en moins d'heures par semaine, me parait très dangereux
Faire bosser un dev 50 heures par semaine, n'a aucun rapport avec le fait de faire bosser un mec dans une usine 50h par semaine.
Un dev qui bosse 20 heures par semaine, va en faire autant voir plus qu'un dev qui en fait pour 50h, à contrario d'un mec dans une usine.
Explique moi pourquoi un dev bon irait bosser
Beaucoup d'heure
Pour un chef impulsif
Sans stratégie compréhensible
En gerant un existant sans soutien
Un bon boulot de dev c'est selon moi
Un projet intéressant
Des collègues intéressants
Une roadmap compréhensible et tenable
Entre 30 et 40h de travail max
Un management a l écoute
Un équilibre vie perso vie pro tenable dans le temps.
Pour moi les devs qui ont le choix fuieront cette ambiance toxique qui ne coche aucune de ces cases.
Bonsoir
Je vomis donc Linkedin ?
J'ai supprimé mon compte par choix.
Je n'en sais rien, tu as sûrement de bonne raison, je ne fais pas l'apologie de LinkedIn non plus.Bonsoir
Je vomis donc Linkedin ?
J'ai supprimé mon compte par choix.
Je ne fais que dire que c'est un site bien plus puissant que les gens s'imaginent.
Les jeunes non tech imaginent que LinkedIn est un réseau de boomer : ils ont faux,
Les jeunes tech imaginent que LinkedIn n'est pas le bon endroit pour trouver un job : ils ont faux.
Enfin bref, chacun fait bien ce qu'il veut, mais en tout cas mes contrats à plusieurs millions d'euros avec Microsoft, je n'aurais jamais pu les avoirs sans passer par ce site.
Twitter perd son service de paie et d'autres employés du secteur financier.
Twitter perd son service de paie et d'autres employés du secteur financier dans le cadre de "l'exode massif" de son personnel
qui rend l'avenir de Twitter est incertain
Elon Musk a lancé un ultimatum aux employés de Twitter pour qu'ils acceptent le nouvel environnement de travail "hardcore" de l'entreprise ou qu'ils partent. Beaucoup plus de travailleurs que prévu ont refusé de s'engager, mettant potentiellement en péril les opérations de Twitter. Une grande partie de l'organisation financière de Twitter, y compris son service de paie, a quitté l'entreprise jeudi en réponse à cet ultimatum d'Elon Musk qui s'est apparemment retourné contre lui. Un si grand nombre d'employés a décidé de prendre congé que cela a créé un nuage de confusion quant aux personnes qui devaient encore avoir accès aux biens de l'entreprise. Twitter a fermé ses bureaux jusqu'à lundi.
Une grande partie de l'organisation financière de Twitter, y compris son service de paie, a quitté l'entreprise jeudi en réponse à un ultimatum d'Elon Musk qui s'est visiblement retourné contre lui. Outre le service de la paie, l'équipe de Twitter chargée de la fiscalité américaine et l'équipe chargée de l'information financière ont également démissionné, ont déclaré deux personnes au fait de la question. Ces trois segments de l'entreprise font partie de l'organisation financière et comptable de Twitter. Bien que la comptabilité ait été « moins touchée » par les démissions de jeudi, cette partie de l'organisation est également plus petite maintenant, a déclaré l'une des personnes.
Les employés devraient être payés à nouveau la semaine prochaine, selon un ancien employé. Si ces paiements ont probablement déjà été approuvés, la prochaine série de paiements ne l'aura pas été, selon cette personne. « Que se passera-t-il dans deux semaines ? Quand tous ceux qui peuvent approuver quelque chose seront partis », a demandé la personne.
La perte des employés du service des salaires et d'autres services financiers s'inscrit dans le cadre d'une démission massive des employés de Twitter qui ont refusé de s'engager dans le projet de "Twitter 2.0" proposé par Musk. Dans un courriel envoyé mardi, le milliardaire, qui a pris le contrôle de Twitter il y a environ trois semaines, a déclaré que la plateforme sera désormais un lieu de travail « extrêmement hardcore » et axé sur l'ingénierie. Il a demandé à l'ensemble de l'entreprise de décider d'ici jeudi à 17 heures si elle souhaitait continuer à travailler sur cette version de Twitter. Ceux qui l'ont fait devaient cliquer sur un lien inclus dans l'e-mail. Ceux qui n'ont pas cliqué sur le lien, qui ne comportait qu'une option "oui", seraient considérés comme ayant décidé de faire partie d'un licenciement volontaire et recevraient trois mois de salaire à titre d'indemnité de départ, a déclaré Musk.
À la fin de l'échéance, moins de 50 % des employés de Twitter s'étaient inscrits au programme Twitter 2.0 de Musk. Musk, les membres de son équipe de transition personnelle et certains dirigeants restés chez Twitter ont passé des appels personnels et tenu des réunions avec plusieurs travailleurs dans le but de les inciter à rester dans l'entreprise. Si quelques-uns ont accepté, la plupart n'ont pas accepté.
Musk et son équipe seraient terrifiés à l'idée d'un sabotage
Selon le rédacteur en chef de Platformer, Twitter « a alerté les employés qu'avec effet immédiat, tous les immeubles de bureaux sont temporairement fermés et l'accès par badge est suspendu ». Les bureaux de Twitter devraient rouvrir lundi à tout ce qui reste de ses effectifs. : « Les bureaux rouvriront le 21 novembre. En attendant : "Veuillez continuer à vous conformer à la politique de l'entreprise en vous abstenant de discuter des informations confidentielles de l'entreprise sur les réseaux sociaux, avec la presse ou ailleurs" ».
Zoë Schiffer a indiqué que « Jusqu'à présent, aucun [compte professionnel] d'employé de Twitter n'a été désactivé, même ceux qui ont publiquement démissionné. Musk et son équipe n'ont recueilli que la liste des "oui" - des employés qui ont déclaré vouloir faire partie de Twitter 2.0. Ils essaient toujours de savoir qui est sorti ».
Aucun motif n'a été rendu public, mais Zoë Schiffer a poursuivi en rapportant « Nous entendons dire que c'est parce qu'Elon Musk et son équipe sont terrifiés à l'idée que les employés sabotent l'entreprise. De plus, ils essaient toujours de déterminer pour quels employés de Twitter ils doivent couper l'accès ».
Le nombre exact de membres du personnel qui ont survécu à l'élimination de Musk au début du mois - et ont choisi de ne pas démissionner dans les jours qui ont suivi - n'est pas clair, mais les estimations tournaient autour de 3 000 travailleurs juste avant la date limite, selon un journaliste. Plusieurs équipes d'ingénierie « critiques » ont démissionné dans leur intégralité jeudi, selon lui. Parmi ceux qui étaient partis figuraient l'ingénieur Web en chef de Twitter et l'équipe de concepteurs derrière le désastreux service d'abonnement Blue de Musk.
« Cela va ressembler à une entreprise très différente demain », a-t-elle tweeté.
Un ancien employé a déclaré jeudi au Washington Post que l'éviscération de la main-d'œuvre avait laissé plusieurs systèmes intégrés au fonctionnement de la plate-forme à deux, un ou zéro ingénieur. « Je connais six systèmes critiques qui n'ont plus d'ingénieurs », a déclaré un ancien employé. « Il n'y a même plus un squelette d'équipe qui gère le système. Il continuera à rouler en roue libre jusqu'à ce qu'il se heurte à quelque chose, puis il s'arrêtera ».
Musk a tweeté une réponse apparente au chahut. « Comment fait-on une petite fortune dans les médias sociaux ? Commencez par un grand ».
L'avenir de Twitter est incertain en raison de l'"exode massif" de son personnel
Mercredi, Musk avait demandé aux employés de déclarer formellement s'ils étaient prêts à continuer à travailler dans l'entreprise : un engagement qui inclurait « de longues heures de travail à haute intensité ». Les employés avaient jusqu'à 17 heures jeudi pour remplir un formulaire Google. Le formulaire ne comportait qu'une seule réponse possible : "Oui." Toute personne qui n'acceptait pas le formulaire avant la date limite était informée qu'elle serait renvoyée de l'entreprise avec trois mois d'indemnités de licenciement.
L'ultimatum de Musk est intervenu moins de deux semaines après le licenciement de 50 % des effectifs de Twitter, soit environ 3 700 employés. De nombreux employés de Twitter ont consulté des avocats cette semaine pour déterminer ce qu'ils devaient faire. Le formulaire ne contenait pratiquement aucun détail sur les indemnités de licenciement, et il n'était pas clair dans l'immédiat si les employés bénéficieraient de protections juridiques leur permettant de conserver les actions acquises ou de maintenir leur couverture d'assurance.
Musk a fait revenir des dirigeants qui étaient partis, soit dans le cadre de ses propres licenciements, soit par démission, afin de convaincre d'autres personnes de rester, a déclaré l'une de ces personnes. L'une des personnes qui est revenue est Ella Irwin, qui gérera les employés de Trust and Safety, selon une personne au courant de l'affaire, qui a refusé d'être identifiée pour discuter de changements non publics.
La mort est dans l'air sur Twitter
La mort de Twitter aurait de lourdes conséquences, étant donné que la plateforme fait partie intégrante des communications mondiales. La plateforme a souvent été comparée à une place publique numérique. Les dirigeants mondiaux utilisent Twitter pour communiquer, les journalistes pour recueillir des informations, les dissidents dans les pays répressifs pour s'organiser, les célébrités et les grandes marques pour faire des annonces importantes, et le public pour suivre tout cela en temps réel.
Si la plateforme venait à disparaître ou à devenir inutilisable en raison de problèmes d'instabilité, aucun espace ne la remplacerait immédiatement et les communications pourraient être fragmentées entre plusieurs sites de médias sociaux, ce qui entraînerait une perturbation sismique et un ralentissement du flux d'informations.
À la fin de la journée de jeudi, Twitter comptait plusieurs centaines d'employés en moins et un canal Slack interne était "inondé" de l'emoji de salut, utilisé par les travailleurs de Twitter pour dire au revoir à leurs collègues. Au début du mois, Musk a licencié près de 3 500 employés. Si l'on ajoute à cela les démissions de jeudi, deux travailleurs estiment qu'il reste probablement moins de 2 000 employés dans l'entreprise.
Source : Twitter
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