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  1. #1
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    Par défaut L’IA « Just Walk Out » d’Amazon cache en réalité un millier d’Indiens qui travaille à distance
    Amazon propose Just Walk Out, sa technologie de vente ne nécessitant pas de caissiers, à d'autres détaillants
    qui désirent l'utiliser dans leurs magasins

    Il y a deux ans, Amazon avait lancé le concept d'un commerce ne nécessitant pas de caissiers. Baptisées Amazon Go, ces épiceries proposent des produits alimentaires ainsi que des articles ménagers. Puisqu'il n'y a pas de caisse, les clients doivent régler leurs achats avec l'application Amazon Go, qui utilise la technologie Just Walk Out. Cette dernière est également utilisée dans le premier supermarché automatisé d'Amazon, Amazon Go Grocery, qui a ouvert ses portes le 25 février dernier. S'étendant sur près de 1000 m², ce nouveau magasin propose « des ingrédients et des produits essentiels de la vie quotidienne, ainsi que des plats préparés pour faciliter le dîner », indique le géant du e-commerce.

    Amazon propose désormais sa technologie à d'autres détaillants qui désirent l'utiliser dans leur magasin. La version sous licence utilise une carte de crédit pour les enregistrements au lieu d'une application Amazon. Sur son site, Amazon explique que « la technologie Just Walk Out permet aux acheteurs d'entrer simplement dans un magasin, de prendre ce qu'ils veulent et de partir. Né de nombreuses années d'expérience chez Amazon Go, Just Walk Out utilise une combinaison de technologies pour éliminer les longues files d'attente. Nous offrons maintenant aux détaillants la possibilité de tirer parti de cette technologie dans leurs magasins pour aider à offrir des expériences de paiement rapides et pratiques à plus de clients ».

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    Dans les autres magasins qui utiliseront Just Walk Out, « les acheteurs entrent dans le magasin à l'aide d'une carte de crédit. Ils n'ont pas besoin de télécharger une application ou de créer un compte Amazon. Notre technologie Just Walk Out détecte les produits que les acheteurs prennent ou retournent dans les rayons et en assure le suivi dans un panier virtuel. Une fois les achats terminés, ils peuvent simplement sortir et leur carte de crédit sera débitée pour les articles dans leur panier virtuel. Si les acheteurs ont besoin d'un reçu, ils peuvent visiter un kiosque dans le magasin et entrer leur adresse e-mail. Un reçu leur sera envoyé par e-mail. S'ils utilisent la même carte de crédit pour accéder à ce magasin ou à tout autre magasin compatible Just Walk Out à l'avenir, un reçu leur sera automatiquement envoyé par e-mail », peut-on lire sur le site de Just Walk Out.

    Amazon explique qu'il offre sa technologie aux détaillants parce que depuis le lancement d'Amazon Go il y a des années, de nombreux détaillants ont exprimé leur intérêt à offrir des expériences d'achat sans caisse similaires à leurs clients. En ce qui concerne les données personnelles des clients, Amazon rassure qu'il ne collecte uniquement que les données nécessaires pour fournir aux clients un reçu correct.

    Pour ceux qui craignent de confier les données personnelles de leurs clients à Amazon, il y a d'autres concurrents sur le marché qui offrent des technologies similaires comme Grabango, Zippin, V7 Labs et autres. Certains voient cette politique de Amazon comme une manière d'accéder à toutes les données de transaction et de les associer à ce qu'il sait déjà sur les clients, toujours à des fins publicitaires. Pour d'autres, Amazon n’essaie pas de rivaliser avec d'autres magasins en tirant parti de leur avantage technologique, ils se positionnaient pour devenir le seul fournisseur de solutions de paiement au détail pour l'avenir.

    Pour ses propres magasins Amazon Go, bien que Just Walk Out soit innovante, cette technologie comporte des failles, les outils de détection et d'identification pouvant être bernés de plusieurs façons. Et de nombreux internautes prouvent cette possibilité. Par exemple, si le client remet un article déjà pris, Just Walk Out va enregistrer cette activité et avant d'établir un reçu, Amazon Go va envoyer une notification à son utilisateur lui demandant simplement si le produit peut être supprimé du panier virtuel ou non. Et c'est la même demande qui est formulée par l'application si le client a repris l'article qu'il a remis. Il peut ainsi ne pas confirmer avoir pris le produit, qui sera enlevé du panier alors qu'il l'a physiquement.

    Le système de détection physique peut aussi être contourné. Une personne qui change d'habit dans le magasin et hors caméras ne sera plus détectable par Just Walk Out et sa trace sera perdue. Après s'être changé, il pourra ainsi prendre tout ce qu'il veut sans payer quoi que ce soit.

    Source : Just Walk Out

    Et vous ?

    Qu'en pensez-vous ?

    Voir aussi

    Amazon Go Grocery, le premier supermarché automatisé et sans caisse vient d'ouvrir ses portes à Seattle, il utilise la technologie Just Walk Out, le même que pour les épiceries Amazon Go

    Amazon ouvre le premier magasin sans caisses aux États-Unis, où les employés sont remplacés par des détecteurs et la vision par ordinateur

    Microsoft travaille à son tour sur le supermarché sans caisse où les employés sont remplacés par des détecteurs, afin de faire concurrence à Amazon Go

    Amazon a breveté une technologie qui permettrait d'identifier la structure de la main d'un individu, afin qu'il puisse payer ses achats sans se servir d'une carte de crédit
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  2. #2
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    Par défaut L’IA « Just Walk Out » d’Amazon cache en réalité un millier d’Indiens qui travaille à distance
    L’IA « Just Walk Out » d’Amazon cache en réalité un millier d’Indiens œuvrant à distance pour simuler des magasins sans caissiers
    Amazon retire cette « technologie » de ses magasins Fresh aux USA

    Lors de l’ouverture de l’Amazon Go Grocery, le premier supermarché automatisé et sans caissiers à Seattle, « Just Walk Out » avait fait l’objet de présentation en tant que « technologie d’achat la plus avancée au monde. » Bien que le service dans ces supermarchés semble entièrement automatisé, il s'appuie sur plus de 1000 personnes en Inde qui regardent et étiquettent des vidéos pour assurer la facturation « automatique ». En d’autres termes, les caissiers sont en réalité hors du site, et ils observent les clients pendant qu’ils font leurs achats. L’entreprise va conserver sa « technologie » dans un petit nombre de magasins Fresh au Royaume-Uni et la retirer de ces derniers aux USA. Grosso modo, le tableau suggère qu’il pourrait y avoir plus de pseudo-IA en production que ne laisse penser le battage médiatique autour de cette technologie.

    Just Walk Out a été introduit pour la première fois en 2016. Cette technologie avait fait l'objet de présentation comme la plus importante et la plus audacieuse d'Amazon en matière d'achats de produits d'épicerie. La technologie semblait incroyable jusqu'à ce qu'on en découvre les dessous. En effet, les clients mettaient souvent des heures à recevoir leurs reçus après avoir quitté le magasin, en grande partie parce que les caissiers délocalisés visionnaient à nouveau les vidéos et attribuaient les articles à différents clients. Le système de scanners et de caméras vidéo dans chaque magasin est en sus très coûteux. D’où la décision d’Amazon d’abandonner cette « technologie » en commençant par ses magasins Fresh aux USA.

    Amazon s'oriente vers les Dash Carts, un scanner et un écran intégrés au panier d'achat du client. La nouvelle approche permet de gérer automatiquement les aspects en lien avec la facturation au fur et à mesure que le client effectue ses achats. Les magasins Amazon Fresh seront en sus dotés de caisses automatiques pour les personnes qui ne sont pas membres d'Amazon.


    Just Walk Out d’Amazon n’est pas sans faire penser au canular du Turc mécanique

    Le Turc mécanique ou l’automate joueur d'échecs est un célèbre canular construit à la fin du XVIIIe siècle : il s’agissait d'un prétendu automate doté de la faculté de jouer aux échecs. L’automate était prétendument capable de jouer une partie d’échecs contre un adversaire humain. Mais en réalité, il possédait un compartiment secret dans lequel un joueur humain pouvait se glisser. Pendant 84 ans, et grâce au talent des joueurs cachés, le Turc mécanique put remporter la plupart des parties d'échecs auxquelles il participa en Europe et en Amérique, y compris contre certains hommes d'État tels que Napoléon Bonaparte, Catherine II de Russie et Benjamin Franklin.

    Plus de deux siècles plus tard, il apparaît que ce même leurre fonctionne toujours. Et pour cause, il est difficile de concevoir un service propulsé par une intelligence artificielle. Une tâche si difficile que certaines startups se sont résolues de se tourner vers des humains et les faire passer pour des robots plutôt que le contraire.

    « Utiliser un humain pour faire le travail vous permet d’outrepasser une panoplie d’enjeux de développement d’ordre technique et commercial. Il n’y a pas de scalabilité, bien évidemment, mais cela vous permet de créer quelque chose et sauter très tôt la partie difficile, » a dit Gregory Koberger, PDG de ReadMe, qui dit avoir tombé sur beaucoup de “pseudo-IA”. « Il s’agit essentiellement d’un prototypage de l’IA avec des êtres humains, » dit-il.

    Cette pratique a été mise à la lumière du jour après la publication d’un article du Wall Street Journal informant que des centaines de développeurs tiers bénéficient de l’accès aux emails avec l’autorisation de Google.

    Dans le cas de la société Edison Software, des ingénieurs d’IA ont scanné les emails personnels de centaines d’utilisateurs (avec leurs identités éditées) pour améliorer une fonctionnalité de « réponses intelligentes ». L’entreprise n’a pas indiqué dans sa politique de confidentialité que des employés humains ont accès aux emails des utilisateurs.

    Ce n’est pas la première fois qu’une telle chose arrive. En 2008, Spinvox, une entreprise qui convertissait les messages vocaux en messages textes, a été accusée de recourir à des employés humains étrangers dans des centres d’appel au lieu de machines pour faire le travail.

    En 2016, une autre entreprise relevée par Bloomberg cette fois a obligé des employés à passer 12 heures par jour à prétendre qu’ils sont des chatbots pour des services d’agenda comme X.ai et Clara. Ce travail a été si contraignant que les employés ont dit qu’ils avaient hâte de voir une IA venir les remplacer.

    En 2017, l’application de gestion de dépenses Expensify a admis avoir employé des humains pour transcrire au moins quelques-uns des reçus supposés être analysés par sa “technologie smartscreen”. L’entreprise a utilisé le service de travail collaboratif Mechanical Turk d’Amazon, où des travailleurs faiblement rémunérés ont dû lire et transcrire les reçus.

    « Je me demande si les utilisateurs de SmartScan d’Expensify savent que des travailleurs dans MTurk entrent leurs reçus, » a dit Rochelle LaPlante, une “Turker” et une partisane des travailleurs de la “gig economy” sur Twitter. « Je suis en train de voir le reçu Uber de quelqu’un avec son nom complet, et les adresses de départ et d’arrivée. »

    Même Facebook, qui a investi massivement dans l’IA, a eu recours à des employés humains pour son assistant virtuel sur Messenger.

    Dans certains cas, certaines entreprises font appel à des humains pour entraîner le système IA et améliorer sa précision. Une entreprise appelée Scale offre une banque de travailleurs humains pour fournir des données d’entrainement aux voitures autonomes et les autres systèmes propulsés par l’IA. Ces employés vont, par exemple, jeter un coup d’œil sur un flux d’une caméra ou un capteur et les marques de voiture, les piétons et les cyclistes dans une image. Avec assez de calibrage humain, l’IA apprend à reconnaître ces objets, seule.

    Dans d’autres cas, les entreprises vont juste faire semblant d’avoir une IA prête, en informant les investisseurs et les utilisateurs qu’ils ont réussi à développer une technologie scalable alors que le travail est réalisé secrètement par des humains.

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    Alison Darcy, une psychologue et fondatrice de Woebot, un chatbot de support pour la santé mentale, décrit ceci comme « la technique de design du magicien d’Oz ».

    « Vous simulez ce que va être l’expérience ultime. Et beaucoup de temps, lorsqu’il s’agit d’IA, il y a une personne derrière les rideaux au lieu d’un algorithme, » dit-elle. Créer un bon système IA requiert « beaucoup de données » et des fois, les développeurs ont besoin de savoir s’il y a une demande suffisante pour un service avant de se lancer dans un investissement.

    Cette approche n’a pas été appropriée pour le développement d’un chatbot de support psychologique comme Woebot.

    « En tant que psychologistes, nous sommes guidés par un code d’éthique. Ne pas leurrer les gens est très clairement l’un de ces principes d’éthique. »

    Des études ont montré que les gens ont tendance à divulguer plus de détails quand ils pensent qu’ils parlent à une machine, au lieu d’une personne, à cause de la honte associée au fait de chercher de l’aide pour la santé mentale.

    Une équipe de l’Université de Southern California a testé ceci avec une thérapeute virtuelle appelée Ellie. Ils ont trouvé que les vétérans souffrant de stress post-traumatique sont plus susceptibles de divulguer leurs symptômes quand ils ont su qu’Ellie a été un système IA au lieu d’une machine téléguidée par un humain.

    "Les entreprises doivent être transparentes", d'après certains observateurs

    Certains pensent que les entreprises doivent être toujours transparentes sur le fonctionnement de leurs services. Si certaines sociétés offrent des services propulsés par l’IA, mais en réalité elles emploient des humains, c’est malhonnête et trompeur, pense LaPlante.

    « Et pour l’employé, on sent qu’on est poussés derrière les rideaux. Je n’aime pas que mon travail soit utilisé par une entreprise qui va mentir à ses clients sur ce qui est en train d’arriver réellement. »

    L’ensemble de ces faits montrent réellement pourquoi il faut utiliser les bons termes pour décrire ce que font certains systèmes. Par exemple, au lieu de tout dépeindre comme étant une IA, le terme “machine learning” serait plus approprié.

    Le problème aussi réside dans le fait que certaines entreprises ne sont pas complètement honnêtes avec leurs clients. Certes, il y a un besoin de prouver qu’il y a une réelle demande pour un service avant de songer à le rendre scalable. Mais les utilisateurs ont le droit aussi de savoir que leurs messages personnels peuvent être lus par un employé humain, par exemple, même si cette consultation est anonyme.


    Et vous ?

    Que pensez-vous de la pratique qui consiste à présenter un service comme animé par une IA alors qu'il s'agit en réalité d'humains qui travaillent en arrière-plan ?
    Partagez-vous les avis selon lesquels il y a exagération des capacités actuelles de l'intelligence artificielle ?

    Voir aussi :

    57 % des travailleurs dans l'industrie technologique dans la Silicon Valley ont déclaré être en burn out, d'après une enquête
    Les chercheurs en intelligence artificielle peuvent-ils gagner jusqu'à 1 million $ par an dans la Silicon Valley ? un aperçu des salaires
    La bulle technologique de la Silicon Valley est plus grande qu'elle ne l'était en 2000, mais sa fin approche selon des analystes
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  3. #3
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    Amazon cache en réalité un millier d'Indiens œuvrant à distance pour simuler des magasins sans caissiers
    Être ou paraître..
    Tel est la question !!!
    Ne pas savoir n’est pas une faute si l’on cherche à combler ses lacunes.

    "Il n'y a pas d'obstacles infranchissables , il y a des volontés plus ou moins énergiques voilà tous" Jules Vernes

  4. #4
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  5. #5
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    Dire qu'à une formation sur "l'IA pour les managers" Just walk out était l'un des rares exemples de ce que l'IA est déjà capable de faire (avec un analyse des émotions d'un bébé qui m'avait fort peu convaincu). Le tout pour encourager les grands à se lancer avant "qu'il ne soit trop tard".
    Mais ce qui m'échappe dans cette histoire est que Décathlon et Ikea ont des caisses automatiques qui scannent les articles quand on les met dans un bac. Le caddie ressemble quand même beaucoup à un bac mobile. N'est on pas capable de faire 80% de l'objectif avec des solutions qui existent déjà? Il y a ensuite quelques cas à gérer en plus, les produits remis en rayon, les produits qui ne passent pas par le caddie etc.
    Est ce que ça ne coute pas moins cher que de payer des milliers d'indiens?

    Après c'est vrai que ce n'est pas avec ça qu'on va prétendre être les rois du monde en utilisant un IAG quantique sur une technologie organico-informatique.

  6. #6
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    Citation Envoyé par totozor Voir le message
    N'est on pas capable de faire 80% de l'objectif avec des solutions qui existent déjà?
    Vu le coût global de la solution sans humain dans la boutique, faut-il seulement penser remplacer les caissières par des machines ?

    J'écoutais l'entrevue du patron de système U sur thinkerview. Selon lui, non.
    Il dit que les caissières absentes sont remplacées par autant de techniciens en arrière boutique + le matériel de haute technologie (et encore, sans compter le coup du turc mécanique). Que ces boutiques sont très petites et vendent juste du dépannage, et qu'en plus les clients viennent pour l'essentiel juste prendre un café et font leurs courses dans un vrai magasin.
    Ces boutiques sont juste un démonstrateur à très petite échelle.

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